CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS

Sujet : La violence dans la culture

News culture
La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - la révolution simienne est en marche !
DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
Pseudo supprimé
Niveau 9
17 janvier 2015 à 14:41:49

Salut !
Je voulait vous poser une question qui me taraude pas mal et à laquelle je n'arrive pas à trouver de réponse concrète : Pourquoi la violence serai-elle acceptable et pertinente dans certaines oeuvres (Je pense pense à l'excellent Hotline MIami ou les Tarentino Sin City, Reservoir Dogs,...) et au contraire serai critiquer dans d'autres (que ce soit Call of ou Counter Strike en pasant par les films "trash" ou"gore") ?
Pourtant aucun message anti-violence n'est présent dans Hotline Miami ou les Tarentino, la violence est juste montrer comme quelque chose de "normal" dans ces univers (Sin City). Bref est ce que ça suffit selon vous à montrer son utilité dans ces œuvres ou bien est elle utilisé autrement ?

Pseudo supprimé
Niveau 10
17 janvier 2015 à 15:21:28

Plus ça se rapproche de la réalité (graphiquement etc...) plus ça gène parce que justement le rapport au réel y est plus présent que dans un jeu à la hotline miami et c'est le joueur qui commet la violence, il n'est pas spectateur mais acteur de la violence. En plus de ça le jeu est susceptible de toucher un jeune public. Ca c'est pour le jeu vidéo.

Pour les films c'est différent, c'est pas le même support, le rapport au réel y est constant puisque c'est réel (sauf pour les films d'animation/dessin animé) mais ce sont des acteurs qui jouent la comédie et de ce fait le consommateur n'est que spectateur de la violence et non pas acteur de celle ci.

Je pense que le fait de participer à cette violence rend le jeu vidéo plus susceptible à la critique que les films ou autre support ou le consommateur ne participe pas à la violence.

Après c'est que mon avis.

Message édité le 17 janvier 2015 à 15:22:30 par
Pseudo supprimé
Niveau 10
17 janvier 2015 à 16:05:38

Beaucoup de gens n'aiment pas non plus les films de Tarentino pour leur rapport à la violence ^^.

Si tu veux faire l'expérience d'une forme de violence cinématographique qui est à la fois outrancière et " réelle " je peux te conseiller les films de David Cronenberg ( A History of Violence, Les Promesses de l'ombre, Crash )

Dis toi qu'il y'a la violence dans la culture mais aussi la culture de la violence.Les oeuvres pour enfants sont parfois violentes. Pourquoi ce besoin de la montrer ? Pour dire aux gens ce qu'est " la réalité " ? Par besoin cathartique ?

Après pour les oeuvres culturelles ça peut tomber sous le coup de " c'est de l'art " on peut passer beaucoup de choses à l'art ^^. Donc même si ça choque, c'est réussit.

Catsoldier Catsoldier
MP
Niveau 8
17 janvier 2015 à 23:12:03

A l'auteur, qu'entends-tu par violence acceptable ? Où as-tu entendu que la violence de ces oeuvres étaient pertinente ? Par quels propos ?

Pseudo supprimé
Niveau 9
18 janvier 2015 à 13:50:02

Pas "acceptable" mais plus pertinente et moins choquante... C'est un sentiment que j'ai en regardant ces œuvres et j'ai n'ai pas l'impression que ce soit personnel (surtout en lisant des critiques par exemple) et justement j'aimerai expliquer pourquoi par exemple les scènes de torture de Reservoir Dogs ou de Sin City serai plus acceptable qu'un snuff movie.

edophoenix edophoenix
MP
Niveau 17
19 janvier 2015 à 20:13:26

Je crois pourtant me souvenir que Sin City était interdit aux moins de 12 ans à sa sortie dans les salles Françaises, donc je ne vois en quoi sa violence était moins critiquée que celle de Call of Duty.
La critique de la violence au cinéma n'est de toute façon pas nouvelle. Mais il y a une décomplexion hollywoodienne qui fait s'élever chaque année les critères de la violence sur grand écran. En un sens, je ne le regrette pas parce que la violence fait partie des moyens d'expression de l'art cinématographique (et ça rejoint le besoin ancestral de la catharsis, le fameux panem et circenses des cirques romains et des joutes médiévales), mais ce que je déplore, c'est qu'on amène les enfants voir ces films de plus en plus jeunes ; il n'y a presque plus d'interdits pour les jeunes générations, à ce qu'il me semble du moins.

marlid marlid
MP
Niveau 10
22 janvier 2015 à 13:56:14

la violence culturelle n'est ni acceptable ni inacceptable. C'est une tendance qui reflète la société dans laquelle on vit elle même.

M128 M128
MP
Niveau 7
25 janvier 2015 à 01:56:46

Un problème récurrent du spectacle de la violence je pense, c'est que comme pour le divertissement ou la culture, tu vois ce que tu perçoit, plus que ce qu'on te montre.

Exemple : à la sortie de Brice de Nice il y a genre 10 ans, dans la cours de récré tout les sales gosses ne pensaient qu'à citer son "T'es comme le H de hawai, tu sert à rien!" à tue-tête, ils le prenaient pour modèle. Alors que dans le film, le type il passe son temps à se la péter. Son père mafieux, qui lui payait tout, se fait confisquer tout ses biens par la police, le fiston Brice déménage de sa villa pour une cahute confortable.
Au final, il y a une morale à cette histoire : quand tu es un petit c*n prétentieux, tu n'es rien sans tes parents. Tu peut cracher sur le monde adulte du travail, sans lui ou tes parents comme interface/intermédiaire, tu n'es rien. Tout le monde est passé à côté de la morale de l'histoire à l'époque, même moi. Je savais que l'obsession à casser était conne, mais je n'avais même pas vu la critique à l'époque alors que cela incarnais un de mes dogmes.

Il y a potentiellement autant de lecture que de personne.
On peut avoir des doubles lectures cohérentes (dysney), ou quasi schizophrénique (Brice de Nice).

Donc face à la violence, certains voient apologie là où il y a critique subtile. Certains voient premier degré là où il y a ironie.

La violence de Call of duty et conter strike je trouve que c'est un faux problème. J'ai pu le voir à dans mon collège privée ainsi qu'à l'université et monde du travail, les gens lambda sont peuvent être naturellement très agressif face à des gens qui leur ferait de bons "boucs émissaires", à critiquer et accuser pour s'en servir de marche pied pour son ego.
L'agressivité qui pose vraiment problème en France où les armes à feu ne sont pas accessible à n'importe qui, c'est celle des gens lambdas entre eux, pour des luttes d'ego. Pas les joueurs de jeux vidéo.

Les FPS sont dangereux pour les gens fragiles. Pour les gens équilibrés on peut émettre certaines accusations sur l'humeur, mais ça ne les rend pas dangereux. Même chose pour les films même si on l'oublie "parce que c'est noble".
Il faut toujours se méfier du voyeurisme malsain qui peut se tapir, comme par exemple dans des jeux comme manhunt qui plus que la violence gratuite, promulgue la délectation de la barbarie la plus réaliste possible. Ou dans les films d'horreurs, qui attire beaucoup les jeunes adultes j'ai l'impression.

Dans Call of duty on a pas du sang qui gicle de partout, pas de démembrement. D'une certaine façon on tue des poupées de chiffon, ou des gros action-man. Après tout, on ne tue pas des civils habillé comme tels, mais des gendarmes et des voleurs qu'on pourrait trouver grotesque.
Je ne trouve pas que Call of duty rende banal le fait de tuer, mais plus le fait de tirer avec une arme. Car après tout, tuer quelqu'un d'une pression de l'index c'est contre-intuitif pour notre subconscient animal. Banaliser les armes à feu dans un pays comme le notre ou les armes sont réglementés ce n'est pas grave. Les jouets masculins type action-man et cow-boy ne tapent dessus, ça banalise une violence ça encore.
Là où la banalisation des armes est inquiétante, c'est dans un pays où les armes circulent dans les rues.
De la même façon, banaliser la guerre est moins grave dans un pays comme le notre, que dans un pays pauvre sous contrôle des djihadistes. Le pire qu'on risque, c'est des ados qui s'engage dans l'armée et qui revienne au pays complètement brisé. Mais au moins, on n'as pas des terroristes au bout.

Qui dit violence, dit agressivité. La société est de plus en plus individualiste, compétitive, agressive, donc forcément la société est de plus en plus ouverte à tout cela.

Parmi les spectateurs de la violence il y en a différents types :
-par exemple ceux à la recherche d'un esthétisme. Dans certains jeux comme mad world (wii) en noir et blanc, il y a le développement d'un univers spécifique (très peu développé malheureusement) avec un partie pris artistique. Le gore devient support de l'esthétisme, et aussi d'humour ou d'univers décalé.
-Les voyeurs, ceux qui aiment ça
-Ceux qui veulent se prouver ou prouver aux autres quelque chose, comme les nouveaux fumeurs adolescents.
- Ceux qui ont subis la violence physique et/ou psychologique dans leur vie, et semble la chercher pour s'y reconfronter, revivre le traumatisme, mais cette fois être mettre de soi et de la situation. Reprendre symboliquement le contrôle.
-Ceux qui ont une certaine vision du monde, sombre, et qui trouve souvent que les oeuvres non violentes manque de réalisme, mentent sur la nature humaine et notre monde

edophoenix edophoenix
MP
Niveau 17
26 janvier 2015 à 00:45:28

- Et il y a toute l'humanité, aussi, dont un spectacle violent, en tant que catharsis, sert d'exutoire en permettant de détourner l'agressivité naturelle latente qui est présente en chacun.

DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
La vidéo du moment