Un document obtenu par WikiLeaks, publié avec «Libération», «Mediapart» et «la Repubblica» en Italie, dévoile la manière dont l'agence américaine a sollicité la NSA pour suivre de près la campagne.
C’est une liste de courses un peu particulière, un inventaire à la Prévert d’une trentaine de questions posées par la CIA à la NSA. Objectif : mobiliser les outils d'espionnage pour tout savoir sur un grand rendez-vous démocratique de la vie politique française. C’est aussi un document inédit et passionnant, truffé d’acronymes qui, décryptés, lèvent une partie du voile sur le «cycle du renseignement» américain : qui demande quoi, à qui, pour qui, comment. Qui montre que la NSA est avant tout chargée de répondre aux questions qui lui sont posées par ses «clients». Que la CIA, non contente de solliciter les capacités d'interception de communications de la NSA, demande également à d’autres services de renseignement anglo-saxons de répondre aux questions qu’elle se pose.
Alors que tous les regards sont aujourd’hui tournés vers la Russie, à qui les Etats-Unis ont attribué les piratages des mails du camp démocrate publiés par WikiLeaks, l’organisation de Julian Assange – régulièrement accusée ces derniers mois de faire le jeu du Kremlin – s’invite dans la campagne française. Le document, publié en partenariat avec plusieurs médias européens – Libération et Mediapart en France et la Repubblica en Italie – révèle qu’en 2012, la CIA a espionné la présidentielle.
http://www.liberation.fr/planete/2017/02/16/comment-la-cia-a-espionne-la-presidentielle-francaise-de-2012_1548921?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#link_time=1487264558
La classification «SECRET/NOFORN» (pour «No Foreign National») du document indique que sa dissémination est interdite auprès de citoyens non-Américains, au motif, rédigé en toutes lettres en première page du document, qu’il s’agit de «friends-on-friends sensitivities» : soit des activités sensibles, pour ne pas dire hostiles, envers un «ami»
Rajoutez quelques guillemets supplémentaires... Enfin rien de nouveau sous le soleil, le document date de 2011 et les révélations de Snowden ont éclaté en 2013.
Les services d espionnage contre/espionnage francais n espionnent personnes eux?
La DGSI embauche actuellement 600 personnes, si la question te ronge.
plutot 4500 officiellement depuis quand les esrvices secret ne serait plus secret
mais le danger c'est la Russie voyons
C'est pour ça que ceux qui ont un cerveau choisissent d'être non-alignés comme la plupart des pays africains.
Ca vient d'un IP Ukrainien on vous dit
Je pensais que c était le vilain M.Poutine