Bonsoir tout le monde. Je viens ici pour savoir si mon incipit est intéressant et si je dois améliorer des choses. J'écris TRES rarement donc j'espère que vous serez indulgent !

L'histoire d'un amour

Il était huit heure lorsque Jacques se réveilla. Il s'aperçut de l'heure et sursauta d'un énorme bond, il avait encore raté un entretien d'embauche... C'était la troisième fois et comme à son habitude, il se frappa la tête avec ses mains. Il se sentit ce matin là comme un bon à rien... Il pensa à cette fille qu'il voulait tant avoir, mais un obstacle l'empêchait de s'approcher de cette fille. C'était un obstacle qui le gênait tellement qu'il était prêt à le tuer. Mais le tuer ne ramènerai guère la fille qu'il convoitait mais l'éloignerai d'avantage de celle-ci. Alors Jacques pensa comment acquérir beaucoup d'argent, car seul l'argent comptait aux yeux de cet obstacle. Jacques se souvenait sans cesse d'une phrase que l'obstacle lui avait dit un jour... Cette phrase était : « Jamais tu toucheras à ma fille sans argent, car dans ce monde, un homme sans argent n'est rien ». Il se souvenu soudain de cet ami qui avait beaucoup de relation... Un ami qu'il appréciait mais qu'il avait perdu de vu suite à sa réinsertion, après sa peine de 3 années dans une prison du sud de la France. Jacques se mit alors en tête qu'il devait absolument rencontrer cet ami, pour pouvoir s'en sortir tant bien que mal. Il s'habilla à une vitesse fulgurante et sorti de chez lui rapidement pour aller à l'arrêt de bus qui était à quelques rues de chez lui. Il prit le bus et après un long trajet, il descendit à un arrêt se situant devant un restaurant qui avait une certaine renommé auprès des gens. C'était pourtant un petit restaurant... La renommé de ce restaurant n'était en réalité pas pour ses bons plats, mais pour les bons plans qu'on pouvait y trouver. Jacques entra donc et parti vers le comptoir pour demander au barman si son ami Jean était présent. La réponse fut négatif, mais le barman invita Jacques à patienter au fond du restaurant. Jacques se mit alors en marche jusqu'au fond du restaurant, en traînant des pieds à cause de sa fatigue. Il n’attendis pas très longtemps lorsqu'il reconnu une silhouette familière rentrer dans le fameux restaurant. Jacques ne bougea pas, il n'en avait pas la force... Le barman montra du doigt Jacques à Jean et les deux amis se regardèrent. Jacques lui sourit mais pas Jean, sûrement prit de pitié à la vu de son ami... Les habits de Jacques était fort puant, boueux et délavé. Jean ne le reconnaissait plus, il se disait sûrement dans sa tête pourquoi est-ce qu'il était dans cet état. Il se rapprocha enfin de Jacques, après une longue analyse de son état lugubre. Les deux amis se serrèrent leur mains et une discussion s'imposa. Jean lui dit : « Mon ami... Pourquoi est-tu dans cet état ? Tu as tant changé depuis ton incarcération en 47... ». Jacques lui répondit : «  Je le sais Jean... Je le sais... La vie honnête n'est pas faite pour moi, j'ai besoin de suffisamment d'argent pour me lever le matin tu vois ? ». Jean avait déjà compris les intentions de Jacques lorsqu'il était entré dans le restaurant, mais il voulait entendre ce qu'il voulait entendre sortir de la bouche de son ami. C'était chose faite, puisque Jacques lui dit qu'il était prêt à recommencer... Jean ne gagnait pas sa vie honnêtement, et ce depuis son plus jeune âge. Lorsque les deux étaient encore gamin, la mère de Jacques l'interdisait clairement de traîner avec Jean car il était un de ces gosses dont on était sûr qu'il finirait par devenir un mauvais garçon. Les prévisions à son égard étaient donc bonnes puisque Jean était devenu un homme sans scrupule. Il fut même pire que ce que les gens imaginaient. Son gagne pain n'était autre que de donner la mort... Mais Jacques ne le savait pas encore. A l'époque, Jean faisait des braquages mais ne tuait en aucun cas les gens. Malheureusement, il tourna mal et fini par tomber dans les crimes, à jouer les faucheurs... Jacques était venu voir Jean pour faire des braquages, comme à l'ancien temps, mais Jean était passé à autre chose. Une chose qui rapportait autant d'argent qu'un braquage mais en beaucoup moins risqué. Tuer quelqu'un dans la nuit noire, loin de la ville, loin de la lumière, faisait beaucoup moins de bruit qu'un braquage. Jean n’était pas certain de dire à Jacques ce qu'il faisait pour gagner de l'argent. Il réfléchit longtemps avant, mais se résolu à lui dire car à la vu de l'état de son ami, il était certain qu'il ne refuserait rien. Il savait qu'il avait besoin d'argent et il comptait bien en tirer profit. Jacques pourrait devenir essentiel car c'était un homme fort qui n'avait peur de rien. Il avait l'expérience des braquages mais pas des meurtres. Mais Jean était prêt à l'entraîné. Jean se dit que commencer avec des animaux ferait l'affaire, mais comment annoncer cela à Jacques ? Comment va-t-il réagir ? Jacques aimait beaucoup trop l'argent pour trouver un travail honnête, mais serait-il assez avare pour obtenir de l'argent en donnant la mort à des gens dont il ne connaîtrait ni la vie, ni le sexe, ni l’âge...

"mais se résolu à lui dire car à la vu de l'état de son ami"
Selon moi, c'est un peu tarabiscoté...

ostulug Mais selon toi le texte est passable ou pas.

Je vais modifier ça de suite en tout cas.

Putain saute des lignes

Le 17 décembre 2017 à 15:47:31 macAgrimm a écrit :
Putain saute des lignes

Je l'ai écris à l'arrache tard la nuit donc je n'ai pas fait attention. J'ai profité de ma mauvais humeur pour pondre cette histoire.