Y a un « malgré que » qui traîne dans ton extrait Yugo.

Le 28 avril 2018 à 07:21:05 Arduilanar a écrit :
Y a un « malgré que » qui traîne dans ton extrait Yugo.

une alternative ?

« Bien que » c’est le plus sobre et élégant, et ça n’oblige pas à revoir ta structure de phrase.

Sinon « malgré le fait que », mais je trouve ça un peu lourd comme formule.

Le 28 avril 2018 à 11:07:46 Arduilanar a écrit :
« Bien que » c’est le plus sobre et élégant, et ça n’oblige pas à revoir ta structure de phrase.

Sinon « malgré le fait que », mais je trouve ça un peu lourd comme formule.

je vais essayer "bien que", voire raccourcir un peu la phrase.
C'est un roman un peu plus dense que d'habitude.
Thanks ;)

Reiko avait réussi à gagner une petite fortune grâce à l’aveugle et pas question se s’arrêter en si bon chemin.
—Dis, on mise tout sur le prochain ?
—Comme vous le sentez.
Le dirigeant de table les regarda tous les deux d’un air méfiant. Il regarda le garde prêt de la porte, il fit un petit signe de la tête.
—Aucune objection ?
Lorsque le gobelet tomba l’aveugle eut un petit crissement à la bouche.
—Hé. Les dés ne sonnent pas comme avant, dit l’aveugle.
—Qu’est-ce que tu veux l’aveugle ? La merde ?
Reiko ne comprit pas sur le coup ce qui se produit. Il y avait une longue trainée de sang sur la table. La main du maitre de table volait dans les airs avec le gobelet.

Nous aurions pu la nommer Summer, mais ses parents l'avaient appelé Goldie. À bien des manières je fus le premier atteint. Mon opinion ait toutefois demeuré contesté parmi notre camaraderie à ce sujet. Il y eut ensuite le détestable Rick et sa bande, qu'il abandonna quelque temps après. Puis mes trois copains, Célestin*, Jean-Ortographe* et l'Djo*. Oliver Rose nous ayant quitté lorsqu'elle commençait à s'ouvrir à nous durant l'été de notre deuxième année. Nous fumes donc cinq garçons, en négligeant nos témoins et leurs amis. Puis rapidement tout le lycée. Une ville entière à sa fin. Mais pour des raisons de clairvoyance, et parce que nous l'avons été, je pense et l'espère, les plus proches à la comprendre, à l'atteindre, jusqu'à son brusque déclin et ses conséquences, nous garderons à cinq, mois y compris, le nombre d'intervenant dans ce journal, notre histoire avant tout, et la vôtre, qui fera désormais partie de votre vie.

Si vous voulez critiquer, bon vous semble, mais c'est du bâclé, aucune recherche, hein C'est le premier jet des première phases d'un projet futur. C'est pas celui que je rédige actuellement. Il y a juste le ton qui est correcte je pense. J'avais besoin de l'écrire pour mettre un vrai début. Et je voulais débider le topic.

Les prénoms * c'est parce que j'ai pas encore les prénoms réels

Le 29 avril 2018 à 11:32:27 MetallicaR8 a écrit :
Nous aurions pu la nommer Summer, mais ses parents l'avaient appelé Goldie. À bien des manières je fus le premier atteint. Mon opinion ait toutefois demeuré contesté parmi notre camaraderie à ce sujet. Il y eut ensuite le détestable Rick et sa bande, qu'il abandonna quelque temps après. Puis mes trois copains, Célestin*, Jean-Ortographe* et l'Djo*. Oliver Rose nous ayant quitté lorsqu'elle commençait à s'ouvrir à nous durant l'été de notre deuxième année. Nous fumes donc cinq garçons, en négligeant nos témoins et leurs amis. Puis rapidement tout le lycée. Une ville entière à sa fin. Mais pour des raisons de clairvoyance, et parce que nous l'avons été, je pense et l'espère, les plus proches à la comprendre, à l'atteindre, jusqu'à son brusque déclin et ses conséquences, nous garderons à cinq, mois y compris, le nombre d'intervenant dans ce journal, notre histoire avant tout, et la vôtre, qui fera désormais partie de votre vie.

Si vous voulez critiquer, bon vous semble, mais c'est du bâclé, aucune recherche, hein C'est le premier jet des première phases d'un projet futur. C'est pas celui que je rédige actuellement. Il y a juste le ton qui est correcte je pense. J'avais besoin de l'écrire pour mettre un vrai début. Et je voulais débider le topic.

Les prénoms * c'est parce que j'ai pas encore les prénoms réels

contrairement à ce qu'on pourrait croire, le topic ne bide pas du tout

Le 29 avril 2018 à 11:32:27 MetallicaR8 a écrit :
Nous aurions pu la nommer Summer, mais ses parents l'avaient appelé Goldie. À bien des manières je fus le premier atteint. Mon opinion ait toutefois demeuré contesté parmi notre camaraderie à ce sujet. Il y eut ensuite le détestable Rick et sa bande, qu'il abandonna quelque temps après. Puis mes trois copains, Célestin*, Jean-Ortographe* et l'Djo*. Oliver Rose nous ayant quitté lorsqu'elle commençait à s'ouvrir à nous durant l'été de notre deuxième année. Nous fumes donc cinq garçons, en négligeant nos témoins et leurs amis. Puis rapidement tout le lycée. Une ville entière à sa fin. Mais pour des raisons de clairvoyance, et parce que nous l'avons été, je pense et l'espère, les plus proches à la comprendre, à l'atteindre, jusqu'à son brusque déclin et ses conséquences, nous garderons à cinq, mois y compris, le nombre d'intervenant dans ce journal, notre histoire avant tout, et la vôtre, qui fera désormais partie de votre vie.

Si vous voulez critiquer, bon vous semble, mais c'est du bâclé, aucune recherche, hein C'est le premier jet des première phases d'un projet futur. C'est pas celui que je rédige actuellement. Il y a juste le ton qui est correcte je pense. J'avais besoin de l'écrire pour mettre un vrai début. Et je voulais débider le topic.

Les prénoms * c'est parce que j'ai pas encore les prénoms réels

C'est sympa, j'aime bien. Je lirais la suite volontiers, à condition que tu gardes l'Djo en prénom pour l'un des persos. Il y a quelques détails qui me chiffonnent par contre : "A bien des manières" au lieu de "De bien des manières" OU "A bien des égards", et ce "Mon opinion ait toutefois demeuré", je pense que tu voulais dire "Mon opinion est toutefois demeurée". Y a un petit goût de The Virgin Suicides.

Ca me donne vraiment furieusement envie de me remettre à écrire. Vous faites chier ...

Le 29 avril 2018 à 14:31:54 --crazymarty-- a écrit :
Ca me donne vraiment furieusement envie de me remettre à écrire. Vous faites chier ...

qu'attends-tu pour lancer un nouveau projet ?

D'avoir un peu plus de temps que 20 mn par ici et 10mn par là .

J'ai un petit extrait aussi

Deux tours de clé.  « Home Sweet Home ». Mon palace. Ma mère adorée me louait une chambre dans le dix-huitième. Elle savait qu'il fallait brosser son petit génie dans le sens du poil. J'étais son investissement sur le long terme, ni plus, ni moins. Je suis un Van Gogh. Une peinture qui va se bourrer la gueule à en oublier qui l'a signé.
Kubrik, ce soir. Un rouge et mes camarades cannettes face à moi, bien en rang sur la table basse, mon plaid jusqu'au torse, je suis prêt à laisser Orange Mécanique me balader dans ses rues britanniques.
Un classique. Mon classique, pour être précis. Je ne vois pas la beauté dans un flocon, mais je la perçoit dans le contraste entre la violence d'Alex, et mon calme enivré derrière l'écran, blotti sous la couette.

J'ai lu quelques uns des extraits et ça m'a donné envie d'écrire, j'espère que vous allez pas vous endormir

--
C'est l'été. Les cloches sonnent enfin; il est 5 heures de l'après-midi. Driss, lycéen de terminale, s'empresse de sortir de l'établissement.
En temps normal dans les lycées publics de France, les élèves se mettent à courir à la fin des cours avant même que la sonnerie annonçant le début des vacances d'Été ne retentisse.
Dans son lycée, c'était donc aussi le cas; mais lui ne courait pas, en bon asocial, il prenait plaisir à partir après tout le monde pour ne pas subir le trafic provoqué par les autres élèves finissant à la même heure.

C'était la première fois que Driss courait pour sortir avant tout le monde.

'Bouge-toi, tu peux le faire, go, go, go!'

Bien sûr, personne n'était en train de le poursuivre, et les autres élèves n'étaient pas encore arrivés, alors n'était-il pas étrange qu'il se presse comme ça ?

En prenant la pente, il me reste 5.. non.. 6 secondes avant d'attendre le portail. C'est là que tout va se jouer. Il pensait à la suite; à ce qui l'attendait au-delà du portail. Là où la brutale réalité l'attendait.

La tête froide bien qu'il n'avait jamais couru à cette vitesse auparavant, et encore moins aussi longtemps, il arrive finalement au bout de la pente.

Regardant autour de lui, les barrières n'ont aucune brèche, ok, le portail, pareil. il s'approche et déverrouille le portail.

'Je reviens demain matin, j'espère que personne rentrera..' dit-il en sortant.

Et tire le verrou vers lui.

Jetant un dernier regard, un regard fixé, dans l'enceinte du lycée.

Ils arrivent enfin.

Au loin, sortant des bâtiments, des centaines d'élèves se bousculent en criant.
C'est l'été. Les cloches sonnent encore, il est 5 heures de l'après-midi et une. Driss, lycéen de terminale, observe en silence ses anciens camarades, affamés après une grande nuit de sommeil, leurs yeux vides, leurs vêtements tâchés d'un liquide rouge sombre qui semble avoir coagulé.

Et enfin, leurs grandes bouches ouvertes et sanguinolentes.

--

C'est un de mes projets mais j'ai toujours eu peur d'écrire parce que je me dis toujours "ça va être comme tout le monde, trois chapitres et paf, projet à l'oubli" mais merde, tant pis, si ça peut intéresser. J'attends vos critiques les gars

Accroche toi donc. Sois persévérant. C'est perfectible, mais ça peut être intéressant.

Je suis pas fan de survival zombie, mais faut pas prendre ça en compte.

Comme pour tout le monde, y a du boulot. Je te conseille de lire pas mal, de t'inspirer d'un style pour ensuite développer le tien.
Si tu as peur de ne pas aller jusqu'au bout, commence par une nouvelle. J'ai eu l'occasion de discuter avec un écrivain (Jérôme Leroy), c'était son conseil.

Le 29 avril 2018 à 14:15:51 Bunny-Riviere a écrit :

Le 29 avril 2018 à 11:32:27 MetallicaR8 a écrit :
Nous aurions pu la nommer Summer, mais ses parents l'avaient appelé Goldie. À bien des manières je fus le premier atteint. Mon opinion ait toutefois demeuré contesté parmi notre camaraderie à ce sujet. Il y eut ensuite le détestable Rick et sa bande, qu'il abandonna quelque temps après. Puis mes trois copains, Célestin*, Jean-Ortographe* et l'Djo*. Oliver Rose nous ayant quitté lorsqu'elle commençait à s'ouvrir à nous durant l'été de notre deuxième année. Nous fumes donc cinq garçons, en négligeant nos témoins et leurs amis. Puis rapidement tout le lycée. Une ville entière à sa fin. Mais pour des raisons de clairvoyance, et parce que nous l'avons été, je pense et l'espère, les plus proches à la comprendre, à l'atteindre, jusqu'à son brusque déclin et ses conséquences, nous garderons à cinq, mois y compris, le nombre d'intervenant dans ce journal, notre histoire avant tout, et la vôtre, qui fera désormais partie de votre vie.

Si vous voulez critiquer, bon vous semble, mais c'est du bâclé, aucune recherche, hein C'est le premier jet des première phases d'un projet futur. C'est pas celui que je rédige actuellement. Il y a juste le ton qui est correcte je pense. J'avais besoin de l'écrire pour mettre un vrai début. Et je voulais débider le topic.

Les prénoms * c'est parce que j'ai pas encore les prénoms réels

C'est sympa, j'aime bien. Je lirais la suite volontiers, à condition que tu gardes l'Djo en prénom pour l'un des persos. Il y a quelques détails qui me chiffonnent par contre : "A bien des manières" au lieu de "De bien des manières" OU "A bien des égards", et ce "Mon opinion ait toutefois demeuré", je pense que tu voulais dire "Mon opinion est toutefois demeurée". Y a un petit goût de The Virgin Suicides.

Merci de ton retour et tes corrections. Je note ça.
Pour le coup il y a pas de suite pour le moment. J'envisage de le débuter cet été, car la saison va beaucoup m'inspirer pour l'ambiance de l'histoire.

Bien vu ! Si je n'avais pas visionné et pas lu The Virgin Suicides, je pense que je n'aurais pas eu l'idée d'adopter ce ton pour le récit. Après, l'univers, le contexte, et les personnages sont différents. L'histoire sera essentiellement consacré à la nostalgie de la jeunesse: les amours, le lycée, les rumeurs et les vacances d'été entre potes, concentré autour de cette fameuse fille

Pour un concours amateur je m'étais amusé à écrire la nouvelle de ce futur manuscrit. C'est un condensé de 7/8 pages. Si tu veux, ou voulez le lire, MP moi.

Et pour finir, je pense que nous venons de baptiser un des personnages principaux, Johnny aka le Djo.

Le 29 avril 2018 à 13:53:23 Reptilovitch a écrit :

Le 29 avril 2018 à 11:32:27 MetallicaR8 a écrit :
Nous aurions pu la nommer Summer, mais ses parents l'avaient appelé Goldie. À bien des manières je fus le premier atteint. Mon opinion ait toutefois demeuré contesté parmi notre camaraderie à ce sujet. Il y eut ensuite le détestable Rick et sa bande, qu'il abandonna quelque temps après. Puis mes trois copains, Célestin*, Jean-Ortographe* et l'Djo*. Oliver Rose nous ayant quitté lorsqu'elle commençait à s'ouvrir à nous durant l'été de notre deuxième année. Nous fumes donc cinq garçons, en négligeant nos témoins et leurs amis. Puis rapidement tout le lycée. Une ville entière à sa fin. Mais pour des raisons de clairvoyance, et parce que nous l'avons été, je pense et l'espère, les plus proches à la comprendre, à l'atteindre, jusqu'à son brusque déclin et ses conséquences, nous garderons à cinq, mois y compris, le nombre d'intervenant dans ce journal, notre histoire avant tout, et la vôtre, qui fera désormais partie de votre vie.

Si vous voulez critiquer, bon vous semble, mais c'est du bâclé, aucune recherche, hein C'est le premier jet des première phases d'un projet futur. C'est pas celui que je rédige actuellement. Il y a juste le ton qui est correcte je pense. J'avais besoin de l'écrire pour mettre un vrai début. Et je voulais débider le topic.

Les prénoms * c'est parce que j'ai pas encore les prénoms réels

contrairement à ce qu'on pourrait croire, le topic ne bide pas du tout

C'est une illusion alors. C'est pas de la sorcellerie de pacotille

Le 29 avril 2018 à 15:35:16 Chibrien a écrit :
J'ai un petit extrait aussi

Deux tours de clé.  « Home Sweet Home ». Mon palace. Ma mère adorée me louait une chambre dans le dix-huitième. Elle savait qu'il fallait brosser son petit génie dans le sens du poil. J'étais son investissement sur le long terme, ni plus, ni moins. Je suis un Van Gogh. Une peinture qui va se bourrer la gueule à en oublier qui l'a signé.
Kubrik, ce soir. Un rouge et mes camarades cannettes face à moi, bien en rang sur la table basse, mon plaid jusqu'au torse, je suis prêt à laisser Orange Mécanique me balader dans ses rues britanniques.
Un classique. Mon classique, pour être précis. Je ne vois pas la beauté dans un flocon, mais je la perçoit dans le contraste entre la violence d'Alex, et mon calme enivré derrière l'écran, blotti sous la couette.

J'aime bien, c'est fluide et bien rythmé

"brosser dans le sens du poil" c'est pas un peu tout cuit ?
"à en oublier l'auteur", non ? Le "qui l'a" me gêne
"pour être précis" inutile je pense

La conversation fut interrompue par un éclat de rire aigu. Annash avait fait entourer Iltushumma par deux jeunes gens de son âge qui devaient être les fils d’un des officiers, et qui s’évertuaient à faire boire le jeune diplomate plus que de raison. Celui-ci s’était manifestement laissé prendre au jeu, car il avait l’air d’avoir peine à cesser de s’esclaffer. Ses yeux étaient baignés de larmes et son gros front trempé de sueur, mais ses comparses continuaient à faire signe à l’échanson de venir remplir sa coupe.
— Sais-tu que j’ai eu l’idée incongrue d’emmener ce vilain drôle se faire déniaiser ? reprit Belraim quand il fut assuré que son compagnon n’était plus en mesure de l’entendre. J’avais trouvé un bel établissement à Biru, propre et de bonne réputation, mais cet imbécile a d’abord voulu boire pour se donner du courage. En fin de compte, il était tellement saoul qu’il n’a non seulement pas été en mesure d’accomplir sa besogne, mais qu’il a même causé un scandale qui lui a valu d’être chassé du lupanar. Depuis, il fait comme si rien n’était arrivé, mais je soupçonne son amnésie d’être feint

Le 29 avril 2018 à 20:56:09 MetallicaR8 a écrit :

Le 29 avril 2018 à 15:35:16 Chibrien a écrit :
J'ai un petit extrait aussi

Deux tours de clé.  « Home Sweet Home ». Mon palace. Ma mère adorée me louait une chambre dans le dix-huitième. Elle savait qu'il fallait brosser son petit génie dans le sens du poil. J'étais son investissement sur le long terme, ni plus, ni moins. Je suis un Van Gogh. Une peinture qui va se bourrer la gueule à en oublier qui l'a signé.
Kubrik, ce soir. Un rouge et mes camarades cannettes face à moi, bien en rang sur la table basse, mon plaid jusqu'au torse, je suis prêt à laisser Orange Mécanique me balader dans ses rues britanniques.
Un classique. Mon classique, pour être précis. Je ne vois pas la beauté dans un flocon, mais je la perçoit dans le contraste entre la violence d'Alex, et mon calme enivré derrière l'écran, blotti sous la couette.

J'aime bien, c'est fluide et bien rythmé

"brosser dans le sens du poil" c'est pas un peu tout cuit ?
"à en oublier l'auteur", non ? Le "qui l'a" me gêne
"pour être précis" inutile je pense

Merci, et merci de tes conseils
Il faut savoir que j'écris uniquement en one shot, pardonne le "brosser dans le sens du poil", c'était un peu facile, j'suis d'accord.
Pour la phase Van Gogh, j'ai une allitération entre "bourré" et "signé", ce serait dommage de s'en passer tu trouves pas ?
T'as raison pour le "pour être précis", je retire ça tout de suite.