Perso je crois pas trop a l'après vie, pour moi une fois mort t'es mort, néant, et en plus mourir c'est comme n'avoir jamais vécu puisque qu'on oublie tout, nous sommes plus, donc il n y a aucun intérêt personnelle a mourir. Putain vivement qu'ils y mettent car si ils trouvent l'immortalité pas dans mon époque autrement dit après ma mort, je me serai bien fait douillé mon existence.

Si l'immortalité existe ce sera un truc de fou donc y aura une grande réflexion et toute notion social seront naturellement réformé, donc interdiction de faire des enfants

J'aimerais devenir immortel, et ensuite mourir.

Les bonnes choses ont une fin.

Au bout de dix milliards d'années d'existence, perso j'en aurais marre.

Le 17 janvier 2016 à 22:54:00 bluepoint_ a écrit :
Bah déjà tu sais pas
Ensuite dans 10 milliards d'années de toute façon tu serais probablement mort d'une cause non liée au vieillissement
Enfin dans le pire des cas il te reste toujours la possibilité du suicide eh

L'immortalité c'est ne pas pouvoir mourir. Du tout. C'est-à-dire que si je te jetais dans un volcan tu continuerais à vivre.
Donc l'immortalité ça se traduit déjà par un problème de mémoire que j'ai déjà évoqué de nombreuses fois sur ce forum (devenir un étranger dans son propre corps avec des myriades de souvenirs de visages et de nom qui ne se rattachent plus à rien) mais également par la peur de se retrouver in fine seul quand le monde cessera d'être.

Et si l'immortalité c'est juste ne pas pouvoir mourir de vieillesse (ce qui en soit ne veut rien dire: on ne meurt jamais de vieillesse, la vieillesse est un affaiblissement général et à un moment il y a un n-ième tuyau qui pète et qui s'avère être vital) alors l'immortalité se traduirait par la peur panique de mourir ou même d'être handicapé. Peur de mourir puisqu'alors on ne perdrait pas "juste" quelque dizaines d'années mais des siècles/milliers d'années, et peur de l'handicap puisque devoir passer l'éternité dans un fauteuil roulant ou sans mains/jambes est une pensée vraiment désagréable.

Non mais y a pas de "10 milliards" chez pas quoi, une fois immortel y aura plus d'anniversaires, ce sera une condition universelle pour nous de vivre sans fin, oublier la notion du temps, ça parait vertigineux et ennuyeux mais l'univers est infini, nous continuerons toujours d'avancer, puis faudra changer de planètes, changer d'univers même, y aura des difficultés. Mais bon, en tous cas je préfère vivre que mourir, je préfère être quelque chose plutot que rien. Puis les mecs qui croient que mourir c'est comme s'endormir

Boire du coca a l'infini rencontrer de nouvelles existences extraterrestres, ect, la vie

Le 17 janvier 2016 à 22:54:00 bluepoint_ a écrit :
Bah déjà tu sais pas
Ensuite dans 10 milliards d'années de toute façon tu serais probablement mort d'une cause non liée au vieillissement
Enfin dans le pire des cas il te reste toujours la possibilité du suicide eh

Ouai sûrement, y a beaucoup de danger dans l'univers mais faut survivre, c'est le meilleur choix, mourir est la pire des choses qui puisse nous arriver

Ne pas être pour l'immortalité, c'est ne pas savoir vivre.

La condition de vie de certains ne s'apprête pas à l'immortalité, d'où le fait qu'ils ne souhaitent pas vivre pour l'éternité.

D'ailleurs comment apprendre à vivre ?
Qui disait que " les humains ne savent qu'ils sont morts " ( cela peut sous entendre qu'ils ne connaissent pas ce qu'est la vraie vie )

Même en repoussant l'instant du décès, on ne peut pas empêcher la mort de grignoter chaque seconde de notre vie, amenant définitivement le présent vers le passé. On meurt un petit peu chaque seconde.

Bien sur que oui je suis pour mon immortalité et celles de mes proches, par contre vous vous pouvez crever tôt ou trad pour "préserver" un peu plus longtemps les écosystèmes en limitant le surpeuplement par votre décés.
A question simple/conne réponse simple/conne

Un beau passage du film Troie, certes blockbuster mais bien intéressant :

Je vais te dire un secret, une chose qu'ils ne t'apprennent pas dans ton temple. Les dieux nous envient. Ils nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier; et tout est beaucoup plus beau parce que nous sommes condamnés. Tu ne seras plus jamais aussi ravissante qu'à cet instant. Plus jamais nous ne serons ici tout les deux.

Le 18 janvier 2016 à 22:38:07 Cabolodge a écrit :
Un beau passage du film Troie, certes blockbuster mais bien intéressant :

Je vais te dire un secret, une chose qu'ils ne t'apprennent pas dans ton temple. Les dieux nous envient. Ils nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier; et tout est beaucoup plus beau parce que nous sommes condamnés. Tu ne seras plus jamais aussi ravissante qu'à cet instant. Plus jamais nous ne serons ici tout les deux.

ouai ça me rappelle les gens qui disent qu'il faut souffrir pour être heureux. N'importe quoi.

L'immortalité c'est le trans-humaniste. La représentation vitale de cette volonté de dépassements innés de l'homme, en direction de cieux inaccessibles. L'immortalité peut apporter l'ascension de nos âmes, vers des paradis infinis; mais peut aussi précipiter l'homme dans un précipice qui le conduira vers sa fin. L'immortalité doit être l'accomplissement de notre espèce, une ligne finie récompensant la quête d’infinité de l'homme, elle doit être une fin plutôt qu'un moyen. L'immortalité, devrait être perçue, tel l'aboutissement dévoilé, du grand roman de l'histoire de l'espèce humaine. Ses lignes indéchiffrables restant indévoilable, ne serait que le long cheminement de l'espèce, vers cette récompense à allure divine. L'immortalité se mérite pour ceux capables d'en tirer un accomplissement. C'est la voie des dieux. Démontré en un seul mot finalement si vide, et uniquement livrer à la folie de notre imagination. L'immortalité nous est conceptionnellement inaccessible, mais nourrit nos esprits éternellement avides de transcendance.

Bien sur qu'il faut souffrir pour être heureux. Si l'on part du principe que l'on ne connait le bonheur que lorsque l'on souffre alors nous connaissons la souffrance seulement lorsqu'on a pu apprécier le bonheur. C'est tout le dilemne de l'homme. On ne peut être heureux sans savoir pourquoi nous le sommes. Savoir au sens du vécu et donc de la connaissance.

le bon sens est la meilleure des raisons
Ou tout au moins j'apporte ma pierre à l'édifice, bien qu'elle soit effritée.

Bien sur qu'il faut souffrir pour être heureux. Si l'on part du principe que l'on ne connait le bonheur que lorsque l'on souffre

Ah bah oui, si on part de ce principe, c'est sûr.

Si on part du principe qu'il faut être chauve pour connaître le bonheur, alors il faut être chauve poyr connaître le bonheur.

Ok très bien, échangeons ensemble et sans mesquineries. Je pense que le bonheur et la souffrance sont liés entre-eux. Ce sont des sentiments ou des émotions ? Quelle en est véritablement la différence ?

La souffrance peut-être une sensation sensible comme la piqûre d'une aiguille sur la peau. Elle peut être plus profonde et intérieure, peut-on dire intelligible ? Le bonheur peut-il être l'agréable comme le bain chaud ou la fraîcheur du vent sur le visage ? Le bonheur peut aussi être plus profond, sans doute inconscient : Je suis heureux est difficile à dire mais ne serait-ce pas plutôt un sentiment inconscient ?

J'ai beaucoup de mal avec plusieurs définitions qui rendent confuses la réflexion. J'en conviens, et mes posts peuvent-être stupides. Rien que cela me donne la force de pouvoir me remettre en question et me rend sage. Non point que je le suis mais je peux tenter de m'approcher de la réflexion sage. Je suis ignorant mais je vous questionne; je veux échanger.

Pour en revenir aux définitions : Si nous devons parler de bonheur ou de souffrances, ce qui dévie la problématique de ce topic d'ailleurs : il me faut savoir qu'est-ce que l'émotion ? Qu'est-ce que le sentiment ? Qu'est-ce que la perception ? Qu'est-ce que le bonheur et la souffrance ?

Avec un consensus sur ces définitions, nous pourrons entamer peut-être une démarche.
Pardon l'auteur pour cette déviation par contre !

Tu veux un calin ? En tout cas, si tu ne veux pas discuter ce n'est pas grave. J'espère que quelqu'un pourra le faire. Néanmoins, la souffrance et le bonheur font peut-être partis du sujet.

Tu sais moi je suis pauvre, j'ai connu la faim, le froid, le désespoir, j'ai même vécu a la rue avec ma mère, j'ai souffert, jvois pas en quoi ça apporte le bonheur c'est bien de penser, parler, mais il suffirait d'enlever tout ton confort pour que tu retires ske tu dis

Tu penses comme un religieux quoi... Le bien le mal, la spiritualité, ect