Après sa gloire sur les Donkey Kong Country de la SNES et les Donkey Kong Land de la Game Boy, il faut un Donkey Kong à la hauteur de la GBA. Et justement, notre singe préféré a eu d’énormes succès sur la GameCube grâce aux Bongos. On pense donc qu’il faut rester dans l’originalité dans l’opus qui vient. Et justement, de l’originalité, « Donkey Kong King Of Swing » nous en propose à la pelle ! Cet opus a vraiment surpris les fans.

Pour moi, ce concept tout nouveau est vraiment génial !!!!
D'accord c'est possible que les moins passionnés se lassent assez vite, mais pourtant avec des graphismes aussi fluides et colorés, un gameplay tout nouveau et excellent, une prise en main très rapide, je ne vois pas ce que vous lui reprochez. Bref pas de banane mal placée pour ce jeu.

Fini à 121% (la notion de pourcentage complètement dévoyée, mais bon, faisons comme si tout était normal).

Et c’était pas mal du tout !

Très bon client des jeux de plateformes - et grand amateur du gorille à la cravate rouge -, j’étais ma foi assez curieux à l’idée de réaliser ce Donkey Kong : King of Swing, dont le gameplay inédit promettait un renouveau de challenge pas négligeable au ouistiti désormais aguerri que je suis.

Et force est de constater que la promesse est tenue, puisque l’expérience s’avère très différente de celle offerte par les Donkey Kong traditionnels. On est toujours ici sur du plateformer, mais d’un autre style, de celui où l’on aura - quasiment - jamais les pieds sur terre, mais toujours les mains agrippées à des prises en hauteur, d’où l’on se balance pour se déplacer dans l’espace. Obstacles, gouffres et méchants venant évidemment corser l’affaire…

Le procédé est amusant - même s’il faut un petit temps d’adaptation pour s’habituer à jouer avec les boutons L et R plutôt que les habituels gauche/droite/A/B - et l’exécution s’avère concluante. Une fois le coup de main pris - et surtout les bons réflexes adoptés ! -, le fun est là et les fondamentaux de la franchise bien présents.

Je ne m’étends pas sur le scénario, aussi prétexte et interchangeable que d’habitude (quoique, attention, cette-fois ce ne sont pas des bananes qui sont dérobées à nos singes préférés, mais des médailles !), mais pour le reste, on retrouve Donkey et Diddy comme personnages jouables (au grand damn du suprémaciste de Dixie que je suis), K. Rool et ses Kremlings comme méchants à savater (TAKE THAT PUTIN !), mais aussi les habituels vautours et abeilles - et j’en passe - tout au long des cinq mondes/décors (la jungle, le désert - l'ouest sauvage, pardon -, le monde marin, le monde de glace et enfin le Kroiseur de K. Rool), au sein desquels quelques niveaux à concepts rigolos (la classique tornade, le givre, la brume), les immanquables tonneaux explosifs et, surtout, plein de bananes à récupérer pour collecter des vies (les bienfaits du bêta-carotène, certainement).

Le jeu se renouvelle en outre pas mal côté mécanismes, là où je pensais après trois niveaux que tous les suivants seraient du même tonneau. Mais la suite s’avère en fait beaucoup moins plan-plan que ce que je croyais. Tant mieux !

J’évoquais plus haut les méchants : j’apprécie le fait qu’ils soient tous tuables, y compris les fantômes. Et j’ai bien aimé les passages où l’on se bat avec des Kremlings à coups de jets de pierres. Les boss, en revanche, sont eux globalement insignifiants. Le squelette de requin puis K. Rool présentent un peu de challenge mais les trois autres sont hélas de simples formalités - ce qui n’est pas une première dans cette licence.

Pour le reste, quelques bonnes choses : la difficulté, satisfaisante, et la musique, plaisante. Sans tutoyer les cieux comme l’ont fait les sommets de la série à ce niveau-là (Country/Land 2 et Tropical Freeze en tête), elle comporte pas mal de morceaux sympatoches - en plus des deux trois reprises de thèmes légendaires. Confirmant une fois encore que, côté musique, cette licence est tout de même assez introllable. Puisque même ses opus les moins intéressants à ce niveau-là restent pas trop mal lotis. Pas un seul jeu DK avec une musique insipide, même parmi les « secondaires » (comme celui-ci). A tel point que les moins généreux sont finalement les opus… musicaux (les Donka Konga). Ironique !

Mais aussi quelques défauts : le fait que les niveaux bonus ne soient pas rejouables après un échec. Autrement dit : si tu rates un niveau bonus, tu n’as plus qu’à te suicider et recommencer le « vrai » niveau pour retenter ledit niveau bonus. Frustrant, très frustrant… sachant que si le niveau bonus dure en général 30 secondes, il te faut parfois 3 minutes pour y arriver de nouveau après avoir rechargé le « vrai » niveau. A multiplier par le nombre d’échecs… Et comme il m’a fallu en recommencer certains quinze fois avant de décrocher ce putain de diamant (pardon, cette putain de « noix de coco cristal »), eh bien l’entreprise s’est parfois avérée excessivement casse-burnes.

Critique trop longue pour JVC, donc la suite ici :
https://old.senscritique.com/jeuvideo/dk_king_of_swing/critique/273381514

Après avoir bravé les sentiers de la plateforme de différentes manières, de la réflexion avec ses nouveaux duels face à Mario et même animé des percussions sur Game Cube, Donkey Kong revient sur Game Boy Advance dans un jeu unique en son genre avec des tableaux consistant à grimper d’accroche en accroche tout en récupérant des bananes et en dégommant des ennemis. K. Rool a volé des médailles qu’il faut récupérer dans chacun des vingt niveaux du jeu répartis en cinq mondes. Le gameplay est très bien pensé mais assez déroutant au début, les boutons L et R représentant respectivement les mains gauche et droite du gorille. En appuyant en même temps sur les deux depuis le sol, on se propulse légèrement afin d’atteindre des accroches. Maintenir une des touches au bon moment permet d’effectuer une rotation, et lâcher la touche nous propulse dans la direction souhaitée. On peut rester immobile en étant sur deux accroches à la fois, et maintenir L et R donne une charge de propulsion permettant également de battre les ennemis, tant qu’il n’y a pas quelque chose de pointu en face. Il faut parfois défoncer des caisses barrant le chemin, ou encore des tonneaux faisaient apparaître de nouvelles plates-formes où s’accrocher.

On trouve d’abord de nombreuses accroches les unes à côté des autres afin de se faire la main, et elles sont de plus en plus éloignées au fil du jeu, certaines sont mêmes en mouvement ou alors se brisent au bout de quelques secondes. La physique est ensuite modifiée par les environnements entre le vent qui souffle, l’eau qui ralentit mais permet une plus grande allonge et les parois gelées qui font glisser. Les ennemis ont des patterns assez prévisibles mais certains peuvent s’avérer coriaces, sans parler des canons du K. kroiseur. Disposant de trois cœurs, on en perd un dès qu’un ennemi nous touche et quand on tombe dans un trou, sachant que le niveau entier est à recommencer dans ce cas, et que dix bananes permettent de récupérer un point de vie. En utiliser vingt rend invincible pendant une dizaine de secondes et permet de se propulser beaucoup plus loin, idéal pour d’élancer vers certains tonneaux bonus, contenant bien souvent une des vingt noix de coco de cristal cachées.

D’abord assez facile, le jeu demande quand même une certaine maîtrise des propulsions et des rotations pour avancer efficacement. Si le dernier niveau est vraiment difficile et exigeant, aller faire le plein de bananes dans un niveau précédent le facilite largement étant donné que tout se conserve. Chaque niveau est en trois parties et chaque monde se termine par un boss dans lequel il faut foncer au bon moment. K. Rool propose une course pas évidente ainsi qu’un combat qui ne peut être gagné que par la ruse : le faire foncer vers le sol pour ensuite le toucher dès qu’il est remis sur pied. Une fois le jeu fini, il est possible de le refaire avec Diddy Kong, moins fort mais plus léger et donc meilleur en propulsion. Le mode jungle en folie propose des courses à quatre plus ou moins difficiles, jouables avec plusieurs consoles et une seule cartouche, ou alors contre l’IA. Dixie Kong s’avère encore meilleure en saut mais peu encline à foncer vers les autres pour les pousser, tandis que Funky Kong est le plus fort mais aussi le plus lent. Un bon jeu très rafraîchissant quoi qu’assez rapide.

Voila un jeu inédit mettant en vedette Donkey kong ! DK King of swing n'est pas un jeu ordinaire de par son gameplay tout simplement. Le fait que le jeu se passe de bas en haut au lieu de gauche à droite comme nous sommes habitués est un grand changement dans l'univers de DK. Nous incarnons Donkey Kong ( évidemment ) et notre but est de récolter nos bananes volés en traversant niveau par niveau en grimpant les rochés, caves, forets etc. Le jeu se joue entièrement avec L et R ( parfois les boutons analogique mais bon ) et le gameplay est tout simplement révolutionnaire. Les points négatifs est que le jeu est trop court et la musique très boff , néanmoins je le recommande pour les fans de la série.

Un très bon jeu pour moi c'est un 16/20!
Ce jeu a de bons graphismes, des mini-jeux, une bonne aventure et du challenge! Le principe est bien fondé, les médailles et les cristaux enrichissent le jeu et cela en fait un jeu super sur GBA que je conseille à tous!

Une petite curiosité que ce jeu. Visuellement c'est très mignon, j'approuve, et on retrouve les bonnes vieilles musiques qu'on adore. Niveau jouabilité, dur de faire plus simple ! La durée de vie est un peu dure à évaluer tellement le jeu est énervant par moment ! Parfois on essaie vraiment désespérément de s'accrocher à un point bien précis pour continuer, et à force de passer à deux millimètres, ça saoule. Sans parler de certains boss : ça demande parfois du temps avant de trouver un bon angle pour attaquer ! Malgré cela, le jeu reste distrayant à faire une fois (pas deux).

Ceci est un putain de jeu ! La maniablité est énorme, le son est pas mal du tout et la durée de vie : normale.

Je donne 20/20 pour cet exploit de Nintendo ! Heuresement que Nintendo nous fait ça !! Je joue tous les jours à ce jeu depuis que je l'ai XD .

Merci de votre compréhension !

Un jeu original et joli à tous les points de vue. Une maniabilité simple et bien pensée (on ne joue qu'avec 2 boutons) et de manifiques couleurs pastels pour un jeu bon enfant. Mais une part d'ombre vient obscurcir ce petit jeu ensoleillé, une durée de vie bien trop courte (10 heures environ pour les pro de la console) et ce jeu est beaucoup trop simple, les mondes s'enchaînent et se ressemblent tous. Je le conseille tous de même aux moins de 12 ans qui pourraient bien s'amuser avec.

En effet, ce jeu est moins intéressant que Mario Vs DOnkey kong, mais on n'y passe un agréable moment à y jouer. Donc, je mets 15 sur 20. Le sons sont bien, durée de vie très bof... Mais il passe bien le jeu avec le mode multi assez cool, mais relatif.