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Sujet : [Tranche de Vie] L'imposteur

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UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
18 mai 2016 à 17:35:00

- Prologue -

Imposteur : Personne qui trompe par de fausses apparences, qui se fait passer pour quelqu'un d'autre...

Un imposteur ? Paul ne l'était pas. Enfin, pas encore. Car pour l'instant il ne va pas bien, il se regardait dans le miroir et repensait aux mots qu'Isabelle avait prononcé.

"Jamais !Jamais ! Jamais ! Je te répondais parfois par pitié, mais t'es trop bizarre, je ne peux pas sortir avec un gars comme toi."

Parfois, les mots peuvent être plus blessant que le plus tranchant des couteaux. Les larmes aux yeux, son reflet dans la glace l'exaspérait, il détestait la personne qu'il avait devant lui ! Soudain, d'un coup de poing puissant, Paul détruisit ce miroir de malheur, sans manquer de se couper la main et de saigner comme une fontaine. Ce genre de blessure fait très mal, mais le pire dans tout ça c'est que le jeune garçon est hémophile; une maladie sanguine qui empêche le sang de coaguler et va donc le faire se vider de son sang. Paul poussa un cri avant de s'évanouir, et de tomber par terre. Il allait mourir là, comme une bête égorgée par un boucher halal. Il aurait rêvé d'avoir le temps de quitter le lycée, de regarder Karim le mec qui le harcelait depuis la 5ème en face ,et de lui mettre son poing dans la figure. Mais c'était une petite nature, et c'est peut être ça qui a causé sa perte.

Miraculeusement, sa mère accourt vers la salle de bain où elle voit son fils étendu par terre, sa main gauche gisant dans une flaque de sang.
"Au mon Dieu ! Qu'est-ce qui s'est passé ! Paul, réponds-moi ! ", balbutia-t-elle apeuré.
"Une ambulance! Vite, vite !!" , Répéta Sandrine en se dirigeant vers le téléphone fixe de la maison, aussi vite qu'elle pu.

-Service des urgences, quel est la raison de votre appel ?
-Mon fils... Mon fils s'est coupé la main, il pisse le sang !!! Envoyez une ambulance vite !! Il est hémophile et a fait un malaise !
-D'accord, où résidez vous ?
-Rue de Poitiers, résidence numéro 3. Faites vite, s'il vous plait !
-Une équipe arrive vers vous de toute urgence.

Les paroles de la jeune femme enlevaient un poids colossale des épaules de Sandrine, qui se dirigea maintenant vers la trousse de secours et tenta de faire un bandage de premier soin à son fils. Elle réussit, puis le porta l'entrée de l'immeuble là où les ambulanciers emportèrent Paul et sa maternelle vers l'hôpital. Mais une question torturait la bonne femme. Comment est-ce que Paul en était arrivé là ?

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
18 mai 2016 à 17:37:51

Ceci est le prologue d'une FIC que j'avais publié sur le forum du -15 ans. J'aimerais juste savoir ce que vous en pensez, toutes les critiques sont les bienvenues :hap:

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
18 mai 2016 à 17:38:44

Ceci est le prologue d'une FIC que j'avais publié sur le forum du -15 ans. J'aimerais juste savoir ce que vous en pensez, toutes les critiques sont les bienvenues :hap:

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
18 mai 2016 à 17:39:39

Excusez le double post, si vous voulez voir la suite elle est sur le -15 cherchez juste "[FIC] L'imposteur"

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
21 mai 2016 à 07:37:24

- CHAPITRE I : Renaissance -

La pluie tombait à grosses goutes sur la vitre de la chambre d'hôpital où était installé Paul, c'était une chambre double mais il le lit adjacent au sien était vide. Il ouvrait les yeux pour découvrir qu'il n'était pas chez lui. D'un coup d'oeil rapide, il balaya la salle du regard remarquant par la même occasion la teinte beige des murs, les cadres photos représentant des animaux de compagnie et les ballons "Bon rétablissement" avant de soupirer :

-"Ah... L'hôpital..."

Soudain, la porte qui donnait sur sa chambre s'entrouvrit et Paul reconnu un son particulièrement familier, le bruit d'une console de jeu PSVITA qui se faisait laminer par des coups brutaux. Il dit le sourire au lèvres :

"-Hugo ? T'es encore en train de jouer à Mortal Kombat ?"

Hugo, tout surprit, laissa sa console et s'avança rapidement vers Paul pour lui crier :

"-P*TAIN J'Y CROIS PAS ! T'ES TROP FORT! Paul le Grand se relève d'entre les morts !!
-On peut dire que tes rimes moisies n'étaient pas forcément la cause de mon retour, d'un air ironique
-Haha ! Tu vois pas d'inconvenant à ce que je t'appelle Lazare* désormais ? Car avec la tête que tu fais, on dirait vraiment que tu es zombifié.
-Regarde, dit-il en montrant sa main gauche bandée, j'ai perdu beaucoup de sang. Je ne serais pas humain si j'étais pas pâle. D'ailleurs, comment as-tu su que j'étais ici ?"

Hugo pris un moment avant de répondre, puis balbutia :

-"Bah...Enfaite...si tu veux la vérité...
-Quoi ? Qu'est-ce-qu'il y a ?, répondit Paul bien intrigué
-Bah enfaite quand tu es entré ici, ta mère m'a appelé. Elle et les médecins pensent que tu as fait une tentative de suicide , chuchota-t-il effrayé
-Quoi ma mère pense ça ? Mais où est-elle maintenant ? Je dois lui dire que ce n'est pas vrai ! Et l'ont-il dit à d'autres personne que toi ? répondit Paul, ayant repris du poil de la bête
-Non...Enfin je sais pas... Mais tu vois, comme je suis ton meilleur ami je pense que je suis là seul personne à avoir été mis au courant. Et si non, ta mère est rentré chez vous pour se laver et mettre des habits propre sur ordre du médecin. Je l'ai vu ce matin en venant, elle est resté toute la nuit avec toi surement dans l'espoir que tu te réveilles. La pauvre, elle avait encore ses vêtement tachés de sang. Elle tient beaucoup à toi"

Paul commençait à douter de lui même, il avait besoin de temps pour réfléchir. Il ne savait pas si l'acte qu'il avait commis pouvait être apparenté à une tentative de suicide. C'est sûr qu'au moment même, il avait envie d'en finir... Mais il n'aurait jamais pu infliger ça à sa mère, la personne qui comptait le plus à ses yeux et qui de plus, n'aurait pas supporté la mort de son marie puis de son fils, 2 années consécutives et surtout pas un double suicide !

En effet, le père de Paul s'était suicidé accidentellement par overdose de médicaments. Mais Paul n'avait guère de sentiments pour son paternel. C'était un homme alcoolique et coléreux, il bâtait sa femme et son fils pour un tout ou pour un rien, et même dans sa famille la rumeur courait que c'était un homme violent mais personne n'en était à 100% persuadé. À l'enterrement, personne ne versa une seule larme sur la tombe du défunt ; mis à part Sandrine bien sûr. Quel triste fin pour une triste vie ! Car avoir un bel enterrement, c'est avoir un enterrement triste.

Paul reprenait ses esprits et demanda à Hugo :
-"S'il te plait Hugo, tu peux aller chez moi me chercher mon ordinateur ? Comme je vais passer quelques jours ici, j'aimerais avoir une distraction tu vois ?"

Hugo n'aimait pas beaucoup rendre service, mais il ne pouvait pas refuser ça à son ami mourant et il avait bien sentit que Paul avait besoin d'être seul quelques instant. En plus, il venait d'avoir un plan pour lui changer idées.

Il répliqua :
-"C'est d'accord, mais à une seul condition !
-Laquelle ?
-Je veux que tu auditionne pour la pièce de théâtre du lycée. Tu sais, celle dont je t'ai parlé il y a quelques jours.
-Ah je vois de quoi tu parles. Mais tu sais, le théâtre c'est ton truc; je serais probablement nul.
-Allez, fait un effort, on n'a aucun club en commun. Et en plus je suis sur que tu seras très bon !"

Paul hésita encore un peu, mais après tout, ce n'était peut-être pas une mauvaise idée. Il sourit et hocha la tête en signe d'acceptation en balbutiant le mot "D'accord"

Hugo était heureux de la promesse de son ami. Il savait que Paul avait besoin d'être entouré et il avait espoir que jouer dans une troupe lui change les idées. Il salua rapidement son ami et couru honorer son contrat de peur que Paul change d'avis.

  • : Dans la Bible, Lazare s'est relevé de son tombeau quand le Christ le lui a ordonné. L'auteur essaye clairement ici d'étaler sa culture au profit de ses lecteurs.
UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
21 mai 2016 à 19:14:16

Esprits si vous avez lu mon texte, manifestez-vous :hap:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
21 mai 2016 à 19:20:03

Nope, j'ai pas pris le temps. Je te conseille de commenter des textes pour qu'on t'identifie et qu'on aille voir ta production ^^

Je fais ça ce soir si je peux :)

Message édité le 21 mai 2016 à 19:20:43 par ggiot
UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 09:18:50

-Chapitre 2-
Confrontation

Ça faisait déjà 20 bonnes minutes que Hugo avait quitté la chambre d'hôpital où Paul était alité. Ce dernier avait perdu la notion du temps, il se posait tellement de questions qui demeuraient sans réponse. Il cogitait bruyamment, tiraillé de tout les sens par sa conscience :

"Comment ai-je pu être capable de faire ça ? C'était un acte extrêmement immature; je suis vraiment le dernier des imbéciles ! Pourquoi est-ce que j'agis toujours sans réfléchir ?

NON C'EST FAUX ! C'est à cause d'Isabelle ! Si elle ne m'avait pas rejeté comme une merde, je n'aurais jamais agis comme ça !!!

C'est peut être parce que je ne suis pas assez bien pour elle. Tout les mecs avec lesquels elle traine sont grands, musclés, riches et populaires. Comment pourrait-elle s'intéresser à un type comme moi ? Ma puberté tardive me condamnerait-elle à la pucellerie éternelle?

Non, je ne veux pas croire ça. En plus, le refus d'Isabelle n'a rien à voir avec mon incompétence à contrôler mes émotions. Je suis le seul responsable."

Mais encore fallait-il l'expliquer à sa Mère qui revint frapper à sa porte accompagné d'Hugo. Sandrine fit signe au meilleur ami de son fils de les laisser seuls quelques instants. Elle prit la parole :

"-Paul, mon trésor comment te sens-tu ? Je me fait tellement de soucis pour toi...
-Bien mieux Maman, merci. Je serais sur pied demain et je pourrais partir d'ici.
-Il est hors de question que tu sortes d'ici avant de m'avoir dit ce qu'il t'est arrivé. Pourquoi as-tu frappé ce miroir ?
-Ah ce n'est rien maman... Il y avait une araignée dessus et tu connais ma phobie pour ces sales bêtes..."

Sandrine prit l'oreille de son fils et la tira assez fort pour qu'il se mette à crier :

"-AÏE ! Ça fait mal !
-Paul je te connais mieux que tu te connais toi même, je suis ta mère.
Je sais quand tu mens. Dis moi la vérité
-Mais c'est la vérité !
-Non, je sais que ce n'est pas la vérité. Dis moi la vrai raison tout de suite !
-Tu ne sais rien ! Tu ne me connais pas ! Fiche moi la paix ! Je veux plus te voir, retourne chez ce crétin de Thomas !, s'exclama Paul les larmes montant sur ses yeux sombres comme la nuit"

Thomas était le petit ami de sa mère; il était avocat, très poli et traitait Sandrine avec respect. En fait, Paul l'aimait bien. Mais sous l'effet de la colère, les hommes disent parfois des phrases qu'ils redoutent au paravant et regrettent après coup. Il avait besoin de jeter la première pierre sur quelqu'un, et qui de mieux que le nouveau petit ami de sa mère, si mal vu par la famille pour avoir courtisé quelques mois après le décès du paternel. Paul n'osait pas avouer que c'était une fille qui l'avait mis dans cet état, surement par honte de décevoir sa mère. Malheureusement cette dernière compris tout de travers, et cette histoire allait mettre Thomas sur le banc de touche à partir de maintenant. Sandrine reprit la parole :

"-J'ai fait quelque chose de mal ? Oh, je m'en veux terriblement de t'avoir fait subir ça... Comment puis-je faire pour me faire rattraper ?
-Laisse moi seul, dit-il en séchant ses larmes. "

La pauvre femme s'exécuta, et sortit de la pièce les larmes aux yeux. Aussitôt cette dernière sortit, Hugo rentra en fracas dans la chambre. Il se mit à passer un savon à son ami encore sous le choc :
"-Mais Paul; Qu'est-ce qui ne va pas bien chez toi ? Ça t'amuses de faire pleurer ta mère ? Tu crois que tu ne lui a pas causé assez de malheurs comme ça ? T'es trop con mec, c'est la personne qui t'aime le plus sur terre et regarde comment tu la traites. C'est bon... Prends ton ordi de merde, je me casse, dit-il en jetant le PC de Paul sur son lit d'hôpital et en lui brandissant un doigt d'honneur.
-C'est ça, casse-toi ! De tout façon j'ai pas besoin de toi, dit Paul avec regret"

Il était désormais seul.

Le jeune garçon, enroulait un coussin autour de sa tête pour que l'on ne l'entende pas pleurer. Après quelques heures d'hésitation, il prit son PC et se rendit sur sa page Facebook, là où il ne cessait d'envoyer des messages d'excuse. Mais au bout de 30 minutes d'attente et de 27 messages sans réponse, il désespéra.

Sa tête tomba sur son lit, remplie de de chagrin. Il regarda l'horloge qui indiquait 1:26 AM. Son ventre gargouilla, et il se souvint de la faim. L'infirmière devait déjà être passé dans sa chambre il y a quelques heures pour lui apporter son diner, il ne l'avait pas touché. Il valait mieux reprendre des forces et Paul mangea abondamment son plat froid, tout en maudissant le ciel.

Malgré le fait que ses souvenirs commencèrent à lui apparaitre moins flou, il décida de les laisser de côté jusqu'à ce que rejaillisse le souvenir de sa promesse.

Cette histoire de théâtre l'avait intéressé, et quand il finit de se remplir la panse, il revint sur son ordinateur et décida d'aller consulter le site de la troupe du collège. Il fit frapper par une liste d'audition pour une pièce se déroulant la semaine prochaine. C'était sa chance, il se décida donc à envoyer sa candidature et téléchargea le fichier du texte.

Sa bouche était ouverte, ses pupilles dilatées. Il ressentait l'excitation monter en lui. Ce grand sentiment de plaisir fut mêlée, petit à petit, à un sentiment d'inquiétude grandissant.

Il relisait le titre de l'oeuvre encore une foi avec une voix haute et tremblante :

"L'incroyable imposture", Henry Dig

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 12:40:46

Salut, j'ai lu le prologue, c'est quoi cette haine des peuplades orientales ? :hap:

Karim, le boucher Hallal... :hap:

T'es une plume plutot pas mal, mais t'exploites pas assez ton texte. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on ne ressent pas assez le stress de la mère, par exemple. Tu aurais plus exploiter la panique qu'elle doit ressentir en voyant son fils chéri et hémophile étendu et en sang sur le sol.

D'ailleurs, je trouve que de donner des définitions (imposteur, hémophile), en plein milieu du texte ça fait comme si tu prenais ton lecteur pour un débile :hap: (bon après c'était destiné au -15 ans mais quand même :hap:) quand je ne connais pas un mot je vais me renseigner dessus :hap:

-Between -Between
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 13:11:34

Lu.

Pour commencer, enlève moi ces définitions..:noel:
L'annotation, passe encore, Stroud l'a aussi utilisée dans sa trilogie "La trilogie de Barthimeus". Ce n'est pas quelque chose que je conseille néanmoins.

Il y a pas mal / quelques fautes ( ex : tu a; ou autres problèmes de conjugaison / relecture )

Il y a effectivement quelques passages intéressants ( stylistiquement parlant ) mais ils sont gâchés par des incohérences narratives. Il y a parfois des sautes d'humeurs / changement d'avis étranges ou des dialogues qui sonnent faux.
L'incohérence m'ayant le plus marqué : chap. 2, si j'ai bien compris nous sommes chez Hugo, ce dernier s'énerve ( de manière excessive je trouve ) et.. se barre, comme tu l'écris je comprends qu'il se casse de chez lui, c'est une manière..hmmm.. étrange de bouder.

Attention aux dialogues / pensées de Paul, les " peuvent passer inaperçus,j'ai cru que la situation d'énonciation avait changé à un moment..:hap:

Je suis sur mobile, je ne peux pas citer et reprendre les erreurs que j'ai mentionné, mais je peux t'envoyer une analyse plus détaillée en mp ( plus tard dans la journée ) :-)

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 13:14:50

Aucune haine envers les peuplades orientales n'est présente dans ce texte. UnPandaMonCoeur prône la tolérance et l'acceptation :hap:

Merci pour ta critique. Pour les définitions, la première c'était pour lancer le ton de la FIC mais ensuite j'avoue que mon coté prof à la con me rattrape quelques fois, je vais essayer d'arrêter.

Je suis content que malgré mon jeune âge il n'y ai pas de remarques sur mon immaturité dans le texte (j'en déduis donc qu'elle n'est pas présente).

Merci encore d'avoir lu LePeren :hap:

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 14:03:34

Bah en fait tu parles d'un boucher hallal, mais il y a autant de sang dans un abattoir classique, pour moi le hallal est de trop, et après dans la phrase suivante le bourreau du gamin il s'appelle Karim, donc ça peut porter à confusion :hap:

sang du boucher Hallal, Karim le bolosseur ça associe tout ça à la violence :hap:

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 14:37:15

Merci de ta critique -Between, désolé d'avoirnpris du temps à répondre.

Je comprends ton point de vue mais je tien à te faire remarquer que tu as du mal comprendre le chapitre 2; je ne t'en tiens pas rigueur, c'est probablement ma faute.
Quand tu as dit :

"chap. 2, si j'ai bien compris nous sommes chez Hugo, ce dernier s'énerve ( de manière excessive je trouve ) et.. se barre, comme tu l'écris je comprends qu'il se casse de chez lui, c'est une manière..hmmm.. étrange de bouder."

En faite, Paul est toujours à l'hôpital et il a demandé à son meilleur ami Hugo d'aller chez lui (Chez Paul) pour ramener l'ordinateur du protagoniste à l'hôpital. C'est pour ça qu'il rentre avec Sandrine dans la pièce et c'est pour ça qu'il se permet de quitter en engueulant son pote.

Pour les anotations et les expliquations je tacherais de faire gaffe, et je te remercie encore une foi d'avoir lu.

J'aimerais beaucoup que tu détailles bien (en mp) ta critique comme tu me l'as proposé. J'attends ça avec impatience :hap:

UnPandaMonCoeur UnPandaMonCoeur
MP
Niveau 10
22 mai 2016 à 14:43:24

En fait, LePeren, sans spoiler la suite des évênements, je dirais que le thème du racisme sera abordé dans cette FIC. Mais tu comprendras tout ça par toi même le moment venu :hap:

Si non, je pense que le fait que je ne vive pas en France influence aussi mes écrits. Et que dans mon pays il n'y a que des bouchers halal et je connais un type à l'école qui harcelait des gens et qui s'apellait Karim. Faut pas voir de racisme dans mon texte, je suis aussi arabe :hap:

pandaron pandaron
MP
Niveau 10
12 juillet 2016 à 11:45:36

CHAPITRE TROI

Un homme tout de blanc vêtu s'était infiltré dans l'hôpital. Il avait enfilé une blouse de médecin et avait un visage aux traits si banales qu'il aurait passé inaperçu n'importe où. Ses pas l'emmenaient vers la chambre de Paul. Il vérifia son matériel et entra dans la salle. Paul était toujours endormi, cela faciliterait la tâche à l'homme en blanc. Il retira de sa veste un poignard ancien dont le manche était orné d'or et de joyaux et s'avança vers le lit du jeune garçon endormi.

Miraculeusement, Paul avait le sommeil léger. Au moment où l'assassin s'apprêtait à lui donner le coup de grâce, il s'écarta et le laissa transpercer les draps blanc. Il était terrifié par ce qu'il venait de voir, mais il ne pouvait pas laisser la peur l'envahir. Il devait se battre maintenant, se battre pour sa vie. Il prit le pied à perfusion qui reposait à coté de son lit et riposta tant bien que mal aux attaques de l'homme en blanc. Ce dernier sauta ensuite sur le lit avant de prendre le draps et de le jeter sur Paul pour lui couper la vue. Conscient de cette manoeuvre, Paul esquiva vers la gauche; mais son adversaire avait anticipé son geste et sauta sur lui, le désarmant par la même occasion. Le jeune garçon était allongé sur le sol, son assaillant le chevauchait.

Il vit les ténèbres dans les yeux de cette homme, et supplia d'avoir la vie sauve.

-Pitié, je ne veux pas. Ce n'est pas moi...

Mais l'assassin ne l'entendait pas ainsi, et leva le couteau vers le ciel avant de transpercer la gorge de Paul. Celui ci n'arrivait plus à parler et ne pouvait plus appeler à l'aide. L'assassin blanc repris sa dague et l'enfonça dans l'oeil gauche de Paul. Il tentait de crier mais n'y arrivait pas. Il était encore vivant avant que l'assassin n'appuya de toute ses forces sur sa dague, déjà mise dans l'oeil.

À cet instant, Paul ouvrit les yeux, il venait de se réveiller. Une vieille infirmière était en train de s'occuper du patient qui reposait sur le lit adjacent au sien. Ses cheveux étaient décolorés par l'âge ou bien par sa condition d'albinos; ou peut-être même les deux à la foi. Elle avait un regard rassurant et sa façon de s'occuper des malades faisait penser d'elle que c'était quelqu'un de bien.

Tout ceci n'était donc qu'un cauchemar... Songea-t-il

Il se regarda dans le miroir qui était posé sur sa table de chevet. Ses cheveux noirs comme la nuit faisaient ressortir la pâleur de son teint. Il venait de dormir mais il avait l'air encore tellement fatigué; surement à cause de tout le sang qu'il avait perdu. Ses grands yeux miel venait contraster avec le reste de son visage, car ils étaient d'une grande beauté et pouvaient paraitre vert selon l'éclairage de la lumière. Il ouvrit sa bouche comme pour parler, et il balbutia timidement :

- Madame, s'il vous plaît...

L'infirmière se retourna et alla voir Paul, arborant un sourire jaunit par le tabac. Elle le questionna :

- Tu veux quelque chose ?
- Oui, un peu d'eau. J'ai la gorge sèche.
- D'accord je t'apportes ça tout de suite.

Comme promis, elle revint quelques instants plus tard avec un verre d'eau. Elle le lui fit boire puis le questionna à nouveau :

- Tu as l'air effrayé, quelque chose ne va pas ?
- J'ai l'impression d'avoir fait un très long rêve et j'ai du mal à m'en réveiller.
- Ah, je vois. Mais si ce n'est pas trop personnel, de quoi parlait-il ce fameux rêve ?
- Je ne m'en rappelle déjà plus, mais je sais que c'était un cauchemars.
- Tu sais, j'ai une amie qui fabrique des attrapes rêves. Ils protègent des cauchemars et t'aident à te souvenir des bons rêves. Je peux t'en apporter un si tu veux.
- Non, merci. J'en ai déjà un chez moi.

Paul n'avait guère mentit, mais l'infirmière senti une forme d'hostilité repoussante dans ses paroles. Elle se redressa du lit du jeune homme et lui fit un autre sourire, mais celui-ci paru forcé. Elle partit vérifier son dossier tel une abeille butinant une fleure de tournesol. Puis elle reprit :

- En tout cas Monsieur Paul, aujourd'hui c'est la dernière nuit que vous passez ici. Cet après-midi vous serez libre de partir.

Ensuite elle resta quelques secondes comme pour attendre un commentaire de la part de Paul sur son départ. Mais le jeune garçon ne fit rien. Il n'avait aucune émotion à exprimer, juste un profond ennuie qu'il avait lors de ses interactions sociales. Finalement, il répondit simplement "Merci" pour ne plus avoir à parler.

La bonne femme le regarda d'un air étonné et sortit de la pièce en pensant que les jeunes étaient de plus en plus bizarre. Laissant Paul dans ses rêveries et ses fantasmes qui le hantent chaque jour.

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