Le 14 décembre 2017 est une date historique au même titre que le 21 juillet 1969 ou le 11 septembre 2001 : la fin de l'anarchie du net et le début de sa libéralisation. La "non-neutralité du net" (comme le nomment ses détracteurs) ouvre d'immenses possibilités en terme d'émancipation républicaine que je définis dans les termes de Rousseau "Quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera à être libre".
En République pratique la volonté générale, c'est le Président de la République et l'Assemblee nationale et les personnes contraintes les mauvais citoyens.
En ses temps où l'on suppose l'Etat en perte de puissance contre la mondialisation et des formes plus horizontales d'information, la non neutralité du Web dans les mains de représentants du peuple français est une magnifique arme dans les missions républicaines, comme la lutte contre les dominations sociales, les sectes ou la pédophilie.
Avec la capacité subtile d'influencer Internet, l'Etat pourra enfin lutter contre les propagandes djihadistes et frontistes, en triant de façon optimale les contenus d'information selon des règles éthiques et pédagogiques.
Pas besoin de répression : les bons citoyens auront des contenus à bas prix, quand les mauvais citoyens auront leurs contenus (pornos sexistes, livres racistes, vidéos djihadistes) à des prix bien plus élevés. L'état et les entreprises partenaires y trouveront leur compte.
Ce service rousseauiste dans ses fondements est un service de santé publique, mais pas n'importe laquelle : la santé mentale et idéologique des citoyens, qui pourront être deradicalisés en amont des tentatives extrémistes.
Il sera enfin possible de bâtir des citoyens nouveaux à l'ere numérique, des citoyens prêts à défendre et faire vivre la République démocratique française. L'attente ne devrait pas être très longue.
À l'aide, ils y en a encore qui veulent créer "homme nouveau".
Génocide d'une catégorie de la population par idéologie incoming
La santé mentale de ceux qui rejettent ce système est à mon avis celle qui se porte le mieux
Quant à la pédophilie, elle est malheureusement bien plus répandue chez nos élites que parmis "les mauvais citoyens"
Tu es quoi en fait? Un bot de l'état ?
Affligeant ce topic
Sacraliser la Republique
Le congrès américain va annuler cette loi, trop d'argent à perdre pour eux dans cette voie (pour une fois que le capitalisme a de bon côté).
Passera pas non plus en France pour la même raison, d'ailleurs les géants d'Internet ne permettront jamais ça et en aucun cas les US et l'UE ne peuvent se passer d'eux.
[23:43:34] <ZeldAhQjetaime>
Le 14 décembre 2017 est une date historique au même titre que le 21 juillet 1969 ou le 11 septembre 2001 : la fin de l'anarchie du net et le début de sa libéralisation. La "non-neutralité du net" (comme le nomment ses détracteurs) ouvre d'immenses possibilités en terme d'émancipation républicaine que je définis dans les termes de Rousseau "Quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera à être libre".En République pratique la volonté générale, c'est le Président de la République et l'Assemblee nationale et les personnes contraintes les mauvais citoyens.
En ses temps où l'on suppose l'Etat en perte de puissance contre la mondialisation et des formes plus horizontales d'information, la non neutralité du Web dans les mains de représentants du peuple français est une magnifique arme dans les missions républicaines, comme la lutte contre les dominations sociales, les sectes ou la pédophilie.
Avec la capacité subtile d'influencer Internet, l'Etat pourra enfin lutter contre les propagandes djihadistes et frontistes, en triant de façon optimale les contenus d'information selon des règles éthiques et pédagogiques.
Pas besoin de répression : les bons citoyens auront des contenus à bas prix, quand les mauvais citoyens auront leurs contenus (pornos sexistes, livres racistes, vidéos djihadistes) à des prix bien plus élevés. L'état et les entreprises partenaires y trouveront leur compte.Ce service rousseauiste dans ses fondements est un service de santé publique, mais pas n'importe laquelle : la santé mentale et idéologique des citoyens, qui pourront être deradicalisés en amont des tentatives extrémistes.
Il sera enfin possible de bâtir des citoyens nouveaux à l'ere numérique, des citoyens prêts à défendre et faire vivre la République démocratique française. L'attente ne devrait pas être très longue.
File le nom de ton dealer
[17:10:12] <Orion-Is-Back>
Le congrès américain va annuler cette loi, trop d'argent à perdre pour eux dans cette voie (pour une fois que le capitalisme a de bon côté).
Passera pas non plus en France pour la même raison, d'ailleurs les géants d'Internet ne permettront jamais ça et en aucun cas les US et l'UE ne peuvent se passer d'eux.
Les lois de la France et de l'Ue protège la neutralité du net
livres racistes.
Ou plus exactement tout bouquin non-conforme à la droite pensence ? Toute oeuvre ayant un traitement différent en raison de son contenu tombe sous le coup du totalitarisme.
Et que faire des œuvres littéraires et philosophiques des siècles précédents, jugées comme racistes, sexistes, ou homophobes ? C'est à dire que la société se prononce sur ce qui est bien et mal idéologiquement et l'impose comme Vérité incontestable.
En République pratique la volonté générale, c'est le Président de la République et l'Assemblee nationale et les personnes contraintes les mauvais citoyens
Seulement lorsque toute action politique a la visée l'intérêt général de la nation.
Toute la notion de la Volonté Générale chez Rousseau se base sur l'opposition de l'intérêt général à l'intérêt privé. Cela veut dire qu'il ne sera pas possible de puiser dans les fonds publics pour s'offrir un coiffeur à 10 000€/mois par exemple, pas fixer un arbitrairement un tel salaire. Ceci n'est qu'un exemple parmi tant d'autres de la violation de la Volonté Générale.
L'autorité, par principe, ne devrait avoir aucun émolement.
[12:18:32] <DeLetantLetre>
livres racistes.
Ou plus exactement tout bouquin non-conforme à la droite pensence ? Toute oeuvre ayant un traitement différent en raison de son contenu tombe sous le coup du totalitarisme.
Et que faire des œuvres littéraires et philosophiques des siècles précédents, jugées comme racistes, sexistes, ou homophobes ? C'est à dire que la société se prononce sur ce qui est bien et mal idéologiquement et l'impose comme Vérité incontestable.
A ce compte la avec ton argument ca revient à dire que tu va gueuler dehors "à mort les juifs/noirs/autres c'est pas raciste ou antisémites " niveau intelligence c'est proche du néant