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Sujet : [Début Roman] - S.y.n.c.h.r.o -

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DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
13 août 2017 à 15:00:08

Bonjour à tous et à toutes !
Je suis nouveau sur ce forum et c'est la première fois que je poste. J'aimerais vous faire partager un chapitre d'un roman en cours d'écriture pour avoir quelques retours :-)
Simplement pour poser le contexte : j'avais écrit le premier chapitre il y a de cela quelques mois mais je n'ai malheureusement pas pu continuer (Problèmes indépendants de ma volonté :hap:).
En reprenant récemment l'écriture j'ai relu ce premier chapitre que j'ai trouvé finalement assez mal écrit, c'est pourquoi je ne poste ici que le second chapitre écrit plus récemment en attendant d'améliorer le premier. Don't worry, pas de problèmes de compréhension vu que le second chapitre introduit un nouveau personnage. Mais de toute façon j'aimerais bien avoir des avis principalement sur le style, le rythme plutôt que sur l'histoire pour savoir si cela vaut le coup que je continue à écrire.
Sur ce je vous souhaite une agréable lecture ( du moins je l'espère ) et j'attend vos retours avec impatience, qu'ils soient positifs ou négatifs ! :-)
PS : j'ai laissé la citation de Lewis Caroll car tous mes chapitres commencent ainsi et qu'elle est une clé de lecture et d’interprétation pour les chapitres suivants. Par contre la mise en page fait très pavé, j'ai essayé d'aérer un peu mais sur jvc c'est très différent de ce que j'avais fait sous Word. Mes excuses les plus sincères :hap:

Chapitre II

« Si je n’existais pas, dit Alice en riant à moitié à travers ses pleurs tant tout cela lui paraissait ridicule, je ne pourrais pas pleurer. »
« Parce-que tu crois que ce sont de vraies larmes ? » interrompit Tweedledee d’un ton extrêmement méprisant.

Ronan attendit que son père quitte l’appartement. Il savait que pleurer n’aurait eu pour seul effet d’empirer les choses. Une fois les pas lourds de son paternel évanouis dans le silence de la nuit, il patienta encore plusieurs minutes avant de fondre en larmes. Toujours à terre, il retira la main de son bas ventre au niveau duquel la douleur commençait à s’affaiblir et ramena ses genoux contre sa poitrine endolorie, se recroquevillant sur lui-même. La position fœtale avait toujours eu quelque chose de réconfortant pour lui. Une sorte de retour aux sources, du temps où il flottait insouciant dans le liquide amniotique, lové au creux d’un ventre protecteur.

Une heure s’écoula ainsi durant laquelle il ne fit que pleurer. Pleurer. Un acte si naturel, qui lui était désormais interdit depuis que son père avait récupéré sa garde. Deux ans auparavant il aurait pu qualifier sa vie de « supportable ». Mais depuis le décès de sa mère aussi brutal qu’inattendu, des suites d’un arrêt cardiaque, il lui a fallu supporter la dépression de son père durant les premiers mois, puis sa longue descente aux enfers dans les méandres de l’alcoolisme. Ronan avait à l’époque trouvé impressionnant la façon dont la boisson s’était immiscée dans leur vie, d’une manière si subtile, un peu comme un poison qui lentement pourrit la moindre parcelle d’un corps. Au début ce n’était qu’un détail parmi tant d’autres, une réponse censée au traumatisme qu’avait été la mort de sa mère. Puis petit à petit il avait vu l’alcool s’insérer dans chacune des pores de la peau de son paternel, dicter chacune de ses actions, de ses faits et gestes. Tel un marionnettiste machiavélique, ce poison l’avait poussé à être violent avec son entourage, sa famille. Son fils.

Ronan finit par chercher à tâtons un meuble sur lequel s’appuyer pour se relever. Il jeta son dévolu sur l’illustre fauteuil paternel. Triste ironie. Ses ongles s’enfoncèrent si profondément dans le cuir usé du bras qu’il crut qu’ils allaient se détacher de ses doigts. Dans un râle il se redressa, tituba sur quelques mètres, puis retrouvant l’équilibre se dirigea vers la salle de bain. Ses pieds semblaient peser une tonne et chaque pas qu’il effectuait sur le vieux parquet jauni par le temps lui semblait incertain. Il s’approcha de la baignoire vétuste, tourna le robinet à fond, s’assit en tailleur et se posta ainsi, surveillant le niveau d’eau.

Il repensait au geste de son père. Il en avait l’habitude depuis le temps. Ce n’était pas le premier tout comme ce ne serais pas le dernier. Pas de raison particulière cette fois. Il lui reprochait simplement d’exister. Bon nombre de fois la solution de la fugue avait germé dans son esprit. Mais ce n’était qu’une mauvaise graine : à 18 ans, déscolarisé, sans emploi, il n’avait aucune perspective de survie dans le monde impitoyable de la rue. Il passait ses journées à jouer à la console dans l’appartement qu’il partageait avec celui qu’il aimait à appeler « Le Diable » ou dans les ruelles du 13ème arrondissement de Marseille, à trainer avec des gamins du quartier. Aucun d’entre eux n’étaient réellement amis, la plupart passaient leurs journées à sécher les cours et ne se rejoignaient que dans l’optique de passer le temps. Certains se vantaient même d’être des « gamins de la rue » (Comprendre : sans domicile fixe), et Ronan savait de source sure qu’ils vivaient de vols et autres petits larcins.

Le Diable quant à lui passait ses journées à l’Irish Bar, un pub situé à quelques pâtés de maison de leur domicile. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Le Diable n’était pas l’un de ces piliers de bar à la bedaine proéminente empestant le tord-boyaux mais bel et bien le tenancier du pub. L’Irish bar avait jadis appartenu au grand-père paternel de Ronan. Quand il était plus jeune, il pouvait passer des heures entières dans cette endroit à l’ambiance folklorique. Avec sa déco insolite, le pub était un petit coin de paradis autant pour les habitués que pour le jeune garçon. Les choppes de bière géante transformées en tabourets, le vieux juke box qui avalait une fois sur deux les pièces que lui tendaient les clients, le flipper à l’ambiance sonore futuriste dont le tableau représentait un vaisseau spatial en proie à d’innombrables menaces extraterrestres. Puis Le Diable reprit l’établissement à la mort du grand père de Ronan et lorsqu’il sombra dans l’alcool, l’Irish bar ne fut plus qu’un lointain souvenir pour le jeune garçon. Cela faisait presque trois mois qu’il n’y avait pas mis les pieds. Le Diable en revanche pouvait parfois y passer plusieurs journées sans même rentrer à l’appartement. Pas une grande perte.
L’eau approchait dangereusement du rebord de la baignoire. Le jeune garçon coupa le robinet et s’y allongea sans même prendre la peine d’enlever ses vêtements. Retenant sa respiration, il laissa sa tête glisser lentement contre le rebord glacial, jusqu’à disparaitre complètement sous le volume d’eau. Les yeux grands ouverts il fixait le luminaire du plafond qui diffusait de faibles rayons de lumière qui peinaient à traverser l’onde. Sous l’eau il ne distinguait plus que de vagues formes flous flottants au-dessus de lui, des spectres qui semblaient s’éloigner de plus en plus à mesure que les secondes passaient. Sa poitrine se contractait sous l’effet du manque d’oxygène. C’est alors qu’il écarta ses mâchoires et hurla. Un hurlement assourdit par le liquide, que lui seul pouvait entendre. Une sorte de cri intérieur, un rugissement vomissant un torrent de bulles qui venaient s’écraser à la surface de l’eau. Il savait que c’était inutile mais il en avait besoin. C’était sa façon à lui d’extérioriser.

Une fois sec, il mit ses vêtements à sécher sur l’étendage qui traversait de part en part la pièce principale. Il attrapa sur ce dernier un t-shirt uni, qu’il s’empressa d’enfiler : la vue de l’hématome violacée naissant au bas de son torse le répugnait. Une énième marque du Diable, à ajouter aux nombreux stigmates que son corps portait. Au moins celle-ci devrait disparaître d’ici quelques jours.

Caleçon. Pantalon. Chaussettes. Chaussures. Un rapide coup de peigne. Il essaya tant bien que mal de faire retrouver à ces yeux une teinte plus naturelle. Mais malgré ses efforts, ces derniers s’obstinaient à rester rouges et gonflés semblables à deux grosses tomates. Il réussit finalement après plusieurs longues minutes à leur rendre une apparence à peu près correcte. À travers les rideaux le soleil commençait à pointer son nez, et même s’il n’avait rien de prévu Ronan n’avait nulle envie de s’éterniser dans l’appartement. Il sortit sur le palier, referma la porte derrière lui, fourra ses clés dans sa poche et se dirigea vers la sortie de secours. Il n’avait aucune idée de l’heure à laquelle rentrerait son père, c’est pourquoi il se garda bien d’emprunter l’escalier principal, de peur de tomber sur lui. L’issue de secours donnait sur un échafaudage extérieur, composé d’un escalier en colimaçon cerclé d’une cage de fer. Les marches métalliques semblaient tellement instables que Ronan les voyait déjà se dérober sous ses pieds. Après une brève descente il déboula finalement dans la rue.

Malgré l’apparition progressive de quelques rayons de soleil, les lampadaires diffusaient encore leur faible lumière. En cause, une épaisse brume qui se déversait dans la ville en cette matinée d’octobre. Semblable à un serpent de fumée, elle léchait les bâtiments et enveloppait de son corps gazal les luminaires qui ressemblaient à des phares en pleine tempête, seuls points d’ancrage auxquels se raccrocher. Mais même au cœur de ce brouillard, Ronan n’eut aucun mal à se diriger car il savait exactement où il allait : Le Mont, une vieille décharge qui se trouvait en périphérie de la ville, à moins d’un kilomètre, à l’Est de l’Irish Bar. Bien sûr toujours dans un souci de discrétion, il contourna l’établissement. L’enseigne représentant un Leprechaun (Un petit lutin, célèbre figure du folklore irlandais) brillait d’une multitude d’ampoules vertes. Le Leprechaun portait dans la main une pinte de bière qu’il levait dans un geste mécanique, comme une invitation à entrer. Entrez. Entrez. Venez rejoindre le paradis sur terre, vous ne serez pas déçus. Mais attention à ne pas vous y perdre, car même le paradis cache souvent ses propres démons.
Là, au sein de la brume, l’établissement ressemblait à une oasis au milieu du désert. Irréel. Ronan ne s’attarda pas et contourna le pub.

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
13 août 2017 à 15:00:42

Après une dizaine de minutes de marche il atteignit enfin son objectif. Le Mont se dressait devant lui. Il l’avait toujours appelée ainsi car la décharge n’avait pas de nom, tout simplement parce qu’elle n’était pas officielle. Personne n’a jamais vraiment su qui fut le premier à déverser ses ordures dans ce terrain abandonné. Mais ce dont il était sûr c’est qu’au fil des années bon nombre de personnes l’avaient imité, si bien que maintenant les quelques centaines de mètres carrés ressemblaient à s’y méprendre à une montagne. Composition : déchets en tout genre. On y trouvait littéralement de tout, du vélo d’enfant aux oiseaux empaillés en passant par les miroirs brisés et les frigidaires éventrés. Les poupées de chiffons côtoyaient les unités centrales sur les flancs du tertre qui s’élevait à une hauteur vertigineuse.

L’endroit était surtout devenu le terrain de jeu pour tous les gamins des alentours. Beaucoup d’entre eux avaient un jour affirmé qu’ils escaladeraient le Mont, dans le but d’imposer le respect auprès de leur camarade. Mais cette escalade digne des plus illustres alpinistes n’était plus à l’ordre du jour depuis que le petit Théo Galbi, 14 ans, avait voulu relever le défi. Le plus dingue c’est que le gamin était bien parti pour réussir. Ronan était présent ce jour-là. Il avait vu Théo, muni des vieux gants de son père, gravir le Mont sous les acclamations des autres gamins. Il avait vu son pied se poser sur la boule de billard qui dépassait de l’édifice. La noire. Il se rappelait très bien sa chute, ses petites mains brassant l’air à la recherche d’un quelconque endroit où se raccrocher, comme un oisillon tombé trop tôt du nid. Puis l’atterrissage, trois mètres plus bas. Le bruit de son dos s’écrasant sur le verre pilé, des pointes d’aciers d’origines diverses qui s’enfonçaient dans ses chairs avec un bruit proche de celui d’un pouce que l’on enfoncerait dans un fruit un peu trop mur. Les cris des autres. Ses pleurs. Ça lui avait coupé l’envie de tenter l’expérience.

Aujourd’hui le Mont semblait plutôt calme. Il faut dire que la brume était assez dissuasive et donnait à l’endroit une atmosphère terrifiante. Mais certains avaient bravé le temps et l’on pouvait voir ça et là des groupes de jeunes. Quelques personnes s’étaient assis à même le sol et jouaient aux cartes (« Surement un poker, pensa Ronan »). Sur le flanc gauche un autre groupe discutait activement tout en fumant des cigarettes, les fesses vissées sur le clavier d’un imposant piano à queue. A travers l’épais rideau de brouillard, le jeune homme reconnu des visages familiers. Il s’approcha et fit un signe de la main aux personnes présentes. Un grand métis au crâne rasé descendit du piano pour venir le saluer personnellement.

A vingt-et-un ans, Ghalib avait déjà l’apparence d’une armoire à glace, ce qui immanquablement, imposait le respect auprès des autres gamins. Fruit de l’union d’un père algérien et d’une mère française, il bossait à temps partiel (et pour un salaire de misère) à l’atelier de réparation « La roue de secours », à quelques mètres seulement de l’appartement de Ronan. Il faisait partie du cercle très restreint de personnes au courant de la situation que vivait le jeune garçon au quotidien. C’était par ailleurs Ghalib qui avait donné son surnom au Diable.
— Ben alors mon pote, qu’est-ce que tu viens foutre ici ? Je croyais que t’était censé rester chez toi aujourd’hui !
— J’avais besoin de prendre un peu l’air, rétorqua Ronan sur un ton faussement détendu.
— Tu t’es encore fighté avec ton vieux c’est ça ?
— Ouaip, avoua Ronan à demi-mots.
Ghalib soupira.
— Ecoute mon pote, j’espère que t’es conscient que ça peut plus durer. Ça fait quoi, un peu plus de deux ans que je te connais ? Hé ben crois moi je t’ai jamais vu aussi mal en point que pendant ces derniers mois. Faut vraiment que ça cesse.

Il marqua une pause, sortit un Zippo au motif à moitié effacé et un paquet de cigarette qu’il tendit en direction de Ronan. Face au refus de ce dernier, il s’en alluma une et tandis que le goudron tapissait les muqueuses de sa gorge, il reprit :
— Et t’as jamais pensé à le … enfin … tu vois ce que je veux …
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, que Ronan le coupa :
— À quoi ? À le buter ? Non mais t’es sérieux ?! lâchât-il, un peu trop fort au vu des nombreux regards qui se tournèrent vers eux.
Evidemment qu’il y avait déjà pensé, et pas qu’un peu. Mais il savait que jamais il ne se résoudrait à une telle extrémité. Plutôt fuguer et crever dans la rue que d’avoir ce genre de truc sur la conscience.
— Si c’est la prison qui te fais flipper, je connais des gars ils pourront te faire sortir en un rien de temps. Parce que c’est quoi l’autre solution alors, t’enfuir ? Tu t’es regardé sérieusement ? Tu tiendrais même pas une semaine, sans boulot, sans fric, sans toit où dormir. Et tu sais très bien que j’ai pas de quoi te loger, ni même te nourrir. À moins que tu préfères attendre qu’il te donne le coup de trop, celui qui te fera bouffer les pissenlits par la racine. Pourquoi pas, mais en attendant t’as plus de famille et tu sais très bien que si tu balance l’histoire aux services sociaux, le Diable finira par te retrouver un jour et là crois moi qu’il te le fera payer.
— Tu sais quoi ? Merci, merci de me rappeler à quel point ma vie est merdique !
Intérieurement, Ronan bouillonnait. De nombreux gamins lorgnaient maintenant d’un œil intrigué dans leur direction. Le jeune garçon sentit une goutte salée lui chatouiller le coin de l’œil. Il tourna le dos à Ghalib et s’éloigna à grande enjambées.
— Attends mon pote, cria le jeune homme, les mains en porte-voix pour se faire entendre malgré la distance. C’est pas ce que je voulais dire ! Tu sais très bien que je veux simplement t’aider !
Au-dessus de son épaule, Ronan lui adressa un magistral doigt d’honneur et disparu dans la brume.

Le jeune garçon passa le reste de la journée à déambuler sans but précis dans les rues inhabituellement vides du 13ème arrondissement. Il s’arrêta pour manger un morceau dans un Kebab, puis reprit sa marche. Etrangement le brouillard ambiant n’avais pas désépaissit, bien au contraire. Il s’était renforcé depuis ce matin, à tel point que Ronan abdiqua et fut forcé de rentrer chez lui, la visibilité ayant été drastiquement réduite. Arrivé devant le palier, il inséra la clé dans la serrure avec précaution. Lorsqu’il la tourna, un déclic se fit entendre. Il soupira. Si la porte était toujours fermée, c’est que le Diable n’était pas encore rentré, et il y avait fort à parier qu’il ne rentrerait pas ce soir. Ronan franchit tout de même le seuil de l’appartement avec précaution mais il ne perçut aucun signe de vie. Il avança mollement jusqu’au vieux matelas rongé par le temps qui lui servait de lit. Ce dernier faisait face à une minuscule fenêtre, qui à cet instant précis ne donnait sur rien d’autre qu’une purée blanchâtre avec au loin un point lumineux vaguement solaire qui semblait décliner à l’horizon. Exténué, le garçon s’effondra comme une masse et sombra bien vite dans un profond sommeil.

dream-writer dream-writer
MP
Niveau 4
13 août 2017 à 18:57:59

Lu la 1er partie en tout cas, je lirais le reste ce soir.

Et je n'est pas grand chose a redire sur le style et le rythme, dans l’ensemble c'est plutôt bon, trop de descriptions d'un coup peut être essaye de les dilué plus sur le récit et des pavés pas forcément avenant.
Mais honnêtement je chipote.
Par contre commencer sur le chapitre deux c'est assez déroutant malgré ce que tu en dis.

Voila j'aime bien ton style, par contre a 1er vu ton histoire risque de ne pas ma plaire (drame familial ?) mais c'est a voir avec la suite.

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
13 août 2017 à 19:21:56

Bonsoir dream-writer
Déjà, merci beaucoup pour ce retour, je ne pensais honnetement pas avoir un avis si rapidement :-)
Je prends en note ce que tu me dis pour les descriptions, je me laisse parfois emporter ce qui donne des descriptions mal dispersées dans le texte.
Pour ce qui est des pavés je suis tout à fait conscient de ça mais je trouve que ça rend mieux sur word avec les marges à gauches, mais je n'ai pas réussi à les mettre sur jvc :(
Je comprend que ce soit déroutant mais je trouve mon premier chapitre vraiment mal écrit, et pour être honnête je comptais recueillir des avis pour m'améliorer mais pas forcement poster la suite sur ce forum.
Et on est dans le drame mais pas forcement familial. En fait les deux premiers chapitres présentent chacun un personnage qui sont d'une certaine façon liés, et dont les histoires vont bien evidement se recouper par la suite. :)
Si vraiment tu veux le premier chapitre je te l'enverrais par mp.

Message édité le 13 août 2017 à 19:22:36 par DomDomz
dream-writer dream-writer
MP
Niveau 4
14 août 2017 à 00:55:02

En faite je me suis intéressais a ton texte car (36,15 my life) plus jeune j'avais un ami irlandais qui s’appelait Ronan parfois on aller boire des coups a un l’Irish Pub (et pas Bar mais bon) c'est idiot comme coïncidence mais bon pour la partie2 du coup c'est mieux j'ai trouvé la partie dialogue efficace et juste par contre le gamin qui parle de tuer c'est pas un peu excessif ?

"Je comprend que ce soit déroutant mais je trouve mon premier chapitre vraiment mal écrit, et pour être honnête je comptais recueillir des avis pour m'améliorer mais pas forcement poster la suite sur ce forum."

Bien justement, d'abord ça te forcera a le réécrire et ensuite si tu explique que c'est pas génial tu peux avoir des avis et c'est toujours utile.

Message édité le 14 août 2017 à 00:55:42 par dream-writer
DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
14 août 2017 à 08:00:59

Bon déjà je suis content que tu ai tiqué au même endroit pour le dialogue parce que je m'était fait la même reflexion après relecture du coup je changerais ça je pense, merci ! même si j'aurais bien aimé amener cette pensée au sein du dialogue mais si c'est impossible à caser tant pis.
Pour le premier chapitre je vais y reflechir, je ne sais pas trop :(

Et si jamais d'autres personnes veulent donner leur avis, je ne suis pas contre :)

HelpingFR HelpingFR
MP
Niveau 25
14 août 2017 à 12:21:45

Chapitre "deuxième" lu :oui:
J'ai beaucoup apprécié, même si le thème n'est pas ma tasse de thé. Attention aux quelques erreurs de temps. Tu met du passé composé parfois alors que c'est un texte au passé, mais les verbes sont assez rares. :oui:
Il est vrai que le texte est assez lourd au niveau de la présentation, car c'est quand même tout un univers à présenter, et pourtant, j'ai eu l'impression de ne pas trop saisir le contexte, surtout au niveau des mentalités. Le plus flagrant, c'est vraiment la suggestion de meurtre. C'est vraiment plutôt choquant, alors que pourtant, tu dépeins quand même un lieu assez civilisés. Des gens jouent aux cartes, certains font du piano. Bref, ça m'a un peu choqué et je pense que ça gagnerait à être explicité. Tu pourrais dire que malgré cette ambiance posée et civilisée, derrière se cachait une mentalité brutale :oui:

J'attend donc de voir ce premier chapitre. :oui:

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
14 août 2017 à 13:16:14

Tout d'abord merci pour ton avis HelpingFR, ça fait vraiment plaisir de savoir que tu as apprécié :-)
Le forum a l'air quand même assez actif c'est vraiment cool !
Pour ce qui est des temps merci je vais essayer de débusquer ces petits passés composés qui se sont sournoisement glissés dans mon texte ^^
Encore une fois la remarque du meurtre, je suis entierement d'accord, je vais trouver un moyen pour amener ça de façon plus subtile :oui:
Pour ce qui est du premier chapitre, je vais voir. C'est que je l'aime vraiment pas mon petit chapitre un :rire:

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
15 août 2017 à 11:28:15

Ce qui était assez amusant avec la faculté, c’est que de véritables clans se créaient entre étudiants, et ce dès les premiers jours. On y observait des patchs d’individus d’une grande diversité qui au fil des mois accueillaient de nouveaux arrivants ou au contraire se délestaient de quelques poids. Comme un micro écosystème. Mais il était cependant assez rare d’observer une personne totalement isolée. L’avantage de la faculté c’était aussi ça : TOUT le monde pouvait s’y intégrer. Kilian se rappelais très bien de sa première journée, et de comment, totalement perdu au milieu de ce dédale de bâtiments, il avait fini par jeter son dévolu sur cette jeune fille à la couleur de cheveux inhabituelle, qui pouvait sembler confiante et sure d’elle aux premiers abords mais qui finalement s’était révélée encore plus paumée que lui. A deux ils avaient surmonté cette première journée de cours, puis la suivante. Kilian se rappelait très bien comment, jours après jours, ils avaient fini par construire quelque chose de plus fort, un lien. Et c’est ainsi que les deux étudiants étaient passés de loup solitaire à meute. Une meute de deux certes, mais une meute quand même. Evidemment au cours du temps d’autres personnes étaient venues s’ajouter à cette meute, mais ça ne restait que temporaire, et elle reprenait bien vite sa configuration initiale : Elle et lui.
— Bonjour à tous.
La professeure, madame Lorient s’était installé au pupitre. D’un âge avancé et au corps rongé par le temps, elle donnait l’impression d’avoir tout vécu. Quelques plaisantins s’accordaient à dire que tels les troncs des arbres, chaque ride de la vieille femme représentait une année de sa vie. Si l’on admettait cette théorie, madame Lorient était donc bicentenaire. Mais plus que son âge, sa prestance et l’aura qu’elle dégageait inspiraient immanquablement le respect. Elle leva le bras et frappa du plat de la main la table, trois fois, comme si elle s’apprêtait à annoncer le début d’une pièce de théâtre. Les bavardages retombèrent et le silence se fit.
— Bien, on peut commencer.
Et elle commença. La matinée fut, comme d’habitude, un enchainement de cours qui, bien qu’ils ne se ressemblait guère, laissaient un arrière-goût de monotonie. Après un repas à la cafeteria plus que passable, toujours en tête à tête avec Chloé, l’après-midi sonna comme une libération pour Kilian. C’était la partie de la journée qu’il appréciait le plus car elle était composée exclusivement de cours donnés en petits groupes et de travaux pratiques. L’occasion pour lui de travailler en binôme avec Chloé, celle-ci étant par ailleurs assez douée pour tout ce qui est manuel ce qui leur rapportait le plus souvent d’excellentes notes. Le TP de ce jour-là était lui aussi assuré par madame Lorient qui cumulait les matières enseignées. Il portait sur l’identification d’espèces. Le principe était simple : sur les paillasses, étaient disposés divers pots, bocaux, coupelles contenant une grande variété d’organismes, la plupart conservés dans du formol. Le but était d’identifier le plus précisément possible les espèces présentées. Ecoutant d’une oreille discrète les explications de la professeure, Kilian caressait du doigt son bocal contenant un scorpion au corps charbon et aux pinces démesurées. Du bout de l’index, il suivait les courbes de l’animal. Bien que son niveau de conservation était impressionnant, aux yeux du jeune homme, l’arthropode ne ressemblait plus qu’à une coquille vide, noyée dans l’alcool.
— Maintenant c’est à vous de jouer. Si vous avez des questions n’hésitez pas.
Il délaissa un instant son scorpion pour lorgner du côté de Chloé : celle-ci, les yeux rivés sur la paroi d’une jarre poussiéreuse, semblait dans une phase d’intense réflexion :
— Kili ? Est-ce que tu as une idée de ce que c’est ? lança-t-elle sans détourner son regard.
Il s’approcha un peu de façon à voir le contenu du bocal de Chloé par-dessus son épaule : un petit mammifère, extrêmement pâle flottait dans le formol. Ses yeux atrophiés et sa peau fripée n’aidait guère à l’identification. Ses membres flasques retombaient mollement contre son corps et lui donnaient une allure de pantin désarticulé.
— Je ne vois pas Chloé, désolé, s’excusa le jeune homme.
Armé d’un guide d’identification, il n’eut aucun mal à déterminer l’espèce de Scorpionidae qui lui avait été assigné ce qui lui permit de voler au secours de Chloé qui continuait de fixer avec des yeux perplexes le contenu de son bocal. Alors qu’il entrait à son tour dans cet étrange échange de regard avec la créature il sentit un tissu frôler son cou. Le visage de madame Lorient apparu alors à ses côtés. Telle une tortue étirant son cou, elle colla les verres démesurés de ses lunettes mauves à la paroi du bocal. Kilian était si proche de son visage qu’il pouvait sentir son parfum, un mélange de cannelle et de vanille qui assaillait ses narines. Elle se retira alors dans un « Hmmm » qui sembla interminable. Ses lèvres s’écartèrent juste assez pour lui permettre de parler et, comme à son habitude, elle s’exprima dans un langage soutenu :
— Il semblerait que la tâche que je vous ai confié soit plutôt ardue. Si cela peut vous aider, le spécimen que vous avez là est très jeune et ne présente pas les attributs caractéristiques à son espèce. Par ailleurs, il fait partie d’un groupe de mammifères assez unique.
Une étincelle traversa l’œil de Chloé. Elle échangea un regard complice avec Kilian, qui semblait également vibrer sur la même longueur d’onde et déclara :
— C’est un Monotrème !
— Le seul groupe de mammifères capables de pondre des œufs, compléta le jeune homme.
Un sourire illumina le visage terni par le temps de madame Lorient. Durant une fraction de seconde Kilian eut l’impression d’y voir la belle jeune femme qu’elle eût été par le passé. Puis son visage s’assombrit en même temps que retentit une sonnerie caractéristique de la réception d’un sms. D’un mouvement mesuré elle sortit l’objet au design moyen-âgeux qui lui servait de portable de la poche de son veston. Le regard vissé sur l’écran pixelisé, ses traits prenaient à présent une expression mêlant tristesse et dépit. Alors qu’elle s’éloignait sans dire un mot, Kilian prit conscience d’une chose : mis à part ses parents et Chloé, le jeune homme ne voyait les personnes qui l’entourent que sous la forme de personnages en deux dimensions, à l’existence plate, sans relief et qui se résumait seulement à ce qu’ils voulaient bien laisser paraitre. La complexité des humains, en dehors du cercle familial-amical, lui échappait totalement. Il ne se faisait que très peu de réflexion au sujet de la vie des personnes qu’il côtoyait et se contentait de la face émergée de l’iceberg. La façade que les gens arborent fièrement. Mais comme son nom l’indique ce n’est qu’une façade. Un masque. Et le masque finit toujours par tomber.
En voyant la tristesse évidente dans les yeux de sa professeure, il se dit qu’elle aussi devait avoir des problèmes dans sa vie professionnelle, familiale, affective peut-être, mais qu’il n’en saurait jamais rien. Ce genre d’introspection ne lui arrivait que rarement mais l’attristait souvent car elles remettaient totalement en question sa façon de penser. La voix enjouée de Chloé le sortit de sa réflexion :
— Y a la deuxième fournée qui arrive !
Madame Lorient déposa des bocaux sur la paillasse, marmonnant quelques mots inaudibles d’une voix si basse que même en collant l’oreille contre ses lèvres gercées il aurait été difficile de comprendre ce qu’elle venait de dire. Puis sans un mot elle retourna à son bureau, le laissant seul face aux créatures au regard triste, enfermées dans leur prison de verre.

Une fois la séance de TP terminée, Kilian sortit de l’imposant bâtiment et prit congé de Chloé après un bref au revoir. La fatigue due à cette nuit avait eu raison de lui et il n’avait qu’une hâte : retrouver son lit, et s’y affaler pour ne plus jamais le quitter. Il rejoignit sa voiture tandis que le soleil commençait à descendre à l’horizon, projetant des lambeaux cendrés dans le ciel. Alors qu’il s’apprêtait à entrer dans l’habitacle du véhicule, il s’arrêta un instant pour contempler le spectacle. Dix-huit heures dix. L’étoile inondait maintenant le ciel d’une couleur rouge-orangée et ne se limitait plus qu’à un minuscule point incandescent. Ses derniers rayons, peinant à percer la pinède, léchaient le visage du jeune homme. Alors que la voûte céleste s’embrasait une dernière fois, l’astre solaire s’évanouit, cédant la place à la froideur de la nuit.

dream-writer dream-writer
MP
Niveau 4
15 août 2017 à 19:18:13

Alors par où commencer.

Tu es très fort pour les descriptions mais la clairement ça plombe le début, alors autant ça passe dans le chapitre deux, autant dans le premier ben je crois qu'un premier chapitre ce doit d’être percutant si tu vois ce que je veux dire.

Sauf que le truc pour moi c'est qu'il devient percutant car j'ai déjà lu le chapitre deux, forcément on comprend ou tu veux en venir directement du coup c'est pas mal, un truc tout bête : pourquoi ne pas inverser les chapitres ?

Zut je ne sais pas si je suis très clair, mais en gros j’ai bien aimé dans cet ordre inversé.

Il faut que je relise dans le bon sens voir si ça me fait pareil :)

Bref du coup l'histoire évolue pas mal et ça devient forcément plus intéressant et il y a moyen de faire des bonnes choses avec tout ça.

J'ai hâte de lire la suite.

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
15 août 2017 à 19:25:11

Merci pour ce retour !
Inverser les deux premiers chapitres je n'y avais pas vraiment pensé ... mais pourquoi pas je vais y réflechir, même si l'ordre de base me semblait plus cohérent.
Et c'est vrai que comme premier chapitre ce n'es peut être pas assez percutant. Tu crois que tu pourrais citer les descriptions qui pour toi sont trop lourdes et plombent le début ? :-)

Si des personnes voient ce message et veulent donner leur avis ce serait cool de lire les chapitres dans l'ordre pour savoir un peu ce que ça donne :)

dream-writer dream-writer
MP
Niveau 4
16 août 2017 à 14:06:32

Alors :

A partir de : Kilian eut un mouvement hasardeux…

Tu pourrais peut être parlé de la voiture ou de marseille dans un autre chapitre par exemple.

Surtout que tu en remets une couche après : Alors que les immeubles défilaient …

Ensuite : Ce qui était assez amusant avec la faculté…

Description sympa mais encore une fois un peu longue peut être ?

Par contre étrangement à la relecture ça passe beaucoup mieux.

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
16 août 2017 à 14:32:42

Ok je vois je vois. C'est parce que j'aime beaucoup prendre le temps de poser les décors ( et j'y prend du plaisir :-) ) mais bon si le plaisir n'est pas partagé et si effectivement ça nuit au tout, j'essayerais d'arranger ça.
Et content que ça passe mieux à la relecture par contre :hap:
Sinon pour le chapitre 2 j'ai ( un peu ) modifié le dialogue, juste pour rayer cette histoire de meurtre, bon je le trouve moins percutant du coup mais par contre c'est plus cohérent avec l'univers/l'ambiance generale, enfin je crois :hap:

"Il marqua une pause, sortit un Zippo au motif à moitié effacé et un paquet de cigarette qu’il tendit en direction de Ronan. Face au refus de ce dernier, il s’en alluma une et tandis que le goudron tapissait les muqueuses de sa gorge, il reprit :

— Et t’as jamais pensé à … enfin … tu vois ce que je veux …
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, que Ronan le coupa :
— À quoi ? À fuguer ? Non mais t’es sérieux ?! lâchât-il, un peu trop fort au vu des nombreux regards qui se tournèrent vers eux. Tu sais très bien que je tiendrais pas une semaine sans boulot, sans fric, sans toit où dormir. Et c'est pas toi avec ton salaire de merde et ton appart moisi qui va pouvoir m'empêcher de crever la gueule ouverte !
— Sauf qu'en attendant t'as plus de famille et tu sais très bien que si tu balance l’histoire aux services sociaux, le Diable finira par te retrouver un jour et là crois moi qu’il te le fera payer. À moins que tu préfères attendre qu’il te donne le coup de trop, celui qui te fera bouffer les pissenlits par la racine. C'est une option comme une autre, ajouta calmement Ghalib
— Tu sais quoi ? Merci, merci de me rappeler à quel point ma vie est merdique !

Intérieurement, Ronan bouillonnait. De nombreux gamins lorgnaient maintenant d’un œil intrigué dans leur direction. Le jeune garçon sentit une goutte salée lui chatouiller le coin de l’œil. Il tourna le dos à Ghalib et s’éloigna à grande enjambées.
— Attends mon pote, cria le jeune homme, les mains en porte-voix pour se faire entendre malgré la distance. C’est pas ce que je voulais dire ! Tu sais très bien que je veux simplement t’aider !
Au-dessus de son épaule, Ronan lui adressa un magistral doigt d’honneur et disparu dans la brume. "

dream-writer dream-writer
MP
Niveau 4
16 août 2017 à 15:09:51

"Ok je vois je vois. C'est parce que j'aime beaucoup prendre le temps de poser les décors ( et j'y prend du plaisir :-) ) mais bon si le plaisir n'est pas partagé et si effectivement ça nuit au tout"

A non mais c'est très bon, les passages en question sont excellent moi je dis juste que pour un début c'est dommage, surtout que ton histoire est intrigante et donne envie d'en savoir plus, je crois qu'il faut peut être plus dilué les descriptions dans le reste du roman c'est tout.

Ce n'est que mon avis bien sure.

Voila pour la réécriture c'est mieux :

j'adore le : Et c'est pas toi avec ton salaire de merde et ton appart moisi qui va pouvoir m'empêcher de crever la gueule ouverte

:)

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
16 août 2017 à 15:16:05

Le 16 août 2017 à 15:09:51 dream-writer a écrit :
"Ok je vois je vois. C'est parce que j'aime beaucoup prendre le temps de poser les décors ( et j'y prend du plaisir :-) ) mais bon si le plaisir n'est pas partagé et si effectivement ça nuit au tout"

A non mais c'est très bon, les passages en question sont excellent moi je dis juste que pour un début c'est dommage, surtout que ton histoire est intrigante et donne envie d'en savoir plus, je crois qu'il faut peut être plus dilué les descriptions dans le reste du roman c'est tout.

Ce n'est que mon avis bien sure.

Voila pour la réécriture c'est mieux :

j'adore le : Et c'est pas toi avec ton salaire de merde et ton appart moisi qui va pouvoir m'empêcher de crever la gueule ouverte

:)

Ok merci beaucoup je verrais alors, pour l'instant je vais continuer tranquillement l'écriture en prenant en compte tout ce que tu m'as dit, le prochain chapitre devrait comporter plus de dialogue d'ailleurs.
Mais j'aurais bien aimé avoir un premier chapitre plus "percutant" donc peut être que je le modifierais ulterieurement.
En tout cas merci encore pour tes retours :-)

KENTA75 KENTA75
MP
Niveau 10
16 août 2017 à 17:02:14

J'ai lu chapitre 2 mais pas encore le chapitre avec Killian.

Alors je tien à te dire que j'aime ton style. Après comme dit plus haut tu insistes beaucoup sur les descriptions personnellement cela ne me dérange pas tant que ça.

Le seul "hic" c'est que je trouve le rythme un peu (juste un peu) lent.

je vais lire le chapitre 1 !

KENTA75 KENTA75
MP
Niveau 10
16 août 2017 à 17:37:12

Je viens de finir le chapitre 1.

Pour tout te dire je l'ai préféré mais après c'est une question de gout.

Je trouve qu'il est plus rapide.

Le style est bon aussi :oui:

DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
16 août 2017 à 17:55:39

Merci beaucoup pour tes avis Kenta75
Et je sais que le rythme est lent rhaaaa ça m'énerve parce que même sans m'en rendre compte je laisse trainer l'action et en parallèle je me laisse emporter par des descriptions trop longues :-(
Mais bon je vais y faire plus attention promis !

pa-m pa-m
MP
Niveau 2
16 août 2017 à 18:58:03

Bonjour DomDomZ !

J'aime ton écriture. Elle manque parfois de travail, elle est encore très "brute" (fautes d'inattention, répétitions...) mais j'imagine que c'est un premier jet. Je trouve ça prometteur. Je n'ai lu que le chapitre II pour l'instant et même si j'ai aimé la manière dont tu décris certaines situations (la scène du cri dans la baignoire est très bien vue) il manque pour ma part une véritable histoire qui m'accrocherait. S'il y avait eu l'esquisse d'une trame à la fin de ton chapitre peut-être que j'aurais été davantage intrigué. Toutefois, même si je ne sais pas encore ce que tu souhaites raconter (une histoire de meurtre, d'évasion, d'amour, de vengeance, d'horreur??) je peux comprendre qu'en si peu de ligne tu n'ais pas eu le temps de mettre en place une véritable intrigue. Je suis peut être confus dans mes propos mais en résumé j'ai aimé la façon lyrique dont tu nous immerges dans un univers et dans les tourments de ton personnage mais il manque selon moi une vraie histoire sur laquelle tout cela peut s'appuyer.

Je lirais peut être le chapitre I par la suite !

Message édité le 16 août 2017 à 18:59:54 par pa-m
DomDomz DomDomz
MP
Niveau 7
16 août 2017 à 19:05:08

Merci pour le retour Pa-m !
En effet, je n'osais pas poster le chapitre 1 mais je pense qu'il est beaucoup plus judicieux de les lirent dans l'ordre, tu verra se dessiner un début de trame ( mais de toute façon le chapitre 3 devrait venir eclaircir tout ça :-) )
Donc je te conseille de lire le chapitre 1
Et en effet c'est un premier jet ( j'ai essayé d'éviter le plus possible les répetitions pourtant :s )
De toute façon je poste principalement des premiers jets que je peux ensuite améliorer grâce à vos retours :cute:
Par contre je n'ai pas mit de genre dans le titre car je ne sais vraiment pas dans quelle catégorie le classer, au vu de l'histoire que j'avais en tête :(

Message édité le 16 août 2017 à 19:06:58 par DomDomz
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