Ils ont les réseaux sociaux comme terrain de jeu. Ils carburent aux likes, aux partages et à l’engagement de leurs communautés. Les social justice warriors sont des influenceurs qui vous vendent un rêve, celui d’une société juste et inclusive. Mais attention, si vous avez le malheur de remettre en question les enseignements de ces champions du cybermilitantisme, vous pourriez y laisser un peu de votre santé mentale.
C’était en mars 2017. J’ai quitté un groupe Facebook secret, un safe space (espace sécurisé) destiné aux femmes racisées et aux femmes autochtones. J’étais excédée.
https://medium.com/tabloid/profession-social-justice-warrior-ecf80ac34045
Je pensais avoir trouvé une communauté exempte de violence et de discrimination, à l’abri des systèmes oppressifs (racisme, sexisme, etc.) qui alourdissent la vie en société pour bon nombre d’entre nous.
Je préféraus quand on disait "chevalier blanc", c'était français et plus compréhensible.
Le 15 avril 2018 à 12:15:37 le_litchi01 a écrit :
Je préféraus quand on disait "chevalier blanc", c'était français et plus compréhensible.
Ne penses-tu pas que cela rappelle le privilège blanc ?
Le 15 avril 2018 à 12:13:13 LouisDeFitness a écrit :
Un bon article à lire pour comprendre ce qui se passe dans le cerveau malade de ces tarés.
Effectivement, heureusement que j'ai pas Facebook ou tweeter... J'aime bien le passage où la nana explique comment ils se bouffent de l'intérieur
Ces gent.e.s doivent être internés au plus vite.
Une profession d'avenir assurément.
Donc pour résumer ,ça fiche ,ça menace et ça persécute .
et après ça ose pleurer car on les classe comme névrosés
Une afroféministe particulièrement zélée** a encouragé la mise en place d’une culture de délation pour dénoncer celles qui avaient eu des comportements « problématiques » par le passé. Des exemples ? Une fille qui se fait tourmenter parce qu’elle est souverainiste (la souveraineté étant ici associée au racisme). Une autre qui se fait ramasser parce qu’elle a eu des dreads en 2004 (dreads = appropriation culturelle). Même le groupe de maquillage n’était pas épargné. « Si tu mettais une photo d’un rouge à lèvre associé à une compagnie qui teste sur les animaux ou qui offre pas un range de couleurs inclusif, tu te faisais harceler pendant des jours », explique Élise.
Complètement cinglées
Le 15 avril 2018 à 13:00:08 JuanMariaLePen a écrit :
Une afroféministe particulièrement zélée** a encouragé la mise en place d’une culture de délation pour dénoncer celles qui avaient eu des comportements « problématiques » par le passé. Des exemples ? Une fille qui se fait tourmenter parce qu’elle est souverainiste (la souveraineté étant ici associée au racisme). Une autre qui se fait ramasser parce qu’elle a eu des dreads en 2004 (dreads = appropriation culturelle). Même le groupe de maquillage n’était pas épargné. « Si tu mettais une photo d’un rouge à lèvre associé à une compagnie qui teste sur les animaux ou qui offre pas un range de couleurs inclusif, tu te faisais harceler pendant des jours », explique Élise.
Complètement cinglées
Ce passage
D'une part tout argument venant d'un "non-racisé" ou "cis" ou "privilégié" en général est considéré comme illégitime parce qu'il ne peut pas comprendre "l'expérience" des victimes et qu'à travers lui c'est le privilège qui s'exprime.
C'est complètement con car d'un côté ils défendent la liberté de chacun de sortir des stéréotypes de genres, de races, de classes mais ils imposent les leurs à tout contradicteur.
Même un gosse de dix piges est plus cohérent et peut comprendre qu'on ne fait pas à autrui ce que l'on ne veut pas que l'on nous fasse.
Mais là ce n'est plus un problème de réflexion mais de psychiatrie
Les bon-ne-s chien-ne-s de garde du Système
On en regrette presque PC principal
C'est complètement con car d'un côté ils défendent la liberté de chacun de sortir des stéréotypes de genres, de races, de classes mais ils imposent les leurs à tout contradicteur.
On devrait être libre de ses stéréotypes surtout de sortir comme de s'enfoncer.
Intéressant, mais même dans un groupe secret sur Facebook tu trouves toujours quelques traîtres. Faut toujours garder une forme de modération dans ses propos