Table des matières (en date du 20 Juin 2015).

(Analyses historiques complémentaires)

1.0) Nationalismes antiques.
2.0) Le nationalisme français et la révolution de 1789.
3.0) Le nationalisme anglais sous la dictature puritaine d'Oliver Cromwell.
4.0) Le nationalisme sous la première république de Chine.
5.0) L'ère Meiji, ou le nationalisme d'union.
6.0) Le refus nationaliste de Simon Bolivar.
7.0) Le pan-slavisme et le pan-germanisme.
8.0) Le pan-arabisme.
9.0) Le nationalisme québécois.
10.0) Le nationalisme haïtien.
11.0) Le nationalisme soviétique.

(Digressions biographiques sur l'auteur)
1.0) Influences.
2.0) Xénophilie.
3.0) Parcours intellectuel.
4.0) Doctrine politique.

(Réflexions dialectiques nationalistes)
1.0) Sur la doctrine de Marx.
2.0) Sur la doctrine de Proudhon.
3.0) Sur la doctrine de Lénine.
4.0) Sur la doctrine de Trotski.
5.0) Sur la doctrine de Bakunine.
6.0) Sur la doctrine de Mao.
7.0) Sur la doctrine de Stirner.

(Traité)
1.0) Introduction.
2.0) Le nationalisme des peuples.
3.0) Les peuples nationaux.
4.0) Sur le gouvernement nationaliste.
5.0) Sur le rôle des sexes dans la société nationaliste.
6.0) Sur l'amitié entre les nations.
7.0) Métaphysique du nationalisme I, ou réflexions sur Julius Evola.
8.0) Métaphysique du nationalisme II, ou réflexion sur Yukio Mishima.
9.0) Métaphysique du nationalisme III, ou réflexions sur Malcom X.
10.0) Métaphysique du nationalisme IV, ou réflexion sur Theodor Herzl.
11.0) Dialectique du nationalisme.
12.0) Ce que les peuples nationaux doivent apprendre de l'histoire.
13.0) Nationalisme et bellicisme.
14.0) Sur la structure familiale au sein des sociétés nationalistes.
15.0) L'unification nationale.
16.0) La place de la spiritualité métaphysique dans la société nationaliste.
17.0) Nationalisme et impérialisme.
18.0) L'état nationaliste et les classes sociales.
19.0) Réflexions condensées sur l'histoire du nationalisme.
20.0) Nationalisme et partages culturels.
21.0) Nationalisme et démocratie.
22.0) L'éducation nationaliste.
23.0) Authenticité nationaliste.
24.0) L'internationale nationaliste.
25.0) Des diverses économies nationalistes.
26.0) Conclusion.

À paraître le 25 Juin 2015.
Introduction.

la cote est de 1 contre 10, c'est le temps de miser!

M'en calice des mises, je veux lire sur le nationalisme. Go Jf

Le 22 juin 2015 à 14:25:04 moi_maxime a écrit :
la cote est de 1 contre 10, c'est le temps de miser!

Le 22 juin 2015 à 20:45:03 Czerka a écrit :
M'en calice des mises, je veux lire sur le nationalisme. Go Jf

cues eye of the tiger*

DAM. DAM DAM DAM. DAM DAM DAM DAM DAM DAAAAAAM.

Introduction.
(1/5).

1.0) Présentation de l'auteur.
L'esprit de l'auteur est aussi bigarré et confus que son chemin de vie et son parcours intellectuel. Ses influences -bien qu'il s'identifie à la droite radicale- proviennent presque entièrement de la gauche révolutionnaire et principalement du marxisme et de l'anarchisme individualiste. Il aime la société de radicaux de gauche presque autant - ironiquement - qu'il déteste la société des radicaux de droite. L'auteur est un ermite intellectuel ; il est un Diogène autoritaire qui rejette autant les conventions qu'il les désire ardemment. Il est avant tout un anti-conformiste dans une société d'anti-conformistes : il a faim de conformité, mais de conformité raisonnable et conforme à ses idéaux. Il puise son inspiration dans les esprits révolutionnaires -et dans les révolutions- de la gauche radicale qu'il étudie avec passion et admiration. L'auteur a lu -avec entrain- (Vladimir) Lénine, (Karl) Marx, (Max) Stirner, Mao (Zedong) ainsi qu'une myriade d'autres auteurs révolutionnaires de gauche. Il s'en inspire sans honte et nourrit un respect énorme pour les cerveaux derrière les mouvements révolutionnaires du siècle passé et du siècle présent. L'auteur s'inspire aussi de certains auteurs de droite radicale, bien que ses inspirations principales soient des dialecticien communistes, anarchistes et socialistes. Il apprécie l'effort intellectuel de la gauche, qu'il considère comme un patron sur lequel il veut calquer ses propres efforts intellectuels.

1.1) Défi et intentions.
L'auteur désire écrire son traité non pas pour se prouver qu'il en est capable, mais pour répondre au défi que certains de ses amis révolutionnaires de gauche lui ont lancé. En effet, ceux-ci ne croient pas qu'un nationaliste -voire même un partisan de la droite- puisse écrire, avec parcimonie et minutie, un traité à la mode intellectuelle de la gauche radicale. L'auteur désire ardemment leur prouver le contraire, quitte à employer des méthodes littéraires qui lui sont étrangères. Il veut prouver que son idéologie est digne de faire l'objet d'une analyse profonde. Il désire démontrer, sans prétention, que le nationalisme est plus complexe qu'il n'y paraît et que ses bases sont raisonnables et compréhensibles. L'auteur veut écrire son traité avec passion, vitalité et méthode ; il veut imiter le style et la structure intellectuelle des grandes figures de la gauche révolutionnaire ; il veut offrir à ses lecteurs des analyses qui concordent avec ses idées, sans toutefois tomber dans le piège de la littérature politique guidée et dogmatique. L'auteur est conscient que la pensée politique est en constante et rapide évolution et il a l'intention d'adapter les fondements de sa doctrine à la pensée contemporaine, sans toutefois se laisser aller à la conformité idéologique propre à certains idéologues contemporains.

1.2) Méthode intellectuelle.
L'auteur apprécie autant l'esthétique de la gauche révolutionnaire qu'il apprécie ses diverses méthodes intellectuelles. C'est sans surprise qu'il s'inspire ouvertement de ces dernières. Traité sur le nationalisme est une compilation de textes écrits suivant, entre autre, la méthode dialectique de (Karl) Marx, la vivacité intellectuelle de (Max) Stirner, la volonté de renouvellement idéologique de (Vladimir) Lénine et la simplicité des proses des auteurs maoïstes. L'auteur est un amateur de doctrines de gauche radicale et son style s'en ressent. Il désire ardemment écrire un traité suivant les règles de l'art révolutionnaire de gauche, sans pour autant proposer une doctrine marxiste ou anarchiste. Il veut tenter consciencieusement et minutieusement d'élever sa doctrine au niveau intellectuel des doctrines révolutionnaires, sans néanmoins s'adonner aux diverses thèses qui caractérisent les nombreuses internationales communistes, situationnistes et anarchistes. L'auteur désire user des outils dialectiques de la gauche radicale tout en faisant l'apologie de son contraire, soit de son Némésis idéologique. La méthode de l'auteur est orpheline, car elle n'appartient pas à la droite radicale en termes de structure, ni à la gauche révolutionnaire en termes de doctrine. Son effort intellectuel sera donc probablement rejeté du revers de la main autant par les adeptes du nationalisme que par les militants radicaux de gauche. L'auteur en est conscient et il continue néanmoins d'écrire dans l'espoir de rejoindre une nouvelle classe de lecteurs : une classe bâtarde et ambivalente qui recherche un équilibre entre la dialectique de la libération et les thèses nationalistes.

1.3) Style littéraire.
L'auteur est un écrivain - et un philosophe - amateur. Le caractère malhabile de sa prose et son empressement à exprimer ses idées trahissent la nature solennelle et détachée qu'il veut donner à son traité. L'auteur en est conscient,et il tente de palier à ces défauts par la concentration et l'essence originale de ses idées. Il n'est pas un dialecticien de métier et son style littéraire n'est pas celui d'un auteur professionnel, mais il demeure convaincu que la nature directe, franche et claire de ses proses intéresseront quelques lecteurs cléments et avides d'idées neuves et controversées. Le style de l'auteur est plutôt simple malgré ses nombreuses références à une littérature politique (qui sont d'ailleurs optionnelles à la compréhension de ses thèses) complexe et dense. L'auteur vulgarise l'information en usant de figures de style presque vulgaires, car il désire que son traité soit accessible au plus grand nombre. Il veut provoquer de violentes vagues dans l'esprit de ses lecteurs et il n'hésite pas à interpeler ceux-ci par divers moyens presque pédagogiques (presque puisque l'auteur n'a pas la prétention de maîtriser l'art de la pédagogie et qu'il ne se voit pas comme un professeur, mais plutôt comme un auteur de basse extraction sociale et littéraire). L'auteur s'inspire de la dialectique de gauche révolutionnaire tout comme du style grotesquement honnête des auteurs anarchistes. Cependant, il souhaite de tout cœur éviter l'obscurantisme de certains idéologues radicaux de gauche, quitte à employer un langage à la limite du minimalisme littéraire.

1.4) Communication.
Traité sur le nationalisme est un exposé d'idées exprimées simplement et presque sans artifices langagiers. Son auteur tient fortement à communiquer sa doctrine aussi franchement et directement que possible. La communication de l'auteur frôle parfois le vulgaire et donne ouvertement dans le vernaculaire. L'auteur désire rejoindre et les intellectuels et les gens qui n'ont jamais lu de leur plein gré. Il veut que ses idées touchent autant à l'homme qui déteste lire qu'à la femme qui travaille à la diffusion de la littérature chez les jeunes écoliers. L'auteur est un adepte de lecture, mais il sait qu'une partie significative de la population ne veut - ou ne peut - pas lire un traité écrit dans un langage ésotérique. Il se fait donc une mission de communiquer sa doctrine dans une langue aussi simple que celle d'un militant anarchiste qui tente de résumer sa doctrine à un individu sans éducation sémantique poussée et sans instruction politique. L'auteur n'est pas un prosélyte, mais il comprend qu'il est important qu'il partage sa doctrine avec le plus grand nombre, puisqu'il est convaincu que la transmission enthousiaste de l'information est nécessaire à la survie des idées. Il se donne donc pour mission de vulgariser sa doctrine et de lécher ses proses simultanément ; il veut que son traité soit et plaisant pour tous les yeux et ouvert à toutes les cervelles.

1.5) Doctrine politique.
La doctrine politique de l'auteur est essentiellement réactionnaire même si - sans surprise - elle s'inspire de différentes doctrines de la gauche révolutionnaire. L'auteur est un nationaliste qui prône le syndicalisme social, soit la démocratie du travail et la redistribution méthodique (selon la productivité) des gains dû au labeur. Il s'oppose aux tendances sociales actuelles, même si il aime leur nature militante et comprend leurs bases idéologiques. L'auteur est un nostalgique des mœurs de l'ancien régime, soit des valeurs et des comportements d'avant les révolutions libérales et marxistes du 18 ème, 19 ème et 20 ème siècles. Il admire les méthodes politiques et sociales employées par les militants léninistes et maoïstes, même si il condamne copieusement leur doctrine. L'auteur est autant de gauche prolétaire que de droite nationaliste. Il veut et animer les consciences de classe et raviver les sentiments nationaux. Sa doctrine - telle que précédemment mentionnée - est orpheline tant par son originalité que par sa propension à la critique sévère de la droite et de la gauche. L'auteur n'a aucun allié, puisqu'il voit la droite radicale comme un mouvement sans racines prolétaires et la gauche révolutionnaire comme une idée sans essence nationale. Il condamne autant (Julius) Evola pour sa négligence des affaires économiques que (Karl) Marx pour son oubli des réalités nationales.

À paraître Mercredi le 24 Juin 2015.
Introduction (2/5).

Tu perds 5 points à chaque jour de retard.

Il est avant tout un anti-conformiste dans une société d'anti-conformistes : il a faim de conformité, mais de conformité raisonnable et conforme à ses idéaux.

J'ai arrêté de lire ici. Après m'avoir dit ; What the fuck.

ChaKal est déficient. Continue.

Presque fini la deuxième partie de l'intro. J'suis rendu à 1700 mots. J'vais couper un peu.

Nem avait raison, tu voulais juste parler de toi, t'as rien d'intéressant à dire.

Le 02 juillet 2015 à 03:34:20 EllinaVekoc a écrit :
Nem avait raison, tu voulais juste parler de toi, t'as rien d'intéressant à dire.

J'ai de quoi d'intéressant à dire, seulement entre la job pis la blonde, j'ai pas tellement le temps d'écrire un traité pour un forum dont à peu trois membres sont suffisamment intelligents pour saisir les complexités dialectiques d'un concept abstrait et difficile à comprendre.

Lelilol

moi moi moi

Le 02 juillet 2015 à 07:23:53 EllinaVekoc a écrit :
moi moi moi

J'ai écrit sur le nationalisme de Platon/Aristote/Cicéron dans la V.1 du traité pis y'a personne qui a commenté...

T'as pas hésité à reposter la partie qui parle de toi par contre.

Le 02 juillet 2015 à 07:29:06 EllinaVekoc a écrit :
T'as pas hésité à reposter la partie qui parle de toi par contre.

J'sais pas si tu le sais, mais c'est commun pour les auteurs de traités d'écrire sur eux au tout début pour que le lecteur sache à quoi s'attendre.

Tout le monde s'en crisse d'Aristote, Cicéron et Platon, tho.

J'sais pas si tu le sais, mais d'habitude ça vient avec quelque chose à lire après

Le 02 juillet 2015 à 07:31:11 ShivaoftheEast a écrit :
Tout le monde s'en crisse d'Aristote, Cicéron et Platon, tho.

M'en crisse pas, moi... ;_;

Le 02 juillet 2015 à 07:32:04 EllinaVekoc a écrit :
J'sais pas si tu le sais, mais d'habitude ça vient avec quelque chose à lire après

Touché.

Et je crois que cette partie est écrite à la toute fin, même si elle est placée au début.