J'ai beaucoup aimé les deux premiers, mais infinite n'est franchement pas fou.

les + :

- La direction artistique, c'est agréable a l'oeil.
- Elizabeth et son ptit coté personnage de pixaar / walt disney sympathique + IA maitrisée

Les moins :

Un peu tout en fait.

- Le scénario est complétement surcoté, en fait ils on pris l'histoire des usa des année 20 couplé avec un truc bateau de faille temporel que tu trouve dans n'importe quelle oeuvre sf, n'importe quel lycéen qui lit un peu aurait pu écrire ça easy. C'est juste un fourre tout de truc déja vu 1000 fois, et mixé de façon un peu brouillon.

- Le gameplay c'est un shoot basique a souhait, assez proche du style medal of honor, vu 10 000 fois encore une fois. Finit la synergie plasmide arme, finit le piratage, la stratégie. Bon les deux premiers était déja pas ouf a ce niveau la (comparé à un deus ex, mass effect et j'en passe) mais la c'est casualisé a mort.

Pire, ils sont même retourné en arrière. Les deux armes c'est juste chiant, les système de sauvegarde pire que tout ( me dite pas que c'est pour augmenter le challenge, je joue pas a ce genre de jeu pour ça. Si je veux du skill je vais sur counter strike). Perso F5 c'est un reflexe pour moi, la je dit non, j'aime pas être pris en otage par un jeu et pas pouvoir quitter quand je veux sans save.

- La bande son a des années lumière des deux autres

- Les deux / 3 skins de PNJ qui se battent en duel (serieux ils auraient pu faire un ptit effort c'est abusé)

Je verrais ce que donnent les DLC, qu'on m'a dit plutôt bon. Mais a part sa, infinite c'est du vu revu re revu. Je ne comprend pas les éloges de la presse.

Autant les deux autres étaient bon (pas excellent mais bon, du moins un peu originaux), mais la y'a aucune âme, le jeu est juste chiant en faite. En fait je pense que ce jeu peut plaire aux plus jeunes mais si vous êtes un gamer aguerri vous ne trouverez rien de nouveau sous le soleil.

Pas franchement un mauvais jeu, mais est mou, pas franchement magnifique, se sert des tares de la société ultraconservatrice sans proposer son point de vue sur la question. Le gameplay des deux premiers n'est plus.

Je vais sûrement étoffer plus tard, mais pour le moment je tenais juste à marquer ma désapprobation a l'achat de ce titre, et marquer ma note.
Que voulez vous, je suis la vox populi de ce jeu.

On est bien loin du chef d'oeuvre Bioschock premier du nom. Moteur de jeu et graphismes très sommaire (sans doute pour être plus facilement adaptable sur console), ennemies quelconque, gameplay bourrin, ambiance beaucoup moins réussi que dans les épisodes précédent. Seul le level design et le scénario s'en sortent, bien que très en deçà de ses ainés.

Ainsi se conclue la série des Bioshock.

Infinite est un jeu qui marquera tout un chacun par sa direction artistique de haute volée, mêlée à des effets de lumières qui flateront la rétine – même si la technique du jeu n’est pas parfaite, loin de là. Nous voici en Columbia, nouvelle utopie ayant – comme toutes – mal tournée, bien différente de Rapture, bien plus lumineuse et parfois bien moins crédible à cause de son coté caricatural ou doublon sur certains points mais pourtant Columbia vaut largement le détour et la promenade.

Mais Infinite ne convainc pas totalement, peut être est-ce parce que nous avons trop attendu ? Ou seulement parce que le premier Bioshock était un jeu qui restera à jamais dans nos mémoires - unique et inégalé en son genre. Infinite propose un scénario intéressant – même s’il repose sur un peu trop de Twist à mon goût – et des thèmes différents sont abordés. Mais il manque à Infinite des figures marquantes comme celles qui était propre à Rapture et qui donnait à la ville sous-marine vie et cohérence. Il manque à Infinite une diversité dans le bestiaire et quelque chose qui aurait égalé en termes de symbolisme les Big Daddy. Il manque à Infinite l’exploration que l’on a échangée ici contre des couloirs et une personnalisation plus poussée (armes, personnages) que l’on a aussi perdue en route. Le problème que pose tout cela, et le level-design non inspiré, est que Columbia parait vide et est, d’ailleurs, emplie de PNJ clonés.

Malgré tout, il faut rendre à Caesar ce qui est à Caesar. Infinite n’est pas un mauvais jeu loin de là, il propose une aventure très plaisante durant une quinzaine d’heures et posera parfois des questions très pertinentes. Le scénario est très perfectible et ne plaira pas à tous mais reste de très bonne facture. Coté FPS, il est bien plus dynamique et bien mieux foutu que ses aînés. Les combats ont gagnés en intensité même si ce n’est pas parfait. La direction artistique - comme je le disais en préambule - est magnifique et les lieux sont variés. Et, s’ils ont pouvait avoir peur de trainer Elizabeth tel un boulet cette petite se montre utile et a surtout l’intelligence de se cacher dans un coin pendant les gunfights. D’ailleurs, Elizabeth est un personnage très attachant – même si à l’occasion nous avons aussi envie de la baffer.

Au final, nous avions peur de quitter Rapture, nous avions tort, tout c’est bien passé. Bioshock Infinite est un bon jeu, je m’y suis beaucoup amusée et vous le conseille. Même s’il ne mérite sans doute pas tous les lauriers que l’on lui offre et que, sur mes lèvres, il laisse le goût amer d’un jeu qui aurait pu être bien meilleur et d’une série qui aurait peut être dû se contenter d’un seul opus regroupant toute ces idées.

Tres grosse décéptioon.

J'ai bien aimé la série Bioshock (même si je suis beaucoup plus fan de son précurseur System Shock 2).

Mais alors là ça va pas. Déjà ça sent le FPS console à plein nez. Checkpoints & pas de sauvegarde : dans un FPS couloir c'est nul, en gros on ne peut pas explorer les niveaux en tentant des trucs un peu ouf qui peuvent nous coûter la vie ou tester les différents résultats lors des choix qui nous sont proposés. Sinon il faut se refaire tout le level depuis le dernier checkpoint, et les checkpoints sont très distants. Et c'est quoi cette idée de ralentir le mouvement de la souris pendant le sprint ? C'est pas naturel et très déroutant quand on switch en permanence entre sprint et marche.

Le jeu est bien trop simple et trop assisté : on s'ennuie, les ennemis attendent bien sagement de se faire fragger. En normal je ne suis pas mort une fois. PAS UNE SEULE FOIS ! C'est n'importe quoi. On ne peut trimballer que 2 armes. C'est peu, ça limite grandement la polyvalence. Enfin bon, c'est tellement facile.... Dans bioshock 1 et 2 (et je ne parle meme pas des system shock) il y avait une notion de gestion des ressources : munitions, vie, medikits et fioles de mana utilisables en pleine action. Là non. Je comprends, c'est un choix : supprimer les medikits et le mana en plein fight et rendre le jeu beaucoup plus facile. Bof. J'aurais préféré un gameplay un peu plus dynamique, à la Bioshock 1, ça aurait été beaucoup plus fun. Là on avance tout droit, on fouille les poubelles, on butes les ennemis les doigts dans le noze. Le seul challenge du jeu au final c'est de chercher des objets. Bonjour le challenge trop interressant (voir l'épisode d'Usul sur les phases de recherche).

Certes graphiquement c'est la claque, on est entre du Miyazaki et du Schuiten/Peeters, l'ambiance marche plutôt bien (enfin bien moins que Bioshock 1 et 2 qui étaient beaucoup plus oppressants). On regrettera d'ailleurs que ce qui serait censé être notre ennemi numéro 1 de part le lieu où se passe l'histoire, la gravité (et la chute), n'est carrément pas exploité, et c'est bien dommage. Les musiques sont énorme, dissonantes et malsaines, bien qu'assez rares au final. Par contre le coté ambiance vieux vinyl c'est sur-utilisé et au final c'est chiant.

Il y a quelques bonnes idées de gameplay, même si ça pue le recyclage de bioshock 1 en moins bien (les abeilles deviennent les corbeaux, la telekinesie devient le retours à l'envoyeur + la deferlante, les memes en moins bien quoi).

Niveau scenar c'est cool, même si c'est très téléphoné (le coté utopie sudiste c'est un peu facile, c'était beaucoup plus fin dans les premiers Bioshock). Le malsain a quasi disparu (au mieux c'est un peu bizarre, dommage parceque l'intro avec le baptême est très intense et laisse présager quelquechose de plus véner, et au final non, c'est un peu trop mignon).

Bref : moyen. Déçu. Bring back System Shock !!!!!

je suis bien sur 360 xbox ,, tout est sauf quand meme kelke connerie ,,,on sauvegarde pas comme avant il y a pas ce coter petit suspence et je joue pas vraiment comme les autres bioschok car c 2 là etait vraiment bien en tout point ,,, et surtout la façon de zoomer des arme a la maniere de call of duty est enierement debile pfffff ,,,,non je ne suis pas d'accord avec vous ,,,a si une chose enfin notre perso parle ca c bien lol ,,, je le finirais bien sur en sachant kil est trop facile meme en difficile ;;pour je le dit et le redit ca vaut pas les 2 autre point barre

Très court
Aucune rejouabilité
Histoire sympathique mais qui ne marquera pas les esprits
Personnages ultra-clichés
0 choix, 0 impact on avance dans un couloir en tuant des trucs entre les cinématiques. J'ai connu des films bien plus immersifs que ça.
Graphiquement pas vilain c'est pas une claque et on est artistiquement et en terme d'ambiance très loin de Rapture
Bande son... pas mal, mais peu marquante.
Gameplay couloir atroce, plasmides remplacés par des vigueurs sans âmes et sans intérêt. On enchaîne les headshot sur des cibles aussi débiles que simple à abattre.

Même le scénario qu'on nous a tant vendu ne sauvera pas ce Bioshock Infinite du désastre. On a beau parler de multivers, ça ne veut pas dire qu'on peut faire n'importe quoi. Les plot-holes sont légions et la fin convenue, on la sent venir à des kilomètres.
Un jeu à éviter, à peine digne de prendre un peu de bande passante pour le télécharger. Dire que ce truc a été élu shooteur 2013 ça montre bien à quel point le jeu vidéo est tombé bas.

Géant !
Je n'ai pas fait les autres bioshock et si ils sont du même niveau que celui-ci je suis passé à côté de quelque chose.

-Un univers très abouti, vraiment bluffant. Même si on peut avoir une petite déception niveau graphisme, les couleurs et les innombrables détails font de Bioshock Infinite une véritable réussite. On a envie d'aller explorer, la ville est truffée de détails, de clins d'oeil historiques, de références. C'est un incroyable mélange entre fiction et réalité, et le tout est très convaincant, on est vraiment immergé dans Columbia, l’architecture de la ville donne une unité et une vraie crédibilité au tout.

-L'histoire, qui va de pair avec l'univers. Au fur et à mesure du jeu, on trouve des infos sur la ville de Columbia, son histoire etc. Plus on avance, plus on a envie de connaître la vérité, le fin mot de l'histoire. Rebondissements sur rebondissements, on n'a pas envie de quitter le PC.

-Les personnages. Outre les frères Lutece, qui sont un couple très réussi, il y a bien sûr Elisabeth, le PNJ le plus abouti que j'aie vu dans un jeu. Non seulement elle participe à l’aventure en vous apportant son aide, mais elle a de l'épaisseur psychologiquement, comme Booker DeWitt. Tout au long de l'aventure, au fil des dialogues, on s'attache à elle et on attend savoure les conversations qui montrent l'évolution psychologique des deux persos.

-Les doublages français, très réussis. L'attention qui a été portée à ce point participe beaucoup à la réussite des persos.

-L'histoire est juste excellente, je me répète. Mais on arrive quand même à aborder des thèmes comme le racisme, le totalitarisme, le fanatisme, sans pour autant être caricatural. La force du jeu est qu'on croit vraiment à cette histoire, rien n'a été bâclé.

Coup de coeur pour ce jeu, je vous le conseille vivement, sur un bon PC c'est un plaisir.

Le meilleur jeu jamais vu, meilleur encore que les précédents opus qui étaient déjà splendides il est une merveille aussi bien architecturalement que graphiquement, un gameplay fantastique et une histoire passionnante.

Bioschock Infinite : Je précise tout d’abord que je suis Fan des 2 premiers opus, que j’ai fait dans toutes les difficultés, en 2D et 3D. Je viens de finir le 3 en difficile, voici donc un avis « autorisé ».
Attention : ceci n’est PAS (du tout) un « Bioschock » ! Même le troupeau des suiveurs moutonniers qui le notent 20/20 (!!!) le reconnaissent. Ici déjà se tient donc par déduction une partie de l’arnaque commerciale.
Détaillons : Environnement totalement différent de Rapture, aucun rapport avec l’histoire précédente ou suivante (sauf un clin d’œil totalement inopportun et tombé du ciel à la fin) pas d’Adam, pas d’Armes spéciales géniales, pas de Petites sœurs (ni grandes d’ailleurs), pas de Daddy, pas d’Ambiance oppressante, Histoire incompréhensible et bancale…. La liste est longue. Il reste donc un FPS banal dans un décor genre Walt Disney pour petite princesse (qui nous accompagne presque tout le long d’ailleurs). Banalité et linéarité affligeantes, jusqu’aux 2 derniers chapitres
Quand à « infinite » si on adopte la traduction française : « pas fini », alors OUI, ce jeu est effectivement « mal fini » : textures simplissimes, voire moches ; modélisations des personnages et oiseaux dignes de la décade précédente (si si !!) ; environnements immenses sans personne dedans et sans sens (= inutiles, sauf pour trouver des ressources) ; moitié des décors extérieurs dans le flou ou l’éblouissement, ce dernier placé de façon à augmenter la difficulté artificiellement ; sauvegardes automatiques mal placées, qui vous obligent a refaire une ½ heure de jeu parce que vous n’aviez pas vu le dernier ennemi dans votre dos, a moins que vous ne ressuscitiez. A ce sujet, une mention spéciale pour le cas, très probable en difficile, ou vous ne tuez pas du premier coup les Handyman : vous ressuscitez avec la moitié de votre vie et un minimum de munitions : l’ennemi aussi, mais avec tous ses pouvoirs, même si il était presque mort avant!…. Donc c’est reparti, avec évidement encore moins de chances de l’occire. Surtout si vous réapparaissez juste en face de lui, car une seule charge lui suffira…. Dans ce cas, vous pouvez fort bien le refaire, comme cela m’est arrivé 5, 10, 20 fois avant de réussir par hasard. Frustrant. Last but not least, vous aurez aussi droit aux bugs : crashes complets au démarrage, à l’arrêt, bugs graphiques (triangulations sauvages au chargement de nouveaux plans, arrivant de préférence juste avant une sauvegarde, vous obligeant à refaire 1 heure de jeu) etc… Solution proposée : réinstaller le jeu (9 heures de téléchargement et tout refaire….. Merci beaucoup)
Quelque chose de bien quand même ? Et bien non, si je compare avec les autres jeux que je fais en parallèle : Metro Last Light – Dead Space 3 – Re-Witcher 2, tous jeux au graphismes éblouissants, pour lesquels les développeurs se sont en plus donné la peine de l’adapter au 3D.
Donc une arnaque commerciale totale, dont Jeux-video.com s’est rendu complice en sur-notant honteusement ce jeu. Je n’irais pas jusqu’à mettre 0 comme certains joueurs en colère que je comprends totalement, mais je mettrais un peu moins que la moyenne, pour rendre service aux vrais fans de « Bioschock »

Que dire de plus sur ce jeu qui n'a pas déjà était dit! C'est une petite tuerie, l'ambiance, le level disgn, le doublage (qui est pour une fois de très bonne facture en fr )et surtout ..... l'immersion, on se balade dans l'univers de Columbia sans se rendre compte du temps qui passe, c'est une pure merveille!L'histoire est également une réussite et vraiment dès plus prenante, avec une fin qui restera pour moi dans les annales!

(Pour ceux jouant en eyeinfinity ou autre, l'immersion est encore plus impressionnante, le jeu prend réellement une tout autre dimension).

Beaucoup d'avis sont similaires au mien, donc je m'étendrai pas dessus.
Ce jeu est d'une rare qualité, tout est fait pour vous transporter, n'hésitez pas à faire des sessions d'une à trois heures, la narration, le visuel, le gameplay et l'histoire sont totalement cohérents. Rarement j'ai eu autant d'émotions à la fin d'un jeu, ca fait une decennie avec Half-Life 2 et Zelda : The Wind Waker.
Un pillier dans l'art du jeu vidéo.

Je n'ai jamais mit 20/20 à un jeu car aucun ne m'en avait, en 20 années, donné l'occasion: c'est à présent chose faite. L'univers graphique change certes pour nous catapulter dans cette magnifique cité des nuages en lieu et place de Rapture l'Atlantide assumée, mais la première impression, et celles qui suivent, restent les mêmes: dès le début, on adore profondément les lieux, l'univers et le parti prit graphique. Car si Irrational Games a bien assimilé quelque chose, c'est qu'il est maître en la matière quand il s'agit d'immerger le joueur dans un univers atypique, et avec cet opus une vitesse supérieure a clairement été passée. Notre personnage, Booker Dewitt, doublé en français par la voix officielle et exceptionnelle de Nathan Fillion (monsieur Castle), réagit à voix haute à son environnement, à ce qu'il ramasse comme items, aux gens qui lui souhaitent le bonjour ou vaquent à leurs occupations, et surtout il réagit parfaitement avec Elizabeth, la belle compagne de charme qu'il est venu "sauver", qui ne manquera pas de lui fournir une logistique salutaire, entre réanimation, fournitures de munitions, de vie ou de "mana", mais aussi et surtout l'ouverture stratégique de "failles" permettant de faire apparaître, qui d'un abri, qui d'armes, qui de points d'accroches aériennes ou de tourelles alliées. Le gameplay est tout bonnement époustouflant. A chaque situation plusieurs stratégies s'imposent, d'autant plus nombreuses d'ailleurs que le joueur possède à sa disposition un arsenal d'armes très différentes les unes des autres dans leurs effets (d'aucun dirait un arsenal honteusement classique, je ne partage pas cet avis, les armes sont les armes, je préfère voir des armes réalistes plutôt que des engins de mort ridicules et parodiques), un assortiment de toniques (en fait du même genre que les plasmides des deux premiers opus) proposant une large palette d'effets différents à découvrir soit-même, et enfin les fameuses failles qui aideront notre héros à faire diversion, à se mettre à couvert ou à élaborer des stratégies efficaces pour se débarrasser de grosses escouades d'ennemies ou de mini-boss réguliers et réellement "piquant". Et n'oublions pas, bien entendu, les différents équipements de corps que vous trouverez ça et là, et qui vous permettront d'occuper ou de remplacer le cas échéant l'un de vos vêtements (chapeau, chemise, pantalon et chaussures de mémoire) par un item vous octroyant un bonus permettant de pousser la personnalisation de votre Booker Dewitt dans sa façon de combattre, mettant alors l'accent sur le corps à corps, le contrôle des foules, le tir précis ou la sulfateuse mobile. Tout ceci fait de Bioshock Infinite un jeu au gameplay riche, où seul le joueur est en mesure de dire et faire ce qu'il estime bien pour se sortir de telle ou telle situation. Avec le bon tonique, la juste arme ainsi que les bons équipements, libre à vous de la jouer Rambo, tireur d'élite, contrôleur de foule, maître du corps à corps et bien d'autre encore. Enfin, parlons du scénario, véritablement aboutit et immersif à souhait. Sauver la douce et belle Elizabeth ne sera pas une fin en soit, car vous vous rendrez compte bien assez tôt de tous les enjeux, les non-dits des personnages et la véritable nature de ce qui vous entoure vous propulsera dans un monde que vous ne vous attendiez pas à découvrir sous cet angle. Entre ésotérisme, science spatio-temporelle et pièce shakespearienne, vous aurez votre lot d'émotions et ne pourrez rester de marbre face à la détresse d'Elizabeth ou celle de Booker Dewitt, votre avatar. Pour terminer, je dirai que, sincèrement et objectivement, je n'ai trouvé aucun défaut à ce jeu. La difficulté est parfaitement dosée (je joue en difficile), on meurt régulièrement si on ne prend pas la peine de mettre en place une stratégie à l'aide des atouts développés ci-dessus (armes, toniques et équipements), le scénario est proprement prenant, on ne s'ennuie pas une seconde et il y a peu voir aucune grosse ficelle scénaristique, le gameplay est souple, agréable et propose du choix dans la façon de se battre, et surtout l'univers est vivant, qu'il s'agisse de Columbia en elle-même ou des gens et lieux qui la composent, en passant bien entendu par Booker et Elizabeth, deux personnages réellement attachant et développés juste ce qu'il faut.
MAJ: Ayant à présent terminé le jeu, je peux donner mon ressenti sur le scénario dans sa globalité: juste WOW ! Si vous aimez les scénari à la Inception ou Matrix, avec forces paramètres pour des réalités alternatives et les choix que prennent ou non les protagonistes, vous allez adorer Bioshock Infinite. A noter qu'avec un clin d'oeil à Rapture, on ne peut que constater qu'Irrational Games souhaite mettre de la continuité et un fil conducteur dans sa franchise, qui s'apprête à devenir l'une des plus riche et reconnu du monde vidéoludique.

Bon.. la claque que j'ai pris.. J'ai pour habitude de ne jamais mettre 20 car pour moi rien n'est jamais parfait mais la franchement..

Je le crie haut et fort c'est certainement l'un des meilleurs jeux de tout les temps !

Pas la peine d'en dire plus il n'y a qu'a voir les commentaires des autres joueurs tout à été dit :p

Putain.. cette fin..

Grandiose. Un seul mot pour décrire ce jeu simplement parfait. Un travail artistique somptueux, des décors fabuleux, Columbia nous dépayse totalement dans son univers futuriste et nous apporte une expérience inédite et inoubliable. Les personnages ont une consistance et un réel caractère, le gameplay est exemplaire et l'action est au rendez-vous.
Mais, ce qui fini par nous enchanter encore plus c'est l'histoire qui se dégage de cet épisode (ce qui est aussi le cas pour les deux opus précédents); Bioshock Infinite est un conte des temps modernes, un réel film dans lequel le joueur est absorbé. Le scénario est maîtrisé bien que complexe et le final est toujours aussi magique, une grande claque pour le public et un sans faute pour le génial Ken Levine et son studio.