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Sujet : Désir sexuel et cinéma

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Jean_Albert Jean_Albert
MP
Niveau 7
24 avril 2016 à 18:19:51

Le cinéma a-t-il une influence sur notre désir pour les femmes, comme le prétend cette vidéo?

https://www.youtube.com/watch?v=-D3pGvG2qZ4

On ne peut pas nier que les films ont un pouvoir normatif (en terme de mode notamment), on ne peut pas nier non plus qu'ils occupent une place importante dans nos vies (on regarde souvent des films), mais de là à dire qu'ils seraient en partie à la base de notre désir sexuel et amoureux, n'est-ce pas aller un peu trop loin?

edophoenix edophoenix
MP
Niveau 15
24 avril 2016 à 21:01:07

Plop !

Les films ont simplement remplacé les ballades romantiques, amourettes, gestes épiques, romanesques ou héroïques, et autres poèmes des baladins de l'Ancien Régime, selon moi.

Et dire qu'ils sont en partie à la base de nos désirs sexuels et amoureux n'est pas aller trop loin, dans la mesure où ils influencent les canons sociaux de la beauté (hollywood, nous voici... :doute: ) et qu'ils nous offrent des modèles de romance où les beaux protagonistes se séduisent, protagonistes auxquels nous nous identifions plus ou moins consciemment le temps du visionnage - mais pas forcément dans la vie de tous les jours, heureusement.

Moi, en tout cas, je n'ai pas de scénariste /dialoguiste pour m'aider à séduire les filles... Saleté de vie réelle, 'faut tout trouver /faire /dire par soi-même ! :rire:

[jesuispartout] [jesuispartout]
MP
Niveau 18
24 avril 2016 à 22:20:42

Que les productions culturelles qui nous entourent conditionnent en partie nos façons de désirer relève davantage du truisme que de la grande découverte.

Je n'ai pas grand chose à dire à propos de l'analyse de notre jeune youtubeur sinon qu'il semble accorder une place démesurée à l'impact du cinéma ce qui le conduit à une sorte de mono-déterminisme assez illégitime.

Si le cinéma me semble bien jouer un grand rôle dans la représentation des caractéristiques désirables chez une femme et qu'il contribue même peut-être à former une esthétique normative du désir, il n'a cependant pas fallu attendre son invention pour trouver des productions culturelles plaçant la femme comme objet de désir ultime et promesse d'une vie accomplie ; des poèmes des troubadours aux tragédies classiques en passant par tous les contes de princesses en détresse.

Fichtre, ce fringuant galopin semble même dire que c'est non pas la façon de désirer mais le désir lui-même pour la femme qui est apparu avec le cinéma ; ce qui, cela va sans dire, aurait rendu difficile la survie de l'espèce et donc notre existence même aujourd'hui pour en parler.

MCFlatbike MCFlatbike
MP
Niveau 6
25 avril 2016 à 14:16:36

Le 24 avril 2016 à 21:01:07 edophoenix a écrit :

Les films ont simplement remplacé les ballades romantiques, amourettes, gestes épiques, romanesques ou héroïques, et autres poèmes des baladins de l'Ancien Régime, selon moi.

Certes, mais avec l’avènement du cinéma, puis de la télévision, puis de la VOD, n’y a-t-il pas une démocratisation et une massification du phénomène ?
Aujourd’hui tous les hommes sont touchés, quelle que soit leur classe sociale. De plus, comme le soulignait l’auteur de la vidéo, ils subissent un bourrage de crâne tant le cinéma et tout l’univers qui l’entoure sont omniprésents dans nos vies.

Autrefois, seule une élite se laissait aller à rêver à la femme en tant que salut métaphysique. L’impact social n’était donc pas du tout le même.

MCFlatbike MCFlatbike
MP
Niveau 6
25 avril 2016 à 14:19:46

Le 24 avril 2016 à 22:20:42 [jesuispartout] a écrit :

Je n'ai pas grand chose à dire à propos de l'analyse de notre jeune youtubeur sinon qu'il semble accorder une place démesurée à l'impact du cinéma ce qui le conduit à une sorte de mono-déterminisme assez illégitime.

Je ne pense pas qu’il voit dans le cinéma la seule cause du désir, puisqu’il a annoncé qu’il évoquerait ses autres causes dans une prochaine vidéo. Mais c'est vrai qu'il y voit une cause fondamentale, sans doute trop.

il n'a cependant pas fallu attendre son invention pour trouver des productions culturelles plaçant la femme comme objet de désir ultime et promesse d'une vie accomplie ; des poèmes des troubadours aux tragédies classiques en passant par tous les contes de princesses en détresse.

Même remarque que plus haut sur la massification de la rêverie amoureuse qui était autrefois essentiellement une affaire d’aristocrates, de lettrés, d’oisifs, etc. Donc si le phénomène n’est pas nouveau, son impact social est bien plus important qu’autrefois.

Fichtre, ce fringuant galopin semble même dire que c'est non pas la façon de désirer mais le désir lui-même pour la femme qui est apparu avec le cinéma ; ce qui, cela va sans dire, aurait rendu difficile la survie de l'espèce et donc notre existence même aujourd'hui pour en parler.

C’est étrange, je pense exactement le contraire. Comment ne pas voir que plus nous désirons la femme en tant que promesse du bonheur moins nous nous reproduisons.

Aujourd’hui, entre le début de la puberté (et donc de la fécondité) et le premier enfant, on passe quinze ans à chercher la femme qui nous fera accéder à cette vie métaphysiquement supérieure à laquelle nous aspirons. Vers les trente ans, on se marie en urgence (surtout la femme), on fait un marmot et quelques années plus tard on divorce, parce que la femme/le mari n’a pas tenu ses promesses : il/elle n’est finalement pas la porte du Paradis. On va donc chercher le salut ailleurs.

Autrefois, alors que le désir ne brûlait pas souvent entre les époux, on faisait plein d’enfants, notamment pour des raisons rationnelles (nécessité d’avoir des bras pour aider à la ferme par exemple), ou métaphysique (se prolonger soi-même à travers une descendance).

L’idée que le désir, tel que nous le connaissons aujourd’hui, serait le moteur de la perpétuation de l’espèce, ne me paraît donc pas juste.

edophoenix edophoenix
MP
Niveau 15
25 avril 2016 à 16:45:21

Le 25 avril 2016 à 14:16:
MCFlatbike a écrit :

Le 24 avril 2016 à 21:01:

edophoenix a écrit :

Les films ont simplement remplacé les ballades romantiques, amourettes, gestes épiques, romanesques ou héroïques, et autres poèmes des baladins de l'Ancien Régime, selon moi.

Certes, mais avec l’avènement du cinéma, puis de la télévision, puis de la VOD, n’y a-t-il pas une démocratisation et une massification du phénomène ?
Aujourd’hui tous les hommes sont touchés, quelle que soit leur classe sociale. De plus, comme le soulignait l’auteur de la vidéo, ils subissent un bourrage de crâne tant le cinéma et tout l’univers qui l’entoure sont omniprésents dans nos vies.

Autrefois, seule une élite se laissait aller à rêver à la femme en tant que salut métaphysique. L’impact social n’était donc pas du tout le même.

Plop à toi !

:d) je réagis pour commencer à ce que tu dis de la femme en tant que salut métaphysique. Le salut métaphysique n'était pas la femme, c'était la prière à Dieu et l'accession à la sainteté. La femme n'a jamais été considérée comme le salut métaphysique. L'amour, en tant que voie vers la sainteté : oui. Mais pas la femme en tant qu'être.
Elle a été considéré comme une raison de vivre (parmi d'autres), tout comme l'homme pouvait être pour elle sa raison de vivre (parmi d'autres), mais pas comme salut.

Le 25 avril 2016 à 14:19:
MCFlatbike a écrit :

Le 24 avril 2016 à 22:20:

[jesuispartout] a écrit :

Je ne pense pas qu’il voit dans le cinéma la seule cause du désir, puisqu’il a annoncé qu’il évoquerait ses autres causes dans une prochaine vidéo. Mais c'est vrai qu'il y voit une cause fondamentale, sans doute trop.

:d) il insiste sans doute trop dessus, mais il est vrai que le cinéma constitue un référentiel commun puissant en matière de modes amoureuses. Des films comme La Boum ou American Pie ou encore Les beaux Gosses ont certes une influence sur les jeunes, ne serait-ce qu'en leur faisant croire que faire l'amour est leur préoccupation principale.

il n'a cependant pas fallu attendre son invention pour trouver des productions culturelles plaçant la femme comme objet de désir ultime et promesse d'une vie accomplie ; des poèmes des troubadours aux tragédies classiques en passant par tous les contes de princesses en détresse.

Même remarque que plus haut sur la massification de la rêverie amoureuse qui était autrefois essentiellement une affaire d’aristocrates, de lettrés, d’oisifs, etc. Donc si le phénomène n’est pas nouveau, son impact social est bien plus important qu’autrefois.

:d) tu sembles croire que les belles histoires et les troubadours étaient réservés à la noblesse. Les poètes se produisaient dans toutes les foires des royaumes pour le peuple.
En outre, les contes populaires ne viennent pas de la noblesse. Les roturiers avaient aussi leurs histoires d'amour tragiques ou heureuses, leurs modèles de séduction ...
'Faut pas croire que l'aristocratie avaient le monopole des histoires.

Fichtre, ce fringuant galopin semble même dire que c'est non pas la façon de désirer mais le désir lui-même pour la femme qui est apparu avec le cinéma ; ce qui, cela va sans dire, aurait rendu difficile la survie de l'espèce et donc notre existence même aujourd'hui pour en parler.

C’est étrange, je pense exactement le contraire. Comment ne pas voir que plus nous désirons la femme en tant que promesse du bonheur moins nous nous reproduisons.

Aujourd’hui, entre le début de la puberté (et donc de la fécondité) et le premier enfant, on passe quinze ans à chercher la femme qui nous fera accéder à cette vie métaphysiquement supérieure à laquelle nous aspirons. Vers les trente ans, on se marie en urgence (surtout la femme), on fait un marmot et quelques années plus tard on divorce, parce que la femme/le mari n’a pas tenu ses promesses : il/elle n’est finalement pas la porte du Paradis. On va donc chercher le salut ailleurs.

Autrefois, alors que le désir ne brûlait pas souvent entre les époux, on faisait plein d’enfants, notamment pour des raisons rationnelles (nécessité d’avoir des bras pour aider à la ferme par exemple), ou métaphysique (se prolonger soi-même à travers une descendance).

L’idée que le désir, tel que nous le connaissons aujourd’hui, serait le moteur de la perpétuation de l’espèce, ne me paraît donc pas juste.

:d) :ouch: Je ne sais pas ce que tu entends par métaphysique en fait, mais la reproduction n'a jamais rien eu à voir avec la métaphysique. Autrefois, on faisait davantage d'enfants que maintenant parce que beaucoup mouraient en bas âge et que seuls les plus résistants survivaient.
Et on faisait des enfants non pas pour avoir des bras supplémentaires (c'était surtout des bouches à nourrir, en fait), mais pour avoir des héritiers qui perpétueraient le métier (pour la roture) ou la lignée (pour la noblesse).

De fait, on se mariait plus tôt qu'aujourd'hui, parce que le mariage n'était pas une affaire d'amour, mais une affaire d'alliance entre clans (une affaire politique et/ou économique, donc.)
C'est très bien décrit dans les pièces de Molière (entre autres, dans Le Bourgeois Gentilhomme, les fourberies de Scapin, Les femmes savantes, Le Malade Imaginaire ou encore L'Avare, dans lesquelles, pour des raisons variées, les parents veulent faire épouser à leurs enfants des partis qui ne leur plaisent pas), ou dans le film d'animation les Noces funèbres de Tim Burton, par exemple (là, les fiancés ont de la chance de s'aimer quand même.)
D'ailleurs, les histoires d'amour servait surtout, à ces époques, à enseigner aux futurs époux à bien s'entendre l'un avec l'autre.

[jesuispartout] [jesuispartout]
MP
Niveau 18
25 avril 2016 à 17:58:37

Même remarque que plus haut sur la massification de la rêverie amoureuse qui était autrefois essentiellement une affaire d’aristocrates, de lettrés, d’oisifs, etc. Donc si le phénomène n’est pas nouveau, son impact social est bien plus important qu’autrefois.

Bien sûr que non, les récits épiques avec grognasses à la clé, il a pas fallu attendre le cinéma pour en trouver à tous les coins de village.

C’est étrange, je pense exactement le contraire. Comment ne pas voir que plus nous désirons la femme en tant que promesse du bonheur moins nous nous reproduisons.

Ce n'est pas penser le contraire dans la mesure où jamais je n'ai dit que plus nous désirions la femme comme promesse de bonheur -ce qui n'est qu'une façon de désirer justement-, plus nous nous reproduisions. J'ai dit que le désir nous poussant à entretenir des relations sexuelles avec les femmes existait avant que le cinéma comme objet culturel de masse ne nous présente James Bond courant après Léa Seydoux.

Du coup, j'ai pas dit non plus ceci :

L’idée que le désir, tel que nous le connaissons aujourd’hui, serait le moteur de la perpétuation de l’espèce, ne me paraît donc pas juste.

Jean_Albert Jean_Albert
MP
Niveau 7
25 avril 2016 à 19:58:53

Le 25 avril 2016 à 17:58:37 [jesuispartout] a écrit :

Bien sûr que non, les récits épiques avec grognasses à la clé, il a pas fallu attendre le cinéma pour en trouver à tous les coins de village.

Source ?

[jesuispartout] [jesuispartout]
MP
Niveau 18
25 avril 2016 à 20:01:28

Les contes et légendes de la Bretagne profonde et la Guerre des boutons.

Jean_Albert Jean_Albert
MP
Niveau 7
25 avril 2016 à 20:40:42

Le 25 avril 2016 à 20:01:28 [jesuispartout] a écrit :
Les contes et légendes de la Bretagne profonde et la Guerre des boutons.

Sur le plan quantitatif, comme le soulignait FlatBike, on est quand même assez loin du film hebdomadaire (couplé aux séries télé).

Par ailleurs, le cinéma, avec ses images hautes définition et ses musiques a sans doute un impact plus fort qu'un texte écrit (surtout sur une population très majoritairement illettrée).

[jesuispartout] [jesuispartout]
MP
Niveau 18
25 avril 2016 à 21:04:43

Je pensais davantage aux traditions orales qu'aux textes écrits.

Et tout comme l'ado de 2016 est bien moins impressionné par le dernier fast and furious tout en CGI quad HD ou le dernier Call of Duty en full 3D que l'ado de 1994 par Jurassik Park ou la raie manta en vieux polygones du CD demo one de la première Playstation, un récit oral présentant un protagoniste héroïque volant au secours d'une demoiselle peut avoir plus d'impact sur un petit gars de la campagne qui établit plus ou moins consciemment des liens avec la petite Suzon de la maison d'en face que toutes les images haute définition et les sons Dolby Surround que tu voudras.

La capacité d'émerveillement et de fantasme ne dépend pas du niveau de développement technique.

Jean_Albert Jean_Albert
MP
Niveau 7
25 avril 2016 à 21:10:53

Je doute juste que ces récits oraux aient jamais été aussi répandus et fréquemment répétés que les films (qui aujourd'hui concernent 100% de la population, au moins une fois par semaine).

[jesuispartout] [jesuispartout]
MP
Niveau 18
25 avril 2016 à 21:17:32

Même remarque.
S'il est certain que l'accumulation à haute fréquence d'oeuvres de fiction présentant une certaine façon de désirer va avoir un impact énorme sur l'ensemble d'une société habituée à de tels produits culturels, je ne suis pas sûr que de rares récits, dans une société qui n'y est pas très habituée, aient moins d'impact sur nos façons de nous représenter des objets désirables.

edophoenix edophoenix
MP
Niveau 15
25 avril 2016 à 23:55:53

Le 25 avril 2016 à 21:10:
Jean_Albert a écrit :
Je doute juste que ces récits oraux aient jamais été aussi répandus et fréquemment répétés que les films (qui aujourd'hui concernent 100% de la population, au moins une fois par semaine).

:d) Tu devrais davantage t'intéresser à l'histoire du folklore de France. Les histoires, les contes et les légendes ont couru les rues longtemps avant que la langue Française ne soit enseignée dans les monastères.

Plus récemment, je te conseille de t'intéresser à la collection de B.D. Les Contes du Korrigan parue chez Soleil, qui compte déjà une dizaine de tomes (peut-être même plus, j'ai arrêté de suivre, il faudrait d'ailleurs que je m'y remette !), rien que sur les légendes bretonnes -et la plupart, sinon toutes, sont des histoires d'amour -.

Chaque région ayant son folklore et ses propres légendes, tu peux faire le compte, ça fait pas mal d'histoires (Le Berry, d'où je viens, en a aussi un beau gros morceau, l'Alsace, la Vendée, l'Anjou, le pays de Rocamadour, le Lyonnais, en ont aussi, également, les pays du Nord...
L'homme se raconte des histoires depuis qu'il est humain, 'toutes façons. Bref, un peu toutes les provinces, ont développé leurs propres contes et folklores populaires.)

En général, les récits écrits à cette époque n'étaient là que pour la mémoire des contes oraux qu'on se racontait de maison en maison, et qui se propageait de village en village.

Message édité le 25 avril 2016 à 23:59:56 par edophoenix
Shanks-desu Shanks-desu
MP
Niveau 10
06 décembre 2016 à 02:07:47

Yo les gens ! Je suis tombé sur ce topic il y a près d'un an et je l'ai mis en fav il y a quelques semaines/mois parce que je trouvait le sujet et la discussion pertinents :oui:`

Par soucis d'honnêteté, je passe vous prévenir que je compte utilisé plus ou moins chaque post de ce topic dans un travail pour la Fac ! :ok:

Shanks-desu Shanks-desu
MP
Niveau 10
06 décembre 2016 à 02:38:41

 *je trouvais
 *utiliser

:hap:

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