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Sujet : [roman]La marque, version réécrite

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LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
18 janvier 2016 à 08:31:11

Salutation,

Ayant fini l'écriture de La marque il y a quelques mois, j'entreprends sa réécriture avec un regard nouveau, mon univers ayant mûri ainsi que (je l'espère) mon style d'écriture.

Je vous laisse sans attendre le prologue, qui lui n'a pas énormément changé.

--crazymarty-- --crazymarty--
MP
Niveau 10
18 janvier 2016 à 08:34:01

J'en profiterai pour lire cette version :-) .

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 24
18 janvier 2016 à 15:46:58

Je veux bien lire comme demandé, mais si tu veux mon avis, il faudra venir sur Skype.

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
18 janvier 2016 à 16:10:17

D'accord, du coup je te contact par mp :hap: merci

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 13:25:22

-----------------------------LA ROUTE DES OLIVIERS-----------------------------
----------------------------------------KARL----------------------------------------------

La route reliant les Craffeux à Cenelle était en ce jour d’été encombrée par les paysans qui charriaient divers charrettes contenant les moissons. Célèbre pour les oliviers qui la bordaient, elle offrait un peu d’ombre pour se mettre à l’abri du soleil, qui écrasait les passants sous une chaleur de plomb. Il y avait longtemps que l’on avait eu de températures si chaudes dans la région, et bien que les nobles s’en accommodèrent, les paysans savaient qu’été chaud rimait avec hiver rigoureux. C’était encore moins le problème de père, qui chevauchait en tête du convoi. Le port altier, Alexander Wiern était tête nue, dévoilant des traits sévères, des cheveux coupés à ras, et l’ombre bleue-noire de sa barbe lui creusait davantage les joues. Une cape, représentant le loup d’argent Wiern sur champ de sinople reposait sur ses épaules et couvrait la croupe de sa jument gris pommelé.

Karl se tenait à ses côtés, et portait fièrement la bannière de Felseweise, honneur incombé à l’aîné des fils, ses boucles noires au vent, tandis que sire Tobias Blomst brandissait celle du grand Havrepré. A leur suite, Adrian, le fils cadet d’Alexander regardait d’un air distrait les paysans qui se reposaient sur le bord de la route. Contrairement à lui, son frère avait des cheveux auburn, une plus petite taille et faisait plus chétif. Damian et Paul Pergament, les pupilles de son père lui tenaient compagnie. Un charriot contenait la plupart des armes et armures, les seigneurs ayant opté pour des tenues plus légères, en vue du voyage et de la chaleur. Une centaine de fantassins, portant tous la livrée Wiern fermaient la procession.

« Es-tu anxieux, mon fils ? demanda Alexander à Karl.
— Evidemment.
— De bien étranges créatures que les femmes, s’amusa sire Tobias. Jamais je n’ai réussi à en comprendre une. »

Digne d’un habitant de Felseweise, Tobias Blomst était grand et imposant. Il s’était rasé les tempes, et le reste de ses cheveux blonds tombait en une mèche sur le côté. Premièrement serein, Karl avait senti son stress monter quand le donjon de Fort-Cenelle lui était apparu pour la première fois, au loin parmi les collines de Mortefange. Il y avait encore une lieue avant de traverser le pont qui enjambait la Fétide, dont le miroitement se voyait plus en aval, puis quatre autres lieues pour accéder à Fort-Cenelle. Il avait été promis à la fille aînée d’Edmond Aubépine. Ce mariage était une récompense que son père donnait au seigneur de Mortefange, après qu’il l’eût aidé dans ses conquêtes, dix ans auparavant.

Alexander, le jeune seigneur de Felseweise avait une fois pour toute écrasé les Croûtepain d’Havrepré, avec qui la famille Wiern se disputait les territoires du nord depuis près de six siècles. Cependant, sa victoire l’avait fait se sentir invincible, et une fois les clefs d’Havrepré en sa possession, avait aussitôt envoyé l’ost sur Neufcâstel, fief de l’ancestrale maison d’Ebroïn. Appuyé par Edmond et ses cavaliers, ainsi que le seigneur des Pics, David Aepaus, Alexander avait arraché la victoire sur Bérenger Ebroïn au prix d’un duel légendaire et d’une dizaine d’années de guerres meurtrières.

Karl avait appris la nouvelle de son mariage un an auparavant, et n’était pas très enthousiaste quant à cette union à une famille qui ne rayonnait pas dans la politique de l’archipel. Le seigneur Demian Hryffin avait une fille, Eister. L’alliance du grand Havrepré avec le Piémont aurait été bien plus bénéfique, mais père lui avait rappelé que l’honneur de la famille en serait ainsi sauvegardé. « Il est bien plus aisé de se faire des ennemis que de garder ses amis, ne l’oublie jamais, » lui avait-il dit.

« J’étais aussi angoissé le jour où l’on me présenta ta mère, dit Alexander.
— Et si elle est laide ? » s’enquit Karl. C’était sa véritable crainte, et il regretta ses mots dès qu’ils sortirent de sa bouche. Domitille Aubépine avait été ainsi vendue : « Née le onze Janvier mille sept, de grande taille et joli minois, boucles au coloris châtain, yeux de même, peu velue, généreuse de gorge. » Evidemment, ce n’était que des mots, de plus, elle était plus âgée que lui d’un an, ce qui ne le confortait pas.

« Je ne connais pas damoiselle Aubépine. Sa mère Iseut n’était pas désagréable à regarder. Espère juste qu’elle ne tient pas de son père ! » s’esclaffa Tobias. La réaction d’Alexander Wiern ne fut pas la même. Comme à chaque fois qu’il était contrarié, sa mâchoire se mettait à moudre latéralement.

« Je croyais que l’honneur de ta maison comptait plus que tes petits plaisirs.
— Je… s’empourpra Karl.
— Ne t’inquiète pas, cette femme n’aura qu’à porter tes enfants, et toi tu pourras mettre celles que tu voudras dans ton lit, le rassura Tobias.
— Sire Blomst, que diriez-vous de vous occuper de l’arrière garde ? suggéra Alexander.
—Mes excuses, messire. »

Il s’inclina et tourna bride, jetant à Paul Pergament sa bannière au passage, qui la rattrapa, surpris.

« J’espère que tu ne me décevra pas avec d’autres questions stupides. L’amour est réservé aux petites gens et aux femmes, nous n’avons pas le temps d’aimer. Notre devoir est de protéger les intérêts de notre fief, déclara Alexander d’un ton sec.
— M’aimez-vous, père ?
— Bien sûr, plus que tout au monde.»

Le seigneur d’Havrepré se tourna vers son fils et le pointa du doigt :

« Mais montre à tes ennemis qui tu aimes, et ils en feront une arme contre toi. » Il ponctua sa parole en lui enfonçant le doigt dans sa poitrine. « Comme une lance en plein cœur. »

Un cavalier arriva à contre sens de la file, se frayant un chemin parmi les badauds. Il s’agissait d’un des éclaireurs envoyé plus tôt dans la matinée.

« Messire, une troupe Vangeld prêt du pont. Nous ne passerons pas de front !
— Dites aux autres de presser l’allure. »

Il lança son cheval au trot, suivit de Karl, et les paysans s’écartèrent sur leur passage. Les Vangeld régnaient sur le fief de Groléjac, à l’est. Il était devenu plus que courant de les voir arpenter les routes d’Ilfingard, escortant des convois de ressources échangées aux quatre coins de la péninsule.
Comme indiqué, une quinzaine de cavaliers, arborant les couleurs Vangeld, d’or à pie sable s’engageaient déjà sur le pont, quand Alexander stoppa son cheval sous leur nez.

« Qui va donc là ? » s’intrigua un homme aux traits taillés comme dans du silex, ses cheveux bruns coupés au bol. Voyant la bannière tenue par Paul qui arrivait au galop, il dit :

« Bien évidemment, un loup d’argent sur fond vert, ce ne peut être qu’Alexander Wiern. J’ai entendu dire que tu allais marier ton fils à la fille de ce rustre d’Aubépine.
— Reyce Vangeld » répondit son père, les dents serrées.
L’homme n’était autre que le cousin de Joris Vangeld, le seigneur de Groléjac. Alexander ne l’aimait pas.

« Lui-même, répondit-il. Et Reyce Vangeld s’apprête à traverser le pont avec quinze charriots escortés par deux cents fantassins.
— Je compte également traverser. Faites donc place, je n’en ai pas pour longtemps.
— Je dois rapporter ces charriots à Edelsteen, et ensuite partir au plus vite pour le Pic-Nival, pour l’anniversaire de ma sœur, Isabelle Aepaus. Le seigneur Joris n’attend pas. Et vous êtes sur son pont. »

Une barre se dessina sur le front d’Alexander.

« Sur son pont … ? » demanda-t-il, dubitatif.
Une moue satisfaite se dessina sur le visage de Reyce.
« Frederick, veux-tu bien me donner le traité ? »

Frederick, son frère, sortit un parchemin d’une besace accrochée à son cheval, et le tendit à Reyce, qui le déroula.
« Te ferais-je l’honneur de la lecture ?
— Donnez-moi ça. »

Alexander saisit le papier, et se mit à lire, ses yeux balayant de plus en plus vite le document.

« Tu vois, Alexander. Maintenant écarte toi, nous passons. »

Alexander serra tellement fort ses doigts sur les rênes de son cheval que ses phalanges en blanchirent, et l’équidé piaffa.

« Et n’oublie pas de payer le péage ! » lança Reyce.

Alexander jura, et marmonna rageusement sur l’affront que lui avait fait le Groléjois en l’éconduisant, et en le tutoyant... comme s’ils n’étaient pas égaux. Il ordonna à sa troupe de s’écarter dans les champs sur le bas-côté, au grand désarroi des paysans qui assistèrent, impuissants, au piétinement de leurs cultures.

Les Vangeld passèrent sans même leur accorder un regard, dans un défilé de maille, de plate, de grincements d’essieux et de tissus jaunes.

« Un jour viendra où j’aurai leur peau, à ces rats ! » pesta Alexander. Ce furent ses derniers mots avant un moment.

Comme le soleil tapait haut dans le ciel, ils s’arrêtèrent aux abords d’une mare aux canards. Les volatiles multicolores s’enfuirent à leur approche, et ils firent boire les chevaux. La végétation avait durement souffert de la chaleur, et les herbes avaient jaunies. Les hommes n’hésitèrent pas à plonger leur tête dans l’eau, afin de se rafraîchir. On monta une petite table sur laquelle on installa une coupe de fruit. Raisins, pommes et pêches n’attendaient que les palais secs des seigneurs Wiern.

« Je suis bien content d’être dans le sud, dit Adrian, le petit frère de Karl. La chaleur doit être étouffante à Fieramont. »

Plus on montait dans le nord, plus le désert de la fournaise était proche, et seule la chaîne de montagne des plateaux d’Héliante sauvait la péninsule de la sécheresse. De part sa hauteur, aucun nuage ne passait de l’autre côté.

Comme d’habitude, Adrian avait parlé dans le vide. Alors que Karl mordait dans une pomme, un des soldats vint les rencontrer.

« Messires, s’inclina-t-il, une cavalière et son garde.
— Que veulent-ils ? s’enquit Alexander, grincheux.
— Ils veulent vous voir. Le chevalier porte les armes Millepertuis. »

Ils avaient effectivement traversé les Craffeux, qui appartenaient à cette famille. Alexander espérait juste que l’entrevue serait courte, et surtout qu’aucun souci ne s’empilerait sur la pyramide de ses problèmes.

Montant tous les deux un cheval baie, le chevalier portait un heaume faîté d’une tête de taureau cramoisie, et un ample manteau jaune et rouge. Son épée pendait à sa ceinture, et un lourd écu sur champ d’or à taureau de gueule était accroché à son bras. La chaleur des vêtements devait être insupportable. La femme portait une robe en soie bleu de guède, et ses cheveux bruns étaient tressés en cascade. Lorsqu’elle s’approcha, Karl distingua des pommettes saillantes et des tâches de son qui lui mouchetaient les joues et le nez.

« Madame » la salua Alexander, quittant son siège. Le chevalier retira son heaume, dévoilant son visage ruisselant de sueur. Il était jeune, vingt ans tout au plus, et portait des sourcils grotesquement broussailleux.

« Je suis Léonie Millepertuis, et voici mon frère, sire Charles Millepertuis. »

Elle tendit sa main, et Alexander la baisa, suivit de Karl. Léonie descendit de cheval. Alors que le chevalier s’apprêtait à l’imiter, elle l’arrêta :

« Restez en scelle, nous n’en avons pas pour longtemps. D’ailleurs, qui vous a autorisé à retirer votre casque ? »

Charles se recoiffa aussitôt de son heaume. Karl fronça les sourcils, et Alexander fit la moue. Ils invitèrent la jeune femme à s’assoir. Elle prit son temps, prenant de plier sa robe pour ne pas la froisser. Adrian lui tendit la coupelle de fruit et elle y piocha une pêche, mordant délicatement dans la chair tendre.

« Merci, j’adore les fruits », dit-elle, une lueur enfantine dans le regard. « Surtout que ceux-ci ne se trouvent pas aisément dans la région. Messire Wiern, on dit que vous allez marier votre fils à la fille du seigneur Aubépine ?
— On dit vrai. Avez-vous été conviée au mariage ? demanda Alexander.
—Bien sûr. Lequel est le futur époux ? » demanda-t-elle en regardant successivement Karl et Adrian. Karl se redressa sur son siège, et déclara :

« C’est moi. »

Elle l’examina du regard, avant de lui demander :

« Êtes-vous heureux ?
—Je… oui.
—Je pense que Domitille le sera aussi, sourit-elle.
—La connaissez-vous ? questionna Adrian.
—Plutôt bien. Je dois vous laisser messire, merci pour les fruits. »

Elle fit la révérence, et remonta à cheval avec grâce, en amazone. Une fois partie, Alexander se tourna vers Karl :

« Damoiselle Domitille est bien plus audacieuse que nombre de femmes.
— Que voulez-vous dire ? s’intrigua-t-il.
—Sire Charles a été le pupille de Frank, ton oncle. Je me rappelle de lui, son père l’avait amené à Fieramont pour qu’il y apprenne la chevalerie. Un brave gaillard, toujours prêt à rendre service, mais il a mis du temps à comprendre de quel côté il devait brandir son épée. Il était fils unique.
—De plus ils n’ont pas repris la route des Craffeux, constata Adrian.
—Eh, oui. Karl, tu viens de rencontrer ta future femme. »

Karl sourit, regardant la silhouette des deux cavaliers au loin. Le seigneur Aubépine n’avait pas menti sur sa fille, la description était conforme à la lettre. Aussitôt, Fort-Cenelle lui parut trop éloigné, et il voulut se remettre en route sur le champ. La démarche de sa promise l’avait complétement séduit.

« Tu devras te montrer ferme avec elle, poursuivit Alexander. C’est une femme de caractère, et sire Charles m’a tout l’air d’être devenu son pantin, si tu tombes dans ses griffes, jamais tu n’en ressortiras.
—Je serai vigilent, père. »

Message édité le 19 janvier 2016 à 13:25:47 par LePerenolonch
LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 16:45:39

La carte du monde

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/03/1453218298-carte.png

pyro29 pyro29
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 17:04:31

Mais..mais... C'est l'Italie! :hap:

pyro29 pyro29
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 17:05:39

Et t'as pas mis la Sicile t'es un courageux toi :rire:

bon j’arrête je vais essayer de lire tout ça :)

Message édité le 19 janvier 2016 à 17:09:22 par pyro29
ggiot ggiot
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 19:11:15

Arrête, sa carte ressemble tellement à mon monde :ouch: ! C'est chaud !

pyro29 pyro29
MP
Niveau 10
19 janvier 2016 à 19:22:01

Le 19 janvier 2016 à 19:11:15 ggiot a écrit :
Arrête, sa carte ressemble tellement à mon monde :ouch: ! C'est chaud !

PLAGIA[[sticker:p/1jnj]]

papy_yugo papy_yugo
MP
Niveau 9
19 janvier 2016 à 20:03:31

Hello, j'ai lu.

C'est bien écrit, on sent le travail et le coeur que tu y mets et c'est assez plaisant.
ça, par contre, c'est pas beau : " Il marqua une pause, se gratta d’un air songeur ses cheveux bruns qui lui tombaient aux oreilles."
se, ses... pas beau.

J'ai un peu peur que tu ne développes un syndrôme Ostramus période "Les Portes de Baldurzian", c'est à dire qu'il y a un air de déjà vu dans la mise en scène, notamment dans la façon dont les personnages se comportent et intéragissent entre eux... en gros, tout ça est un brin trop académique pour moi. Un exemple rapide, cette scène de dialogue : De bien étranges créatures que les femmes, s’amusa sire Tobias. Jamais je n’ai réussi à en comprendre une.

Sinon, pour la mise en place de ton univers, c'est un bon boulot, j'adhère vraiment, je trouve que les noms des lieux sont bien trouvés et me demande ou tu vas chercher tout ça... par contre, y a un gros problème. Enfin, je ne sais pas, peut-être ton univers est-il judéo-chrétien, mais si tu inventes des mondes, des cultures et des religions, invente aussi des noms, quoi, parce que Jacob... (remarque, il porte bien son nom le petit vicieux :hap: ) 'Fin bon, ça vaut pour tous les autres noms de tes personnages. Le plus dur, quand on crée des univers, c'est d'être cohérent.

Je passerai pour la suite :ok:

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 08:19:14

Le 19 janvier 2016 à 19:11:15 ggiot a écrit :
Arrête, sa carte ressemble tellement à mon monde :ouch: ! C'est chaud !

Que je n'ai jamais vu :hap:

Le 19 janvier 2016 à 20:03:31 Papy_Yugo a écrit :
Hello, j'ai lu.

C'est bien écrit, on sent le travail et le coeur que tu y mets et c'est assez plaisant.
ça, par contre, c'est pas beau : " Il marqua une pause, se gratta d’un air songeur ses cheveux bruns qui lui tombaient aux oreilles."
se, ses... pas beau.

J'ai un peu peur que tu ne développes un syndrôme Ostramus période "Les Portes de Baldurzian", c'est à dire qu'il y a un air de déjà vu dans la mise en scène, notamment dans la façon dont les personnages se comportent et intéragissent entre eux... en gros, tout ça est un brin trop académique pour moi. Un exemple rapide, cette scène de dialogue : De bien étranges créatures que les femmes, s’amusa sire Tobias. Jamais je n’ai réussi à en comprendre une.

Sinon, pour la mise en place de ton univers, c'est un bon boulot, j'adhère vraiment, je trouve que les noms des lieux sont bien trouvés et me demande ou tu vas chercher tout ça... par contre, y a un gros problème. Enfin, je ne sais pas, peut-être ton univers est-il judéo-chrétien, mais si tu inventes des mondes, des cultures et des religions, invente aussi des noms, quoi, parce que Jacob... (remarque, il porte bien son nom le petit vicieux :hap: ) 'Fin bon, ça vaut pour tous les autres noms de tes personnages. Le plus dur, quand on crée des univers, c'est d'être cohérent.

Je passerai pour la suite :ok:

Merci pour ce commentaire qui me touche :coeur: Par contre pour les prénoms, je me vois pas les changer.. ça fait au moins 6 mois que je travaille avec tous ces personnages, et changer le nom limite ç tuerait mes persos quoi :-( J'avais changé le prénom d'un mec qui s'appelait Denver pour Germain, mais j'arrive plus à le calculer celui la :hap:

papy_yugo papy_yugo
MP
Niveau 9
20 janvier 2016 à 10:11:50

ouais mais bon, mec, dis-toi bien que si t'as commencé à bâtir un monde qui n'est qu'à toi, et qu'un jour tu veux le faire partager aux autres, il faudra qu'il tienne debout :/ ou dans ce cas-là, insiste sur le côté Judéo-Chrétien de ton univers... regarde Tolkien a prit des noms inventés de toutes pièces pour rendre crédible sa Terre du Milieu et je ne pense pas que ça aurait eut le même retentissement si Frodon s'était appelé Abraham, par exemple, parce que ça met les personnages dans des cases et ça confine le lecteur dans une certaine vision, même inconsciente...

--crazymarty-- --crazymarty--
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 15:18:37

Yugo qui donne des conseils sur la fantasy, on aura vraiment tout vu sur ce forum :rire: ...

--crazymarty-- --crazymarty--
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 15:21:24

Ps : les Portes de Baldruzian sont un très bon texte, tu devrais y jeter un oeil, Nono.

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 16:29:55

C'est surtout au niveau de la forme de la carte. J'ai les mêmes montagnes au nord, qui s'élargissent ensuite considérablement. Après faut pas pousser, j'ai pas les mêmes contenus. Mais c'est surprenant !

LePerenolonch LePerenolonch
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 18:30:22

Le 20 janvier 2016 à 16:29:55 ggiot a écrit :
C'est surtout au niveau de la forme de la carte. J'ai les mêmes montagnes au nord, qui s'élargissent ensuite considérablement. Après faut pas pousser, j'ai pas les mêmes contenus. Mais c'est surprenant !

Ma carte on m'a dit que c'était l'italie, la grèce, la floride, westeros... :hap:

ggiot ggiot
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 19:07:31

Moi, je l'associerai à un autre endroit de la planète, mais je ne vais pas dévoiler mes propres sources :hap:.

pyro29 pyro29
MP
Niveau 10
20 janvier 2016 à 19:29:38

Le 20 janvier 2016 à 19:07:31 ggiot a écrit :
Moi, je l'associerai à un autre endroit de la planète, mais je ne vais pas dévoiler mes propres sources :hap:.

... :hap:

FatuiteR FatuiteR
MP
Niveau 10
23 janvier 2016 à 11:49:47

Lu... le premier post.

"Les ombres de la forêt s’étiraient au fur et à mesure que le ciel se teintait d’orangé. Son cœur se serra à l’idée de se retrouver dans les bois à la nuit tombée."

Son coeur à qui ? ça se comprend aisément, mais avec la phrase sur la forêt juste avant, c'est un peu maladroit.

"Bien que chaque pas l’éloigna de chez elle," l'éloignait, non ? J'ai un doute :doute: Ou bien l'éloignât ?

"Personne au village n'approchait ces bois, il devait bien y avoir une bonne raison. Sauf cette tête de mule de Jacob, qui depuis plusieurs jours déjà la baratinait afin qu'elle vienne avec lui pour voir les ruines."

Alors, je comprends que le "Sauf cette tête de mule" renvoie au fait que "personne au village n'approchait ces bois", mais c'est quand même pas super clair.

"«Je veux rentrer tout de suite ! pleurnicha-t-elle. C’était le coup de trop. Des larmes coulaient sur ses joues.
— Oh ça va, tu ne vas pas me dire que t’as peur du noir ? »"

je pense que le problème est explicite.

Alooors ? Bah c'est bien. Voila. Plus en détail, on sent le récit très travaillé, bien construit. Comme entrée dans l'univers, c'est très bien fait, puisqu'on a les petits détails qui suffisent, on en fait pas des caisses, et on ne se sent pas perdu, c'est le juste dosage. A ce niveau, je trouve même que c'est un très bon choix d'avoir pris cette scène qui est exactement ce qu'il faut. C'est du déjà vu, dés le début quand on entend parler des ruines, on sait que va y avoir un pouvoir ancien/ artefact oublié/ soupe à la magie pourrie qui va venir foutre le dawa. Et grâce à ça, j'ai vraiment pu me concentrer sur le déroulement de la scène, lente, qui expose ses personnages.

Par contre, +1 pour le paragraphe que mentionne Hugo, faut retaffer le truc :noel:

Aussi, même si c'est peut-être que du détail et du ressenti, le passage où ils sont attirés par l'artéfact me semble un peu "gnééé".

"Dans le fond de la pièce, une lueur bleutée se diffusait. Ils se sentirent irrésistiblement attirés. Ils commencèrent à s’approcher de la lumière, comme des phalènes en été à la lueur des feux, perdant toute notion du temps. Une femme les appelait. Comment résister à sa voix mélodieuse ? Une voix réconfortante comme celle d’une mère. Tous leurs soucis seraient finis, il fallait juste qu’ils s’en approchent… Elle semblait promettre tant de choses… une volupté si douce, si soyeuse… Il n’y avait qu’à venir… le toucher était le savoir."

Je comprends que t'essaies d'être plus sur le ressenti (l'attraction) des personnages dans ce passage, mais comme on est encore dans le rythme de la simple narration (qui en soit est très bonne), j'ai du mal avec la transition.

En tout cas, chapeau l'artiste :noel:

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