c'est quoi le maximum de temps qu'un survivant ait pu passé là ba? Est ce que les quelques survivants ce sont plutôt des gens qui avaient été deportés trés récemment avant la liberation ? ou alors certains ont vraiment passé des années là ba et s'en sont sorti?
thanks
Pour les camps d'extermination le taux de survie doit être quasiment nul.
Pour les camps de concentration, on a l'exemple de Primo Levi que je t'invite à lire, il travaillait dans une usine de caoutchouc et dehors également en Pologne l'hiver ! Trois ans ou quatre qu'il y passe ? il s'interroge sur la raison de sa survie: la chance, la debrouillardise, ses qualifications de chimiste, la volonté de survivre... Je ne sais pas si son cas est rare mais j'imagine que oui.
Ils ont retrouvés des enfants nés là-bas donc certains avait vécus des mois voir années tant qu'ils choppaient pas le typhus ou autre maladies :p
Le 21 janvier 2017 à 21:05:26 ketris a écrit :
Ils ont retrouvés des enfants nés là-bas donc certains avait vécus des mois voir années tant qu'ils choppaient pas le typhus ou autre maladies :p
ou qu'ils ne crevaient pas de sous-nutrition. C'est un aspect qui est souvent occulté par les autres mais il y avait quasiment aucune bouffe pour les déportés. Ils mangeaient juste une vieille soupe tous les jours qui leur donnait la chiasse. Regarde comment étaient les survivants ...
Le 26 janvier 2017 à 19:28:52 Pseudo supprimé a écrit :
Le 21 janvier 2017 à 21:05:26 ketris a écrit :
Ils ont retrouvés des enfants nés là-bas donc certains avait vécus des mois voir années tant qu'ils choppaient pas le typhus ou autre maladies :pou qu'ils ne crevaient pas de sous-nutrition. C'est un aspect qui est souvent occulté par les autres mais il y avait quasiment aucune bouffe pour les déportés. Ils mangeaient juste une vieille soupe tous les jours qui leur donnait la chiasse. Regarde comment étaient les survivants ...
Il n'y avait pas de gros probleme de sous-nutrition jusqu'en 1945, quand l'Allemagne n'avait plus les moyens de nourrir sa propre population....les prisonniers de camp etaient principalement de la main d'oeuvre, donc aucun interet de les laisser mourir....
Déjà cité mais le livre de Primo Levi est très intéressant, Si c'est un homme.
Ironie du sort, comme personne ne croyait en sa biographie, il s'est suicidé.
De la main-d'oeuvre remplaçable qui doit mourir ce n'est pas la même chose.