Véritable mythe du jeu vidéo, Doom a fait entrer le FPS dans la culture vidéoludique. En effet les petits gars de chez id Software avait posé une première pierre avec l'excellent Wolfenstein 3D puis un an plus tard ils approfondirent le concept avec Doom. Cette fois on peut évoluer dans les niveaux sur le plan horizontal mais aussi sur le plan vertical, le multijoueur fait son entrée et les mods apparaissent pour que les joueurs puissent faire évoluer le jeu. Le titre jouit en outre d'une excellente réalisation avec des jeux de lumière savamment utilisés, du gore à foison, une ambiance sonore Death Metal et à un Level Design torturé faisant instantanément de Doom un classique du jeu vidéo. Tous les joueurs sont aujourd'hui unanimes pour faire de Doom une pierre angulaire dans l'histoire du FPS un peu à l'image de Street Fighter II dans l'histoire du jeu de combat ou de Super Mario Bros. dans l'histoire du jeu de Plate-forme.

Initié par Maze War et Spasim, le jeu de shoot en vue subjective a réellement débuté avec les productions d'id Software sur DOS, Hovertank 3D et Catacomb 3D avec leur esthétique très flashy. Le même moteur a ensuite été utilisé pour Wolfenstein 3D, jeu bien plus connu et considéré comme l'ancêtre de Doom. Tout nouveau et absolument énorme pour l'époque, il s'agissait d'avancer dans des niveaux de plus en plus grands et de plus en plus labyrinthiques à la recherche de la sortie et tout en dézinguant les monstres sur notre passage. Le joueur incarne un space marine envoyé sur les deux satellites de Mars suite à une expérience qui à mal tourné (encore une...), ayant ainsi fait apparaître des monstres venant d'une autre dimension. Le jeu est totalement en 3D mais les sprites des ennemis et des objets sont en 2D, ce qui donne un charme tout particulier au jeu car on a beau tourner autour d'un baril, on verra toujours son même sprite et non un objet modélisé. Quant aux bruitages, ils sont juste cultissimes, entre le perso souffle comme un porc dès qu'il se fait toucher et qui pousse son cri horrible quand il meurt (et j'en oublierais presque la tronche de psychopathe qu'il tire quand il trouve une nouvelle arme), les ennemis qui grouinent et les balles qui fusent. On commence avec un simple revolver (et notre poing tout poilu qui peut aussi faire mal !) puis on trouve rapidement le fusil, beaucoup plus puissant et très utile jusqu'à à la fin du jeu. D'autres armes seront sur le chemin petit à petit : une grosse mitrailleuse, un lance-roquette surpuissant, un fusil à plasma, un BFG 9000 capable de désintégrer tous les monstres des alentours, et même une tronçonneuse au cas où on manquerait de munitions. On trouve régulièrement des munitions, mais aussi des armures (symbolisés par des hauts verts ou bleus) et des trousses de soins, des petits bonus qui nous rajoutent des points de vie ou de la défense, qui nous rendent invisible ou invincible, ou encore insensible à l'acide ou à la lave. Les ennemis sont aussi très variés : on rencontre d'abord des militaires envoyés frappés de folie (il y en aura d'autres habillés en noir et à peine plus forts) et des monstruosités marron humanoïdes qui lancent des boules de feu. Les ennemis d'après sont déjà plus coriaces : des minotaures qui nous foncent dessus tête baissée, des crânes enflammés, des horreurs volantes rouges et bleues qui crachent des boules de feu et des grands minotaures qui nous lancent de puissantes boules d'acide (que l'on combat pour la première fois en guide de boss dans le premier chapitre). Le boss du deuxième chapitre est un minotaure beaucoup plus imposant qui nous passent l'envie de rester en face de lui quand il envoie ses espèces de missiles, et le boss final une sorte d'araignée mécanique dont la tête ressemble à un énorme cerveau avec des yeux. Une version sortie plus tard, appelée Ultimate Doom, à rajouté un quatrième chapitre donnant accès à de nouveaux niveaux bien tordus et largement plus difficiles. Aussi riche soi-t-il en éléments de toutes sortes, Doom n'aurait-il pas trop vieilli ? Eh bien pas du tout ! Il reste extrêmement fun à jouer grâce à son ambiance de malade (les musiques sont géniales et l'environnement et tout simple mais terriblement immersif malgré son côté carré et ses gros pixels) et à sa jouabilité dynamique au possible, même les pas de côté étaient déjà là !! Le jeu peut par contre devenir lassant à cause de sa grande répétitivité, déjà ressentie à l'époque. En effet, même s'ils évoluent, les niveaux se ressemblent pas mal et il s'agit toujours du même principe : retrouver la clé bleue qui permet d'ouvrir les portes bleues donnant quelque part accès à la clé rouge permettant d'avoir la jaune un peu plus loin et ainsi finir le niveau. Mais ce qui est vraiment gênant, c'est le level design : si les premiers niveaux sont simples à finir, ils deviennent bien plus complexes au chapitre 2 et la plupart des niveaux du chapitre 3 sont une vraie purge tant il y a de couloirs, d'interrupteurs et de petits chemins cachés. Le jeu est génial à parcourir mais n'a pas vraiment su se renouveler avec beaucoup de pertinence. Doom reste cependant une des plus grandes références du genre, notamment pour avoir été le pionnier des logiciels à graphismes en trois dimensions immersifs, du jeu multijoueur en réseau, et d’avoir permis aux joueurs de créer leurs propres contenus. Plus tard id Software sortira des suites, et une nouvelle série de shoot à l'univers et au gameplay similaire appelée Quake. Dès qu'un jeu de shoot sortait à l'époque, on se pressait de s'y éclater tellement c'était génial, les temps ont bien changé...

L'un des meilleur jeu au quel j'ai eu la chance de jouer . C'est LE jeu au quel j'ai le plus jouer étant petit , Un fps vachement bien et une ambiance visuelle et sonore tres particulière qui favorise l'immersion . En gros , dès que tu commence t'es a fond dedans et tu peu plus t’arrêter . Des monstres qui faisait vraiment flippé ( bon , en même temps j'avais 6 ans quand j'y ai jouer la première foi ) Mais c'est que des bon souvenirs . si vous aimez les fps bien gore et plein de gros pixel , jouez a ce jeu il vaut vraiment le coup

Excellent jeu à son époque.
Possède un vaste choix d'arme. qui va du coup de point au BFG9000 en passant par la mitrailleuse gatling le fusil à pompe. Les ennemies sont assez varié pour FPS.

Le multi reste la partie la plus intéressante. On peut allez jusqu'à 4 joueurs en coop ou deathmatch.

L'autre intérêt sont les mods. Il est possible de faire ces proposes map aussi bien pour le deathmatch que pour le solo et de tout modifier (Comme par exemple les mods sur starwar).
Il est même possible de changer l'apparence des armes. Le lance tarte et le lance poulet sont 2 beaux exemples.

Ce FPS avec une difficulté bien doser est exellentes. Avec un large choix d'arme et une grande variété d'énnemis on ne se lasse pas de Doom il m'arrive de y rejouer en ce moment. Le premier FPS avec Wolfeintstein

Le monument du jeu vidéo.

Des effets gores excellentissimes pour l'époque avec mention spéciale pour le lance roquette en straffing sur un bandit qui explose contre un mur la cage thoracique ouverte.

Ambiance au poil avec une bande son très inspirée

A imposer au programme de 6ème par l'éducation nationale, surtout les passages à la tronçonneuse.

Certains jeux sont plus que des jeux beaucoup plus qu'un classique un MYTHE!!!! Doom le jeu que j'ai fini je sais pas combien de fois mais jamais lassé et avec ZDaemon pour jouer en multi avec plein de nouvelles maps, capture the flags... le plaisir est prolongé un KILLER-GAME tout simplement enterrez-moi avec...

Le 100eme avis sur ce jeu ^^

Doom, arrivant un an après le mythique et controversé Wolfenstein, nous amène cette fois, non pas dans les bâtiments nazis mais dans un univers futuriste.
Les + que Doom apporte par rapport à Wolfenstein sont un plus grand bestiaire, beaucoup + d'armes (armes limitées a 3 dans Wolfenstein), des graphismes beaucoup + colorés.
Cependant du fait de l'absence de scénario et que les niveaux soit encore et toujours labyrinthique, vous en aurez probablement marre au bout d'une heure de jeu et il vous faudra vous replongez de nombreuses fois dans celui ci pour espérer le finir sans avoir la tete qui tourne.

Ma toute première expérience vidéo-ludique et j'avais pas plus de 8ans, mon tonton m'y faisait jouer et que dire... UNE PURE BOMBE ! l'un des tout premier FPS, une bande son énorme... bref un super jeux !

Pendant des années, le seul nom de "Doom" évoquait un genre à lui tout seul: le "doom-like" qui deviendra "FPS" par la suite. Que ces monstres donnaient envie de leur tirer dessus avec notre arsenal d'armes jouissives. Un jeu brutal, mais quel défouloir!

Ce jeu est tout simplement excellent.
Certes ce n'est pas mon premier FPS, mais en jouant, ça à permit trouver une nouvelle expérience.
Et en plus avec le nombre de mods sur Doom, ça permet enrichir le contenu.

Bonjour, Bien doom à été mon TOUT premier jeux fps, j'y avais joué j'avais euh... 6ans? en tout les cas j'ai toujours bien aimé pourquoi? pour le blood! pour le massacre de méchant! pour les armes! pour le jeux! de plus on a aucun probleme pour bouger tourner...

Si je trouve Quake 1 vraiment sympa (que ce soit à l'époque ou même aujourd'hui en mode old school), je lui préfère largement Doom. Les ennemis en 2D sont certes techniquement moins impressionnants mais ne gachent en rien l'atmosphère incroyable du soft. Les labyrinthes sont incroyables (surtout dans le 2 et tous les mods qui ont suivis). Les musiques sont oppressantes et la jouabilité est remarquable.

J'ai été très étonné que Doom 3 ne reprenne pas le principe de labyrinthes "libres" sans l'exploration/map/recherche de clé et propose un titre sympa mais ultra linéaire, très joli mais trop différent de l'original malgré les monstres revus en 3D. Quand Doom 3 était sorti, on avait un sentiment mitigé entre "que c'est beau" et "où est Doom?"...

Doom 1, un jeu pop culture hallucinant, mythique et le début d'un nouveau genre.

Mon jeu prefere
Le game design et le level design est exemplaire
Le jeu offre beaucoup de subtilite dans son gameplay
L'ost est parfaite
L'univers est cool
Un jeu culte a faire une fois dans sa vie

Je donnerais n'importe quoi pour revenir en 1993

Snif................................................................................................................