Après deux autres opus sur GBA tout deux sortis en Europe, voilà qu'arrive Climax. Une éxclusivité Japonaise ce qui est très dommage car ce F-zero est sans doute le meilleur opus GBA. On regrette cependant l'absence d'un mode Aventure qui était présent dans GP Legend mais le jeu se rattrape avec un mode "edit" qui permet de creer ses propres circuits. Des graphismes légerments améliorés et des animations elles aussi remaniées, les musiques restent les même par rapport aux derniers épisodes à part quelques nouvelles musiques présentent. Le mode multijoueur reste toujours aussi amusant que dans les précédents épisodes. Quelle dommage pour nos amis qui ne savent pas lire le Japonais ( même si beaucoup de choses sont écrites en Anglais ). Au final un jeu très réussi qui vaut la peine d'être acheté, même en import.

Pourquoi avoir garder ce jeu au Japon ? Nintendo ont fait les radins sur ce coup-là, ce jeu a vraiment une grosse durée de vie, des musiques typiques d'un F-Zero, une jouabilité vraiment compliquée au début, mais on y prend rapidement l'habitude. Il faut l'essayer pour se faire une idée du jeu.

J’écris cette chronique quelques heures après avoir rédigé celle sur F-Zero et essayé ce nouvel épisode. C’était nécessaire. Et encore une fois, je vais faire appel à des comparatifs avec le Mario Kart de la console. Pour une conclusion bien différente.

Je reprochais à Super Mario Kart sa gestion crétine de la difficulté et son manque d’énergie. Super Circuit avait voulu reprendre les mécaniques de son prédécesseur, à première vue sans apporter grand chose, mais su corriger une partie de ces défauts, tenter quelques innovations et – comble de l’hommage réussi – porter les courses de Super Mario Kart dans une vision remastérisée plus accessible. De ce que j’ai pu lire sur F Zero Climax, le pari était aussi de reprendre les bases et de jouer sur la corde nostalgique. Sauf que…

… c’est un foirage.

On commence par le positif : le jeu est très beau, les musiques sont entraînantes. Cette fois on a le choix des pilotes, ça n’apporte pas grand chose, mais déjà ça (je n’ai pas eu la motivation d’aller les débloquer, mais il y en a beaucoup). Quitte à comparer à Mario Kart Super Circuit : 53 courses contre 40 chez le moustachu, car les courses attribuées à chaque coupe diffèrent selon le mode de difficulté.

Maintenant, le négatif. Alors… Vous vous rappelez de la gestion des dégâts et des « aires de réparation » ? Ça existe toujours. Sauf que la réparation va très vite, que les dégâts font toujours exploser la voiture…mais qu’elle est reconstruite immédiatement, comme un hors-piste dans Mario Kart. Du coup, il ne faut pas hésiter à foncer, au pire ça oblige juste à reprendre de la vitesse. Vous vous souvenez du boost ? Là, on le lance quasiment quand on veut pendant les deuxième et troisième tour, et, ooooh, ça tombe bien, je viens de dire que les collisions étaient moins punitives ! Le dérapage me semble moins précis, mais là je vais mettre ça sur le dos du support, vu que j’y joue sur émulateur. Oh, et je disais que les musiques étaient sympathiques, mais elles sont régulièrement interrompues par un commentateur beuglant des « LAST LAP », « YOU ARE THE BEST »,… digne de la voix off de « Who killed Captain Alex ».

Un petit comparatif avec Mario Kart…64 : vous vous souvenez de la Route Arc en Ciel, la course interminable avec des barrières qui vont empêchent de tomber et fait que ce n’est finalement qu’une ligne droite ? Vous enlevez les barrières, vous faites tomber la durée de la course à 2 minutes, et vous avez la dernière course de la troisième coupe de F Zero Climax. Et comme on conduit un bolide qui fonce à 900km/h, on tombe. Encore. Encore. Et encore. Sauf si on s’aperçoit qu’en pilonnant A, on empêche la voiture de prendre trop de vitesse et on gagne énormément en stabilité en perdant euh…bah environ 15km/h sur 900 habituels, donc rien de bien notable. De toute façon, on s’en fiche, vu qu’on peut finir 24e sur 24 à chaque course sans être éliminé (la seule influence des classements est de débloquer de nouveaux pilotes). Il n’y a plus le système de « voitures qui gênent », donc prenez de l’avance et , pour reprendre les mots d’un philosophe suresnois, « si vous aimez la route, allez y, foncez dedans ».

Dernier clou dans le cercueil qui roule : il m’a beaucoup fait penser aux Fous du Volant sur Game Boy Color…mais en moins drôle.

J’écris cette chronique quelques heures après avoir rédigé celle sur F-Zero et essayé ce nouvel épisode. C’était nécessaire. Et encore une fois, je vais faire appel à des comparatifs avec le Mario Kart de la console. Pour une conclusion bien différente.

Je reprochais à Super Mario Kart sa gestion crétine de la difficulté et son manque d’énergie. Super Circuit avait voulu reprendre les mécaniques de son prédécesseur, à première vue sans apporter grand chose, mais su corriger une partie de ces défauts, tenter quelques innovations et – comble de l’hommage réussi – porter les courses de Super Mario Kart dans une vision remastérisée plus accessible. De ce que j’ai pu lire sur F Zero Climax, le pari était aussi de reprendre les bases et de jouer sur la corde nostalgique. Sauf que…

… c’est un foirage.

On commence par le positif : le jeu est très beau, les musiques sont entraînantes. Cette fois on a le choix des pilotes, ça n’apporte pas grand chose, mais déjà ça (je n’ai pas eu la motivation d’aller les débloquer, mais il y en a beaucoup). Quitte à comparer à Mario Kart Super Circuit : 53 courses contre 40 chez le moustachu, car les courses attribuées à chaque coupe diffèrent selon le mode de difficulté.

Maintenant, le négatif. Alors… Vous vous rappelez de la gestion des dégâts et des « aires de réparation » ? Ça existe toujours. Sauf que la réparation va très vite, que les dégâts font toujours exploser la voiture…mais qu’elle est reconstruite immédiatement, comme un hors-piste dans Mario Kart. Du coup, il ne faut pas hésiter à foncer, au pire ça oblige juste à reprendre de la vitesse. Vous vous souvenez du boost ? Là, on le lance quasiment quand on veut pendant les deuxième et troisième tour, et, ooooh, ça tombe bien, je viens de dire que les collisions étaient moins punitives ! Le dérapage me semble moins précis, mais là je vais mettre ça sur le dos du support, vu que j’y joue sur émulateur. Oh, et je disais que les musiques étaient sympathiques, mais elles sont régulièrement interrompues par un commentateur beuglant des « LAST LAP », « YOU ARE THE BEST »,… digne de la voix off de « Who killed Captain Alex ».

Un petit comparatif avec Mario Kart…64 : vous vous souvenez de la Route Arc en Ciel, la course interminable avec des barrières qui vont empêchent de tomber et fait que ce n’est finalement qu’une ligne droite ? Vous enlevez les barrières, vous faites tomber la durée de la course à 2 minutes, et vous avez la dernière course de la troisième coupe de F Zero Climax. Et comme on conduit un bolide qui fonce à 900km/h, on tombe. Encore. Encore. Et encore. Sauf si on s’aperçoit qu’en pilonnant A, on empêche la voiture de prendre trop de vitesse et on gagne énormément en stabilité en perdant euh…bah environ 15km/h sur 900 habituels, donc rien de bien notable. De toute façon, on s’en fiche, vu qu’on peut finir 24e sur 24 à chaque course sans être éliminé (la seule influence des classements est de débloquer de nouveaux pilotes). Il n’y a plus le système de « voitures qui gênent », donc prenez de l’avance et , pour reprendre les mots d’un philosophe suresnois, « si vous aimez la route, allez y, foncez dedans ».

Dernier clou dans le cercueil qui roule : il m’a beaucoup fait penser aux Fous du Volant sur Game Boy Color…mais en moins drôle.

Après deux autres opus sur GBA tout deux sortis en Europe, voilà qu'arrive Climax. Une éxclusivité Japonaise ce qui est très dommage car ce F-zero est sans doute le meilleur opus GBA. On regrette cependant l'absence d'un mode Aventure qui était présent dans GP Legend mais le jeu se rattrape avec un mode "edit" qui permet de creer ses propres circuits. Des graphismes légerments améliorés et des animations elles aussi remaniées, les musiques restent les même par rapport aux derniers épisodes à part quelques nouvelles musiques présentent. Le mode multijoueur reste toujours aussi amusant que dans les précédents épisodes. Quelle dommage pour nos amis qui ne savent pas lire le Japonais ( même si beaucoup de choses sont écrites en Anglais ). Au final un jeu très réussi qui vaut la peine d'être acheté, même en import.

Prenez donc un bon jus d'orange et foncez !

Un excellent jeu de GBA. il a une très bonne durée de vie grâce a ces divers modes de jeu. Un bon système de boost et des graphismes typiques d'une GBA. Les musiques sont vraiment bonnes. Un bon jeu tout de même.

Jouabilité horrible, mais bon systeme de boost..
En revanche ils ont bousillés les courses du premier F-zero qui lui, est juste parfait.
Editeur de map trop basique et manque de grande possibilité de mapping.

je ne regrette pas de l'avoir acheté en import. Je l'ai juste acheté trop tard : quand on s'habitue aux graphismes HD on a du mal à revenir aux anciens standards. Il est en japonais (sniff) mais ce qu'il y a de bien c'est qu'on peut configurer les touches comme on veut (4 configs personnalisables). Par contre le réglage entre accélération et vitesse de pointe me manque un peu. Concernant les vaisseaux "impilotables" (comme le Crazy Bear ou le Silver Thunder, certaines vidéos montrent que conduit en drift on peut faire des merveilles en contre la montre. Des pistes de Maximum Velocity et des vaisseaux de GP Legend sont jouables. C'est du bon, très bon.