Pour cette nouvelle campagne sur Rome TW, rien de mieux que de revenir aux fondamentaux du jeu, c'est-à-dire choisir une faction romaine en longue campagne D/D! Afin de changer quelque peu, et d'éviter de poutrer de l'Oriental ou des Hellènes, j'ai choisi les Julii dans l'espoir d'apporter les vertus de la civilisation aux nombreuses tribus barbares, ce dont je n'ai pas été déçu, à vrai dire!
Initialement, mes armées furent principalement aux prises avec les Gaulois, au nord de l'Italie, mais rapidement le Sénat me demanda de prêter main-forte aux Brutii bien incapables de se développer en Grèce et stagnant en Epire (Apollonie).
Après des missions de blocus navals sur les ports de Thermon et Sparte, les Grecs me demandèrent la paix contre la cession de Thermon, ce qui permis aux Julii de s'implanter et de s'étendre en Grèce continentale. Les macédoniens et les grecs divisés furent rapidement mis hors d'état de nuire et j'étais désormais confronté aux Barbares du nord de la Grèce en plus des Gaulois!
1ère surprise de très grosse taille!
Alors qu'une horrible coalition barbare me menait la vie dure (Espagne, Gaulois, Britannie, Thrace, Dacie), voilà que les Daces après avoir perdu 1 de leur ville, demandèrent de cesser la guerre et j'en profitais pour les assujetir alors qu'ils disposaient de nombreux territoires et une force militaire impressionnante. Quelle surprise! En plus de devenir vassaux, le traité de protectorat mis fin de suite à de nombreuses guerres avec les autres nations barbares, puisque les Daces étaient leurs alliés.
2ème surprise consécutive:
Avec la prise de la Grèce rapide et synchronisée aux conquêtes contre les Gaulois, les Brutii se mirent à végéter envoyant leurs armées très loin de leurs cités en passant à travers mes territoires, dans la vaine tentative de trouver des terres à conquérir. Il en allait de même avec les Scipii fort troublés par la main basse sur Lilybée en Sicile et qui ne savaient plus où diriger leurs assauts. Cette situation paradoxale des autres maisons romaines stagnants, et la maison Julii triomphante et qui avait asservie la grande Dacie provoqua très précocement le courroux du Sénat!
Ne désirant pas me lancer dans un conflit rapide avec les autres factions romaines, je décidais de ralentir les conquêtes ayant déjà bien trop à faire avec les hordes innombrables de barbares à massacrer... mais rien n'y fit, les vieillards séniles du Sénat m'avaient pris en grippe et déclenchèrent la guerre civile en me déclarant ennemi de Rome, car la puissance de l'Empire Julii faisait de l'ombre à leur pitoyable autorité aristocratique.
Bien mal leur pris, car le Rubicon était à la portée des sandales romaines, et la cité de Romulus & Rémus ne pouvait compter que sur le vain espoir d'être sauvée par les Scipii qui accourirent pour défendre la Ville Eternelle.
3ème surprise:
Les armées du Sénat et celles de leurs alliés Scipii et Brutii furent laminées unes à unes, car dépassées en nombre, en qualités et en expériences.
Ce qui devait advenir n'advint pourtant pas. Rome ne fut pas mis à sac par les Julii, mais pire, le Sénat fut humilié comme jamais dans son histoire. Les Sénateurs implorèrent miséricorde et choisirent de devenir mes esclaves serviles
Le SPQR boit le calice jusqu'à la lie!
Le Sénat, bien qu'humilié était encore en vie et plein de morgue et revenchard. Non content d'avoir été épargné de justesse par un trop clément Maître de Rome, les décatis sournois menèrent une campagne de discrédit et de dénigrement fallacieux. C'est ainsi qu'ils me firent passer pour un dictateur et un tyran, demandant ainsi la peine capitale...
Dans une dernière tentative d'apaisement et désireux de garder la République plutôt que d'être nommé Auguste alors que toute la plèbe le réclamait, le chef des Julii rétrocéda la cité de Capoue, ex-possession scipienne au SPQR. Désormais, tout avait été fait pour apaiser les belliqueux magistrats et en finir avec une terrible guerre civile.
Malgré tout, la fourberie du Sénat était sans limite, et avec la puissance des 2 grandes villes centrales d'Italie, Rome et Capoue, le Sénat en profita pour recréer ses légions. Une fois qu'il fut satisfait par sa capacité militaire, le SPQR déclara une seconde fois les Julii hors-la-loi et attaquèrent. La réponse à cette nouvelle trahison fut cinglante!
en 195, Rome fut enfin assiégée:
en 192, Capoue fut à son tour mis sous siège:
Le SPQR une fois de plus humilié définitivement, capitula, se déclara vassal et soumis totalement aux Julii. Les sénateurs avaient perdu tout pouvoir, avait perdu la cité de Rome et se morfondaient dans leur dépravations luxurieuses des maisons de charme de Capoue afin d'oublier leur gloire passée. Les Julii triomphaient sur toute la ligne!!!
Echafaud et gloire aux Julii!
Le Sénat avait été une plaie permanente et infectieuse qui avait ralenti la Suprématie des Julii. Après tant d'efforts consentis pour garder les institutions de la République, tant de bonté pour s'attirer les bonnes grâces du Sénat, tant de pardons accordés aux pernicieux décadents magistrats, l'heure était au règlement de comptes. Cette fois point de clémence, point de repentance. L'emploi de la Force, de la Force brute, voilà ce qui allait bien rendre les idées claires aux petites têtes décatis des sénateurs.
''en 191, Capoue assiégée par les plus formidables légions jamais vues:
''
Le verdict fut définitif et sans appel:
La Maison Julii, seule et unique maître de l'Empire romain
Félicitations aux Julii pour cette brillante campagne, seule nation à avoir jamais asservi et mis sous protectorat 2 factions, dont le SPQR !
Ben gg
Après tant d'efforts consentis pour garder les institutions de la République, tant de bonté pour s'attirer les bonnes grâces du Sénat, tant de pardons accordés aux pernicieux décadents magistrats, l'heure était au règlement de comptes. Cette fois point de clémence, point de repentance.
Pourquoi as-tu déployé tant d'énergie et d'efforts, en vain qui plus est, pour maintenir une république ainsi qu'une constitution étatique fondamentalement hostile aux intérêts de ta famille dirigeante et par ailleurs inadaptées à la gestion d'un aussi vaste empire que celui que tu as bâti ? Les misérables sophistes monopolisant chaque jour le forum de rome ne t'auraient été quoiqu'il puisse arriver d'aucun recours, à mon humble avis.
Mais passons. Mes félicitations, mon cher, pour avoir réussi l'improbable exploit d'imposer ta propre tutelle au sénat. Tout ceci me redonnerait presque envie de me plonger dans une nouvelle campagne sur Rome total war... Mais pour l'heure, je dois finaliser le glorieux destin de mes norvégiens sur Britannia.
De retour Ricimer
Pas mal le Protectorat sur Rome
Est ce qu'il est possible de les asservir pour toujours sans qu'ils continuent a te déclarer hors la loi tu penses ?
lourd khey, mettre sous protectorat spqr
Je fais une campagne Julii aussi et c'est une tuerie je suis à la même phase càd destruction du Sénat et guerre civile, par contre j'ai pas joué le coup de bloquer l'expansion des autres familles. Tu t'es donné bcp de peine pour maintenir le Sénat en vie, pour le fun/roleplay je présume moi je vais juste les annéantir sans passer par 4 chemins.
Mes 4 légions qui foncent sur l'Italie du sud y en a une qui se reconstitue à Arretium et Arminium après la grosse bataille contre les 2 armées du Sénat
Mon général conquérant de la Gaule qui a mené l'assaut
Il a pris ce surnom juste après avoir gagné cette bataille qui scella le destin de la ville aux sept collines. Sachant que c'est pas scripté je trouve ça vraiment cool
Pendant la phase d'expansion j'ai eu le temps de faire main basse sur la Macédoine et le Péloponnèse avant les Brutii, les voilà encerclés
Ils ont choisi le pire moment pour attaquer les iles de la mer Egée et l'Asie Mineure, ma flotte veillera bien à ce qu'ils y restent
Bref le verrouillage est total, après restera plus qu'à prendre l'Afrique aux Scipii eux aussi complètement verrouillés par ma flotte en Méditerranée
Tu joues à quel niveau ? C'est bizarre que les britons ne t'aient pas attaqués