Sujet bonus
Date inconnue
1 Minute
Mandoudou VS eksanblue

Je vote pour Mandoulis

Whoah, j'ai beaucoup aimé, la brutalité contraste avec la banalité première du texte et assure l'accroche du lecteur. Une magnifique histoire racontée en peu de lignes, qui rentre parfaitement dans le thème. Le style souffre de quelques défauts mais ils ne pénalisent pas l'ensemble.

Merci !

Ps : perso je pense que tu devrais faire une nouvelle avec ce sujet, nous raconter l'histoire en détail du début à la fin, elle vaut la peine d'être contée !

Tu mets la barre haute http://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482269231-vallsquisuereupload.gifz
J'ai trouvé le texte poignant
Je vais finir par aller lire tes carnets moi

Merci pour vos commentaires. Ggiot, je sais pas si j'aurais le courage d'en faire une nouvelle. J'ai certes déjà toute l'histoire dans ma tête (c'st le genre de scénario catastrophe que je m"imagine dans ma tête avant de dormir), mais ce morceau là a déjà été difficile à écrire car, comme tu t'en doute, les personnages ne sont pas fictifs. à voir, je garde l'idée de côté!

En plus le concept d'augmenter la réalité avec du fictif est super intéressant, c'est un thème qui me passionne !

Je serai là pour lire si tu le fais, pour toi ce serait un bon moyen de témoigner de tes voyages sans faire du carnet !

J'ai décidé de lire le texte vu les avis très enthousiastes, on arrive facilement au bout de ce texte, vu le mystère de cette "minute" mais globalement je suis moins convaincu. L'auteur veut faire de l'émotion mais chez moi ça n'a pas marché, c'est trop forcé. Il y a beaucoup de pleurnicheries, le personnage doit dire 7 ou 8 fois qu'il a pleuré dû a ce drame terrible... A mon avis l'auteur est tombé dans le piege dans lequel il ne fallait pas tomber, tu arriveras a obtenir une lecture aboutissant a la lecture complète de nombre de forumeurs, mais ce texte, dans l'état des choses, n'ira pas plus loin dans la tete de ceux qui l'auront lu. Par là j'entends, ils se diront que la lecture aura été agréable, ça aura été suffisamment efficace le temps de 5 minutes comme un court divertissement qui rempli bien son rôle. Ca pourra aller plus loin si tu arrives a nuancer cette émotion exagerement mielleuse, alors on pourra parler éventuellement d'un texte avec de l'émotion. Heureusement l'idée de base est plutôt pas mal, donc il devient déjà plus facile de construire là-dessus que si l'idée n'était pas bonne. Mais après selon moi il y a énormément de modifications a apporter pour que ça en fasse un texte de haute volée. Et puis tu es conscient que c'est trop court pour en faire une nouvelle, de toute manière. Bref, je pense qu'en développant un peu tout ça le résultat pourrait devenir très intéressant

Ah tiens, j'ai lu mais j'ai pas commenté. Bon ben je commente.

C'est bien. Voila.
J'étais un peu mal à l'aise à cause de la partie autobiographique qui fait que je savais pas comment prendre le texte. D'un côté, ça m'a aidé à comprendre le lien du narrateur avec la famille, et également à le ressentir, mais d'un autre côté... Les événements et la perte sont assez diminué par ça. Simplement parce qu'on navigue entre un fantasme de perte, dans le sens où on sent que tu imagines s'il arrivait un malheur à cette famille, et un récit de perte, où dans cette fiction le malheur est arrivé et faut gérer. Au fond, le récit m'a plus fait l'effet d'une mise par écrit d'une peur que d'une vraie histoire, du coup, ça m'a gêné. Mais à part ça, ça se laisse lire et suivre.

Voila voila.

Avec un peu de retard, je n'étais pas chez moi le weekend...
Voila une petite nouvelle qui se fonde en partie sur un texte écrit à mes 16 ans.

Pas de sucre dans le café !

Le lycéen soupire. Il vient de terminer la lettre. Dans la chambre voisine, ses parents dorment déjà.
Il est certain de pouvoir mener son projet à bout. Personne ne viendra l'arrêter.
Il soupire à nouveau et se relit une dernière fois.

« C'est donc l'histoire d'un navire qui vogue sur un océan continuellement froid. C'est bâtiment fin, bien équipé et armé. Une belle réussite technologique, sans aucun doute.

Les avaries et les tempêtes se succèdent mais il tient bon, faisant la fierté de ceux qui comptent sur lui. Il est vrai qu'à bord, ceux sont des hommes compétents et endurcis. Mais il n'y a pas de cap sinon celui de continuer toujours droit devant. Jusqu'à ce que l'avarie de trop, la tempête de trop, ne finissent un jour par arrêter l'aventure. Dans un mois, un an ou cinquante.

Il existe en fait un plan de navigation, préétablie par les armateurs, et que le capitaine a pour mission de suivre. Ce plan est cohérent, bien pensé pour offrir la meilleure des routes. Mais les marins ont-ils vraiment envie de tout cela ? Le capitaine croit-il encore en leur mission ?

Un jour, quelques brèches fissurent la coque. L'ordre de les colmater ne vient pas. Surpris, ses hommes ne savent que faire. Le lendemain, le navire change doucement de direction. Là encore, c'est l'incompréhension. Mais qu'importe après tout, quelle importance ?
Les directives se font de plus en plus rares les semaines suivantes et quand il faut en exécuter, les marins ne se forcent plus. Le navire dérive au ralentie.

Le capitaine s'isole, rongé par la haine et les regrets. Il a suivi le plan pourtant. Il ne comprend pas.

Des mutineries éclatent. Elles sont réprimées dans le sang. Pour échapper au sonar des Autres, les armes à feu ne sont pas utilisées. Le pont se transforme en champ de bataille et l'on se bat au corps à corps dans cette cage de fer, au milieu d'une prison d'eau glacée.
C'est une boucherie d'une rare violence, on se tue entre frères, on règle ses comptes sur un fond de désespoir terrifiant. Les couloirs sont éclaboussés de sang, ils tombent par dizaine. Le capitaine lui même ne sait plus qui il combat ni pourquoi. Dieu a définitivement tourné le dos à ces damnés qui se massacrent au chant de la baïonnette.

Cette horreur était-elle nécessaire ? Qu'importe.
Le calme est obtenu. Le prix à payer dépasse de loin l'imagination. Il a fallu briser chacun pour qu'ils conviennent d'une solution qui ne plait à aucun. Ce sera bien la seule chose qu'ils auront décidé d'eux même.

Les messages du Croiseur au Monde se font de plus en plus lénifiants, rassurants, pleins de promesses. Aucun signal de détresse ne sera émis. Les moteurs sont simplement trafiqués pour fonctionner dans un boucan impressionnant.
Il ne faut ni inquiéter les navires les plus proches, ni les armateurs. Personne ne se rendra compte que la vitesse du bâtiment s'effondre.

Les tempêtes font tanguer le Croiseur toujours plus fort et les avaries s'aggravent sans que personne ne s'en inquiète maintenant. Le capitaine a désormais le sourire et ses hommes également. Ils ont abandonné et cela les rend serein. C'est une belle étoile qui ne brille plus et qui ne brillera plus jamais.

Au loin, une terre apparait. Le navire s'approche d'elle. Des rochers sont là, à la fois menaçants et envoutants. Les moteurs ronronnent plus fort. Un café à la main, le capitaine les regarde s'approcher toujours plus vite.

Sur le pont, la lassitude à gagner depuis longtemps. Aussi, personne ne réagit véritablement. Tout au plus, certains fument une cigarette en pestant sur le vent qui se lève.
Le capitaine contemple le journal de bord, amer sur la vanité des succès qu'ils ont emporté. A quel prix ? A quoi bon, finalement ? »

Le lycéen s'arrête. Aucune larme ne vient couler sur sa joue. Il n'est ni triste ni en colère, simplement épuisé. La tête lui tourne un peu. Le barbiturique a traversé l'épithélium digestif pour se répandre dans son sang.
Il est vingt-trois heure quarante. Sa main se saisit d'un cutter MAPED. La lame est froide sur son poignet gauche. Elle appuie contre l'artère radial qui pulse quelques millimètres plus bas. Aucune hésitation ne le saisit. Le geste sera libérateur. Enfin. D'un coup net et précis, il tranche le vaisseau et remonte l'avant-bras sur sept centimètre. Sa lettre en main droite, il se laisse tomber sur le lit.

« Il termine sa dernière gorgée quand une secousse terrible le fait chanceler. La coque se déchire dans un bruit crissant. Il se relève et se refait rapidement du café. Il s'en doute, il ne le boira peut être jamais. Cela le frustrerait presque.
Personne ne panique quand l'eau s'engouffre. Personne ne panique quand le navire se couche, lentement mais surement sur le flanc.
Quelques uns se demandent quand même s'il n'était pas préférable de continuer la lutte. D'autres veulent savoir si mourir est douloureux.
Le silence se fait assez rapidement et mues par un instinct millénaire, les hommes rejoignent le capitaine dans la cabine de commandement. Il n'y a là ni peur ni colère, simplement de la lassitude, ce sentiment étrange qui rend insignifiantes les choses les plus graves.

- Messieurs, acceptez la mort comme une douce caresse. De l'éternité, elle vous fait la promesse !

D'une même voix, un chant s'élève.
L'eau monte, elle est froide, si froide. Les hommes frissonnent. On se tourne vers le capitaine, a-il une dernière déclaration à faire ? Quelques mots pour réconforter le coeur de ses marins ?
Oui, il veut parler.

« Le café est prêt. Ceux qui le sucreront, vous irez en enfer. ».

Puis, quand l'eau envahit la cabine, il ne peut s'empêcher de se dire « Quel gâchis. ».  »

La tasse tiède est hors de porté. Tant pis. Les vertiges se font violents et son rythme cardiaque s'envole. Il contrôle sa panique, aidé par le somnifère qui commence à agir pleinement. Une flaque de sang se forme tout autour. Elle obligera les Autres à nettoyer. Ce sera sa petite vengeance. Mesquine mais douce. Une minute supplémentaire s'écoule. Il peut encore changer d'avis. Les souvenirs l'assaillent. Les regrets le brûlent. Il tient bon. Une minute durant laquelle il livre sa dernière bataille. La lettre lui glisse des doigts. Il a gagné.
Un sourire apaisé se fixe sur son visage livide.

-Zdec, ya zdec.

-Tchas tchas padajdi. J’arrive. I’m coming. Keep speaking to me! Govori! Parle ! Parle ! ”

C'est toi qui avais demandé si le mélange de plusieurs langues passerait? Parce que c'est l'un des passages du texte que je trouve le plus fort et qui sonne le plus juste pour moi. Et c'est peut-être encore mieux quand on comprend pas la langue, ça a même pas besoin d'être traduit. On sait ce qui est dit, on le sent, la situation suffit. Et le mélange confus entre les langues avec la panique etc ça passe très bien

Un autre passage que j'aime bien c'est:

Trente-deux mille huit cent cinquante-deux morts

je saurais pas trop te dire pourquoi mais il est terrible quand il tombe, et avec deux trois détails qui suivent (notamment la blessure qui ne guérira pas), ça sauve beaucoup de choses du texte

L'auteur veut faire de l'émotion mais chez moi ça n'a pas marché, c'est trop forcé.

Je pourrais pas être plus d'accord, j'arrive vraiment pas à rentrer dans l'émotion ici, surtout qu'en lisant on se dit précisément "c'est le genre d'histoire qu'on s'invente au quotidien", sauf que tu en retires pas l'aspect hollywoodien, héroïque et peu réaliste. C'est pas assez terrible, c'est trop romancé. Le héros en pleurs qui se sacrifie dans le froid pour retrouver sa famille pendant des heures et des heures sans que jamais personne ne passe pour l'aider ou avoir un échange sur la situation, le tout en hurlant face au vent dans une posture théâtrale, c'est trop grandiose. Et c'est pour ça que j'aime beaucoup les passages que j'ai cités en haut, parce que c'est à ces moments-là qu'on sort de la situation magnifiée et qu'on retombe dans du réel, dans du terrible. Boom. Trente-deux mille huit cent cinquante-deux morts. Et en toutes lettres s'il-vous-plaît, ce qui allonge bien le constat.

Il y a plusieurs choses qui sautent aux yeux quand on lit le texte
La première c'est, "encore un carnet"
La seconde c'est "ah ben non", le problème c'est que j'ai pas l'impression que ce soit mieux, parce que ça crée un décalage. D'un côté tu parles de toi et tu intègres beaucoup d'éléments du réel autour de ta vie, y compris des fantasmes, ce qui peut vite créer un malaise quand on prend pas la peine de se cacher derrière un personnage

De l'autre c'est quand même une suite d'évènements que tu inventes, et du début à la fin j'ai l'impression que t'aurais tout gagné à prendre un contexte et des personnages fictifs, même extrêmement proche du tien, ce qui ne t'empêche pas de quand même raconter les émotions que tu veux raconter.

Mais se mettre autant en avant dans un texte très porté sur l'émotion et le désir ça crée une impression à laquelle j'adhère pas trop

Cet aspect était déjà plus ou moins présent dans ton texte sur l'IRL d'ailleurs

Eksan:

Thème non respecté SpoilAfficherMasquer
Mandou non plus d'ailleurs, et un autre texte, je sais plus lequel, mais bon, au point où en est niveau participation

Mais qu'importe après tout, quelle importance ?

C'est plus ou moins deux fois la même chose

Le texte est très prévisible dans la mesure où avec le contexte qu'on a et le fait qu'il écrive une lettre, dès le début on comprend le double propos de l'histoire du bateau, ce qui enlève un peu de l'intérêt. C'est un thème extrêmement récurrent le coup du bateau/vie donc autant l'annoncer le moins possible. Pousser la métaphore jusque dans le suicide c'est un peu moins convenu pour le coup, donc ça passe bien

Une chose à garder en tête pour faire un double sens filé parfait, c'est de ne dénigrer aucun des DEUX sens du texte. C'est-à-dire que peu importe à quel point tu veux raconter un suicide (même si tu peux dire que c'est pas toi mais un ado, donc il s'en fout de l'aspect littéraire du truc), pour avoir le maximum d'impact il faut aussi que l'histoire du bateau en elle-même tienne debout. D'ailleurs ça rappelle le texte avec la fable, qui passait un peu mieux du fait que le genre de la fable se prête très bien au sous-entendu.

Ce que je veux dire c'est que par moments on sent trop que tu penses à la réalité, et on voit exactement à quoi tu fais référence dans la réalité, mais ça ne correspond à rien de très logique dans ton histoire de bateau, et donc on a l'impression que tu délaisses le tout premier plan. Et je pousse à l'extrême mais si tu fais une métaphore sans pouponner le récit au premier degré, et que tout le monde sait pertinemment de quoi tu parles au second, ça ne changerait pas grand chose de dire directement ce que tu veux dire, du point de vue stylistique la métaphore perd son intérêt.

Je développe l'idée longuement pour être sûr de me faire comprendre mais en vrai c'est une petite remarque qu'on se fait à un ou deux moments du texte, pas un truc qui plombe complètement l'ambiance. Je pense que ça peut devenir un texte hyper intéressant si tout ce que tu racontes correspond à quelque chose d'un peu plus consistant et étoffé côté bateau

Je pense que je préfère le texte d'eksan-blue1

J'ai sué en te lisant

Merci de ton commentaire, je pensais que j'avais bidé
Je suis tout à fait d'accord avec toi, ça aurait pu être beaucoup mieux mais à ma décharge :
- J'ai manqué de temps, ça se sent beaucoup
- On pardonnera la qualité de la lettre, elle est réellement écrite à l'âge du héros. Je n'ai que corrigé un peu sans rien dénaturer. Il n'y a que la fin + la méthode qui a été changée. Je ne voulais pas donner la véritable idée de cet idiot qui s'en ai tiré sans séquelle visible. Une chance digne d'un vainqueur de l'euromillions
- Je ferai mieux la prochaine fois, prépare tes fesses Mandou

encore une fois la longueur du commentaire ça veut pas dire que j'ai un énorme problème avec le texte, c'est juste que j'essaye de développer l'impression que j'ai en lisant, histoire de pas dire "ah ouais cool, +1"

Lu. Deux fois même, un peu obligé vu la teneur à double-sens du texte.
Lors de ma première lecture, j'ai désespérément cherché ce à quoi tu pouvais faire référence, en vain. Parce qu'on sent que ce n'est pas une histoire juste racontée comme ça, qu'il y a une métaphore derrière. J'ai donc compris à la fin.
J'ai bien aimé dans l'ensemble, malgré les quelques coquilles et mots manquants. Dommage que tu n'aies pas exploité davantage le thème de la minute.

Pour répondre aux comms vite fait, déjà merci de votre lecture.
Ensuite pour l'émotion, j'ai pas essayé de faire dans le mielleux pourtant, j'ai tout pondu d'un coup tel quel ou presque, je relirai pour voir si y'en a vraiment trop.
Concernant le côté autobiographique, je suis conscient que ça peut gêner, mais j'ai même pas pensé à faire sans, comme le suggère Veyli. Je suis bien plus à l'aise en autobiographie, et je dois réussir à m'en détacher davantage.
Veyli, oui, c'est effectivement moi qui avait demandé pour le mélange des langues. Content que ça passe.
Par contre, où ça que j'ai pas respecté le thème? Neg avait dit flash-back autorisés.

Ah oui j'ai dit n'imp désolé

eksan-blue

Eeeuh. Ouais. Ok. Tu sais, on peut en parler, si t'as des ennuis ou des trucs du genre.

Blague à part... Bah l'idée de la mise en abyme du récit me plait bien mais... Il est pas très bonne cette histoire de croiseur. Peut-être que c'est cohérent avec le style d'un ado dépressif, mais bon, si c'est l'effet recherché, il aurait fallu contre-balancé avec d'autres passages plus développé pour qu'on sente que c'était voulu. Ah et puis, on peut pas se tuer en s'ouvrant les veines / artères. Parce qu'une fois à l'air libre, ça se collapse. Pour ça qu'il faut se tailler dans un bain chaud pour que ça marche...

Et quoi faut voter en plus ? Eeeeuh... Mandou ? Par dépit.

Bon, j'ai lu les deux, je ferais pas un commentaire très long.

Mandoulis Je suis globalement de l'avis de Veyli, même si il y a quand même quelques images chocs qui s'établissent: ce sont des choses qu'on imagine tous, et tu nous fournit finalement un matériel très brut, pas encore passé au moulinet de la fiction, ce qui est dommage. Ce que j'ai apprécié, pour un non-lecteur des carnets, c'est que finalement, on se retrouve un peu dans cet univers, sans connaître les personnages, et ça semble un peu naturel: on a pas besoin de les connaître pour avoir la souffrance.

eksanblue C'est la semaine des métaphores. J'ai personnellement bien aimé certaines images qui m'ont semblé très parlante, la bataille interne, le fait que les messages du galion sont de plus en plus rassurants alors que tout va de plus en plus mal. Juste un regret, je pense qu'il y avait moyen d'articuler la métaphore d'une meilleure façon qu'une lettre avant le suicide.

Mon vote va à eksanblue

Merci pour le retour, ça fait toujours plaisir
Et bon courage si jamais tu te lances dans les carnets

Sinon Negatum pour les prochains Ddp, le trompe-l'oeil (enfin la métaphore mais je sais pas si on peut appeler ça une métaphore à l'échelle d'un texte entier) ça peut être super cool ! Mais à voir avec quoi l'associer pour différencier d'un jour à l'autre

Ah, bonne idée ! Je suis sur une série là, donc je sais ce que je vais faire pour le suivant, mais la fois d'après ça peut être intéressant. Je vais y réfléchir.