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Sujet : la consommation engagée peut-elle réellement faire pression sur les politiques ?

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Capt- Capt-
MP
Niveau 1
19 avril 2019 à 01:50:40

Je discutais dernièrement avec une amie qui travaille dans la finance, pour elle, en tant que citoyen, notre seule marge d'action résidait dans nos choix en tant que consommateur, le boycott était pour elle la seule arme capable de forcer les entreprises à produire de façon éco-responsable, et en même temps, elle y voyait une façon de créer des emplois dans ces nouveaux domaines, et donc possiblement de résoudre le problème du chômage et donc de régler les inégalités. Plusieurs objections me sont venues à l'esprit, notamment : ce n'est pas la consommation qui détermine la production, mais aussi : on peut très bien vivre dans un monde où la production est éco-responsable et pourtant, avoir 10 millions de chômeurs. Vaste sujet, mais j'aimerais avoir de l'aide, pour réfuter, éclaircir, reformuler.

balavooaeiao balavooaeiao
MP
Niveau 5
19 avril 2019 à 04:19:22

Oui elle a raison, mais justement le fait que vous ne boycottez pas montre qu'au final ç a vous aide bien

Le scontestations s ont dans 99% des cas hypocrites

appiodici_bis appiodici_bis
MP
Niveau 27
19 avril 2019 à 05:09:34

Il y a de nombreuses objections possibles qui seront toutes aussi incomplètes que la compléxité du monde qui est telle qu'un esprit (qui est aussi un corps) ne peut pas les synthétiser même en y mettant l'intégralité de ses journées en tant que vivant.

Une première objection pourrait consister à dire que que cette demoiselle s'encadre et nous encadre dans un cadre. Ce cadre est évidemment celui de la production capitaliste. Pourquoi je dis s'encadre et pourquoi je dis t'encadre ? Parce qu'elle s'enferme involontairement (en réalité surtout inconsciemment par réponse à son environnement qui la déterminé à se créer ce cadre) dans le cadre de la pensée qui consiste à croire que le seul modèle économique est celui qu'elle défend (l'économie de marché). Il arrive un moment où les contigences sociales et historiques revêtent le vêtement de la naturalité. Ce systéme paraît ainsi naturel, ce qui est, bien sur, une pure réalité historique contingente de l'histoire de l'homme. Ainsi elle s'encadre elle-même en s'autolimitant et par ce biais, elle t'incite aussi à croire (donc à te cadrer) dans ce même registre économique de la naturalité du capitalisme.

C'est fantastique. On est cadré par des encadrants qui se pensent non-cadrants (car ils se pensent libres en tant que défenseur de la liberté individuelle) qui finissent par s'encadrer eux-même.

Une deuxième objection plus empirique repose sur l'analyse plus historique du devenir du capitalisme et de son déployement. Analysons deux cas pour cette idée : le premier est celui qui nous vient de La grande transformation de Polanyi qui montre que le capitalisme, contrairement à ce qu'affirme le libéral moyen que ce dernier résulterait de la anture de l'homme qui ne demandait qu'à germer, est crée de toute piéce et planifié. En effet, le capitalisme comme le montre Polanyi a été instauré par l'Etat rien que parce que pour respecter al fiction juridique du droit et du contrat libre, il fallait un état régulateur qui viendrait controler les libertés individuelles. Le capitalisme est le produit concret d'une planification et non le résultat d'une germination de comportements sociaux supposés naturels. Le capitalisme n'est pas la norme de l'histoire mais l'exception (malade) des formes que peut prendre le vivre-ensemble.

L'autre cas majeur est de croire que c'est la demande qui détermine la production. Ceci est (aussi) un mythe libéral. En effet, dans les faits, c'est bien souvent la production qui vient surdéterminer la demande. C'est à bien à ça que sert la publicité, elle est une fabrique du fantasme, du désir, des passions et une stimulation par la libido de nos désirs afin d'inciter à la consommation. Inutile ici de citer la campagne de publicité orchestré par la Tobacco Company qui a engagé le neveu de Fred : Edwards Bernays qui a mis ses services au service de la Tobacco Company afin de vendre ses services (des cigarettes). Pas content que la moitié de l'humanité (les femmes) subisse l'opprobre des puritains de ne pas fumer, la compagnie et son psy instrumentalise une vaste campagne de publicité où la femme qui fume est assimilée à une femme rebelle qui se bat contre le systéme. Et voici comment la liberté est aliéné et exproprié par la compagnie, les femmes fument, les industriels du tabac sont contents, les révolutionnaires de salon aussi, Edward touche son pactole et vante les mérites de la psychanalyse. Ainsi naît le début de la production qui détermine la demande (et non le mythe de l'inverse). Plus globlamment, en dehors de toute sphére locale, toute notre vie est déterminée par l'écoulement libidinal. Tout le systéme américain de la "pursuit of happiness" est rien d'autre qu'une transformation des moeurs qui doit être compatibles avec une consommation exponentielle. Cette libéralisation des moeurs accompagne ainsi la libéralisation de l'économie, la liberté n'est devenu que l'apanage de l'aliéné. Cette reconfiguration des moeurs qui a détruit l'Etre, l'Autre et le Transcendant (le sacré, Dieu(x), la Nation, le Prolétariat, la Polis) a ensuite crée un vivre-ensemble entiérement focalisé sur le vivre-pour-soi égoiste. Un vivre-soi égosite qu'on nous incite sans cesse à poursuivre "Vis pour toi-même, poursuis tes rêves, tu as ta propre morale, tu es valide, etc". Toute cette transformation vient accompagner aussi le capitalisme et vient créer l'individu parfaitement compatible moralement, spirituellement et comportementalement aux systémes de productions capitalistes ne faisant, par là, que répéter le schèma marxiste de l'infrastructure qui vient déterminé (en partie ou en grande partie, c'est encore à l'examen) la superstructure.

CHAT0N_BARBARE CHAT0N_BARBARE
MP
Niveau 10
19 avril 2019 à 11:35:34

On est cadré par des encadrants qui se pensent non-cadrants (car ils se pensent libres en tant que défenseur de la liberté individuelle) qui finissent par s'encadrer eux-même.

On dirait du Bourdieu, des classeurs classés par leurs classements.

CHAT0N_BARBARE CHAT0N_BARBARE
MP
Niveau 10
19 avril 2019 à 11:48:49

Le 19 avril 2019 à 01:50:40 Capt- a écrit :
Je discutais dernièrement avec une amie qui travaille dans la finance, pour elle, en tant que citoyen, notre seule marge d'action résidait dans nos choix en tant que consommateur, le boycott était pour elle la seule arme capable de forcer les entreprises à produire de façon éco-responsable, et en même temps, elle y voyait une façon de créer des emplois dans ces nouveaux domaines, et donc possiblement de résoudre le problème du chômage et donc de régler les inégalités. Plusieurs objections me sont venues à l'esprit, notamment : ce n'est pas la consommation qui détermine la production, mais aussi : on peut très bien vivre dans un monde où la production est éco-responsable et pourtant, avoir 10 millions de chômeurs. Vaste sujet, mais j'aimerais avoir de l'aide, pour réfuter, éclaircir, reformuler.

Franchement ton amie travaille dans la finance, elle a été socialisée à apprécier les entreprises et à penser rentabilité, marché et entreprenariat. Il n'y a rien de surprenant à ce qu'elle te tienne un discours radicalement libéral.
En réalité la "démocratie de marché", c'est à dire cette idée que le seul vrai acte véritablement citoyen ne consiste ni à voter ni à militer mais bien plutôt exclusivement à boycotter certains produits, n'est pas une stratégie viable.
Ce n'est pas une stratégie viable car je te laisse imaginer le temps et l'effort qu'il faudrait consentir pour se renseigner sur la façon dont a été produite chaque marchandise que tu achètes. Donc cette contrainte en terme de quantité d'effort nécessaire à l'acquisition d'une telle information sur les produits que l'on consomme rend cette stratégie politique absurde, inefficace. D'autant que pour chaque produit dont le boycott sera massif, les entreprises n'auront qu'à changer le nom du produit, le faire passer pour un autre produit et ainsi rendre inopérant le boycott. Bref il y aurait constamment une forme de latence du côté des "consommateurs engagés", perpétuellement devancés par les entreprises qui ont tous les outils de leur côté pour brouiller les pistes.
C'est sans compter également que la production d'externalités (écologique notamment) a bien montré qu'une économie de marché non régulée n'était pas viable.

Pour ce qui est de la lutte contre le chômage, si je comprend bien, ce qu'elle propose c'est de détricoter toutes les protections légales dont bénéficient les salariés, pensant que le "marché libre" est efficient. Déjà on peut se demander si être un travailleur précaire vaut mieux que d'être un chômeur, ensuite elle a une vision biaisé du fonctionnement du marché ; rien ne dit qu'une diminution des protections offertes aux salariés n'induise une baisse du chômage, les choses sont bien plus complexes ; il faut cesser de s'abreuver des discours du MEDEF.

Ce que dit Appio sur les désirs n'est pas bête non plus. Ce que ne prend pas en compte ton amie c'est que la grande majorité des désirs actuellement diffus dans la société sont des désirs produits artificiellement par la publicité et le marketing. Il faut donc comprendre que le citoyen ne peut être libre de consommer selon ses désirs personnels si ses propres désirs ne lui appartiennent pas mais sont produits par des entreprises qui dépensent des milliards pour lui faire émerger un sentiment de frustration.
Enlever des mains du citoyen la possibilité de contrôler l'économie, lui interdire de réguler le marché, c'est lui empêcher de maîtriser ses désirs, ou en tout cas la production de ses désirs, et non lui permettre de les assouvir. On a là finalement un retourner total des représentations. Le marché ne serait pas libérateur mais bien aliénant.

Je crains cependant que tu n'arriveras pas à convaincre ton amie ; il faut que tu comprenne qu'elle évolue dans un milieu professionnel très favorable au marché et qu'elle est certainement quotidiennement soumise à des discours libéraux. Ce ne sera pas en discutant 2 heures avec elle que tu lui ferra changer d'avis.

Message édité le 19 avril 2019 à 11:52:58 par CHAT0N_BARBARE
Pimpin112 Pimpin112
MP
Niveau 10
19 avril 2019 à 23:41:18

Il arrive un moment où les contigences sociales et historiques revêtent le vêtement de la naturalité

Oui, sauf que jamais autant d'outils n'ont été disponible pour en effriter le dit revêtement.

Pimpin112 Pimpin112
MP
Niveau 10
19 avril 2019 à 23:44:59

En effet, le capitalisme comme le montre Polanyi a été instauré par l'Etat rien que parce que pour respecter al fiction juridique du droit et du contrat libre, il fallait un état régulateur qui viendrait controler les libertés individuelles. Le capitalisme est le produit concret d'une planification et non le résultat d'une germination de comportements sociaux supposés naturels. Le capitalisme n'est pas la norme de l'histoire mais l'exception (malade) des formes que peut prendre le vivre-ensemble.

Et Polanyi pensait que le futur impliquerait un désencastrement de la sphère économique, donc go Granovetter, l'économie sera toujours encastré dans des croyances et des institutions sociales.

elle est une fabrique du fantasme, du désir, des passions et une stimulation

Oui et non. Il faut bien stimuler quelque chose qui pré existe à la publicité.
Tu peux t'amuser à offrir un truc absolument inutile, tu trouveras pas preneur. Donc non, ni l'offre ni la demande ne sont à négligés. Il n'existe pas vraiment l'un sans l'autre.

CHAT0N_BARBARE CHAT0N_BARBARE
MP
Niveau 10
20 avril 2019 à 00:34:17

Tu peux t'amuser à offrir un truc absolument inutile, tu trouveras pas preneur

Handspiner.

thebabouche thebabouche
MP
Niveau 12
20 avril 2019 à 04:20:49

la consommation engagée peut-elle réellement faire pression sur les politiques ?

Non.
Si l'action ne parvient pas à se faire (pas à se concerter, pas à mobiliser les gens etc) ça ne changera rien.
Si l'action parvient à se faire, tombera rapidement une interdiction de ceci ou cela, qui annulera la mobilisation.

L'appel au boycott n'était pas interdit tant qu'il n'avait pas prit. En cherchant je suis sur qu'on peut retrouver des archives de personnes défendant que c'est même ça, la démocratie, c'est appeler à, sans obliger à.
Lorsque ça a dérangé, un interdit est tombé. Dans le cul lulu.

"oui mais on peut braver l'interdit"

oui, on peut. Il se trouve que l'interdit suffit à démobiliser, en l'occurrence. S'il ne suffisait pas, les peines seraient plus lourdes.
Ultimement, si rien ne suffisait (donc on parle d'une situation ou mettre des gens en taule pendant vingt ans ne suffirait pas), l'état contournerait le problème en "évaluant le préjudice", puis en s'excusant auprès du boycotté en lui donnant directement des sous. Sous qui viendrait des impôts.
Est-ce que vous avez le contrôle sur la distribution de vos impôts ? Est-ce que vous pouvez décider de payer les impôts correspondant à l'école pour les gosses et pas ceux qui vont servir à contourner le boycott ? Non, vous payez ou vous ne payez pas.

Donc pour que ça ait une chance de marcher, il faudrait que personne ne paie plus aucun impôts en plus de boycotter. Et comme les puissants ne laisseront pas faire ça sans réagir, ça se finira dans la violence, ce qui signifie que:
1/ le boycott n'est pas un moyen de quoique ce soit, puisqu'il requiert la violence.
2/ a partir du moment où l'on use de la violence, on n'a plus besoin du boycott.

Comme disait coluche "si voter changeait quelque chose, ça fait longtemps que ça serait interdit"
Le boycott n'est pas interdit parce que ça ne marche pas. Si ça marchait, ça serait interdit.
Le jour où ça commencer à marcher, ça sera interdit.

Ultimement la question est "qui a accès à la violence". En ce moment c'est l'état, avec la police, l'armée, la gendarmerie et la trouzaine d'autres groupes du même genre.
Et la discussion se fait tant que l'état a envie de parler.
Pendant que les gilets jaunes font des demandes, l'état agit. A ce que je sache, la diplomatie n'a pas été gelée le temps qu'on se mette d'accord avec les gilets jaunes.
Donc on leur demande de débattre, pendant qu'en face ça ne fait pas que débattre, ça agit.

Parce que l'un des deux côtés à accès à la violence et pas l'autre.
ultimement la seule question revient à qui est capable d'abattre l'autre en se protégeant lui-même.

le blabla ne sert à rien, le boycott ne sert à rien.
Ca ne sert QUE lorsque les deux parties sont désarmées, ou armées de façon équivalente.
Lorsque les deux côtés sont obligés de rester à la table des négociations.
Lorsque les deux côtés savent qu'à l'instant où ils quittent cette table, l'autre peut faire de même.

Sinon il y a ceux qui ont un flingue chargé et ceux qui creusent.

balavooaeiao balavooaeiao
MP
Niveau 5
20 avril 2019 à 04:35:37

Le 20 avril 2019 à 00:34:17 CHAT0N_BARBARE a écrit :

Tu peux t'amuser à offrir un truc absolument inutile, tu trouveras pas preneur

Handspiner.

https://www.noelshack.com/2019-16-6-1555727735-dqii2tjx0aa80im.jpg

IIII_IIII_IIII IIII_IIII_IIII
MP
Niveau 9
20 avril 2019 à 17:29:42

Tout les présidents de la république sont actionnaires en bourse c'est pas pour rien qu'ils sont copain avec les patrons du cac 40 et qu'ils organisent des reunions régulièrement . Quand tu vois les gauchistes + la gamine autiste qui pleurniche pour un changement écologique , c'est une aubaine pour les élites de mettre ca en avant pour influencer les idées et pouvoir s'en mettre plein les poches .

Demain , au nom de " l'écologie " et du " capitalisme vert " les élites vont réussir à nous faire louer des voitures électrique autonome ultra polluante . En mettant en avant comme arguments : moins de morts sur la route , plus écologique , plus besoin de conduire , ca coûte moins cher de louer que d'acheter une voiture .... toussa toussa . L'argent des prolos pour louer une voiture seront reversés en dividendes aux actionnaires . Et t'auras Mélenchon qui possède le plus gros patrimoine de tout les hommes politique venir crier au scandale parceque les riches gneugneuh ils possèdent plus que les pauvres .

C'est pas pour rien que les dirigeants politique ils disent " Avec le pen c'est le chaos économique " non non .... en vérité , c'est juste qu'ils ont peur pour leurs actifs boursiers ....

IIII_IIII_IIII IIII_IIII_IIII
MP
Niveau 9
20 avril 2019 à 17:35:47

Demain y'a un boycott sur une entreprise . T'inquiètes le président il va envoyer les crs parceque à cause de ca il a perdu -2% en bourse et il nous dira " gneugneuh .... c'est inadmissible , y'a des gens qui travaillent et veulent s'en sortir et y'en a qui les empêches de travailler "

-The[Flash]- -The[Flash]-
MP
Niveau 10
20 avril 2019 à 20:05:09

Effectivement, le renversement du capitalisme et devenir éco résponsable est simple :

Demain, tout le monde travaille pour tout le monde gratuitement, sans compter.

Et surtout, il fait ses fruits et légumes dans son jardin. Les pommes de terre c'est easy aussi.

Aussi, les gens entament une dénatalité d'eux-même.

Tout le monde arrête de consommer des plaisirs futiles et revient à l'essentiel.

Tout le monde met des pulls et se chauffe moins.

Tout le monde se déplace à pied ou en vélo ou à cheval ou en transport en commun.

Et voilà, les patrons en pls car ils n'ont plus d'ouvrier :fete:

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