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Sujet : Ma toute première scène érotique

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1
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Corleoness Corleoness
MP
Niveau 3
22 février 2017 à 20:19:36

Bonjour à tous, :hap:

Je viens de fignoler une petite scène érotique. C'est bien la première fois que je m'essaie à ce genre d"exercice. J'y ai pris beaucoup de plaisir. :oui:
Ce que je vous poste ici est la première partie. Une partie de mon travail que je juge terminée et aboutie. J'ai déjà commencé à écrire la suite pour ne pas laisser sur leur faim les éventuels kheys qui auraient apprécier.
J'attends de vous un avis honnête sur mon travail. Si c'est bon, cela me fera plaisir. Si c'est à chier, je suis prêt à l'entendre. + les points d'amélioration possibles (style, orthographe, grammaire, temps, etc.)
Merci d'avance. :hap:

20 ans d’écart

Elle devait avoir la quarantaine et était encore épargnée par l’implacable écoulement du temps. Je me souvins surtout d’un timide sourire, qu’elle m’accorda lors de notre premier entretien. Cela n’alla pas plus loin. Quelle platonique relation pour un début. Des « Bonjour »,des « au revoir », et des hochements de tête désintéressés me suffisaient. Et ils suffisaient à chaque client. Car des clients, j’en servais des centaines par jour. Mais pour elle, ce lot d’amabilités artificielles ne suffisait pas. Il lui fallait autre chose. Chaque jour, elle passait me voir, prétextant l’oubli d’une bouteille d’eau ou d’un paquet de bonbons. Chaque jour, elle s’affublait du plus large de ses sourires, du plus évocateur de ses regards, que je m’évertuai à ne pas surinterpréter. Je crois qu’elle me plaisait. Déjà. Ma timidité est un fardeau qu’elle supporta de tout le poids d’une conversation qu’elle amorça par un matin de juin. J’étais célibataire à l’époque, et cela ne la surprit pas de l’apprendre. Je l’invitai à aller boire à un café pour faire connaissance. Elle me pressa le pas. Elle me voulait chez elle et me dit de passer en début de soirée.
Une fois ma journée terminée, je me traînai devant sa porte le cœur serré. Un croissant de lune encore pâle m’observait appuyer fébrilement sur la sonnette. Le son strident qui s’en émana me fit tressaillir. Impossible de se débiner. Pour une fois dans ma vie, j’allais porter ce qui logeait dans mon entrejambe, et chasser mon naturel pusillanime.

Elle vint m’ouvrir.

C’était une élégante quadra d’environ un mètre soixante, coiffée d’une lourde chevelure noire ébène qu’elle laissait libre. De ces yeux, je ne pus que constater furtivement un brun obscur, tant mon regard soutenait difficilement le sien. Elle portait une paire de lunettes noires qu’elle n’ôtait que rarement. L’amour n’en fit pas exception. Pas même lors de l’amoncellement sur son visage d’une quantité de foutre que je ne me serais jamais cru capable de sécréter sans elle. C’est toutefois un point précipité de l’histoire, et nous aurons l’occasion d’y revenir plus tard. L’accessoire soulignait en elle un paradoxe que je m’apprêtais à discerner. Celui d’une femme rangée et sérieuse, mère de deux enfants. Trompée et trahie par un mari cupide et bien trop près de sa fortune. Une femme divorcée, accaparée par les autres, et qui, de ce fait, n’eut que trop peu l’occasion de révéler à autrui l’enivrante nature de sa personne.

Son petit jean bleu marine épousait parfaitement les délicates courbes de ses jambes. Une paire de bottines noires venaient parachever l’ouvrage. Enfin, et c’est sans doute ce qui m’alerta le plus, son buste était recouvert d’un mince chemisier en satin noir qui protégeait élégamment une poitrine rehaussé d’une hauteur. Une petite poitrine aux seins pommelés que ma bouche ne tarderait pas à rejoindre. Il me fut impossible, et pour quelques secondes, d’en détourner mon regard. Elle le vit, et ne s’en offusqua pas. Elle savait pourquoi nous étions l’un en face de l’autre. Dans cette position, tout nous était permis. Chaque mot, chaque geste jugé quotidiennement défendu devenait le fruit d’un jeu érotique. La partie avait déjà débuté, à mon insu. Le port d’un tel décolleté ne laissait que peu d’ambigüité sur la scène que nous étions sur le point de jouer.
Elle m’autorisa à entrer par une affable invitation. Je me déchaussai et la suivis dans un salon enluminé capricieusement par quelques bougies. Elle avait mis les formes. Je n’en étais que plus déterminé.
Elle nous servit du champagne et me demanda si j’avais l’habitude d’en boire. J’acquiesçai, encore un peu timidement. Je trouvai le choix de l’alcool grotesque. Elle me rétorqua que l’alcool ouvre les cœurs. J’avais l’impression de revivre la scène d’un mauvais porno des années 90 sur lequel je me masturbais encore frénétiquement l’avant-veille. Cela m’excitait d’autant plus.

Après avoir trinqué, j’engloutis une bonne moitié du verre qu’elle m’eut servi. Réminiscence de mes années de beuverie étudiante. Car en vérité, je ne savais comment situer notre relation. La voyais-je comme une femme, une vraie, de celles que l’on respecte et à qui l’on tente d’offrir le plus bel aspect de nôtre âme pervertie ? Ou la regardai-je comme une amie plus intime, avec qui il me serait possible de plaisanter, allongés l’un contre l’autre, jusqu’aux premiers tintement d'un soleil qui viendrait éveiller nos corps encore endoloris. La seconde option me parut la bonne. Si elle m’avait invité, alors je lui plus tel quel. Il aurait été vain de jouer la surenchère. Elle aurait peut être eu la désagréable sensation de coucher avec un autre homme, et cette étrange attraction se serait évanouie comme elle est née. Cette étincelle de désir, je comptais la couver. Oui, j’allais faire l’amour à cette femme. Fuir m’était impossible. Je n’en avais même plus envie.

Au détour d’une conversation sur nos goûts en matière de cinéma, elle déposa sa main sur le haut de ma cuisse. Ce qui consolida une érection déjà naissante. Mon organe était ferme, prêt à déboutonner lui-même les entraves qui scellaient encore (mais pour très peu de temps) son sort. L’empressée prit finalement l’initiative. Elle commença par défaire son chemisier. Je la regardai faire, attaches après attaches puis le lança en arrière. Elle dégrafa d’une main son soutien-gorge, et déboutonna habilement de l’autre mon jean qui me semblait avoir rétréci d’une ou deux tailles. Dans un élan fiévreux, elle m'ôta cette guenille et la parachuta sur le bureau d’en face. Je sentis en elle le désir d’en découvrir davantage. Elle s'arrêta au dernier obstacle que constituait mon caleçon noir pour venir se positionner sur ma verge, et commença à frotter sa chatte que je sentis larmoyante à travers les deux bouts de tissus qui nous séparaient encore. La situation était intenable. Son regard à hauteur de mon torse pénétra le mien par un effet de plongée contre-plongée. Elle, me perçant de la lueur noire de ses yeux. Moi, l’admirant comme on admire une toile inachevée. Elle ne parlait pas. Le brillant de ses yeux s’exprimait et se suffisait. Je la sentis vaciller, elle criait intérieurement. Elle hurlait. Elle me voulait. Je ne me fis pas prier.

Mon corps se mit machinalement en mouvement. Mes doigts caressèrent la dentelle noire de ses dessous. J’insistai sur ce que je devinai être son clitoris. Mais ce que je vous décris là ne dura pas dix secondes. Moi, hagard depuis mon arrivée, je devins l’impatient jeune homme qu’elle espérait. Ses bas ne résistèrent pas. Ils disparurent en si peu de temps, que je surpris moi-même l’une de mes mains parcourant sa voluptueuse chatte glabrée. Je constatai avec candeur que mes mouvements vifs et accélérés renforçaient la cime de ses seins. Pris d’une pulsion qu’elle m’incita à libérer, je mis en bouche le bout de son sein gauche. Je le mordillai, le suçai, le léchai, tout à la fois. Ma main gauche déjà affairée, c’est à ma main droite que vint la curieuse envie de soutenir mon effort, lui empoignant fermement ce sein par le bas. Cette action le fit remonter juste assez pour qu’il m’apparaisse plus ferme et imposant que jamais. Ma bouche s'imprégna de cette divine accoutumance. Une ambroisie de sang. Je scrutai la moindre de ses réactions. Elle manifesta les prémices d’un plaisir sourd par quelques souffles qu’elle voulut étouffer par un râle. Elle cessa ce petit jeu après une minute, me repoussa avec violence, et me fit basculer sur le dos. Entoura d’un tentaculaire jeté de main ma verge saillante, étala sur le bout de sa langue une perle de semence translucide qui se dérobait de mon urètre gonflé. Enfin, et comme pour conclure une introduction qui ne l’avait que trop retenue, elle avala mon sexe d’une seule traite, entièrement, cette affamée femelle. Pris d’une fulgurante jouissance, je défaillis une première fois. Au bout de quelques secondes seulement. Je sentis une pression s’exercer autour de mon sexe. Elle savait faire plaisir à un homme, et ne s’arrêta qu’une fois la totalité de ma semence déployée au fond de sa gorge. Mon sperme coulait sur les draps et sur sa main. Elle releva la tête et me lança un regard tendre et satisfait. De sa bouche fuyait une libation albâtre qu’elle n’avait qu’à demi avalée. Ses yeux rutilaient des passions qu’elle déchainait en moi. Mon sexe lui, resta fièrement dressé. Ce qui m’étonna. Apparemment, je n’en avais pas encore tout à fait terminé avec elle.

Message édité le 22 février 2017 à 20:21:07 par Corleoness
TheSniderMcWood TheSniderMcWood
MP
Niveau 10
22 février 2017 à 20:44:47

À ce niveau c'est plus de l'érotisme c'est du bon gros porno [[sticker:p/1kkr]]

Corleoness Corleoness
MP
Niveau 3
22 février 2017 à 20:47:48

Le 22 février 2017 à 20:44:47 TheSniderMcWood a écrit :
À ce niveau c'est plus de l'érotisme c'est du bon gros porno [[sticker:p/1kkr]]

Ouais, j'ai peut être un peu sous-estimé la chose :rire:

eksanblue eksanblue
MP
Niveau 10
22 février 2017 à 20:49:04

Il y a des trucs à alléger comme ici :

"Ma timidité est un fardeau qu’elle supporta de tout le poids d’une conversation qu’elle amorça par un matin de juin."

Là, tu m'as traumatisé. A modifier :(

"Entoura d’un tentaculaire jeté de main ma verge saillante, étala sur le bout de sa langue une perle de semence translucide qui se dérobait de mon urètre gonflé"

Manque de dialogue également. Là, on a l'impression que ton récit manque de vie... Tu gagnerais vraiment à en mettre :oui:

Et aère le texte :noel:

Je n'accroche vraiment pas du tout au style. Tu oscilles entre des mots crus et d'autres que je ne comprends même pas :hap:

Sinon de façon générale, c'est plutôt bon. Loin des trucs sordides que j'ai pu voir :noel:.
S'il y a une suite, je lirai :oui:

Corleoness Corleoness
MP
Niveau 3
22 février 2017 à 20:51:28

Le 22 février 2017 à 20:49:04 eksanblue a écrit :
Il y a des trucs à alléger comme ici :

"Ma timidité est un fardeau qu’elle supporta de tout le poids d’une conversation qu’elle amorça par un matin de juin."

Là, tu m'as traumatisé. A modifier :(

"Entoura d’un tentaculaire jeté de main ma verge saillante, étala sur le bout de sa langue une perle de semence translucide qui se dérobait de mon urètre gonflé"

Manque de dialogue également. Là, on a l'impression que ton récit manque de vie... Tu gagnerais vraiment à en mettre :oui:

Et aère le texte :noel:

Je n'accroche vraiment pas du tout au style. Tu oscilles entre des mots crus et d'autres que je ne comprends même pas :hap:

Sinon de façon générale, c'est plutôt bon. Loin des trucs sordides que j'ai pu voir :noel:.
S'il y a une suite, je lirai :oui:

Merci d'avoir lu. [[sticker:p/1ljp]]
Je te réponds en détail dès que je rentre, je dois sortir.

Corleoness Corleoness
MP
Niveau 3
23 février 2017 à 23:47:43

Le 22 février 2017 à 20:49:04 eksanblue a écrit :
Il y a des trucs à alléger comme ici :

"Ma timidité est un fardeau qu’elle supporta de tout le poids d’une conversation qu’elle amorça par un matin de juin."

Là, tu m'as traumatisé. A modifier :(

"Entoura d’un tentaculaire jeté de main ma verge saillante, étala sur le bout de sa langue une perle de semence translucide qui se dérobait de mon urètre gonflé"

Manque de dialogue également. Là, on a l'impression que ton récit manque de vie... Tu gagnerais vraiment à en mettre :oui:

Et aère le texte :noel:

Je n'accroche vraiment pas du tout au style. Tu oscilles entre des mots crus et d'autres que je ne comprends même pas :hap:

Sinon de façon générale, c'est plutôt bon. Loin des trucs sordides que j'ai pu voir :noel:.
S'il y a une suite, je lirai :oui:

Voilà, j'aurais finalement mis plus de temps que prévu. :noel:

Je suis tout à fait d'accord sur le style parfois lourd. C'est quelque chose qu'on me reproche assez souvent, et c'est pas faute d'essayer de corriger le tire... Pareil pour le style. Ma propre copine n'est pas tout à fait fan. Elle me juge parfois trop pompeux (même si elle apprécie quand même ma plume. Pas toujours quoi :hap: ).

En ce qui concerne les dialogues, j'avoue que ça réglerait deux problèmes à la fois. Le texte serait plus aéré et la scène gagnerait en vie. :oui:

Pour l'urètre gonflé, y'a sûrement moyen de trouver un terme plus léger oui. :rire:

Merci d'avoir pris le temps de poster. C'est sympa. [[sticker:p/1kkr]]

Message édité le 23 février 2017 à 23:48:18 par Corleoness
Suledhel Suledhel
MP
Niveau 10
25 février 2017 à 22:40:00

Bonsoir et bienvenue !

Je t'invite à prendre connaissance des règles du forum https://www.jeuxvideo.com/forums/ecriture/regles-forum/58, qui précisent notamment qu'il convient de donner un "vrai" titre à ton topic - celui du texte dans lequel cette scène est appelée à s'insérer (sans mauvais jeu de mots :noel: ), par exemple. En attendant je locke, mais n'hésite pas à recréer un topic avec un titre conforme :-))) Merci et belle soirée !

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