Un bon repas, aux dépens du mâle, conclut souvent l'accouplement des mantes religieuses. Même si ce n'est pas une fin enviable pour le partenaire, il y trouve tout de même son compte: sa progéniture tiendra plus de lui, selon une étude publiée mercredi.
«Ces résultats influencent notre compréhension générale du conflit sexuel dans le monde animal», explique à l'AFP William D. Brown de l'Université d'État de New York à Fredonia et coauteur de cette étude publiée dans Proceedings B de la Royal Society britannique.
http://www.lapresse.ca/sciences/decouvertes/201606/28/01-4996288-se-faire-devorer-apres-laccouplement-ne-serait-pas-vain.php