Fuck yeah!
Ce jeu de plate-forme fermé à la jouabilité que l'on concevrait aujourd'hui comme inhumaine, d'un rigidité déstabilisante pour tout joueur contemporain, et qui demande un temps d'adaptation non négligeable pour être jouable tout en jouissant du bijou, ce jeu, au héros, ma foi charismatique pour un dialogue inexistant (Mais c'est normal Clint Eastwood à supervisé le projet.), ce jeu au scénario tellement simple que seul les nippons en ont eu connaissance, mais bon ça tout le monde s'en pète royal'... Sérieusement, qui aurait cru qu'un jeu avec des carences aussi plombantes pour un jeu actuel puisse acquérir un magnétisme aussi important, même vingt cinq ans après?
Parce que oui disont le clairement, ce jeu est un orgasme vidéo-ludique! Bon c'est probablement dû au fait qu'il y à plus aucun mec assez taré pour y jouer sur NES, mais dieu, que c'est bon! Qui n'a pas vu se lever le chapiteau dans son futal en lançant sa croix-boomerang? Qui n'a pas remué son pelvis en entendant le Vampire Killer Theme, Wicked Child, Hearth of Fire, ou Out of Time? Qui n'a pas sué comme un phacochère devant la haine inouïe des têtes de Méduse? Qui ne s'est pas senti empli de bravoure en allant mettre sa race à Dracula? Qui?
Y-a-t-il besoin de répondre? J'en doute.
Voilà messieurs (et surtout) mesdames, pourquoi ce jeu est, selon moi, un mythe.
Quand on vous propose d'incarner Conan le barbare pour aller tuer Bela Lugosi, vous ne réfléchissez pas à deux fois avant de répondre par l'affirmative. Castlevania n'est pas un jeu particulièrement long, mais il possède de nombreux défis (on dit bonjour aux têtes de méduses et autres petits bossus). C'est également l'un des jeux avec les musiques 8-bits les plus mémorables avec Zelda et Mario. Le jeu vous propose une multitude d'armes à manier avec votre fouet allant du simple poignard à l'eau bénite en passant par la montre qui arrête temporairement le temps. On peut sans conteste dire qu'il s'agit d'un divertissement fait avec le coeur...
Fuck yeah!
Ce jeu de plate-forme fermé à la jouabilité que l'on concevrait aujourd'hui comme inhumaine, d'un rigidité déstabilisante pour tout joueur contemporain, et qui demande un temps d'adaptation non négligeable pour être jouable tout en jouissant du bijou, ce jeu, au héros, ma foi charismatique pour un dialogue inexistant (Mais c'est normal Clint Eastwood à supervisé le projet.), ce jeu au scénario tellement simple que seul les nippons en ont eu connaissance, mais bon ça tout le monde s'en pète royal'... Sérieusement, qui aurait cru qu'un jeu avec des carences aussi plombantes pour un jeu actuel puisse acquérir un magnétisme aussi important, même vingt cinq ans après?
Parce que oui disont le clairement, ce jeu est un orgasme vidéo-ludique! Bon c'est probablement dû au fait qu'il y à plus aucun mec assez taré pour y jouer sur NES, mais dieu, que c'est bon! Qui n'a pas vu se lever le chapiteau dans son futal en lançant sa croix-boomerang? Qui n'a pas remué son pelvis en entendant le Vampire Killer Theme, Wicked Child, Hearth of Fire, ou Out of Time? Qui n'a pas sué comme un phacochère devant la haine inouïe des têtes de Méduse? Qui ne s'est pas senti empli de bravoure en allant mettre sa race à Dracula? Qui?
Y-a-t-il besoin de répondre? J'en doute.
Voilà messieurs (et surtout) mesdames, pourquoi ce jeu est, selon moi, un mythe.
Quand on vous propose d'incarner Conan le barbare pour aller tuer Bela Lugosi, vous ne réfléchissez pas à deux fois avant de répondre par l'affirmative. Castlevania n'est pas un jeu particulièrement long, mais il possède de nombreux défis (on dit bonjour aux têtes de méduses et autres petits bossus). C'est également l'un des jeux avec les musiques 8-bits les plus mémorables avec Zelda et Mario. Le jeu vous propose une multitude d'armes à manier avec votre fouet allant du simple poignard à l'eau bénite en passant par la montre qui arrête temporairement le temps. On peut sans conteste dire qu'il s'agit d'un divertissement fait avec le coeur...
Tout simplement mon jeu préféré sur Nes. Je continue encore d'y jouer aujourd'hui. Il est simplement formidable. Bon faut-il encore aimer les jeux styles "Arcade Hardcore". Les graphismes sont splendide, beaucoup plus coloré que n'importe quels jeux sortis à ce jour, avec un style propre à lui même, Castlevania réussi à vous envoûter du début à la fin. Ambiance gothique. Un gros point positif, car innovateur en ces temps là. Bref, Castlevania se pose sur le mythe du compte Dracula. L'histoire ? Simple et efficace. Pour ne pas faire de spoil, Simon Belmont, membre du clan Belmont, part à l'assaut du château de Dracula armé du fouet Vampire Killer, symbole du clan Belmont, avec pour but de mettre fin aux jours de Dracula. La difficulté est de taille. Pas de sauvegarde, normal, à cette période du jeu vidéo... des boss colossales, auxquels il vous faudra compté 2h pour en vaincre un seul, des niveaux plus durs les uns que les autres, bref, vous allez en bavé. Mais vous inquiétez pas, le studio à fait en sorte que le soft soit assez court et dur pour que la durée de vie soit convenable. Tout dépendra de votre habileté à la manette et de votre persévérance. Bref, un jeu qui restera gravé dans l'histoire, et dans mon coeur. Simon FTW.
Castlevania fait partie de ces séries devenues mythiques sorties aux débuts de la NES, et développé par le géant de l'époque Konami. Il s'agit de l'archétype des jeux d'action plates-formes où l'on avance à travers des niveaux en vue de côté tout en étant confronté à de nombreuses créatures. Les scénario conte l'histoire du jeune Simon Belmont, membre d'une illustre famille chargée d'anéantir le comte Dracula tous les cent ans. En fait, le nom Dracula n'est mentionné nulle part dans le jeu, la notice parle juste du "Prince du Mal" ou encore du "Maître de Céans", périphrases rendant grandement hommage au célèbre vampire. Notre jeune Simon doit gravir six étages avant de pouvoir le rencontrer et il n'est armé que d'un petit fouet, qu'il peut cependant upgrader par deux fois grâce à un item, le rendant ainsi plus long et plus puissant. Le jeu reprenant le thème de la confrontation du Bien et du Mal, il n'est pas étonnant de tomber sur des types d'ennemis classiques tels que des chauve-souris, des zombies, des hommes-poissons, des gorgones, des chevaliers, des squelettes, des dragons serpents, des fantômes ou plus simplement des animaux hostiles comme des corbeaux, des aigles et des léopards. La jouabilité est rigide, ce qui est courant à l'époque, mais le gameplay est très riche grâce à la richesse du level design et aux armes secondaires. On commence par le hall du château avec sa cultissime musique Vampire killer (qui est également le nom du fouet) et on passe par les profondeurs des lieux, les sous-sols, les cavernes, les geôles et enfin le donjon final dans lequel le comte nous attend en haut des longs escaliers. De nombreuses bougies sont accrochées aux murs et les détruire fait tomber des items, le plus souvent des cœurs permettant l'utilisation des armes secondaires. Parmi celles-ci, on trouve des poignards à lancer, le boomerang qui peut frapper plusieurs coups tout en revenant en arrière, la hache bien pratique pour les attaques aériennes, l'eau bénite (encore appelée "bombe à feu" !) à lancer sur les ennemis pour les exterminer, et plus rarement la montre permettant de figer les ennemis et les trois premiers boss pendant cinq secondes, bien pratique pour certains passages. On peut aussi trouver une croix qui extermine tous les ennemis à l'écran, une potion nous rendant invincible pendant dix secondes, une bourse donnant des points afin de gagner des vies, ainsi que des items cachés dans des murs à détruire : la côte de porc qui fait regagner six points de vie et les double et triple tirs permettant d'utiliser les armes secondaires plusieurs fois de suite. Si les premiers niveaux sont facilement finissables, les deux out trois derniers s'avèrent être bien plus difficile à terminer en raison de leur grand nombre d'ennemis et des précipices à éviter, chaque impact sur Simon le faisant bondir en arrière. Les petits ennemis peuvent être particulièrement dangereux car difficiles à toucher, et les points de vie baissant vite, il faut absolument éviter de subir des dégâts. Chaque niveau est composé de trois parties, au début desquelles on peut néanmoins recommencer quand on perd une vie ; un game over nous fait par contre recommencer depuis le tout début du niveau, mais l'infinité des continues donne un certain confort à l'avancée du jeu (d'autant que si on perd contre Dracula, on recommence tout le temps juste en bas des escaliers). Les combats de boss font également toute l'identité de la série et certains demandent une grande maîtrise de l'attaque et de l'esquive. Si la chauve-souris géante et la reine des gorgones sont assez faciles, les momies augmentent déjà pas mal la difficulté, Frankenstein est difficile à toucher à cause du petit Igor qui envoie des boules de feu sans arrêt, La Mort est extrêmement difficile à vaincre à cause de ses faux qui nous attaquent et réapparaissent sans cesse, et Dracula se montre bien sûr lui même très imposant, quoi qu'il devient très facile à battre quand on a trouvé une technique simple. Graphiquement, la 2D est beaucoup vieilli et les couleurs sont assez baveuses mais le charme de la NES est bien là et l'esthétique de la série est toujours aussi belle avec ses décors reconnaissables et ses couleurs fort bien choisies. La plupart des musiques ne seront pas reprises dans les épisodes suivants mais elles restent de grande qualité et en totale concordance avec l'univers. Castlevania peut paraître très court avec seulement six niveaux à parcourir, mais la difficulté est tellement élevée quand on commence que la maîtrise des lieux demandera facilement quelques heures, comme de nombreux jeux difficiles de l'époque. Le début d'une des plus grandes séries du jeu vidéo, un grand classique de la NES !!
Points forts : l'univers fantastique parfaitement retranscrit
la magnifique esthétique du jeu
les musiques qui commencent déjà à devenir une grande qualité de la série
le gameplay bien modelé et très exigeant
Castlevania sur NES est un titre culte, que ce soit par son ambiance, ses musiques, son héros et son fameux fouet Vampire Killer.
Le scénario fait intervenir Simon Belmont, parti à l'ascension du château du Comte Dracula pour lui botter l'arrière train, comme il est de coutume dans la famille Belmont, qui se voit confronter à Dracula depuis toujours. Pour se faire, Simon devra traverser son château et vaincre ses sbires, qui feront office de boss.
Loup-garou, Frankestein, La Mort elle-même, les boss sont peu nombreux mais ont tous leur petit charisme. Le jeu est difficile, le moindre monstre est un défi en soi, mil faut faire attention à chaque recoin pour éviter les attaques des ennemis.
Le gameplay est très simple. On avance, on frappe avec le fouet, on récolte des objets bonus comme du poulet pour se remettre de la vie, des coeurs, ou des armes secondaires (eau bénite, croix, hache, poignard...), on peut aussi sauter. Le scrolling avance en même temps que nous, en soi, tout le gameplay est basique. Mais c'est ce qui plaît, et le jeu se veut fun, doté d'une ambiance gothique relativement chouette.
La durée de vie est courte, bien qu'il faille s'y reprendre à plusieurs reprises pour arriver jusqu'à Dracula, mais 2 ou 3h suffiront largement pour terminer le jeu. En ce qui concerne les musiques, elles sont superbes, les thèmes deviendront cultes pour certains d'ailleurs. Graphiquement, le titre n'est pas laid mais n'est pas splendide pour autant.
Bref, Castlevania sur NES, c'est le début du longue saga, et avec ce premier épisode, les bases étaient posées, il ne restait plus qu'à améliorer tout ça avec les opus suivants.
J'ai jouai a ce jeux il y a pas longtemps et ce qui ma marquer tout de suite c'est la musiques épiques, vraiments l'une des musiques les plus épiques de l'époques (sans doutes).
La jouabiliter est vraiments excelents, les sauts bien controler.
Et les niveaux dures ^^, les bosses sont bien immaginer pour retrouver toutes les horreurs qu'on puisse trouver dans les films de science fiction.
Enfin les armes secondaires qui rajoute un plus au gameplay.
Bref Bon jeu sur la nes.
Ce premier opus de la série m'a donner envie de jouer voire rejouer au autres castlevania.
Certes, pour les plus jeunes d'entre vous, les graphismes peuvent paraitre laids et les musiques horribles. Pourtant, de mon temps, ce jeu était un must du genre. Ce n'est pas un hasard si il a eu de nombreuses suites.
Vous incarnez Simon Belmont armé d'un simple fouet. Vous trouverez d'autres armes sur votre passages pour combattre divers ennemis et autres boss, sans parler des plates-formes. Mine de rien, je crois que c'est un des premiers jeux avec des boss. Ce jeu comporte 6 niveaux divisés eux même en 3 parties. Cela peut paraitre court, mais c'est compensé par la difficulté. Contrairement aux opus suivants, il n'y a pas de sauvegarde ni de mot de passe, mais il y a des "continue" infini. Ça n'a l'air de rien, mais ce n'est pas forcément le cas de tous les jeux de l'époque.
Vous y passerez des heures, même après l'avoir fini. Cela reste quand même réservé aux nostalgiques comme moi. Mais, les jeunes ne savent pas ce qu'ils ratent.
Difficile de noter de façon objective le premier épisode d'une série aussi mythique! Le plaisir d'assister à la naissance de l'univers délicieusement gothique de Castlevania, savoureuse alchimie entre diverses références mythiques et littéraires, nous ferait presque oublier ses quelques imperfections : difficile en effet de passer sous silence une certaine rigidité du gameplay et une difficulté légèrement en dents de scie ; un diamant encore un peu brut, aux contours parfois encore irréguliers mais déjà brillant d'inspiration, comme en témoigne une bande-son à la justesse saisissante compte tenu des limitations techniques de l'époque.
Note Générale16/20
Sorti en 1986, Castlevania s'impose comme un grand classique de la console. Mêlant action et plates-formes, ce premier opus pose les bases solides d'une série devenue mythique aux yeux de nombreux joueurs. La saga est d'ailleurs toujours d'actualité et la Maison Belmont n'en a pas fini d'en découdre avec le comte Dracula.
Un classique pour les rétros-gameurs !
Bon il est vrai : ça a énormément vieillit ,c'est pas beau ,c'est super (doux euphémisme) raide et on est bien loin des Castlevania récent.
Mais bon ce jeu reste un grand ,un très grand classique. Le finir ne vous demandera non pas forcément un haut niveau skill mais plus d'apprendre les techniques et les niveaux par coeurs pour éviter le plus possible des erreurs fatales .
Certains ne verront pas l'intérêt de jouer à une telle antiquité ,d'autres tel que moi apprécieront ce trip très old-school impitoyable !
Ne connaissant pas la série des Castlevania, j'ai voulu m'y mettre en commençant par le premier épisode et j'ai vraiment bien aimé. Le Gameplay est très classique mais assez efficace dans l'ensemble, on regrettera cependant quelques problèmes comme la lourdeur du personnage, le temps de latence entre chaque coup de fouet qui peut vite être très ennuyants ou encore le recul qui peut nous faire perdre pas mal de vie.
Malgré cela le jeu reste bon, les combats aux fouets sont assez vifs et nerveux et les boss sont vraiment excellents. La faible durée de vie est compensé par une bonne rejouabilité et une dose de difficulté très bien dosé. Mais le plus gros point fort du jeu est sans aucun doute la bande son totalement culte.
Un grand classique de la Nes, je le conseille à tous les fans du genre ainsi qu'aux gens qui ont envie de se lancer dans le rétrogaming.
Le premier de Castlevania. Il y a rien à dire, il est très appréciable ! Bande son très propre, graphisme très correcte, jouabilité moyenne a cause du petit problème de saut qui m'as fait mourir plus d'une fois, sinon a acheter sans hésiter
Un jeu excellent sur cette console et pour l'époque, il est mythique et immanquable sous aucun prétexte.
Les graphismes sont très bon, la bande son est très bonne et colle vraiment bien a l'ambiance générale du jeu. La prise en mains au début est assez difficile, un temps d'adaptation est nécessaire pour pouvoir profiter pleinement des possibilités que possède notre personnage.
Les niveaux sont parfaitement bien construit,variés, et la difficulté est présente. Un jeu que je conseillerais a tous !
Mythique et difficile, voilà ce dont je me souviens. Et le fouet qui était novateur à l'époque ! La réalisation a beaucoup vieilli, les couleurs sont ternes et le jeu est lent. Seules les célèbres musiques sont encore d'actualité, malgré les reprises des épisodes plus récents. Néanmoins cela reste un très bon jeu avec beaucoup d'ambiance, car paradoxalement malgré sa technique faiblarde c'est le seul de la série où je me suis vraiment senti dans le château de Dracula face au mal incarné !
Le début d'une grande aventure prend naissance dans cette petite cartouche grise! Castlevania la série à succès, tout a débuté ici et c'était déjà une superbe réalisation pour son époque, un étendard fièrement levé sur la NES. A faire absolument pour les fans de la série actuelle.