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Sujet : [Nouvelle Fantasy] Les Lions Paa'rd.

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ggiot ggiot
MP
Niveau 10
10 mars 2016 à 20:15:27

Bonsoir à tous ! Tout d'abord, merci à Henley pour son implication, et à Lepere pour sa lecture :coeur: !

C'est avec plaisir (vraiment :cute:), que je vous propose ma nouvelle réalisée pour un certain concours au thème "Sauvage" :hap: , auquel certains participent peut-être.

Je ne peux, à cause de Jvc, mettre toute la nouvelle : ici se trouve la première partie. Dîtes moi si vous souhaitez que je poste la suite juste après ou un peu plus tard (la nouvelle fait moins de 2500 mots, c'pas énorme).

Tout de suite, le texte ! Très bonne lecture !

°°°

Les Lions Paa’rd.

Ci-git Cyrien Haet,
673-722
Victime de l’Ouest Sauvage.

Diane contemplait la stèle, les yeux rougis de larmes. Seule au milieu du cimetière, les bourrasques de vent balayaient ses cheveux et s'engouffraient sous son écharpe. Dans le lointain, les carillons de Vôtre-Éclat sonnaient la fin d'après-midi. En femme résignée, elle n'y apportait guère d'importance, et ne cessait de lire l'épitaphe de son défunt mari.

A force de lecture, elle divaguait sur ces quelques mots, gravés à un marbre rudoyé par le temps. Dix années que Cyrien était parti. Son deuil, elle l'avait réalisé ; mais cela ne l'empêchait pas d'éprouver, à certaines périodes, le besoin viscéral de sa présence. Ce soir, ce sentiment n'avait jamais été aussi grand.

La veuve s'alanguit jusqu'à une nouvelle rafale, qui la fit frémir. Une froideur glacée brûla ses paupières aux endroits où ses pleurs avaient coulé. Elle essuya alors nerveusement son visage, déglutit, et plongea sa main dans son manteau pour en extirper une vieille lettre, maintes fois manipulée. Elle la déplia du bout des doigts, et lu son encre quasiment effacée.

Cité Cosmopolite de Naissus, 2 Kein 722.

Ma belle Diane,

J’espère que toi et Viktor allez bien. Je suis un mari et un père affligé de n’avoir pu vous écrire plus tôt, mais mon chemin m’a écarté de la civilisation durant plus de temps que je ne prévoyais. J’ai rejoint Naissus hier soir, et suis peiné de vous savoir encore si loin de moi.

Incapable de vous laisser plus longtemps à vos tourments, je vous livre dès à présent la raison de mon retard : l'expédition à laquelle j'ai pris part il y a trois mois a été frappée d'une terrible calamité. A l’heure où j’écris ces lignes, mes confrères se mêlent au sol d’Adrian, délaissés et sans sépulture. Si je ne suis moi-même à leurs côtés, c’est que le destin m’a accordé un bien étrange salut, qui de corps comme d’esprit, m’a profondément diminué.

C'est malgré le harcèlement des médecins et de l’ambassade que je prends la plume afin de vous éclairer sur ma situation, et celle, malheureuse, de mes compagnons. Vous pardonnerez, j’en suis sûr, le tressautement de ma graphie et les quelques tâches salissant mon manuscrit.

Notre groupe, d’une trentaine d’hommes, avait quitté Naissus dans le but d'explorer une contrée plus à l’Est, près des Grands Lacs. Nos différentes équipes, composées d’éclaireurs, de cartographes, ou encore de zoologistes, allaient parcourir plusieurs centaines de kilomètres à travers Adrian.

Même succinctement, j’aimerais vous décrire cette partie de notre continent. Imaginez un paysage vallonné, grillé par une saison estivale où les jours ne s’éteignent que pour quelques heures. Ces plaines, vierges de toute humanité, s’étendent aussi loin que l’horizon de notre océan. De longs fleuves scindent leurs reliefs et reflètent à leur surface les rayons du soleil, qui assèchent les points d’eau où se rassemble la faune alentour.

Durant toute la durée de notre voyage, nous avions entretenu avec les animaux une relation conciliante permis grâce à la tolérance que la période leur soumettait : pour survivre aux sécheresses, prédateurs et proies se côtoyaient sous l'égide d’une loi collective, établie depuis des siècles dans la région, et dont nous avions profité à notre guise.

Je me souviens d’une après-midi où mes collègues et moi étions partis recueillir de l’eau près d’une cascade. Nous nous attelions à notre tâche lorsqu’une famille d’évislards – de grands oiseaux bipèdes et carnivores, particulièrement mauvais – nous avait rejoints. Il y avait là plusieurs femelles et toute une cavalcade de petits, accompagnés de quelques mâles, dont un dominant. Ce dernier atteignait pratiquement les deux mètres de haut, et comportait, non pas une, mais deux paires d’ailes aux teintes écarlates, munies de griffes tranchantes. Leurs regards nous avaient glacé le sang... Mais à notre grand soulagement, ils avaient laissé leur famille patauger dans la rivière, sans faire preuve d’aucune hostilité à notre égard. En somme, il nous avait considérés comme membres à part entière de la trêve saisonnière.

Ainsi, nous avions remonté le fleuve Diêra et conforté la cohésion de notre groupe à travers ces contrées emplies de créatures merveilleuses.

Après deux semaines à pagayer à contre courant, nous avions atteint notre destination. Il s’agissait d’une vallée encaissée et verdoyante, largement protégée des chaleurs par les murs rocheux qui l’entouraient. Nous l'avions arpenté pendant deux semaines ; intervalle durant lequel un de nos zoologues avait gravement été empoisonné. Victime d’une plante vénéneuse, il avait présenté une forte fièvre que nos médecins avaient soupçonnée contagieuse. En avance sur nos prévisions, nous avions alors décidé de nous écarter du campement, et de le laisser guérir entre de bonnes mains. La majorité d’entre nous – moi y compris – avait donc retrouvé les grandes plaines.

Afin d’y éviter une attente préjudiciable, nos chefs d’expédition nous avaient proposé de traverser le fleuve, qui représentait jusqu’ici les frontières de notre savoir géographique. La perspective de dépasser ces limites et d'étendre les connaissances de notre Cité nous avait comblés de fierté.

Inconscients du danger, nous avions passé le cours du Diêra et accosté sur ces nouvelles terres, semblables aux précédentes. Les points d’eau y étaient néanmoins plus rares, tout comme la faune, dont la méfiance nous avait surpris. La cohabitation des espèces ne s’y appliquait plus, et nos relations s’en étaient trouvées largement détériorées. Nous nous étions demandé en quoi le fleuve pouvait-il délimiter la tolérance des animaux, mais notre méconnaissance de la région nous avaient limités dans nos réponses. Nous avions alors continué à avancer au travers de ces espaces, dans l’espoir d’y assouvir nos curiosités.

A la fin du cinquième jour, nous avions établi le camp derrière un haut plateau, de sorte à nous protéger du jour. Le soleil ne se couchant qu’environ quatre heures par jour, nous cherchions très souvent le repos dans la chaleur de nos tentes. Cette nuit là, j'avais été réveillé par les cris des hommes paniqués, et avais quitté ma couche précipitamment. Au dehors, d’immenses volutes de fumées avaient envahi le ciel et libéré d’excessives senteurs de brûlé. La chaleur, déjà écrasante, était devenue insoutenable. Mes confrères couraient en tout sens lorsque je compris que les plaines avaient pris feu. Le vent soufflant en notre direction, l’incendie se dirigeait droit vers notre campement : le feu avait rapidement atteint nos toiles de tentes et la majorité de nos équipements. Nous les avions délaissés pour contourner l’incendie, et nous mettre à l’abri derrière son origine. J’avais pour ma part réussi à m’extirper des flammes, mais beaucoup d’entre nous avaient été encerclé, et brûlé vif. Jamais je n’avais entendu pareil tourment. La mort ne les avait pas pris aussi vite que j’aurai pu le penser : elle les avait torturées jusqu’à ce qu'ils la supplient de les arracher à la vie.

Protégés du désastre, moi et quelques rescapés n’avions rien pu faire qu’attendre, en gardant espoir que d’autres groupuscules aient été miraculés. Quelques temps plus tard, le silence avait repris ses droits, et nous étions sortis de nos abris pour retourner au campement. La terre s’effritait sous nos pieds, et le vent propageait de pestilentielles odeurs jusqu’à nos narines : les corps calcinés de nos anciens confrères gisaient au sol, pétrifiés dans des positions de supplice inhumaines. Leurs propres braises flottaient autour de nous et d'épais nuages de fumée voilaient la lumière du soleil. Nos installations, complètement ravagées, finissaient de se désagréger sous nos yeux. Quelques flammèches dansaient encore par endroit, narguant nos esprits accablés de souffrance.

Ce n'est qu'après la dispersion de ce funèbre brouillard qu’ils s’étaient dévoilés. Là, dans l’horreur de la scène, leurs silhouettes s’étaient dessinées à travers la brume. Du haut du plateau, immobile, une vingtaine de Lions Paa'rd nous dévisageait ; des femelles pour la plupart. Leurs chanfreins étaient ornés de longues plumes rougeoyantes qui accentuaient la dureté de leurs regards. Puissamment constituées, elles balançaient leur queue avec entrain et jouaient de leurs omoplates pour échauffer leur musculature. Les quelques mâles présents, eux, exhibaient une crinière entièrement constituée de plumes monochromes : certains les avaient rouge sang, d’autre orangées, voire même jaunes. Plus imposants encore que les femelles, ils se léchaient les babines et attendaient de toute évidence un signal de leurs congénères.

°°°
Voilà la première partie, j'espère que ça vous plait ! Dîtes moi pour la suite :merci: .

Message édité le 10 mars 2016 à 20:16:46 par ggiot
LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
10 mars 2016 à 20:33:18

suite ! [[sticker:p/1kki]]

une relation conciliante permis grâce à la tolérance

permise non ? :hap:

T'as déjà eu mon feeback, je constate que tu as appliqué mes conseils, sans dénaturer ton texte, bravo !

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
10 mars 2016 à 20:37:10

A la demande unanime (:hap:), la suite !

°°°

Alors que je regardais ces fauves extraordinaires, une ultime lionne avait fendu leur rang pour s’avancer vers nous d’un pas nonchalant, expressément provocateur. Elle tenait en sa gueule un long morceau de bois, dont l’un des bouts se consumait encore. Elle s'était arrêté sur la pente de la plaine et l’avait jeté au sol, le faisant glisser à nos pieds. A l’instant même où la lionne avait posé son regard sur moi, j’avais deviné que nos collègues avaient été assassiné.

Lors de mes études, j’avais entendu parler de ces grands félins. Pour une raison simple : ils étaient la hantise de tout explorateur. Puissants, outrageusement intelligents, leurs troupes régnaient sur d’énormes territoires et appliquaient leurs lois aux animaux venus les fouler. Comme souvent avec la faune, leur dangerosité n’avait d’égal que la vivacité de leurs couleurs : leur plumage flamboyant ne laissait aucun doute à leur inclination. Ces véritables stratèges avaient dû nous suivre ces derniers jours, et nous laisser choisir notre tombeau. Le site sur lequel nous nous étions installés avait parfaitement convenu à la prise d’un incendie, qu’ils avaient à coup sûr déclenché par eux-mêmes. Ils n’avaient eu qu’à patienter le temps que nos rangs se déciment, et qu’ils n’aient plus qu’à achever les derniers survivants.

Ce qu’ils s’étaient empressés de réaliser.

J’ai plusieurs fois tenté de coucher ce traumatisme sur le papier, mais mes efforts restent vains : je ne suis en rien capable d’exprimer pareil sentiment de sauvagerie. Je peux dire que mes compagnons ont été considérés comme des jouets entre les griffes de ces bêtes. Que ces dernières les mordaient à chaque fois dans leurs artères vitales, détectant leur flux sanguin de leurs canines aiguisées. Qu’elles les lacéraient, un à un, faisant fi de leur cris torturés. Mais je ne peux relater le souvenir de l’état de proie : cette condition d’infériorité ; celle du « être mangé ».

Rien n'appartient plus au règne animal que la traque du plus faible ; de cette façon, je ne considère pas ces lions comme monstrueux. Mais leur nature outrepassait largement celle des animaux communs : après avoir achevé sa dernière victime, une femelle était venue à moi. Persuadé qu'elle comprendrait ma dernière requête, je m'étais agenouillé devant elle, et m'étais soumis à sa volonté.

Un rugissement avait alors envahi la vallée et fait trembler ma poitrine : il avait retenti depuis le haut de la colline, où une ombre salvatrice se tenait. Lorsqu'elle avait descendu la plaine, chaque bête s'était écarté sur son passage. Elle s'était approchée de moi et j'avais pu la distinguer : le Paa'rd dominant, plus robuste que tous les autres, arborait une crinière de plumes multicolores, où les couleurs primaires se côtoyaient en une masse frissonnant au vent. Ses pattes musclées épousaient le sol à chacune de ses foulées, et ses yeux noirs se frayaient un chemin en mon âme.

Il s’était arrêté devant moi et m’avait laissé me relever. Après une seconde à lui faire face, dans un effort absolu, j'avais doucement reculé. Le majestueux géant n'avait pas bougé, et je l'avais distancé de quelques mètres.

Il me laissait fuir.

Je n'en avais pas compris la raison, mais avais accepté mon destin. Je m'étais enfui pour m'enfoncer dans la nature. Pendant plusieurs jours, j'avais pensé que les lions ne m'avait fourni de l'avance que pour mieux me chasser par la suite. Mais aucun d'eux ne me retrouva, et jamais je ne les revis.

Le prix de ma survie m'avait cependant coûté très cher : après une semaine à déambuler sous un soleil de plomb, j'avais regagné le Diêra affaibli et désespéré. J'avais trouvé un lieu où le traverser sans me noyer, et avait rejoint le territoire des Grands Lacs, priant pour que les médecins n'aient pas quitté la vallée avec le malade. Quelques jours plus tard, je les retrouvais à leur camps : tous avaient succombé à la fièvre. Leurs corps gisaient, intactes. Si les animaux nécrophages ne les avait pas emporté, je ne voulais m'y résoudre. J'étais donc reparti sans creuser une seule tombe.

La suite, je ne vous la détaille pas, elle n'est pas plus réjouissante : sachez simplement que j'ai erré jusqu'à la fin de l'été pour atteindre Naissus.

Actuellement, les médecins me disent déshydraté et en cruel manque de sommeil... Mais ils occultent certains aspects de ma santé. Cloué au lit, je vois la saison noire s'approcher, elle et ses tempêtes incessantes. Je ne me fais pas d'illusion : je ne partirai pas avant qu'elle se soit terminée. Je vais donc attendre deux longs mois dans la cité cosmopolite avant de pouvoir traverser une nouvelle fois les grandes terres jusqu'à notre belle cité.

Mais qu'importe, je le ferai.

Je suis conscient que trente et une familles perdront un de leur proche, et qu'elles ne pourront récupérer son corps. J'ai honte d'être le seul encore en vie, et culpabilise chaque jour d'avoir abandonné mes frères. Mais si je ne peux les faire revenir, je suis capable de sauver d'autres vies : je joins à cette lettre une carte de ma confection, détaillant nos découvertes autour de la région Paa'rd. Prend la avec toi et gagne la Guilde des Scientifiques. Demandes-y un certain noble, Karl Méléï. Il sera en capacité d'annuler les expéditions aux abords de ce territoire.

Ma conscience envers les personnes endeuillées sera moins lourde, et je réglerai en même temps ma dette envers le lion dominant. Car s'il m'a laissé vivre, ce n'est surement pas par générosité, ou même par pitié. Durant mon errance, j'ai eu le temps d'y réfléchir : je pense qu'il souhaitait que j'informe ma race de leur supériorité. Que les Hommes ne devaient plus pénétrer dans leur domaine, sans quoi cette tragédie recommencerait.

Une fois que tu auras rendu la carte, dis à Viktor que je suis fier de lui, et que j'assisterai à la fin de ses études.

Je vous aime,

Cyrien Haet.

Diane referma la lettre. Son regard revint à la stèle de son mari.

— Cyrien…

Son visage se crispa et elle sanglota.

— Je n’ai pas su…

Elle détourna son regard vers la tombe accolée à celle de Cyrien. La terre y était fraîchement retournée, et la stèle, neuve, reflétait les derniers rayons du jour. Diane lu son épitaphe.

Ci-git Viktor Haet,
697-732

Elle s'effondra au sol et pleura toutes les larmes de son corps.

Victime de l’Ouest Sauvage.

°°°

Voilà ! L'écriture, je ne vous le cache pas, a été assez laborieuse. J'ai dû m'adapter à la forme épistolaire, qui a ses petits principes... Je me suis notamment confronté à la concordance des temps : donc, n'hésitez pas à m'en faire le reproche avec citation (ainsi que pour toutes fautes d'orthographe bien sûr).

La nouvelle prenant place dans mon univers Fantasy, j'attends vos retours avec impatience.

Merci à vous :merci: !

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
10 mars 2016 à 20:49:25

Voila, j'ai fini ma lecture, je trouve que c'est un bon texte, sur le style, etc..
Concernant la chute, je la trouve peu intéressante, on est pas trop ému de la mort de Viktor, vu qu'on ne le connait absolument pas, on éprouve un peu de compassion pour cette Diane. :hap:

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
10 mars 2016 à 20:49:44

JE dois y aller, si tu as d'autres questions j'y répondrai demain :hap:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
11 mars 2016 à 00:15:17

La chute n'est pas tellement fixée sur Viktor, mais plutôt sur la cause de sa mort (ma chute tient dans ma dernière phrase).

On peut tout à fait imaginer qu'il a voulu rendre hommage à son père en devenant lui même explorateur, et qu'il a aussi subi la sauvagerie d'Adrian. Je pourrai peut-être annoncer qu'il fait des études dans le même secteur que son père, plus en amont du texte, pour mieux apporter la chute ? J'ai peur que ça casse l'effet de surprise...

Un avis sur l'univers en lui même : le continent, ses bestioles, son climat... ?

Bonne nuit :)

Message édité le 11 mars 2016 à 00:15:48 par ggiot
LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
11 mars 2016 à 09:47:52

Le continent est sympa, avec ses mystères, etc.
je suis pas trop fan des lions, mais j'aime bien tes piafs bipèdes :hap: Je les trouve stylés. Les lions supra intelligents c'est pas mon kiff quoi. Après c'est ton univers donc tu fais ce que tu veux :rire:

Du coup ça me fait penser un peu à des animaux préhistoriques :hap:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
11 mars 2016 à 17:21:23

Merci de m'avoir lu ; c'est vraiment super sympa d'être récompensé après avoir bossé sur un texte :content: !

Je ne connais pas La Compagnie Noire, désolé. :p)

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
13 mars 2016 à 15:38:42

Je up (Lepere pas de moqueries :hap:) pour ceux qui souhaiteraient émettre des critiques envers le style notamment.

J'imprimerai au plus tard mercredi-jeudi, après quoi le texte sera non modifiable.

:merci: !

--crazymarty-- --crazymarty--
MP
Niveau 10
14 mars 2016 à 10:53:58

J'ai bien aimé.

Même si le récit est relativement rapide dû à la forme et aux contraintes avec lesquelles tu as du composer, il y a quelque chose de vraiment très beau, très chaud et très intemporel... Je ne sais pas comment décrire cette impression, mais c'est très agréable.
Le style me parait maitrisé, je n'ai pas eu le sentiment que cela avait été écrit "à l'arrache". Certaines expressions et images sont très très bien menées.

Voilà, peu à dire de plus, sinon que tu devrais poster plus souvent, car tes textes sont bons :-) .

HelpingFR HelpingFR
MP
Niveau 25
14 mars 2016 à 15:06:01

J'ai lu.

J'aime beaucoup, tu installe un univers propice à des aventures d'exploration :oui:
Bon, les Lions qui arrivent à faire du feu, c'est un peu abusé, mais ça met les bases d'une espèce intelligente et cruelle :noel:
Et je suis d'accord concernant la chute, on est pas trop ému par la mort du fils :oui:
Peut-être rajouter quelques quelques trucs pour que la chute soit plus touchante :oui:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
14 mars 2016 à 19:52:17

Le modo qui approuve :bave: ! Ton message m'a fait plaisir, c'est très gratifiant, merci.

Et merci à toi aussi Helping, tu confirmes les commentaires précédents. :)

Homm Homm
MP
Niveau 15
16 mars 2016 à 20:09:49

Lu !

Comme tu le sais, je ne suis pas un très bon commentateur, je vais me contenter d'approuver Helping qui a bien su résumer ma pensée à travers son poste :ok:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
16 mars 2016 à 20:58:09

Merci de ta lecture Homm :) !

Pseudo supprimé
Niveau 10
31 mars 2016 à 15:47:49

Lu, et beaucoup aimé [[sticker:p/1kki]]

Déjà, je trouve ça vraiment très bien écrit, tu dis avoir un peu galéré mais je trouve que tu as l'air vraiment très à l'aise avec la langue française.
Ensuite, l'univers, le groupe d'explorateurs ainsi que le format épistolaire m'a beaucoup fait penser au récit du Père Lénar Hoyt, dans le tome 1 des Cantos d'Hypérion, si tu connais. C'est un livre que j'apprécie énormément, alors forcément tu m'as séduit pour le coup. Tes bestioles sont très intéressante, très bien trouvés les lions à plumes, avec le dominant qui en a de toutes les couleurs.
J'ai eu un pincement au coeur à la fin, j'ai parfaitement compris ce qu'il s'était passé, bref, ça passe très bien.

Bien joué en tout cas !

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
31 mars 2016 à 18:57:29

http://static.mmzstatic.com/wp-content/uploads/2015/08/gif-chat-danse-happy.gif

Je te remercie de ta lecture, ça me fait vraiment plaisir d'avoir ces retours :coeur: !

Pour ce qui est de mon écriture, elle a été difficile dans le sens où je l'ai beaucoup travaillé pour en arriver à ce résultat. Je l'ai pas pondu en une semaine, ce sont des heures et des heures à torturer mes phrases pour qu'elles me plaisent enfin. C'était la première fois que j’écrivais une lettre et j'ai surtout été confronté au problème de concordance des temps.

Je ne connais pas ta référence, j'ai cru comprendre que c'était de la sf.

Je suis super fier de mes lions :cute: !

La nouvelle a bien été accepté pour le concours au fait, je devrai avoir des infos sous peu.

Pseudo supprimé
Niveau 10
31 mars 2016 à 23:18:12

Oui, Hypérion c'est de la SF, et c'est super cool :oui: Jette un oeil si t'as le temps, le passage auquel me fait penser ton texte est genre dans la première moitié du tome 1.
Et félicitations pour le concours !

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
31 mars 2016 à 23:22:38

Me félicite pas, j'ai rien gagné du tout :p) ! J'ai juste eu confirmation de réception.

Ok, je me renseignerai :).

Chocobo_3 Chocobo_3
MP
Niveau 15
10 avril 2016 à 16:52:09

Parce que mieux vaut tard que jamais!

J'ai bien aimé, c'est original et "hors du temps", un sentiment très agréable a la lecture. Les images utilisées, le vocabulaire, j'ai pas grand chose a redire... C'est fluide, ca se lit très facilement, bref, c'est du bon. Deux petits trucs qui m'ont fait tiqué. D'abord "Adrian" qui semble désigné un continent (ou un royaume étendu). Vu que c'est plus un prénom, ca perturbe un rien. L'autre c'est le moment de cohabitation pacifique des proies et des prédateurs juste avant d'arriver dans le territoire des Lions. J'avais du mal a visualiser en fait. Je transposais la situation dans une plaine d'Afrique et imaginais des lions roucouler tranquille près des antilopes... Du coup ca m'a dérangé parce que j'arrivais pas a me le figurer, ca rendait pas "crédible".

A part ca, j'ai juste relevé un "permis" qui aurait du être un "permise" il me semble, mais de toute facon l'orthographe, la conjugaison, tout ca, c'est pas pour moi :p)

Bref, bon texte, très poétique. Ca donne envie d'en savoir plus sur ce monde imaginaire, c'est donc que c'est réussi :oui:

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
10 avril 2016 à 16:56:46

Choco, il me semble que j'ai déjà vu certains documentaires ou les animaux ne se chassaient pas entre eux lorsqu'ils buvaient au même lac dans la savane lors de grandes chaleurs, du coup moi ça m'a pas choqué :hap:

C"est surtout le coup des lions qui incendient la plaine exprès qui m'a gêné :hap:

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