Ils naviguèrent quelques minutes. Augustin était pressé, et il poussait le moteur du bateau à ses limites. Célestin se cramponnait comme il pouvait
"Le vieux phare" était en vue. En fait, c'était un ilôt, sur lequel était dressé une cabane en pierre. Autrefois, elle était utilisée comme un repère par les marins, jusqu'à ce qu'un vrai phare soit construit. Elle avait gardé ce nom de vieux phare
Les deux frères acostèrent. Ils courrurent vers la cabane, tous les deux arboraient un sourire teinté de crainte à l'idée de toucher enfin au but
Ils arrivèrent devans la porte de bois, rongé par l'humidité
Célestin entra le premier. Augustin lui emboîta le pas.
Nous y voilà Célestin... tu arrives à y croire toi ?
J'ai du mal à y croire Augustin, dis moi que je ne rêve pas
Tu ne rêves pas Célestin, on touche au but !
D'accord mais... on fait quoi maintenant ?
C'était une bonne question, que faire à présent ? Pour cette dernière énigme, ils n'avaient aucun indice
Augustin, tu connais mieux le coin que moi, tu sais quoi sur cet endroit ?
Ben... la cabane servait de phare jusqu'à ce qu'ils en construise un vrai au début du 20ème siècle. Puis pendant la guerre les allemands étaient stationnés ici, ça faisait parti du mur de l'atlantique.
Bon bon... on a qu'à faire le tour des environs
Ce qu'ils firent. Ils sortèrent, et le vent leur fouetta le visage. Derrière la cabane, ils découvrirent un escalier taillé dans la pierre qui descendait sous la cabane.
En bas des quelques marches, une porte en fer. Elle était en très bon état, signe qu'elle n'était pas aussi vieille que la cabane.
Célestin, essaye de mettre ta clef dans la serrure pour voir
Si ça ne marche pas on fait quoi ??
On va voir si ça marche déjà, allez
Célestin descendit les marches, et mit la clef dans la serrure. Après un moment d'hésitation, il la tourna
Une fois... deux fois... clac
Putain Augustin c'est ouvert !!
Ils ouvrirent la porte, une petite pièce sombre se tenait devant eux. Ils allumèrent les torches de leurs téléphones
Devant eux se tenait un autel. Sur cet hôtel, un rouleau de papier, scéllé avec un ruban et de la cire, frappée du sceau de leur famille : un renard
Célestin prit le rouleau, et le contempla
Il l'ouvrit, puis le lût
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Mes chers petits,
Vous y êtes parvenu, enfin. Je suis fier de vous, ce n'était pas facile. Augustin, comprends-tu maintenant pourquoi je t'ai appris à naviguer ?
Votre fardeau vous attend, il est tout prêt. Voilà ce que vous allez faire, d'abord, vous allez soulever l'autel, en dessous, vous trouverez deux poignées reliées à un cable.
Chacun, vous en prendrez une, et vous tirerez, le plus fort possible.
Lorsque ce sera fait, appelez le numéro de téléphone que vous trouverez en bas de page.
Mes petits... ce que vous allez trouver ici, était autrefois caché sous la chapelle à la maison. Nous avons du le déplacer, ils vous expliqueront tout.
Maintenant, entrez. Et faites confiance à ceux que vous rencontrerez tout à l'heure.
Tout cela est très mystérieux, n'est-ce pas ? Vous devez vous demander ce qui vous arrive. Vos vies sont sur le point de changer, encore une fois, pardonnez moi de vous infliger cela...
Votre grand père, le précédent héritier de l'héritage des De Chancla.
Marcelin De Chancla.
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Un silence pesant régnait dans la pièce, sans dire un mot, les deux frères retirèrent l'autel, et trouvèrent les deux poignées
Ils les prirent dans leurs mains, et se regardèrent. Augustin hocha la tête, Célestin en fit autant, et ils tirèrent
C'était dur, mais ils tiraient encore et encore. Soudain, une grosse pierre qui formait le mur se mit à se déplacer, et laissa place à une autre pièce
Lorsque la pierre fût immobilisée, un 'clic' se fit entendre, et une ampoule s'alluma dans la pièce. Célestin et Augustin tournèrent la tête...
Ils avaient du mal à croire ce qu'ils voyaient. Pendant de longues secondes, ils étaient téténisés
Célestin... c'est ce que je crois que c'est ?
On dirait bien que oui...
Ils tenaient toujours les poignées dans leurs mains, ils les lachèrent et s'avancèrent vers la pièce désormais accessible
Devant eux... des centaines... des miliers de pièces d'or. Des bijoux scintillants. Des broderies colorées. Des armes richement ornées de pierres précieuses. Des couronnes en or incrustées de saphirs, des tiares parées de diamants
C'est quoi tout ça... c'est pas possible
Célestin pris une pièce dans la main
Augustin... regarde ça, c'est super vieux
C'est de l'or ???
Prends la dans ta main, je crois bien que oui... c'est si lourd...
Augustin tremblait, il osait à peine toucher cette pièce. Son regarde se portait sur chaque détail, chaque éraflure sur la pièce. Ses yeux brillaient
Il y en a pour une fortune, regarde ça continue tout au fond là bas... Célestin c'est incroyable
Et les frères passèrent de longues minutes à inspecter leur trésor, Célestin pensait à son grand père...
'on l'a fait papy... on l'a fait...' se répétait-il
Mais, petit à petit, ils revinrent à la raison
Bon, Augustin, on fait quoi ?
Je sais pas du tout, j'arrive plus à penser... papy a pas dit qu'on devait appeler un numéro ou un truc comme ça ?
Laisse moi voir... si, et en bas de la page... il y a un numéro de téléphone, on l'appelle ?
Euh... on peut toujours essayer, on verra bien ce qu'il se passe
Augustin sorta et Célestin le suivit. Ils étaient en mer, péniblement, ils parvinrent à trouver un endroit où ils avaient du réseau. Augustin composa le numéro de téléphone
Attends Célestin ça sonne... putain j'ai peur
Quelqu'un décrocha, et ne dit rien
Allô ?
Vous êtes en mer, j'entend le bruit des vagues derrière vous. Revenez au port, et fermez bien derrière vous.
Attendez je-
A tout à l'heure, messieurs.
L'homme raccrocha
Alors il t'a dit quoi ?
Euh... Célestin, je sais pas quoi faire là...
sweet nom de dieu
Je veux savoir la fin de cette fic ! Sweet
Toujours aussi sympa ces sweet mon khey ! On attend la suivante
J'UP pour la qualité de cette FIC,c'est toujours du même niveau voir même mieux,l'auteur tu t'améliore
Ce cliffhanger
Sweet kheyou
GUGUGUGNNNGNGNGNNAAAAAAAA
La suite.:hap:
Sweeet
sweet kheyou
Sweet l'op par contre nous fait pas le coup du "lE trEsOr c L'aMitIé eNtRe frErES"
Le 11 avril 2019 à 15:29:50 Apprenti_Cuck a écrit :
Sweet l'op par contre nous fait pas le coup du "lE trEsOr c L'aMitIé eNtRe frErES"
Je pensais finir ma fic par "Célestin se réveilla, tout cela n'était qu'un rêve"
Après leurs péripéties, Augustin et Celestin prirent quelques minutes pour réfléchir, pour réaliser ce qui venait de leur arriver
T'y aurais cru toi ?
J'aurais cru à quoi ?
Que la lettre de papy nous emmènerait ici, pour trouver... tout ça ?
Célestin se posa la question pendant un instant, le regard vague
Oui. Tu connais papy aussi bien que moi, rien ne m'étonne avec lui
Augustin hocha la tête
Merde, il est mort, et pourtant on vit tout ça grâce à lui.
Tu sais Augustin...
Quoi ?
Non rien
Allez dis moi
Ben... ça m'a fait super plaisir de vivre tout ça avec toi. On avait rien fait ensemble depuis vachement longtemps
Célestin était ému. Il n'avait pas pour habitude d'ouvrir son coeur
Augustin vint vers lui
Eh, Célestin. On est des frères, et on le sera toujours. Frangin, tu pourras toujours compter sur moi
Et toi aussi Augustin
Ils avaient les larmes aux yeux en prononçant ces mots. Cette histoire les avait rapproché, leur grand père avait tout préparé. Mais, ils se demandaient pourquoi, pourquoi avait-il fait tout cela ?
Mais une vague, les éclaboussa, en s'écrasant sur les rochers. Ils revinrent soudainement à la réalité
Célestin, on ferait mieux de rentrer.
Et on fait quoi de tout ça ?
On le laisse ici, le... trésor est en sécurité.
On reviendra demain ?
Si tu veux... je sais pas, il faut y réfléchir tranquillement, au chaud, à la maison
En terminant sa phrase, Augustin mit un pied sur la barque, Célestin le suivit
Et presque immédiatement, ils étaient repartis. Augustin menait la barque avec assurance, et Célestin se trouva étonnement à l'aise sur l'eau
Le port était en vue. Célestin vit quelque chose qui l'inquiéta...
Euh... Augustin
Quoi ?
Le comité d'accueil là... c'est pour nous ?
Mais de quoi tu parles ?..
Augustin vit de quoi parlait Célestin
Sur le quai, plusieurs hommes habillés de costumes noirs attendaient
Oh putain, c'est pas les affaires maritimes
Tu crois que c'est pour nous qu'ils sont là ?
J'en sais rien Célestin, mais on le saura bientôt
Avec beaucoup d'appréhension, Augustin approcha de la cale
Un des hommes en costume vint à leur rencontre, il marchait avec assurance sur la cale glissante
Célestin, laisse moi parler
L'homme se tint devant eux, Célestin n'était pas rassuré, et Augustin non plus. Il se leva, espérant gagner en assurance
L'homme se mit à parler
Célestin, et Augustin. C'est bien ça ?
Qui êtes-vous ?
Vous le saurez bientôt, suivez moi s'il vous plaît.
Il était direct, Augustin était déstabilisé
Non.
L'homme ne dit rien, il se contentait de les dévisager
Non, on ne vous suivra pas. Qui êtes-vous ?
Il s'adressa à Célestin
Vous êtes Célestin ? Pourquoi le laissez vous parler à votre place ?
Célestin bafouilla
Q-quoi ?
Et l'inconnu reprit de plus belle
Allons, venez.
Non ! Partez !
L'homme haussa les sourcils
Il ne vous a rien dit ?
Mais de quoi vous parlez putain ?
L'inconnu mit la main dans sa poche, et en sortit quelque chose
C'était une médaille rouge, avec une croix noire, la même que celle qu'ils avaient trouvé.
Vous essayez de nous intimider c'est ça ? Vous ferez moins les malins devant les flics
Augustin attrapa son téléphone
Cette fois, l'homme haussa le ton
Je vois que cette médaille vous est familière. Croyez moi, contre ceux qui arborent ce blason, la police ne vous sera d'aucune utilité. Mais je comprends que vous ne portez pas cette médaille dans votre cœur.
Dans ce cas, nous sommes dans le même camp. Marcelin a gardé ses secrets, je vais tout vous expliquer. Mais s'il vous plaît, suivez moi.
Augustin regarda Célestin
On fait quoi ?
E-euh je sais p-pas, il connaît papy
Et l'homme reprit
Bien sûr, avant même que vous soyez nés, Marcelin et moi étions déjà très proches. Maintenant... faites vite, la mer descend, et bientôt vous ne pourrez plus accoster.
Célestin et Augustin se regardèrent un instant, et Augustin, le premier hocha la tête, Célestin en fit autant
C'était décidé, ils allaient le suivre, mais qu'est-ce qui pouvait bien les attendre ?
Ils mirent leur barque sur leur remorque, l'homme remontait la cale, il leur tournait le dos.
Augustin s'adressa à lui
Oh ! C'est quoi votre nom au fait ?
L'homme se retourna
Oh, je m'appelle Charles.
Et il reprit sa route
Célestin et Augustin étaient plantés là, à le regarder remonter la cale, d'un air nonchalent. Charles, enfin, l'inconnu avait un nom.
Célestin réalisa enfin qu'à l'enterrement de son grand père, c'était lui, c'était Charles qui s'était adréssé à sa famille
Je UP + Je pense que Charles est un ancien ami du grand père de Célestin ou un truc dans le genre vu comment il parle,j'ai raison l'auteur ?
Le 11 avril 2019 à 18:29:46 RedJJCC a écrit :
Je UP + Je pense que Charles est un ancien ami du grand père de Célestin ou un truc dans le genre vu comment il parle,j'ai raison l'auteur ?
Je sais pas
Super khey, merci.
Le 06 avril 2019 à 20:20:33 andray a écrit :
Monsieur ? Elle est où la mer ?
Beh alors les petits gars, c'est marée basse quoi !
Et... la marée haute c'est quand ?
Ce soir, à 18 heures !
J'ai hurlé
Il est bien cool ton Risitas khey !
Je up ce topic parce qu'il le mérite
Les deux frères suivirent Charles vers un véhicule noir, aux vitres teintées
Ils s'installèrent à l'arrière, Charles était sur le siège passager avant. Un chauffeur, lui aussi habillé en noir, était au volant.
Deux autres véhicules identiques circulaient, l'un devant, l'autre derrière, à la manière d'un convoi
Tous étaient habillés d'un costume noir, à part Augustin et Célestin
Après quelques minutes, Augustin prit la parole
Où on va ?
Vous le saurez bientôt, vous n'avez rien à craindre.
Qu'est-ce que vous nous voulez ?
A vous ? Rien. C'est votre frère qui nous intéresse.
Augustin regarda Célestin, il n'avait pas l'air d'en savoir plus que lui.
Célestin prit la parole, après de longues minutes de silence
Qu'est-ce que vous nous voulez ?
J'ai bien cru que vous étiez muet. Je vous expliquerai tout une fois que nous serons arrivés, nous serons plus à l'aise.
Et... où est-ce qu'on va alors ?
Oh, nous rentrons chez moi.
Comment ça chez vous ? Mais vous êtes qui à la fin ???
Disons que je suis un ami de votre grand père.
Le convoi avançait, et petit à petit, il s'enfonça dans des routes de campagne plutôt étroites.
Soudain, devant eux se tenait une grande propriété. Un grand portail de fer forgé était dréssé entre deux murs d'enceinte de plusieurs mètres de hauteur.
Deux gardes se tenaient là. Immobiles, semblables à des statues. Ils n'étaient pas armés, mais leur seule présence dissuaderait n'importe quel curieux de s'aventurer plus loin
Ils pénétrèrent dans l'allée. Elle était très longue, et ornée de chênes massifs, probablement centenaires
Célestin et Augustin avaient déjà vu une demeure semblable, celle de leurs grands parents ; mais celle-ci était différente, bien mieux entretenue
Le convoi s'arrêta dans la cour, devant la maison, un voiturier vint ouvrir les portières. Charles descendit en premier, les deux frères le suivirent.
Entrons.
Lorsque les portes furent ouvertes, les deux frères contemplèrent la luxure de la maison. Elle était à l'image de l'extérieur, grandiose.
Devant la porte d'entrée, il y avait un escalier, orné d'un tapis rouge somptueux, aux bords dorés. Des armures finement ouvragées gardaient la pièce, et une horloge faite de glace et de mécanismes en bronze rayonnait triomphante sur un buffet de bois massif.
Charles prit la parole
Messieurs, cette petite farce a assez duré. Installons-nous au salon, nous pourrons discuter plus tranquillement.
On fait quoi Augustin ?
En entendant ces mots, Charles haussa les épaules, et prit la direction du salon, les deux frères en firent autant
Installez-vous, je vous en prie.
Comme vous n'êtes pas très bavards, je vais prendre la parole. Voulez-vous boire quelque chose ?
Euh... juste de l'eau
Pareil
Vraiment ?... Eh bien moi, je prendrais un verre de vin.
Presque immédiatement, comme si tout avait été préparé en vue de leur arrivée, un valet arriva avec un plateau où se tenaient les brevages. Il servit Célestin en premier -à sa grande surprise-, puis Charles, et enfin, Augustin
Messieurs, à votre grand père
Charles but une gorgée de vin. Et après un instant d'hésitation, les deux frères en firent autant.
Cette eau était très fraîche, et Célestin fût surpris par le plaisir qu'il prit à la boire. Peut être était-ce dû au verre, un verre de cristal finement peint de motifs simples, à la peinture dorée. Peut être était-ce parce qu'il avait très soif, il n'en savait rien.
Célestin, et... Augustin, c'est bien cela ?
Oui.
Bien. Il est temps que vous sachiez la vérité à propos de toute cette histoire. Par où commencer ?...
Commencez par nous dire ce que vous nous voulez
Bonne idée. Voyez-vous, votre grand père faisait parti de la noblesse, et à ce titre, il avait quelques obligations.
Notamment l'obligation de protéger notre héritage.
"Votre" héritage ?
Oui, le notre. L'héritage de nos ancêtres, de vos ancêtres.
Par héritage, vous entendez quoi exactement ?
Pitié, ne vous faites pas plus bête que vous ne l'êtes. Ce que vous avez trouvé, au vieux phare.
Qu'est-ce que vous en savez ?
Hahaha, enfin, Augustin. C'est nous qui l'avons laissé là bas.
Et d'où ça vient tout ça ?
Connaissez-vous les templiers ?
Bah... oui
Et donc, vous connaissez sûrement la légende qui court autour de leur trésor. Un trésor d'une valeur inestimable... disparu à jamais, Dieu seul sait où...
Euh, oui ?
Eh bien, voilà il n'a pas disparu. Je, vous, nous, nous en avons sa garde.
Comment ça ?
Je vais être plus clair. Lorsque les templiers ont disparu, leur trésor a été disséminé entre plusieurs familles nobles, afin qu'ils le protègent, en vue du couronnement d'un roi qui se revendiquera héritier des templiers.
Les deux frères étaient stupéfaits, qu'entendaient-ils là ?
C'est une blague ? N'allez pas me faire croire que papy croyait à ces conneries, hin hin
Le visage de Charles s'assombrit en entendant ces mots
Ecoutez moi bien Augustin, vous êtes divertissant, mais vous ne nous êtes d'aucune valeur. Seul l'avis de Célestin votre frère aîné nous intéresse, il est l'héritier de la famille De Chancla, pas vous. Au mieux vous êtes un mal-né, sans aucune prétention, au pire, vous n'êtes rien. Par conséquent, vous vous tairez, si c'est pour dire de telles inepties.
Augustin, qui avait prit une allure bien décontractée, venait de se faire moucher. Célestin prit la parole
Je...
Ah, enfin, vous vous décidez à me répondre, je vous écoute.
Ben... déjà, je comprends rien à votre histoire. Mais si je suis là, c'est grâce à Augustin. Ensuite papy nous a confié cette mission à tous les deux, alors vous nous traiterez sur un pied d'égalité, sans quoi nous ne coopérerons pas.
Par conséquent, je vous demande de lui présenter vos excuses, immédiatement, sans quoi nous partirons.
Célestin venait de faire preuve d'une grande maturité, Charles y reconnut aussitôt un caractère semblable à celui de Marcelin
Monsieur... pardonnez-moi. Voyez-vous, je comptais vous tester, voir ce que vous valiez. En effet, votre grand père faisait partit de notre ordre, et plus encore, il en était à la tête. Célestin, je viens à l'instant de retrouver en vous ce qui distinguait la famille De Chancla depuis toujours, une noblesse d'âme.
Augustin, je vous présente mes sincères excuses. Célestin, vous êtes dorénavant le chef de notre ordre, comme votre grand père l'a été. Nos textes voulaient que j'assure une régence jusqu'à ce que vous soyez assez sage pour diriger, vous venez à l'instant de me prouver votre sagesse.
Célestin, Augustin, je suis à votre service, je vous apprendrai ce que vous voudrez savoir, je ferai ce que vous m'ordonnerez de faire, je ne saurais vous trahir pour quelque raison que ce soit.
Messieurs De Chancla, je suis votre serviteur.
Célestin et Augustin étaient déstabilisés. Ils n'étaient pas habitués à une telle étiquette, ni à de telles paroles
Célestin tenta sa chance, et dit quelque chose
Ben, euh... merci
Up + AYAAA CELESTIN LE ROI
Excellent, je me demande comment l'histoire va évoluer à partir de maintenant.
Sweet