ENORME DECEPTION! j'attendais beaucoup de ce jeu vu les critiques de la presse et des joueurs mais rien n'y fait je n'accroche vraiment pas.
Ambiance fifties (happy days) dans un fps déja ça le fait pas.
Ensuite des ennemis avec un look cartoon, armes et pouvoirs sont très moyens. Les graphismes et le level design sont mauvais, les scènes d'action sont hyper confuses, on affronte toujours les mêmes ennemis avec les mêmes répliques.
Mais le pire c'est que le jeu est totalement plat, ne suscite aucune émotion.
Je n'ai même pas envie de le finir, ce qui m'arrive pratiquement jamais.
Si vous voulez gouter un chef d'oeuvre et avoir des sensations fortes, attaquez vous à DEAD SPACE qui lui est fantastique.

Je n'ai pas du tout accroché, je l'ai acheté en pack avec Oblivion sur 360, mais je suis très déçu, le jeu est très répétitif, je n'ai pas joué plus d'une heure, heureusement que j'ai Oblivion... Je met quand même un 5/20 juste pour les graphismes.

Excellent jeu, mais 5/202 car buggé : impossible de reprendre ma sauvegarde après le Pavillon Médical. 4 fois que je recommence le jeu. Pour une version console (XBOX 360 avec mise à jour) ça craint.

« Où suis-je ? » se dit-on, immédiatement après le crash de notre avion, voyant devant nous, ce phare, perdu au milieu de l’Atlantique.
On y entre et dès ce moment on sait qu’on ne va pas jouer à un jeu commun ; tout est calme, on entend vaguement du jazz, et le bruit de nos pas, on entre dans un petit véhicule rond, élégamment nommé « bathysphère » ; et là, ce qu’on savait déjà, s’avère : on ne joue pas à jeu commun. Ce sera la première fois qu’on voit un personnage du jeu, et quel personnage : Andrew Ryan ; personnage capital, pour l’œuvre et surtout pour ce qu’il va nous présenter : Rapture, et ses gratte-ciel art déco, plongé au milieu de l’océan. Introduction mythique et si maîtrisée, nous présentant la philosophie de Ryan, et donc de la ville, du laissez-faire paroxysmique et de l’objectivisme total, cette intro instaure l’ambiance du la cité, et quelle ambiance ! Fascinante de par son ambition et macabre de par sa réalisation : on est effrayé, on est horrifié ; mais on continue, animé par une curiosité malsaine, on avance dans l’océanopole, écoute les audiologs, voit des cadavres, font des cadavres et faut en devenir. Comment ne pas être marqué par la mère au dessus de son berceau, que l’on voit au début du jeu, dont on ne distingue d’abord que l’ombre avant de découvrir le monstre ; comment ne pas être marqué par les valseurs (que l’on encontre plus tard, et dont l’existence nous était déjà connue grâce à un audiolog) qui sont là, ballant, figés dans le temps, sur la mélodie que chante un gramophone, nous donnant un aperçu de ce qu’a pu être Rapture avant sa déchéance, avant de se jeter sur nous lorsque la musique cesse.

Ce jeu est aussi un exemplum de narration environnementale, les décors disent tant. Dans Bioshock, certes, il y a des audiologs, mais ceux-ci (contrairement à des jeux comme Mass Effect par exemple) ne sont jamais excessifs par leur quantité, ou même leur longueur et surtout, demeurent intéressants, demeurent fascinants, et ne font qu’étayer ce que dit l’environnement.

Le jeu commence vraiment avec la première zone : le Pavillon Médical, où l’on encontrera le Dr Steinman, chirurgien qui, lassé de travailler sur les mêmes visages encore et encore, devint un « Picasso de la chirurgie » mutilant ses patients jusqu’à la mort. Plus tardivement, on découvre la Forteresse Folâtre, souvent la région préférée des joueurs, avec comme souverain absolu Sander Cohen, artiste fou, nous obligeant à tuer puis photographier ses ennemis pour former un triptyque. Sur le chemin, nous verrons moult statues, semblables à des gens apeurés, figés dans le temps ; on frappe une statue, et… du sang.

Et qu’en est-il de l’aspect politique du titre. Le jeu est une réponse directe au roman La Grève (ou Atlas Shrugged), livre éminemment important aux États-Unis, et de manière plus globale, à Ayn Rand, son autrice (dont Andrew Ryan est un presqu’anagramme), selon laquelle l’État ne doit pas interférer et l’individualisme complet triompher ; soit les valeurs qu’Andrew mit en œuvre à Rapture, et qui en causa la perte. Par ailleurs, reparlons un peu de Ryan ; personnage à l’image de sa cité, suscitant fascination comme effroi, personnage touchant aussi, à la fin lorsqu’il nous parle, qu’il nous dit de le tuer (celui souhaitant rester maître de son destin, jusqu’à sa mort). Ce qui, malgré ce qu’on sait de lui, de ses actes, de ses non-actes, nous fait douter « Faut-il vraiment le tuer ? Le mérite-t-il ? ». Bien qu’au fond, on sache qu’on fait le bon choix, mais ce sera à contrecœur ; nous laissant le souvenir d’un homme certes fou, inconscient et qui a causé nombre d’horreurs mais aussi celui d’un homme qui souhaitait bien faire, fier de son œuvre et qui même jusqu’aux derniers instants, ne fit jamais preuve de lâcheté. D’ailleurs, on entendra plus tard un audiolog de Ryan dans lequel celui-ci exprime ses remords et regrets. « l’enfer est pavé de bonnes intentions » lui serait un parfait épitaphe.

Bref, j’ai adoré Bioshock, adoré ses personnages, son ambiance, adoré cette Atlantide art déco ultracapitaliste, adoré ses décors, sa narration. À vrai dire, je n’ai pas maints défauts à lui attribuer, si ce n’est le nombre d’ennemis par zone, qui à mon sens est trop élevé, pouvant nuire à l’ambiance du jeu. Bioshock est une œuvre capitale, monument de la vidéoludie. Nombreux sont les jeux qui s’en sont inspirés, et peu sont ceux qui y sont parvenus (Atomic Heart peut témoigner).

Très bon jeux graphiquement très beau gamplay efficace ost de qualité bonne durée de vie scénario parfait un très bon jeux a faire je recommande vivement ce must

super bon jeu, l'histoire est prenante. L'ambiance du jeu nous plonge directement dans rapture. il y a une bonne courbe de difficulté qui rend chaque affrontements avec les protecteurs tendu. Niveau gameplay c'est di bon, un bon panel d'armes et de pouvoir même si certains plus utiles que d'autres et niveau graphisme même en 2022 le jeu reste beau

Un jeu révolutionnaire, ultra créatif, ultra symbolique, une ambiance dingue et dense, un gameplay large permettant une bonne rejouabilité, seul petit point bof selon moi, le twist qui floppe un peu et un boss de fin vraiment pas digne de l'aventure mais sinon BGE.

Ce jeu est absolument génial. Graphiquement, tout d'abord : ce jeu est magnifique, il y a très peu d'aliasing, c'est très propre, très fluide et très bien détaillé. C'est le plus beau jeu du genre après les God of War, qui "triche" avec leur caméra fixe. Concernant le gameplay, en mode normal, la difficulté a été grandement rehaussée, surtout à cause de la suppression des objets de soin que l'on conservait pour les Boss. Le mode normal de razor's edge est plus difficile que le mode difficile de sigma 2. Concernant les ennemis de base, là aussi, le jeu a été équilibré, dans sigma on pouvait relancé des lâcher d'izuna indéfiniment après en avoir réussi un, là c'est un poil plus compliqué, il faut de temps en temps faire une esquive avant d'en faire. Concernant les ennemis qui ne peuvent pas être projeté en l'air, dans sigma 2 on avait souvent le temps de charger avec triangle, dans celui-ci c'est un peu plus compliqué. Concernant le comportement du personnage, je trouve razor's edge plu

Me jugé pas

Je veu un meilleur badges donc j'écris des tests

Le jeu est top sinon, gameplay, ambiance, ost, krafisme, un régale encore aujourd'hui !

Une excellente aventure à faire, l'ambiance et l'histoire sont excellentes et le mode sous-marin ne devient pas répétitif contrairement à ceux que l'on pourrait croire. À faire absolument!

Attention pur chef-d'œuvre ici, la xbox 360 a eu le droit d'avoir l'un des meilleurs fps de tout les temps. Un scénario époustouflant avec u. Artstyle unique et un gameplay digne des plus grands FPS sur PC. 20/20

très bon jeux a faire si vous aimer le genre graphismes top gamplay classique mais efficace ost magnifique durée de vie correct scénario plaisant à suivre un bon jeux

rien a dire super graphiquement assez beau je trouve gamplay classique mais efficace ost magnifique durée de vie correct scénario plaisant à suivre un bon jeux a faire si vous aimer le genre je conseille fortement

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Dès l'introduction, Bioshock nous plonge (littéralement) dans son ambiance glauque et effrayante. Il suffit d'à peine quelques minutes pour comprendre que l'on est face à un OVNI du jeu vidéo. J'ai d'ailleurs du mal à le qualifier de FPS ; pour moi, Bioshock est un survival-horror... du moins pendant un certain temps.
En effet, l'atmosphère nous prend au tripes par sa gestion du son et de la lumière. Les jumpscares font foi pendant les premiers niveaux, et ça marche quasi systématiquement (même sur console ! et je me doute que la spatialisation avec un casque sur PC doit être encore plus captivante). Il n'y a pas à dire, Bioshock perturbe, fascine et effraie.
Puis on s'adapte à l'univers de Rapture, on en comprend les rouages et on en connaît les limites. Forcément, le jeu perd son effet de surprise et là, effectivement, on est plus enclin à shooter tout ce qui bouge et enchaîner les niveaux. Le level-design est d'ailleurs au mieux rébarbatif, au pire affreux. La carte est souvent illisible, mais le jeu a la décence de ne pas proposer de quêtes FedEx ni d'aller-retours incessants.

Le gameplay est correct, on débloque plusieurs armes au fil du jeu ainsi que plusieurs plasmides. Il faut bien avouer qu'il est dommage de ne pas pouvoir jouer les deux en même temps, défaut qui sera corrigé dès le second opus. Le mini-jeu de piratage, qui occupe une place importante dans le jeu, devient vite assez lassant.
La durée de vie de Bioshock est largement satisfaisante pour peu que l'on profite de son atmosphère à son juste niveau.

Graphiquement, Bioshock ne fait PAS DU TOUT son âge. Il aura bientôt 14 ans - ou les a déjà dépassés à l'heure où vous lisez ces lignes, pourtant eût-il été sorti en 2013 que je n'aurais pas été surpris ! D'autant qu'il existe une option pour débrider le jeu bien au-delà de 30 fps, feature très appréciable sur Xbox 360.
On peut également choisir de faire tout le jeu en VO en changeant la langue de sa console, ce que j'ai fait pour cette deuxième partie. Cependant, et même étant bilingue, la qualité médiocre de la voix des personnages (années 40-50 obligent) et certains accents m'ont la plupart du temps obligé à remonter dans les logs audio pour bien comprendre ce qui se disait, les sous-titres s'effaçant systématiquement avant la fin du dialogue. J'aurais donc tendance à conseiller la VF, de mémoire excellente.
La musique est quant à elle, à mon sens, trop discrète tout au long du jeu. C'est dommage car les compositions sont magnifiques et collent parfaitement aux tableaux dressés devant nous, que ce soient des violons rapides dans une situation stessante ou morbide, plus lents et élégiaques devant une scène émouvante, ou bien simplement des chansons contemporaines de l'après-guerre jouées sur un jukebox.

Bioshock est une œuvre à part dans le monde du jeu vidéo. Artistiquement impeccable, il présente une ambiance inédite et angoissante et un scénario très original. Néanmoins, de mon point de vue, le charme se rompt à mi-chemin de l'aventure qui devient alors assez répétitive. Malgré cela, c'est un jeu à faire absolument une fois dans sa vie !