Cette histoire s'est passé au nouvel chez mon "POTE" (qui n'est plus mon pote d'ailleurs suite à ça..)
Alors pas d'intro je commence, pas d'attente!
CHAPITRE 1 : LA RENCONTRE AVEC LA MILF
Alors juste avant de commencer petite surprise.
POST OU CANCER AYAAAAAA C'EST TOTALEMENT FAKE
Je me suis d’abord dit que j’allais attendre l’arrivée de ma pote (que j’espérais secrètement serrer) mais BRIDEL d’une part j’avais pas l’intention de souiller le trône de la princesse que j’espérais chevaucher le soir même, d’autre part j’étais pas sûr que mes sphincters arrivent à retenir jusque là.
Dans les premières minutes, je me suis assis, légèrement recroquevillé, pour coincer la merde dans un recoin de mes intestins mais très vite je me suis rendu compte que tout était vain et que Satan lui-même tenait à gâcher ma soirée avec une éruption qui saloperait autant mon froc que mes chances de baiser.
J’ai pris, à ce moment là, ce que j’affirme être la PIRE décision de ma vie.
Rapidement, j’ai réalisé qu’il fallait que ça sorte avant que mon hôte arrive, sous peine d’un accident diplomatique de type bombe biologique. J’ai avancé en dandinant du cul pour assurer l’imperméabilité de mon ampoule rectale le long de cette rue :
(C’est la photo que ma pote a envoyé pour que je reconnaisse l’allée, j’ai pas spontanément envie de prendre des tofs des ruelles dans lesquelles je veux chier)
Pas d’arbre, pas de buisson, mais relativement peu de trafic sur la route d’à côté. Aussi pressé que le tsunami contre la digue de mon fion, je me suis éloigné, dans l’angle mort des immeubles, pour faire mon affaire.
C’était monstrueux.
Volcanique, tiède, acide comme jamais, les insectes dans l’herbe ont dû prendre ça pour une punition divine d’ordre CATACLYSMIQUE.
Je me suis dépêché de me torcher (le ciel soit loué, on était en hiver et j’avais les poches pleines de mouchoirs) et d’emballer soigneusement les kleenex souillés.
J’avais acheté des sandwich triangles XXL de ce genre : que je me suis grouillé (après avoir dûment rincé mes mains avec un peu de Schweppes) de manger pour y glisser les mouchoirs dégueulasses dans l’espoir de trouver une poubelle pas trop loin. Pour cacher mon méfait, je me suis dépêché de trouver un gros caillou près d’une clôture pour le laisser tomber sur ma merde dans l’espoir de le camoufler et d’oublier que je m’étais soulagé comme un clébard à côté d’un caniveau.
Mauvaise idée, encore, putain, ça a fait un sale bruit visqueux et je me suis retrouvé avec quelques gouttes sur mes baskets.
SAUF QUE.
En revenant vers la résidence, je me suis dit qu’y avait sûrement des gamins qui jouaient dans cette rue, c’était pas loin d’un petit square et tout.
J’ai eu une image atroce en tête : et si un môme qui voulait jouer au foot prenait le caillou que l’ai utilisé pour écraser ma merde pour s’en faire un poteau de cage ? S’il mettait les doigts dans ma merde ?
Bouffé par les remords, toujours avec mon Schweppes et mon paquet de Daunat contaminé, je suis revenu auprès du caillou, que j’ai attrapé pour l’essuyer en le frottant dans l’herbe. C’était terrible, j’avais infiniment peur de ne PAS avoir été suffisamment dans l’angle mort des immeubles et que quelqu’un me voie.
Et là, bordel. J’entends.
« Vous faites QUOI, là ? »
Je me suis raidi. Pétrifié. Fossilisé sur place, PUTAIN.
Comme si on m’avait plongé dans de l’eau glacée, j’ai eu l’impression, sincèrement, que ma bite s’était retournée comme un gant pour se cacher entre ma prostate et ma vessie.
C’était une daronne d’une quarantaine d’année qui me fixait de loin, avec ce qui semblait être son gamin un peu en retrait. Je sais pas si elle est arrivée de la rue voisine ou si elle sortait de son immeuble, mais elle était bien là
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