Pourquoi être heureu, rendre les gens heureux? Pourquoi ne pas vivre malheureux, donc par extension rendre les autres malheureux, je ne veux parle pas d'une vie malheureuse qui nous rendrait heureux. Pourquoi on s'obstine à se faire plaisir? A part que ça nous fait vivre des émotions négatives ou positives il y a une raison?
Ben si on n'est pas heureux alors on souffre, donc pour ne pas souffrir
alors pourquoi s'obstiner à ne pas souffrir?
Parce que c'est plus facile?
car on est pas sadomasochistes ?
Ce qui m'amène à questionner pourquoi suit-on nos emotions positives que négatives?
Le 19 août 2017 à 21:09:07 pauldanse a écrit :
alors pourquoi s'obstiner à ne pas souffrir?
Euh parce que ca fait mal de souffrir ?
Le 19 août 2017 à 21:19:08 pauldanse a écrit :
Ce qui m'amène à questionner pourquoi suit-on nos emotions positives que négatives?
je ne comprends pas cette question
Donc avoir l'idée de souffrir, expérimenter la souffrance est un paradoxe. C'est ne pas souffrir. Ce n'est pas souffrir de souffrir??
Pour le coup je préfère si t'es un mec con comme un manche à balai qui s'essaie à la philosophie plutôt que si t'es un asocial qui passe son temps à troll sur jvc
avoir l'idée de souffrir, expérimenter la souffrance est un paradoxe. C'est ne pas souffrir. Ce n'est pas souffrir de souffrir, c'est prendre du plaisir à faire souffrir comme il y a volonté.
Car vouloir une choses c'est prendre du plaisir à une chose, aspiré à être heureux.
Donc on est prisonnier à vouloir être heureux...
C'est biologique, je dirais. Le plaisir, qui mène à la sérénité et au bonheur, vient avant tout pour la survie de l'espèce. Qu'est-ce qui nous pousse à procréer sans cela? Après, notre cerveau s'est complexifié et nos sentiments avec.
Le 20 août 2017 à 00:54:31 Ketelbey a écrit :
C'est biologique, je dirais. Le plaisir, qui mène à la sérénité et au bonheur, vient avant tout pour la survie de l'espèce. Qu'est-ce qui nous pousse à procréer sans cela? Après, notre cerveau s'est complexifié et nos sentiments avec.
c'est ça tout être vivant cherche à être et à rester en état d’homéostasie en vue de se développer et de perpétuer son espèce.
"Ce qui m'amène à questionner pourquoi suit-on nos emotions positives que négatives?"
La meilleure question serait pourquoi certains font justement le contraire?
Pourquoi certains repoussent les gens qui les aident, savent qu'ils sont malheureux mais n'y font rien alors qu'ils pourraient?
La liberté mène bien souvent, comme par miracle, au chemin de la vertu.
Ce que dit l'auteur, c'est qu'en gros le malheur est l'opposé du bien, le négatif du positif.. pourquoi suit-on arbitrairement l'un (le bien) et pas l'autre ?
Je pense qu'il faut chercher du coté de la nature. Comme il a été dit:
Le 20 août 2017 à 00:54:31 Ketelbey a écrit :
C'est biologique, je dirais. Le plaisir, qui mène à la sérénité et au bonheur, vient avant tout pour la survie de l'espèce. Qu'est-ce qui nous pousse à procréer sans cela? Après, notre cerveau s'est complexifié et nos sentiments avec.
Instinctivement nous fuyons la douleur et recherchons le plaisir, notre cerveau est fait comme ça.
Le 23 août 2017 à 05:11:38 ideationn a écrit :
N'importe quoi Vent ds ^^C'est bien de s'essayer à la poésie mais à un moment faut reflechir un minimum avant de poster un message.
Je trouve que sa remarque était plutôt bien fondée sous l'ironie.
Merci Topturbo
Si la liberté mène bien souvent, comme par miracle, au chemin de la vertu (et c'est vrai), c'est parce que l'être humain est foncièrement bon, non ? Si l'être humain est foncièrement bon, alors la question du choix entre le bien et le mal est absurde ou est une manière de se diminuer. Alors la question de l'auteur est : pourquoi ne pas se diminuer, si cela est bénéfique ? Je n'ai pas répondu à cette question.
C'est entre autre, un autre chemin. C'est celui des riches, des profiteurs, de l'oligarchie. Pourquoi ne pas choisir ce chemin ? D'ailleurs, ce chemin ne rend pas nécessairement malheureux, loin de là, si on sait utiliser sa diminution comme un défi, il peut même rendre heureux.
Après cette diminution, il est possible de revenir au véritable soi, de par la liberté, d'où ma phrase : la liberté mène bien souvent, comme par miracle, au chemin de la vertu.
Cette phrase représente bien la dynamique de l'esclave (celui qui s'est diminué, même s'il est riche, est comme un esclave, même s'il peut aimer ça), et du maître (celui qui est dans la vertu).
C'est lorsque une personne trouve les limites de sa sagesse qu'il commence à être sage. Voilà pourquoi je paraît écrire spontanément, mais en vérité, je réfléchis.
Après, vous avez le droit d'abandonner.
Le 19 août 2017 à 21:52:49 pauldanse a écrit :
avoir l'idée de souffrir, expérimenter la souffrance est un paradoxe. C'est ne pas souffrir. Ce n'est pas souffrir de souffrir, c'est prendre du plaisir à faire souffrir comme il y a volonté.
Car vouloir une choses c'est prendre du plaisir à une chose, aspiré à être heureux.
Donc on est prisonnier à vouloir être heureux...
Tu es prisonnier de rien. Si tu veux etre malheureux tu peux le devenir assez facilement. Mais tu ne le veux pas. Donc tout va bien dans le meilleur des mondes