Tous est dans la question =)

SI vous vous sentez de donné des avis sur le gameplay , le scénar et les quêtes .
J'ai crus voir que les quêtes secondaire sur dragon âge étais à mourir d'ennuis ?
Et que sur dragon dogma's les compagnons IA sur inutiles ?
Je suis sur pc .

En bref merci de m'aider à me départager .

Ces deux jeux sont assez différents
Tu pourras aimer Dragon's Dogma pour son gameplay dynamique et ses combats épiques contre créatures mythologiques et dragon géant, les quêtes sans intérêt ne seraient motivées que par ton envie de faire progresser ton perso et tester toutes les possibilités pour créer le combattant idéal, chasseur de monstres dans un monde ouvert où hordes de loups guettent ton arrivée dans une nuit entièrement noire si tu oublies de prendre ta lanterne ainsi que quelques poix pour l'alimenter assez...
Tu pourras aimer Dragon Age ( je n'ai pas fait inquisition mais les deux autres ) pour son univers, sa narration et les choix très influents de ses dialogues, ainsi que l'ambiance et le caractère de chaque membre de ton groupe.
Si dans Dragon Age les combats se font le plus souvent par pause active ( sauf en facile, même si pour certains combats c'est difficile de s'en passer totalement ) et où tu peux contrôler chacun des personnages, dans Dragon's Dogma tout est entièrement en temps réel et tu peux personnaliser autant ton perso principal que ton premier allié et lui donner un caractère en combat ( gérer son IA ), tes autres alliés étant soit des PNJ en quête d'aventure, soit des persos secondaires créés par d'autres joueurs ( la fonctionnalité online du titre ) . Si tu as l'intention de te passer d'IA, DD devient bien plus difficile, même en gardant seulement ton PNJ à toi.

Tout dépend de ce qui t'attire le plus dans un RPG. Des affrontements dantesques ? Des combats imprégnés d'une certaine nostalgie envers un certain Baldur's Gate ? D'un scénario intéressant et dépourvu de cliché ? De la cohérence d'un open world où un garde peut te mettre en prison si tu commets un crime en ville, où tu peux sauter/planer de toits en toits et te battre contre des ennemis ayant leurs propres sensibilités, voire même prendre un PNJ/un animal pour le lancer du haut d'une falaise ?

Bref, ce sont deux jeux assez différents, à toi de piocher dans ce que tu préfères.
Bien sûr, comme je n'ai pas assez testé Inquisition, il y aura peut-être des choses fausses que j'aurais pu dire pendant la comparaison. Par contre, cela m'étonne que les quêtes secondaires d'un DA soient à mourir d'ennui ( sauf si par "mourir d'ennui" tu veux dire "ça parle beaucoup ", là je confirme c'est tout le sel de ce genre de jeu )

j'ai fais le dragon âge origin et apparement inquisition est plus opter open world que scénariser comme origin .j'attends d'avoir d'autre avis ^^

Non dragon age inquisition est scénarisé comme dragon age origin. La différence avec origin c'est que cette narration est entrecoupée de morceaux d'open world auquel on peut choisir ou pas de consacrer du temps. Oui car cet open world (qui peut plaire ou déplaire selon qu'on est fan de randonnée virtuelle) est à 95% facultatif. On peut choisir de complètement délaissé le côté open world et les quêtes annexes allant avec pour n'aller qu'aux étapes du scénario et des quêtes de compagnons et tu auras une expérience très similaire à DAO.

Après si on se met au petit jeu des comparaisons, j'ai préféré DAO à DAI.

Pour moi ta question est semblable à un choix entre du caca dur et du caca mou.
Il y à tellement mieux dans le genre, maintenant je ne sais pas quoi tu as déjà joué ou non

Loool et quel sont les choix mieux ? ^^

Mon dernier rpg étais the witcher 3 un de mes préférer et plein d'autre mais dis toujours ? Peu être en a t'il un que je n'ai pas fais .

Korglim -> Il veut avoir des infos sur ces deux jeux, pas que tu lui dise que TU ne les aime pas trop. Ca, honnêtement, y a que toi que ça intéresse. Ou bien ?

Niveau Scénario :

Dragon's Dogma : est un jeux Japonais. On y retrouve donc un scénario typiquement Japonais. Aussi invraisemblable qu'originale, il a un je-ne-sais-quoi de "magique". Très basique au final, il fait toutefois son travail, et rien de plus. L'histoire ne ferait même pas un roman entier, tellement elle est peu approfondie, mais elle remplie son rôle. Après tout, dans Dragon's Dogma, ce n'est clairement pas l'histoire le plus important.
Note : 3/5

Dragon Age: Inquisition : nous offre quand à lui un scénario made in Bioware. Complexe, il faudra compter quelques temps avant d'en percer vraiment tout les secrets. Bien rédigée, l'histoire nous intègre dès les premières images. Et quand je dis 'intègre", je parle au sens littéral, puisque Dragon Age oblige, c'est le joueur qui fait avancer l'histoire. Dans ce jeu, tout est habilement imbriqué. Ainsi, le moindre de tes choix aura une conséquence plus ou moins importante sur le déroulement de l'histoire, sur l'histoire elle-même. De plus, les nombreux compagnons ont également leur histoire propre, qui, d'une manière ou d'une autre, se coupent et se recoupent avec l'histoire principale. On se prend vite à tenter de démêler tout ce fatras scénaristique.
Note : 5/5

Niveau Gameplay

Dragon's Dogma : montre là sa principale aptitude. Et quelle aptitude ! Mêlant habilement dynamisme, difficulté adaptée, le jeu nous offre un gameplay riche, des plus savoureux. Frapper les jambes d'un ennemi géant afin de le faire chuter, bruler les ailes d'un oiseau pour le clouer au sol, escalader un ennemi dans le but d'atteindre sa tête, sont autant de tactiques possibles qu'offre Dragon's Dogma.
Poussant loin le réalisme, la création du personnage à un impact direct sur ses statistiques. Un personnage gros usera plus vite son endurance qu'un personnage mince, tandis qu'un petit personnage pourra se faufiler dans des endroits que les plus grands ne pourrait atteindre. Même le choix du sexe à un impact sur certaines choses...
En jeu, on retrouve certains aspect qui pousse encore à l'immersion et la gestion de son attirail, comme, par exemple, le fait qu'un personnage ayant fait trempette se retrouve temporairement ralenti (par ses habits trempés), ou encore le fait que la lanterne, seule source de lumière dans la nuit, consomme de la poix, qu'il faudra recharger régulièrement pour ne pas tomber en rade de lumière, ou encore que passer sous une chute d'eau avec la lanterne allumée aura pour effet de l'éteindre...
Côté personnage, on retrouve les classes habituelle du guerrier, du rôdeur, et du mage. Il sera plus tard possible d'avoir accès à des classes "intermédiaires", qui sont en fait un mix de deux classes basiques (comme l'assassin qui est un mix entre le rôdeur et le guerrier), ainsi que d'autres classes plus spécialisées. Chaque classes à ses propres compétences, et son propre équipement. Mieux encore, le gameplay est sensiblement différent pour chaque classe. Enfin, les statistiques du personnage évoluent toutes seules, en fonction de la classe (un guerrier, par exemple, verra surtout sa vitalité augmentée alors qu'un rôdeur verra plutôt son endurance privilégiée). A noter qu'il est possible de changer de classe à n'importe quel moment, et à l'infini.
Note : 5/5

Dragon Age: Inquisition : en revanche, nous offre un gameplay plus axé sur la stratégie. Ici pas de combats épique, pas de héros suspendu au dos d'un griffon en vol, juste de la stratégie. Froide, précise, efficace. Bien qu'il soit possible de faire le jeu en mode bourrin, sans se soucier de ce que font les autres personnages, le gameplay prend tout son sens pour un joueur qui voudra préparer minutieusement chaque affrontement, placer ses pions. Définir les réactions des compagnons selon la situation, les diriger jusqu'à leur dire quelle compétence lancer et sur qui, tel sont les techniques utilisées dans ce jeu. Car c'est ce que permet Dragon Age: Inquisition. Et c'est là sa force. Il est réellement possible de prendre le contrôle du champs de bataille, et du combat.
Toutefois moins riche que Dragon's Dogma, le gameplay donne également l'impression d'être plus lourd. Les ennemis n'ont pas réellement de faiblesses ou de spécialités, un coup de bâton de feu aura le même résultat qu'un coup de bâton de glace, et les dégâts ciblés ne sont présents que sur quelques rares ennemis qu'on pourrait qualifier de mini-boss. En somme, les combats dans DA:I font beaucoup penser à une partie d'échec.
Quand au personnage, Bioware à "épuré" ce dernier titre. Comme dans DA2, on choisit sa classe en début de partie parmi le guerrier, le voleur et le mage. Et il faudra bien choisir, car impossible d'en changer de toute la partie. Chaque classe possède ses propres capacités, qui transformeront le personnage en un destructeur, une forteresse humaine, ou encore un guérisseur de renom. Et c'est la seule chose que le joueur pourra décider quand au développement du personnage puisque les caractéristiques principale de ce dernier (force, dextérité, etc...) augmentent toutes seules à chaque niveau, selon la classe. Une personnalisation du personnage très simpliste, qui laisse un goût un peu fade dans la bouche, mais qui fait son travail.
Note : 3/5

Niveau Contenu

Dragon's Dogma : est un monde ouvert. Le joueur peut se déplacer librement sur toute la carte ou presque. Le monde à été travaillé "à la main", et le résultat est assez bluffant. Chacune des zones (peu nombreuses, cela dit) est un dépaysement autant qu'un émerveillement. Forêt sombre pleine de terreur, plaines vertes, falaises escarpées, la diversité est bel et bien présente.
Les quêtes, elles, ne brillent ni par leur diversité, ni par leur intérêt. Très basique, elles sont de l'ordre des classiques "va me chercher ci, emmène-moi là-bas" dont sont friands la plupart des RPG depuis l'aube des temps. On peut toutefois tomber sur une "chasse au monstre", qui n'est là que pour mettre en valeur toute la beauté du gameplay, et qui nous fera vivre d'épiques combats.
Côté équipement, le jeu n'est pas radin puisque c'est près d'une centaine d'armes et armures dont lesquelles le joueur pourra piocher son bonheur. Très "occidental" (cape, épées droites, etc...), l'équipement est d'une beauté exquise et de style très varié. Un système d'upgrade permettra d'améliorer jusqu'à trois fois chaque pièce d'équipement, mais il n'est toutefois pas possible d'en fabriquer. Mais l'équipement n'est pas tout. Les plantes, potions, huiles, ou encore du simple bric-à-brac servant au craft, les items sont légion dans le jeu. Et chaque objet, ou presque, a son utilité, de la corne de cyclope jusqu'au simple caillou. Bref, un régal pour les amateurs de contenu riches.
Note : 4.5/5

Dragon Age: Inquisition : quand à lui, reste un peu plus sobres. Le monde utilise un système de zones ouvertes, entre lesquelles il sera nécessaire de passer par le menu carte. Chaque zones (assez nombreuses, d'ailleurs) offre toutefois une aire de jeu immense, et diversifiée, puisqu'il sera possible de passer des Marches, que fréquentent collines et terres fertiles, à la porte du Ponant, désert arides s'étendant à perte de vue, en passant par la Côtes escarpées, falaises abruptes du Nord. Là encore, on voit du pays.
Les quêtes, elles aussi, reste du même ordre que celle du jeu Japonais. Reléguée au rang de mission, ce n'est guère plus qu'un événement sur la carte, que tu résout lorsque tu passe à côté. Leur nombre très conséquent n'a finalement d'utilité que les récompenses, qui sont généralement en or et en expérience, le premier devenant très vite inutile.
L'équipement, lui, n'est pas aussi riche que dans Dragon's Dogma, bien qu'ils soit encore suffisament conséquent pour ne pas risquer de faire tout le jeu avec la même arme... En revanche, s'il est, là aussi, possible de les améliorer via des accessoires (poignée, manche, garde), il est également possible de les fabriquer, via des schéma que l'on peut acheté ou trouver en exploration. C'est d'ailleurs à ce procédé que le joueur se cantonnera passé quelques heures de jeu, l'inventaire des marchands devenant très vite ridicule. Les potions de soin, quand à elles, sont reléguées à une simple icônes dans un menu rapides. Que l'on pourra recharger à volonté dans les camps, sans perdre la moindre pièce de bronze. Finalement, un contenu très simple, comme le veut la tradition de la casualisation des RPG de nos jours, mais encore conséquent pour rendre utile un inventaire...
Note : 3.5/5

Niveau réalisation

Dragon's Dogma :en bon Japonais, nous offre des animations "hautes en couleurs", surréaliste à souhait, mais que nos yeux apprécieront toujours. Au niveau technique, on se rend vite compte que la chasse au bug ne va pas être une partie de plaisir, les développeurs ayant fait un excellent travail sur ce coup. Quand à l'ambiance sonore, hormis les sons de la faune et de la flore, tantôt bruyant, tantôt silencieux comme une tombe, on remarque une bande originale vraiment sublime, avec de nombreux thème à la flûte, notamment (Je ne peux m'empêcher, à Gran Soren, d'attendre la fin de la musique avant de bouger).
Note : 5/5

Dragon Age: Inquisition : plus sobre, mais non moins séduisant, il opte pour des animations plus réalistes, moins spectaculaires, mais qui finalement collent bien avec l'esprit artistique du jeu. Niveau Technique, Bioware n'a pas à rougir, car les bugs ont également trouvé une bonne planque dans ce jeu, si toutefois il en reste... L'ambiance sonore, en revanche, est quelque peu décevante. Hormis les sons de la faune et de la flore, qui sont bien souvent absent, le plus déconcertant est l'absence de musique. Cette absence de bruit créer un véritable manque, et il n'est pas rare d'avoir des sessions de jeu complètement silencieuse, en dehors des bruits de pas ou des discussions des personnages. Toutefois, les quelques fois ou la musique vient rendre visite au joueur, elle le prend toujours par le fin fond des tympans, avec une mélodie orchestrale épique et réussi sur tout les points. A tel point qu'on se demande finalement pourquoi ne pas avoir mis ces superbes musiques plus souvent dans le jeu...
Note : 4/5

Conclusion et note finale

Dragon's Dogma : 17.5/20
Excellent jeu Japonais, utilisant des techniques qui marche, et un gameplay élaboré et vraiment jouissif, doublé d'un contenu riche, terni, toutefois, par un scénario peu présent, et ressemblant à un résumé.

Dragon Age: Inquisition : 15.5/20
Excellent jeu de Rôle made in Bioware, offrant encore une fois une histoire riche en rebondissement, que l'on a vraiment l'impression d'écrire nous-même, supportée par un gameplay très stratégique faisant son petit effet,renforcé par un contenu relativement simple, voire pauvre, et un tout petit peu gâchée par l'absence trop souvent répétée de fond sonore.

ouaww je te remercie pour ton compte rendu , il est encore mieux que ceux de jvc et bien merci beaucoup .

Je me suis pris le jeu en promo sur steam et mise à part le graphisme qui commence un peu à faire vieux , un bon jeu capcom à la jap , il n'y a rien de mieux !

Je te remercie, l'ami, content qu'il t'ait plu.

Tu ne sera pas déçu de ton achat, tu peux me croire.

ça reste très occidentalisé comme RPG, tout de même

Le 21 août 2016 à 08:03:51 drakeak a écrit :
ça reste très occidentalisé comme RPG, tout de même

Yep ! Comme beaucoup de bons jeux Japonais (Final Fantasy, Dark Souls, etc...). Il semble que la culture occidentale soit la principale source d'inspiration pour les développeurs Japonais.

l'extension de DD se rapproche bien plus d'un Dark Souls que d'un FF, d'ailleurs

Dragon age ...
pourquoi ?
Parce que Si tu joue pas tu t'oppose à l'inquisition . Et si tu fait sa t'est un hérétique ...

Dragon Age

Le 22 août 2016 à 08:16:27 drakeak a écrit :
l'extension de DD se rapproche bien plus d'un Dark Souls que d'un FF, d'ailleurs

Yep. Et elle fait pleurer quand tu y va à bas niveau...

Le 23 août 2016 à 12:15:27 Corvairanis987 a écrit :
Dragon age ...
pourquoi ?
Parce que Si tu joue pas tu t'oppose à l'inquisition . Et si tu fait sa t'est un hérétique ...

Ah oui, j'ai peut-être oublié de le préciser, ça...

Dragon dogma reste mon RPG préféré donc je ne peux que le conseiller

Jeu de gamin non? c'est ce qui me rebute en fait, je me dis qu'il y a 10 ans (allé 5) j'aurais adorer mais le coté histoire générique persos peu charismatiques et farm à outrance bof bof; Peut etre me trompe je cela dit

Quand tu dis qu'il y a 5 ans tu aurais adoré, tu veux dire que t'as changé mec, et que t'étais cool avant?