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Sujet : Lilith

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Atala-rene Atala-rene
MP
Niveau 6
22 mars 2019 à 18:46:24

Bonjour à tous, je vous poste une petite nouvelle que j'ai écrit il y a plusieurs mois, entièrement corrigé récemment, j'y ai modifié énormément de choses.

C'est fou à quel point j'étais mauvais il y a quatre mois encore. Non que je sois désormais bon, je trouve toujours mon travail objectivement mauvais, mais il y a quand même une sacrée progression... Bref, qu'en pensez-vous? :noel:

Lilith :

Voilà deux ans que tu m'as rejeté. Nous nous sommes aimés une première fois, le soir de la Saint-Jean, derrière la brasserie de l'amirauté, sur le port de Canaan. Je ne sais si mon visage te revient, sans doute pas, notre aventure ne dura pas longtemps, et une fille telle que toi (connaissant moult autres hommes), ne saurait certainement s'en souvenir d'un seul. Mais peut-être te souviens-tu de mes coups? Je suis l'homme qui te giflais, qui te frappais, alors que tu m'annonçais ton refus de me suivre en mer, après plusieurs semaines de relation. Je ne t'ai jamais pardonné ce refus et n'ai jamais cessé de penser à toi, à tes cheveux de jais bouclés qui descendaient en cascade le long de la courbure parfaite de ton dos; à ton parfum de rose et de coquelicot, envoutant et innocent, prude et sensuel, que tu arborais ces nuits-là; à la douceur de ta voix, la douceur de ta peau, la douceur de tes seins et de tes lèvres; à ces chaudes larmes qui s'écoulaient de tes prunelles azurées, après les soufflets que mes poings t'infligeaient; aux petites goûtes de sang qui coulaient de tes lèvres éraflées, qui perlaient un temps avant de s'étaler contre ta gorge, longeant les clavicules, descendant jusqu'à tes seins, tes seins si beaux; à ton regard de haine, à cet air farouche teinté de crainte... Revancharde femme à la force d'un chiot, à l'expression hautaine, aux yeux de chienne, tombée à genoux sous mes coups... Tout ça, tout ton être, tout ton corps, je ne l'ai pas oublié; je l'ai cherché maintes fois par la suite auprès d'autres femmes, sans succès jusqu'alors. Si je t'écris aujourd'hui, c'est que j'ai finis hier soir par retrouver ton essence, tout ce que j'ai aimé en toi, auprès d'une autre.

Je veux te conter mon histoire de la nuit dernière. Toi qui refusas de me suivre, de t'enfuir avec moi; toi qui pensais certainement que je me lamenterais des années durant de ton refus, perfide et sublime créature! J'ai rencontré une divine brune, au bar de l'amirauté de Prague. Elle était très belle, elle s'appellait Lilith, et je l'étreignis la nuit dernière.
______________________
Récit de la veille :

J'entrais épuisé dans le bar déserté, à une heure avancée de la nuit. Lilith était seule derrière le comptoir, elle ne bougeait pas, restait figée ainsi qu'une statue. Je fermais la porte derrière moi lorsque soudain, la pièce s'emplit d'un froid mordant provenant de l'intérieur de la salle, une sorte de vent glacial fondit sur moi d'un coup. Froid réel, ou simple illusion créée par mon cerveau fatigué? Sur ce point je ne suis pas certain. En tout cas, le froid disparut sitôt, mais l'atmosphère entre le dehors et le dedans était définitivement changé, le monde s'était comme clos, ça ce n'était pas une illusion.
Je faisais quelques pas vers Lilith, laquelle me dévisageait intensément, le rouge pâle de ses yeux scrutait les tréfonds de mon âme. Elle m'évaluait, me testait... Mais que testait-elle?

Elle esquissa une révérence timide et me demanda ce que je désirais boire. "un bourbon" répondis-je, puis je la questionnais sur l'absence de clients. "C'est normal, un ami m'a prévenu, une âme en peine viendra ce soir. "Lilith, tu te dois de l'aider" m'a-t il dit. Il faut une intimité parfaite pour cette tâche, alors personne ne doit être là en dehors de nous deux." Elle avait prononcé cette phrase en roulant sensuellement des yeux, grenats vermeils aussi splendides que sinistres. Elle faisait quelques pas autour du comptoir, puis rangeait quelques ustensiles et bouteilles, le tout en ne me lâchant pas des yeux.
Sirotant ma boisson, je répondais à ses regards par un toisement sans ambages. Son visage était beau, ses traits fins et harmonieux. Elle était coiffée de longs cheveux noirs, avec une tiare en argent sur le front, fantaisie étrange mais charmante. Son sourire était cependant carnassier, le sourire d'une succube perfide, d'une mutine assoifée de sexe. Elle se déplacait beaucoup, avec grâce et provocation, elle se mouvait de façon à mettre ses formes en valeur, mais sans vulgarité aucune. Un décolleté large, plongeant sur une généreuse poitrine s'offrait à ma vue par instants. Il lui arrivait aussi de se pourlécher discrètement les lèvres, de très belles lèvres rosées.

Je finissais mon verre lorqu'elle franchit le comptoir par le côté gauche, s'approcha de moi, me caressa le bras au passage, et se dirigea vers les vitres du fond de la salle, afin d'y fermer les volets. De ma place je pouvais admirer le balancement de ses hanches. L'envie de fondre sur elle, de la molester, puis de la violer, m'étais monté à la tête. Elle semblait l'attendre, elle semblait le vouloir, c'est ce qu'elle me disait d'un air énigmatique, alors que je commandais mon whisky, à mon arrivée.

Elle revint vers moi une fois les stores fermés. La pièce étant plongée dans l'obscurité, faiblement éclairé par une petite lampe murale attenante au comptoir, je mis un moment à voir Lilith réapparaître depuis les ténébres. Lorsqu'enfin elle sortit de l'ombre et vint à moi, c'est avec un regard plein de délice, un esprit plein de vice, et une langue caressant discrètement ses lèvres pulpeuses, qu'elle approcha. Elle me prit par le bras, me dévora du regard, puis entrouvrit sa bouche, de laquelle se dégageait distinctement deux canines particulièrement allongées. Je lui mis une main sur la nuque, par sur la joue, puis l'embrassais longuement. Ses lèvres étaient si douces, sa salive juteuse, elle s'était humectée le gosier d'un vin blanc de velour, quelle goût elle avait, quelle odeur! Je maintenais une pression relative sur son cou, toute la durée du baiser. "Ce soir tu es à moi et pas autrement" pensais-je.

Je l'éloignais de moi au bout d'un moment, la repoussais puis lui mis une bonne gifle (ce fut violent et franchement idiot, peut-être te souviens-tu comment je fus avec toi?). Lilith vacilla, mais releva sitôt la tête, et me dévisagea avec une expression passionée. "Pour ce soir... Il vaudrait mieux que tu me laisses prendre les choses en charge", me dit-elle le regard fou, me promettant qu'au renoncement de ma brutalité, c'est la jouissance d'un feu de Saint-jean qui m'attendait.

Je restais muet comme figé par une force mystique, demeurrais inerte un moment. Malade, ivre (une goutte d'alcool et je déraille), je songeais à sa proposition, je refroidissais mes ardeurs, enfin j'avisais que la situation était franchement étrange. Jamais une femme ne s'était donnée comme ça à moi. En cherchant la raison, réflechissant un temps, je baissais la tête et fis alors une découverte tout bonnement délirante, qui au lieu de me surprendre ne m'arracha qu'une bête remarque, abruti que j'étais alors : "Tes jambes ont des écailles... T'es pas humaine toi."
Elle se rapprocha de moi en mimant le mouvement sinueux d'un serpent, se colla à moi, me prit la main, et l'appuya contre sa poitrine. "Je ne suis pas humaine non, et toi tu ne l'es bientôt plus. Viens et je te montrerais un chemin meilleur qu'une vie de souffrance, ou qu'une simple mort", me dit-elle d'une voix caressante, douce, presque maternelle peut-être?

J'abandonnais le rôle de dominant, elle me prit par le bras et me traina le long d'un escalier rouge montant en spirale, situé au fond de la pièce. Elle m'entraînait d'un pas lent et sensuel, dans cet escalier interminnable où la lumière tendait à disparaître. Un parfum de rose et d'encens commençait à se faire sentir dans cette obscurité.

"Nous sommes arrivés" murmura-t-elle avec la douceur d'une aînée. Une vétuste porte de bois se trouvait sur le seuil face à nous, elle l'ouvrit lentement, la porte ne grinça pas. La lumière revint tout à coup, des lueurs rougeâtres éclairèrent alors les marches depuis l'ouverture de la pièce.

Ses doigts carrécèrent délicatement la paume de ma main, "entrons" fit-elle, se tournant vers moi en souriant, employant le ton aimable et rassurant d'une maîtresse âgée.

"Viens", ajouta-t-elle, des étincelles dans le regard. Je la suivais docilement et entrais dans la pièce vermillone. Un lit à baldaquin occupait le centre de l'espace, et une cheminée aux flammes rouges se trouvait contre le mur de gauche... Pas davantage de mobilier, seulement des tapisseries et du rouge partout.

La porte se referma sur mes pas, "tu as fait ton choix, aucun retour n'est possible, viens à moi mon frère", dit-elle, m'ouvrant ses bras pour m'accueillir.

Sans perdre un instant, je fondais sur elle, la couvrais de baisers, puis la déshabillais et l'allongeais sur le lit. Tétons de braise, vagin de glaçe, succube en haut, reptile en bas, alliant chaud et froid, sensualité et lividité, elle m'aguichait d'un regard de feu et se contorsionnait contre mes hanches. Comme happé par des miasmes épais, je plongeais en elle avec la certitude de ne jamais pouvoir en ressortir, d'être par cette étreinte éternellement lié à cette femme.

A mesure que s'embrasait mon désir, que ma soif de sexe se déculpait; mon corps se raidissait, mes membres s'engourdissaient, et mon pénis finit par nager dans un liquide glaçé, qui inonda telle une crue la vallée du vagin de Lilith; liquide qui se répendit au fil des minutes le long de mon corps.

Cette eau glaçé, cela te sembleras paradoxal, était une pure liqueur de jouissance. Au contact de ma peau, au contact de mon gland, pénétrant mes muqueuses, s'infiltrant par tous les pors; c'est un éveil à mille orgasmes, une jouissance absolue que je connus. Il me semblait que tous mes nerfs, jusqu'au superficiel nerf fibulaire, étaient transi de plaisirs.

Après des heures d'extases et de délices, commençant à fatiguer, à relâcher mon étreinte; Lilith me susurra timidement mais distinctement, ainsi qu'un murmure ou qu'un soupir, ces quelques mots : "La mort m'attend au bout de cette nuit, j'en ai assez fait, je te transmets ma tâche. Prends du plaisir à accomplir ton rôle nouveau. Il est de par ce monde de nombreuses âmes en peine, de pauvres êtres avides de plaisir, peinant à trouver leur partenaire, peinant à rassasier leur soif de luxure. Pour ces tristes âmes en proie à la folie, de grâce, poursuis mon oeuvre. Devient Satyre, et pars combler de jeunes vierges ou de jeunes éphèbes, de vieilles matrones ou de vieux gérontes. Séduis, aime, console et ensemence... Tu as là une éternité devant toi."

Mes mains lâchèrent les hanches de Lilith, je me relevais tandis qu'elle s'écroulait sur le lit. Sa peau si douce l'instant d'avant s'était recouverte d'un film luisant, qui à force de couches devint un véritable cocon. La femme aux jambes écailleuses, au torse de soie, était toute entière devenue une peau rugueuse de crocodile.

Je restai planté comme une pique, l'esprit en déroute face à cette image surréaliste. Je fis quelques pas, touchais le cocon de Lilith, constatais sa rigidité, puis fis le tour de la pièce, mollement, les pensées encore brumeuses, me réveillant lentement d'un étrange voyage des sens. Je connus conjointement en un soir, et l'extase et la mort, et la jouissance et le glas du trépas. Mes pulsions sauvages allaient s'éteindre à jamais.

Je sortais de la pièce, redescendais les marches de l'escalier en spirale, et quittais le bâtiment. Je retournais sur les quais, arrivais sur mon navire, puis m'effondrais dans la cabine. Je ne suis pas retourné au bar le lendemain, quelque chose était changé en moi... Au réveil mon pouls ne battait plus.

___________________

Je te présente mes excuses pour le ton incisif qui imprègne les premiers paragraphes de cette lettre. J'ai écrit l'introduction le lendemain de ma rencontre avec Lilith, songeant que j'avais pris ma revanche sur toi, toi que je rendais coupable de m'avoir fait découvrir l'extase pour me la retirer sitôt. Je souhaitais régler nos comptes et t'annoncer mon arrivée soudaine, pour te montrer ce que j'étais devenu.

Le reste, le récit ainsi que cette conclusion, furent écrits le surlendemain de ma rencontre avec la succube. Car Lilith était bien une succube, et elle exista réellement. Le surlendemain donc, je fus investit d'une sensation étrange la nuit venue. A un pouls qui ne battait plus, vint s'ajouter un durcissement de mes jambes, une peau serpentine se greffa sur mes cuisses. A cela, une âme apaisée s'est aussi faite jour en moi, je ne suis désormais plus le monstre violent avide de passions brutales que j'étais naguère.

Néanmoins, malgré ce changement, je ne renonce pas à te revoir. Mes motifs cependant ne sont plus aussi vils qu'alors, je te comprends et désire t'aider car je sais les maux qui te rongent. Nymphomane, animal luxurieux comme je le fus, tu ne sais vivre sans cette obsédante volupté des caresses. Tu ne créé rien, ne construit rien, ton être n'es que soumission à la volonté des lubriques. Je veux te délivrer de ce néant aux odeurs enivrantes, de la brume envoutante qui recouvre ton âme, qui morfonds ton esprit dans une rêverie abrutissante. C'est pour ça que je te retrouve bientôt, que je fais ce chemin vers Prague.

Le soir où te parviendra cette lettre, je paraîtrais devant toi. Ne crains rien, la délivrance approche avec mes pas.

A. K****

DesLyres DesLyres
MP
Niveau 9
22 mars 2019 à 19:46:45

A. K**** ?

Atala-rene Atala-rene
MP
Niveau 6
22 mars 2019 à 20:58:08

Le 22 mars 2019 à 19:46:45 DesLyres a écrit :
A. K**** ?

C'est censé simuler une signature. Le tout est une lettre, je n'ai peut-être pas assez respecté la forme. :(

Message édité le 22 mars 2019 à 21:00:03 par Atala-rene
DesLyres DesLyres
MP
Niveau 9
22 mars 2019 à 22:35:37

Non non t'en fais pas, je me demandais juste pourquoi tu avais mis des astérisques et pas un nom en entier

Je me disais que vu que "Lilith" est un nom à référence il y avait peut-être un autre nom complet à trouver

https://www.noelshack.com/2019-12-5-1553290013-parano.png

Sinon c'était pas mal, bravo à toi... La bataille entre le morbide et le fascinant était rude :peur:

Je suis une âme sensible, j'ai du me forcer à continuer pour voir la suite :rire:

Mais j'imagine que du coup c'est réussi, c'était assez intriguant pour que la curiosité me force à voir la fin. D'ailleurs je regrette pas, le dernier paragraphe est celui qui m'a le plus plu au niveau de l'écriture !

Enfin bref, merci du moment, ce fut presque aussi intense que tes sheitaneries

Atala-rene Atala-rene
MP
Niveau 6
23 mars 2019 à 09:48:06

Merci de ton retour positif, content de voir qu'il y a un effet intriguant, et que le morbide associé au sexuel et au fantastique semble marcher. :oui:

Par contre pour la dernière ligne tu dois te tromper de personnes, je ne vois pas ce que tu désignes par "sheitaneries", c'est le premier texte que je glisse sous ce pseudo. :hap:

Swyf Swyf
MP
Niveau 10
27 mars 2019 à 21:38:01

Succube est masculin
"carrécèrent" c'est strictement interdit
et tu utilises souvent des imparfaits à la place des passés simples quand tu résumes une journée.

Je suis pas forcément fan des textes trop "crus", surtout avec l'ambiance assez classe de celui-ci je sais pas trop quoi penser de la scène de cul décrite en termes littéraux, ça fait donne presque des impressions d'anachronisme par moments

Au-delà de ça c'est nickel, le travail sur la langue, l'ambiance et le ton est remarquable, et l'histoire suffisamment intéressante en soi pour porter jusqu'à la fin.

Message édité le 27 mars 2019 à 21:40:20 par Swyf
Atala-rene Atala-rene
MP
Niveau 6
28 mars 2019 à 09:41:42

Le 27 mars 2019 à 21:38:01 Swyf a écrit :
Succube est masculin
"carrécèrent" c'est strictement interdit
et tu utilises souvent des imparfaits à la place des passés simples quand tu résumes une journée.

Je suis pas forcément fan des textes trop "crus", surtout avec l'ambiance assez classe de celui-ci je sais pas trop quoi penser de la scène de cul décrite en termes littéraux, ça fait donne presque des impressions d'anachronisme par moments

Au-delà de ça c'est nickel, le travail sur la langue, l'ambiance et le ton est remarquable, et l'histoire suffisamment intéressante en soi pour porter jusqu'à la fin.

Merci pour les corrections, j'étais persuadé que succube était féminin.
Oui pour le choix imparfait/passé simple je suis resté le cul entre deux chaises pour ainsi dire, il faudra que je revois ce point.

A vrai dire, ce travail est un peu batard car c'est le fruit de cinq-six écritures/réécritures sur plusieurs mois.
C'est à dire que j'écrivais plusieurs paragraphes, puis je mettais en pause plusieurs semaines, puis j'y revenais, ajoutais la suite, et corrigeais le tout, et ainsi de suite... Du coup en fonction des moments où j'ai écrit, les intentions étaient très différentes, et j'ai dû tout corriger au final pour donner une cohérence au texte. D'où sans doute les étrangetés avec la scène de cul qui t'a parût hors propos dans la manière dont elle est racontée. C'est pour ça entre autre que j'ai annoncé que je n'étais franchement pas fier du texte.

Donc je ferais sans doute une réécriture dans quelques semaines, en tenant compte de tes remarques, pour voir si il y a moyen d'améliorer la bête. :noel:

Reisuke Reisuke
MP
Niveau 8
28 mars 2019 à 16:31:08

Il y a un moyen d'améliorer la bête, mais ça me paraîtrait excessif de ne pas en être fier :hap:

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