Je vous apporterai sur ce topic réguliérement des blagues que j'ai trouver où qui était courante durant l'époque des régimes des pays communistes (après 1950) ou bien celles qui auront été construites par la suite
Voici quelques-unes pour commencer :
1. On demandait à Ho Chi-minh, en 1951, lors d'un de ses passages à Moscou, s'il était possible de s'asseoir sur un hérisson. « En principe non, répondit-il, toutefois, il y a trois exceptions : si on rase le hérisson, si on fait asseoir quelqu'un d'autre à sa place et si le Parti l'ordonne. »
2. Un directeur de cirque est emprisonné peu après le 20ème anniversaire de la RDA. Il avait fondé son cirque en 1949 et fait ainsi sa publicité :
« 20 ans de RDA, 20 ans de cirque ! »
3. Trois prisonniers du goulag discutent :
« Pourquoi t’es là, toi ?
- Je suis arrivé en retard à l’usine et j’ai été condamné pour sabotage industriel au profit des puissances ennemies.
- Et toi ?
- Oh moi ! Je suis arrivé en avance au travail et j’ai été condamné pour espionnage au profit des puissances ennemies.
- Et toi, camarade ?
- Ben moi, je suis arrivé à l’heure à l’usine...
- Ah ! Et alors ?
- J’ai été condamné pour conformisme petit bourgeois... »
4. La plus courte blague de RDA des années 80 :
Deux Polonais travaillent...
-Quel est le comble de la naïveté ?
- Etre communiste.
~:hap:~
Ca c'est pas une blague c'est de la merde.
Je sais, j'assume.
Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, le communisme c'est l'inverse.
Brejnev revient d'une entrevue avec Indira Gandhi. Il rassemble le service de communication du Kremlin et déclare vouloir absolument un tilak (le point rouge des hindous) sur le front.
"Mais camarade, pourquoi cela? Nous sommes un Etat revendiqué athée!" lui dit-on.
Il répond alors: "Indira Gandhi m'a dit pendant notre entrevue: "vous êtes un brave type Leonid, mais il vous manque quelque chose là" ".
ahah qu'est ce qu'on se marre dis donc ici
Ça vaut pas les vannes de Reagan sur l'URSS
https://m.youtube.com/watch?v=mN3z3eSVG7A
Un nouveau arrive au goulag et on lui demande:
<< Pourquoi t'es là ? >>
_ J'ai cessé d'applaudir en premier
(Ca c'est par contre vrai, Stalin faisait disparaître les premiers qui s'arrêtaient d'applaudir après son discours, pour manque de zèle)
La 1, la 3 et la 4 m'ont tués véritablement
"Deux polonais travaillent..."
Le 14 juin 2015 à 12:25:58 le_litchi01 a écrit :
Brejnev revient d'une entrevue avec Indira Gandhi. Il rassemble le service de communication du Kremlin et déclare vouloir absolument un tilak (le point rouge des hindous) sur le front.
"Mais camarade, pourquoi cela? Nous sommes un Etat revendiqué athée!" lui dit-on.
Il répond alors: "Indira Gandhi m'a dit pendant notre entrevue: "vous êtes un brave type Leonid, mais il vous manque quelque chose là" ".
Enorme
Ca me rappelle une blague
C'est Staline qui prend la parole, pendant son discours un homme dans le public éternue, Staline s'arrête net et demande "qui a éternué ?". Aucune réponse. Il ordonne alors aux gardes de fusiller le premier rang, ce qui est aussitôt fait, ensuite il redemande qui a éternué, toujours aucune réponse, et même méthode Staline demande de fusiller le deuxième rang. Staline répète : "Qui a éternué ?", une petite voix répond enfin : "C'est moi camarade", et là Staline : "A tes souhaits camarade".
Le 14 juin 2015 à 13:28:12 Yaksanda a écrit :
Ca me rappelle une blagueC'est Staline qui prend la parole, pendant son discours un homme dans le public éternue, Staline s'arrête net et demande "qui a éternué ?". Aucune réponse. Il ordonne alors aux gardes de fusiller le premier rang, ce qui est aussitôt fait, ensuite il redemande qui a éternué, toujours aucune réponse, et même méthode Staline demande de fusiller le deuxième rang. Staline répète : "Qui a éternué ?", une petite voix répond enfin : "C'est moi camarade", et là Staline : "A tes souhaits camarade".
Le 14 juin 2015 à 13:28:12 Yaksanda a écrit :
Ca me rappelle une blagueC'est Staline qui prend la parole, pendant son discours un homme dans le public éternue, Staline s'arrête net et demande "qui a éternué ?". Aucune réponse. Il ordonne alors aux gardes de fusiller le premier rang, ce qui est aussitôt fait, ensuite il redemande qui a éternué, toujours aucune réponse, et même méthode Staline demande de fusiller le deuxième rang. Staline répète : "Qui a éternué ?", une petite voix répond enfin : "C'est moi camarade", et là Staline : "A tes souhaits camarade".
Pas mal, pas mal
Hahaha pas mal Yaksanda
Le 14 juin 2015 à 13:23:41 Jacopiere a écrit :
La 1, la 3 et la 4 m'ont tués véritablement
"Deux polonais travaillent..."
Le problème c'est que c'était pas tellement faux, en réalité, les polonais étaient antirusses et anticommunistes (religieux catholiques, haine des russes depuis les nombreuses guerres) donc les polonais n'avaient aucune foi dans le règime socialiste, j'ai des témoigagnes comme quoi les polonais ne travaillaient jamais et la Pologne était une région ultra-improductive qui se reposait sur les travails des autres républiques socialistes
On m'a dis que dans certaine usine polonaise, les ouvriers jouaient aux cartes 6 heures par jour et les communistes avaient peur de sévir parce qu'ils savaient que les polonais sont extrement casse-couilles à gèrer
Suite des blages :
5. Brejnev à Kosygin :
« On a combien de Juifs en Union Soviétique ?
- Bôf... dans les 6-8 millions.
- Et combien émigreraient si on les laissait faire ?
- Entre 20 et 25 millions... »
6. Dans une salle de classe polonaise, la maîtresse demande à un élève :
« Ta mère, c’est qui ?
- La Pologne.
- Et ton père ?
- L’Union Soviétique.
- Et ton souhait le plus cher ?
- Qu’ils divorcent ! »
7. Quelles sont les quatre plus grands problèmes du Conseil d’Entraide Économique du bloc de l’Est ?
1) la microélectronique mongole,
2) l’agriculture soviétique,
3) l’ardeur au travail polonaise,
4) les statistiques est-allemandes.
Après réunification comme quoi ça allait pas mieux :
8. Un Ossi lit les programmes de télé :
« Quelle merde ! Mais quelle merde ! dit-il à sa femme. Tu sais, je me demande tous les jours pourquoi autrefois je regardais la télé de l’Ouest. »
9. Un Ossi (Allemand de l'Est) à un autre :
« Ton boulot c’est quoi en ce moment ?
- Ben, justement, rien.
- Joli travail.
- Oui, mais quelle concurrence ! »
Le 14 juin 2015 à 14:36:07 Appiodici_bis a écrit :
Le 14 juin 2015 à 13:23:41 Jacopiere a écrit :
La 1, la 3 et la 4 m'ont tués véritablement
"Deux polonais travaillent..."
Le problème c'est que c'était pas tellement faux, en réalité, les polonais étaient antirusses et anticommunistes (religieux catholiques, haine des russes depuis les nombreuses guerres) donc les polonais n'avaient aucune foi dans le règime socialiste, j'ai des témoigagnes comme quoi les polonais ne travaillaient jamais et la Pologne était une région ultra-improductive qui se reposait sur les travails des autres républiques socialistes
On m'a dis que dans certaine usine polonaise, les ouvriers jouaient aux cartes 6 heures par jour et les communistes avaient peur de sévir parce qu'ils savaient que les polonais sont extrement casse-couilles à gèrer
Ces males alpha
J'en ai trouvée une sur internet :
-Que se passerait-il si tous les membres du Parti Communiste est-allemand émigraient en Union soviétique ?
-Cela élèverait le niveau intellectuel des deux pays !
Nul.
Ca me rappelle une blague
C'est Staline qui prend la parole, pendant son discours un homme dans le public éternue, Staline s'arrête net et demande "qui a éternué ?". Aucune réponse. Il ordonne alors aux gardes de fusiller le premier rang, ce qui est aussitôt fait, ensuite il redemande qui a éternué, toujours aucune réponse, et même méthode Staline demande de fusiller le deuxième rang. Staline répète : "Qui a éternué ?", une petite voix répond enfin : "C'est moi camarade", et là Staline : "A tes souhaits camarade".
Imagine si le type qui avait éternué avait été dans la 2ème rangée.
Lors d'un sommet Reagan-Gorbatchev, les deux hommes d'État ne cessent de vanter les mérites de leurs pays respectifs.
— En Russie, dit Gorbatchev, nous avons un champion qui court à cent à l'heure !
— Really ? dit Reagan. Eh bien, aux États-Unis, nous avons un docteur capable de ressusciter les morts... Tenez, voilà ce que je vous propose : je vous l'envoie pour qu'il ressuscite Lénine, et vous m'envoyez votre coureur.
Le lendemain, Gorbatchev, un peu ennuyé, se confie à un conseiller.
— C'est ennuyeux. Si son docteur ressuscite Lénine, je n'aurai pas de coureur à lui envoyer.
— Ne t'en fais pas, camarade, répond le conseiller. S'il ressuscite vraiment Lénine, c'est toi qui courras à cent à l'heure.
source : http://www.communisme-bolchevisme.net/histoires_droles_communistes.htm