Le 29 janvier 2019 à 11:33:45 Ophelie-Summer4 a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 11:31:41 Sanglier1825 a écrit :
Le soutien se tasse dans les sondages mais c'est normal, c'est dû à une frange de la population française qui est encore crédule et qui pense que le famoso débat national va apporter des réponsesIls retourneront vite leur veste quand l'enfumage explosera au grand jour
Le gouvernement est dans l'intox depuis 1 semaine. Il laisse entendre qu'ils vont revenir sur les 80km/h, qu'ils vont changer de cap, qu'ils ont compris la colère des français etc
On sait tous que ça passera pas l'épreuve des actes
C'est dû aux baby boomers si tu regardes le détail des sondages par tranche d'âge
Mon père baby boomer est dans ce cas. Pour le parti de l ordre, sceptique face aux GJ et pas choqué par les violences policières. En même temps il a été abreuvé toute sa vie par la pensée unique et une presse orientée.
Je lui en veut pas car c est pas vraiment de sa faute. mais contrairement aux foulards rouges il reste ouvert au débat.
Le 29 janvier 2019 à 11:46:38 DeeNAnar a écrit :
Renaud Muselier visé par une plainte pour "escroquerie" par un syndicat de policiers mécontent de sa cagnottehttps://www.varmatin.com/politique/renaud-muselier-vise-par-une-plainte-pour-escroquerie-par-un-syndicat-de-policiers-mecontent-de-sa-cagnotte-295021?fbclid=IwAR36pX8VngiqdMhDLFFG0tdajJeYyi4tIjB0Kjb0DNNzYklERQPkRVx5J_w
Plainte d'un syndicaliste j esuite membre du RN.
http://www1.alliancefr.com/tag/michel-thooris
Un collectif de paysans bios appellent à soutenir les GJ :
https://www.liberation.fr/debats/2019/01/28/nous-paysans-bio-rejoignons-les-gilets-jaunes_1705927
Un marqueur supplémentaire de l'opposition entre le pays réel et la France des publicitaires, DRH et responsables de communications.
Le 29 janvier 2019 à 11:41:50 LoiMarxialeVII a écrit :
https://twitter.com/Tancrede_Crptrs/status/1090169678234861568On mutile les travailleurs français, mais on rapatrie 130 djihadistes
Ce pouvoir doit démissionner au plus vite, il détruit autant la France économiquement, que socialement et culturellement.
Bordel
Le 29 janvier 2019 à 11:46:38 DeeNAnar a écrit :
Renaud Muselier visé par une plainte pour "escroquerie" par un syndicat de policiers mécontent de sa cagnottehttps://www.varmatin.com/politique/renaud-muselier-vise-par-une-plainte-pour-escroquerie-par-un-syndicat-de-policiers-mecontent-de-sa-cagnotte-295021?fbclid=IwAR36pX8VngiqdMhDLFFG0tdajJeYyi4tIjB0Kjb0DNNzYklERQPkRVx5J_w
AYAAAAAA!!!:RIRE:
Le 29 janvier 2019 à 11:46:38 DeeNAnar a écrit :
Renaud Muselier visé par une plainte pour "escroquerie" par un syndicat de policiers mécontent de sa cagnottehttps://www.varmatin.com/politique/renaud-muselier-vise-par-une-plainte-pour-escroquerie-par-un-syndicat-de-policiers-mecontent-de-sa-cagnotte-295021?fbclid=IwAR36pX8VngiqdMhDLFFG0tdajJeYyi4tIjB0Kjb0DNNzYklERQPkRVx5J_w
Le 29 janvier 2019 à 11:46:06 FIONDEROUTH a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 11:38:29 Edenya a écrit :
AYAAAA MA PRIME DACTIVITE QUI PREND 16 EUROSMERCI SIR
pigeon
Les gueux qui ragent
Sachez être reconnaissant, cela va terriblement impacter mon pouvoir d'achat
Le 29 janvier 2019 à 11:54:20 khey_of_light74 a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 11:46:38 DeeNAnar a écrit :
Renaud Muselier visé par une plainte pour "escroquerie" par un syndicat de policiers mécontent de sa cagnottehttps://www.varmatin.com/politique/renaud-muselier-vise-par-une-plainte-pour-escroquerie-par-un-syndicat-de-policiers-mecontent-de-sa-cagnotte-295021?fbclid=IwAR36pX8VngiqdMhDLFFG0tdajJeYyi4tIjB0Kjb0DNNzYklERQPkRVx5J_w
AYAAAAAA!!!:RIRE:
La famosa cagnotte qui est un "impôt" qui L'eu cru ?
Le 29 janvier 2019 à 11:50:09 Voleur2Melanine a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 11:46:38 DeeNAnar a écrit :
Renaud Muselier visé par une plainte pour "escroquerie" par un syndicat de policiers mécontent de sa cagnottehttps://www.varmatin.com/politique/renaud-muselier-vise-par-une-plainte-pour-escroquerie-par-un-syndicat-de-policiers-mecontent-de-sa-cagnotte-295021?fbclid=IwAR36pX8VngiqdMhDLFFG0tdajJeYyi4tIjB0Kjb0DNNzYklERQPkRVx5J_w
Plainte d'un syndicaliste j esuite membre du RN.
http://www1.alliancefr.com/tag/michel-thooris
y'aurait-t'il d'après toi de bons et de mauvais policiers? Serais tu un séditieux?
Pourquoi vous ne quittez pas la France si vous n'êtes pas content ? Le progressisme s'inscrira dans la durée et vous continuerez à être malheureux alors pourquoi continuer à protester ?
En Marche !
Le 29 janvier 2019 à 11:52:54 PompeDeRando a écrit :
Un collectif de paysans bios appellent à soutenir les GJ :
https://www.liberation.fr/debats/2019/01/28/nous-paysans-bio-rejoignons-les-gilets-jaunes_1705927Un marqueur supplémentaire de l'opposition entre le pays réel et la France des publicitaires, DRH et responsables de communications.
copaaiiiins
Le 29 janvier 2019 à 11:57:22 Castaner2047 a écrit :
Pourquoi vous ne quittez pas la France si vous n'êtes pas content ? Le progressisme s'inscrira dans la durée et vous continuerez à être malheureux alors pourquoi continuer à protester ?
En Marche !
Castaner cette aw :D
VraiMdr
29 janvier 2019 à 11:55:30
Le 29 janvier 2019 à 11:53:03 Drrrrr88Spectr a écrit :
et aujourd'hui qui troll tu ?
vous voyez, stratégiquement pour les mecs comme moi ce qui arrive aujourd'hui c'est du p'tit lait, c'est très bien de voir toute cette division, ce n'est que par elle que nous gagnerons, elle a permit à Macron de gagner, elle va nous permettre de le virer
Dixit le mec qui a servi de marche d'escalier pour Macron en bougeant son fion pour aller voter pour la personne que Macron rêvait d'avoir face à lui
Pour ma part, j'ai pas honte de le dire, je suis resté chez moi les 2 dimanches des élections
Les mecs comme toi ont fait gagné Hollande, Macron et le futur président (voir Macron 2eme mandat).
Le mouvement des «gilets jaunes» ne représente que lui-même et ne saurait dicter la politique voulue par les électeurs. Pour autant, ce mouvement confirme des faits qu'il nous faut affronter en commun.
En démocratie, le débat doit être pacifique et aucune colère ne justifie que l'on tente d'incendier la maison commune. Dans ce système certes imparfait, les gouvernants sont désignés par des élections libres et ne ramassent pas le pouvoir dans la rue. Dans ce contexte, les idées peuvent s'exprimer librement sous réserve que leurs manifestations ne mettent pas en péril l'ordre public c'est-à-dire les règles du vivre ensemble.
Peut-être faut-il rappeler fermement ces règles aux quelques milliers de «gilets jaunes» qui manifestent non pas leur colère, mais des colères qui se côtoient sans se confondre et fournissent la matière d'un mouvement non pas inédit (la France a connu d'autres jacqueries et en connaîtra encore) mais surprenant du fait de son incapacité à s'organiser, à se fédérer pour trouver un débouché à sa création
Pour autant, remis à sa juste place, ce mouvement, plus qu'il ne révèle des choses inconnues, confirme des faits qu'il nous faut en effet affronter en commun. La précarité, l'appauvrissement des retraités, les fins de mois difficiles ne sont pas nés avec l'élection d'Emmanuel Macron et le fait qu'il en parle parfois mal ne justifie pas que l'on réclame ici ou là sa démission.
L'affaiblissement (le mot est faible) du consentement à l'impôt fondement historique du système de représentation parlementaire doit également être sérieusement traité mais, il ne date pas d'aujourd'hui. Sur ces deux sujets le mouvement montre à quel point la réponse politique est inadaptée, hors de propos.
Entre la paresse intellectuelle des chefs de parti qui ne voient pas d'autres réponses que la marche arrière et l'éventuelle obstination de ceux qui parieraient sur le pourrissement du mouvement, il y a sans doute un chemin étroit et exigeant qui est fait de pédagogie et d'empathie et, pour tout dire, d'éducation civique dont la faiblesse fait le lit du populisme.
Entendre ici ou là des «gilets jaunes» demander plus de service public et exiger la baisse de la pression fiscale, dire que« ce n'est tout de même pas à l'Etat de dire où nous devons manifester», exiger la démission d'un Président démocratiquement élu témoigne de notre faible niveau d'éducation politique, nous qui sommes citoyens.
Les ambivalences du rapport à l'Etat en fournissent un signe patent. D'abord l'Etat c'est «un autre» alors que quand l'Etat dépense de l'argent ou lorsqu'il fait des économies, c'est la société dans son entier qui contribue plus ou moins. Quand les «gilets jaunes» cassent du mobilier public ou mobilisent les forces de l'ordre pour les contenir, ils contribuent à l'augmentation de la dépense publique et par conséquent des prélèvements obligatoires.
Ensuite cet Etat volontiers décrit comme prédateur lorsqu'il prélève l'impôt et comme impotent lorsqu'il ne répond pas aux exigences de chaque groupe d'intérêts est aussi un père dont chacun est prompt à rechercher la protection lorsqu'il est en danger.
Ce que nous montre ce mouvement relève donc de notre responsabilité collective à nous peuple de France attaché à la démocratie sociale qui est la sève du vivre ensemble patiemment construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale et fortement incarné par notre système de protection sociale.
Dès lors, il importe de ne pas croire ou laisser croire que le mouvement des «gilets jaunes» est le peuple incarné. Peu importe que 70 % des sondés qui continuent à travailler et à vaquer à leur occupation disent soutenir le mouvement.
A moins de vouloir le chaos, de considérer qu'il est normal que ceux qui essaient de représenter le mouvement reçoivent des menaces de mort, que l'appel à la démission du Président élu est légitime, que les violences contre les personnes et les biens sont un mode normal d'expression de la colère, il n'y a aucune raison de soutenir un mouvement qui est lui même bien en peine de se décrire, de se contrôler, de s'organiser et de faire fructifier sa propre énergie.
Alors, face à ce pétard que d'aucuns voudraient transformer en bombe atomique mettant à bas notre démocratie il faut sans doute que ceux qui sans démagogie, avec patience et humilité sont prêts à s'engager pour que vive la démocratie et que perdure ce qui nous unit se lèvent et le disent avec une tranquille détermination.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-189539-opinion-les-gilets-jaunes-ne-sont-pas-le-peuple-2227913.php
Le 29 janvier 2019 à 12:05:17 Homere-2 a écrit :
Le mouvement des «gilets jaunes» ne représente que lui-même et ne saurait dicter la politique voulue par les électeurs. Pour autant, ce mouvement confirme des faits qu'il nous faut affronter en commun.En démocratie, le débat doit être pacifique et aucune colère ne justifie que l'on tente d'incendier la maison commune. Dans ce système certes imparfait, les gouvernants sont désignés par des élections libres et ne ramassent pas le pouvoir dans la rue. Dans ce contexte, les idées peuvent s'exprimer librement sous réserve que leurs manifestations ne mettent pas en péril l'ordre public c'est-à-dire les règles du vivre ensemble.
Peut-être faut-il rappeler fermement ces règles aux quelques milliers de «gilets jaunes» qui manifestent non pas leur colère, mais des colères qui se côtoient sans se confondre et fournissent la matière d'un mouvement non pas inédit (la France a connu d'autres jacqueries et en connaîtra encore) mais surprenant du fait de son incapacité à s'organiser, à se fédérer pour trouver un débouché à sa création
Pour autant, remis à sa juste place, ce mouvement, plus qu'il ne révèle des choses inconnues, confirme des faits qu'il nous faut en effet affronter en commun. La précarité, l'appauvrissement des retraités, les fins de mois difficiles ne sont pas nés avec l'élection d'Emmanuel Macron et le fait qu'il en parle parfois mal ne justifie pas que l'on réclame ici ou là sa démission.
L'affaiblissement (le mot est faible) du consentement à l'impôt fondement historique du système de représentation parlementaire doit également être sérieusement traité mais, il ne date pas d'aujourd'hui. Sur ces deux sujets le mouvement montre à quel point la réponse politique est inadaptée, hors de propos.
Entre la paresse intellectuelle des chefs de parti qui ne voient pas d'autres réponses que la marche arrière et l'éventuelle obstination de ceux qui parieraient sur le pourrissement du mouvement, il y a sans doute un chemin étroit et exigeant qui est fait de pédagogie et d'empathie et, pour tout dire, d'éducation civique dont la faiblesse fait le lit du populisme.
Entendre ici ou là des «gilets jaunes» demander plus de service public et exiger la baisse de la pression fiscale, dire que« ce n'est tout de même pas à l'Etat de dire où nous devons manifester», exiger la démission d'un Président démocratiquement élu témoigne de notre faible niveau d'éducation politique, nous qui sommes citoyens.
Les ambivalences du rapport à l'Etat en fournissent un signe patent. D'abord l'Etat c'est «un autre» alors que quand l'Etat dépense de l'argent ou lorsqu'il fait des économies, c'est la société dans son entier qui contribue plus ou moins. Quand les «gilets jaunes» cassent du mobilier public ou mobilisent les forces de l'ordre pour les contenir, ils contribuent à l'augmentation de la dépense publique et par conséquent des prélèvements obligatoires.
Ensuite cet Etat volontiers décrit comme prédateur lorsqu'il prélève l'impôt et comme impotent lorsqu'il ne répond pas aux exigences de chaque groupe d'intérêts est aussi un père dont chacun est prompt à rechercher la protection lorsqu'il est en danger.
Ce que nous montre ce mouvement relève donc de notre responsabilité collective à nous peuple de France attaché à la démocratie sociale qui est la sève du vivre ensemble patiemment construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale et fortement incarné par notre système de protection sociale.
Dès lors, il importe de ne pas croire ou laisser croire que le mouvement des «gilets jaunes» est le peuple incarné. Peu importe que 70 % des sondés qui continuent à travailler et à vaquer à leur occupation disent soutenir le mouvement.
A moins de vouloir le chaos, de considérer qu'il est normal que ceux qui essaient de représenter le mouvement reçoivent des menaces de mort, que l'appel à la démission du Président élu est légitime, que les violences contre les personnes et les biens sont un mode normal d'expression de la colère, il n'y a aucune raison de soutenir un mouvement qui est lui même bien en peine de se décrire, de se contrôler, de s'organiser et de faire fructifier sa propre énergie.
Alors, face à ce pétard que d'aucuns voudraient transformer en bombe atomique mettant à bas notre démocratie il faut sans doute que ceux qui sans démagogie, avec patience et humilité sont prêts à s'engager pour que vive la démocratie et que perdure ce qui nous unit se lèvent et le disent avec une tranquille détermination.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-189539-opinion-les-gilets-jaunes-ne-sont-pas-le-peuple-2227913.php
ta propagande degueulasse osef + gpalu + personalu
Démission de macron pas parcequ'il a parlé avec mepris, mais pour ses manquements a la constitution
Le 29 janvier 2019 à 12:05:17 Homere-2 a écrit :
Le mouvement des «gilets jaunes» ne représente que lui-même et ne saurait dicter la politique voulue par les électeurs. Pour autant, ce mouvement confirme des faits qu'il nous faut affronter en commun.En démocratie, le débat doit être pacifique et aucune colère ne justifie que l'on tente d'incendier la maison commune. Dans ce système certes imparfait, les gouvernants sont désignés par des élections libres et ne ramassent pas le pouvoir dans la rue. Dans ce contexte, les idées peuvent s'exprimer librement sous réserve que leurs manifestations ne mettent pas en péril l'ordre public c'est-à-dire les règles du vivre ensemble.
Peut-être faut-il rappeler fermement ces règles aux quelques milliers de «gilets jaunes» qui manifestent non pas leur colère, mais des colères qui se côtoient sans se confondre et fournissent la matière d'un mouvement non pas inédit (la France a connu d'autres jacqueries et en connaîtra encore) mais surprenant du fait de son incapacité à s'organiser, à se fédérer pour trouver un débouché à sa création
Pour autant, remis à sa juste place, ce mouvement, plus qu'il ne révèle des choses inconnues, confirme des faits qu'il nous faut en effet affronter en commun. La précarité, l'appauvrissement des retraités, les fins de mois difficiles ne sont pas nés avec l'élection d'Emmanuel Macron et le fait qu'il en parle parfois mal ne justifie pas que l'on réclame ici ou là sa démission.
L'affaiblissement (le mot est faible) du consentement à l'impôt fondement historique du système de représentation parlementaire doit également être sérieusement traité mais, il ne date pas d'aujourd'hui. Sur ces deux sujets le mouvement montre à quel point la réponse politique est inadaptée, hors de propos.
Entre la paresse intellectuelle des chefs de parti qui ne voient pas d'autres réponses que la marche arrière et l'éventuelle obstination de ceux qui parieraient sur le pourrissement du mouvement, il y a sans doute un chemin étroit et exigeant qui est fait de pédagogie et d'empathie et, pour tout dire, d'éducation civique dont la faiblesse fait le lit du populisme.
Entendre ici ou là des «gilets jaunes» demander plus de service public et exiger la baisse de la pression fiscale, dire que« ce n'est tout de même pas à l'Etat de dire où nous devons manifester», exiger la démission d'un Président démocratiquement élu témoigne de notre faible niveau d'éducation politique, nous qui sommes citoyens.
Les ambivalences du rapport à l'Etat en fournissent un signe patent. D'abord l'Etat c'est «un autre» alors que quand l'Etat dépense de l'argent ou lorsqu'il fait des économies, c'est la société dans son entier qui contribue plus ou moins. Quand les «gilets jaunes» cassent du mobilier public ou mobilisent les forces de l'ordre pour les contenir, ils contribuent à l'augmentation de la dépense publique et par conséquent des prélèvements obligatoires.
Ensuite cet Etat volontiers décrit comme prédateur lorsqu'il prélève l'impôt et comme impotent lorsqu'il ne répond pas aux exigences de chaque groupe d'intérêts est aussi un père dont chacun est prompt à rechercher la protection lorsqu'il est en danger.
Ce que nous montre ce mouvement relève donc de notre responsabilité collective à nous peuple de France attaché à la démocratie sociale qui est la sève du vivre ensemble patiemment construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale et fortement incarné par notre système de protection sociale.
Dès lors, il importe de ne pas croire ou laisser croire que le mouvement des «gilets jaunes» est le peuple incarné. Peu importe que 70 % des sondés qui continuent à travailler et à vaquer à leur occupation disent soutenir le mouvement.
A moins de vouloir le chaos, de considérer qu'il est normal que ceux qui essaient de représenter le mouvement reçoivent des menaces de mort, que l'appel à la démission du Président élu est légitime, que les violences contre les personnes et les biens sont un mode normal d'expression de la colère, il n'y a aucune raison de soutenir un mouvement qui est lui même bien en peine de se décrire, de se contrôler, de s'organiser et de faire fructifier sa propre énergie.
Alors, face à ce pétard que d'aucuns voudraient transformer en bombe atomique mettant à bas notre démocratie il faut sans doute que ceux qui sans démagogie, avec patience et humilité sont prêts à s'engager pour que vive la démocratie et que perdure ce qui nous unit se lèvent et le disent avec une tranquille détermination.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-189539-opinion-les-gilets-jaunes-ne-sont-pas-le-peuple-2227913.php
A part quelques-uns qui ont perdu tout espoir et à part les gens directement ou indirectement (proches ou temoins) touchés par des violences étatiques et policières évidentes, la plupart des GJ cherchent à changer le système en place pacifiquement et démocratiquement. Le RIC n'est d'ailleurs pas apparu par hasard
Le 29 janvier 2019 à 12:07:44 Eskey2 a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 12:05:17 Homere-2 a écrit :
Le mouvement des «gilets jaunes» ne représente que lui-même et ne saurait dicter la politique voulue par les électeurs. Pour autant, ce mouvement confirme des faits qu'il nous faut affronter en commun.En démocratie, le débat doit être pacifique et aucune colère ne justifie que l'on tente d'incendier la maison commune. Dans ce système certes imparfait, les gouvernants sont désignés par des élections libres et ne ramassent pas le pouvoir dans la rue. Dans ce contexte, les idées peuvent s'exprimer librement sous réserve que leurs manifestations ne mettent pas en péril l'ordre public c'est-à-dire les règles du vivre ensemble.
Peut-être faut-il rappeler fermement ces règles aux quelques milliers de «gilets jaunes» qui manifestent non pas leur colère, mais des colères qui se côtoient sans se confondre et fournissent la matière d'un mouvement non pas inédit (la France a connu d'autres jacqueries et en connaîtra encore) mais surprenant du fait de son incapacité à s'organiser, à se fédérer pour trouver un débouché à sa création
Pour autant, remis à sa juste place, ce mouvement, plus qu'il ne révèle des choses inconnues, confirme des faits qu'il nous faut en effet affronter en commun. La précarité, l'appauvrissement des retraités, les fins de mois difficiles ne sont pas nés avec l'élection d'Emmanuel Macron et le fait qu'il en parle parfois mal ne justifie pas que l'on réclame ici ou là sa démission.
L'affaiblissement (le mot est faible) du consentement à l'impôt fondement historique du système de représentation parlementaire doit également être sérieusement traité mais, il ne date pas d'aujourd'hui. Sur ces deux sujets le mouvement montre à quel point la réponse politique est inadaptée, hors de propos.
Entre la paresse intellectuelle des chefs de parti qui ne voient pas d'autres réponses que la marche arrière et l'éventuelle obstination de ceux qui parieraient sur le pourrissement du mouvement, il y a sans doute un chemin étroit et exigeant qui est fait de pédagogie et d'empathie et, pour tout dire, d'éducation civique dont la faiblesse fait le lit du populisme.
Entendre ici ou là des «gilets jaunes» demander plus de service public et exiger la baisse de la pression fiscale, dire que« ce n'est tout de même pas à l'Etat de dire où nous devons manifester», exiger la démission d'un Président démocratiquement élu témoigne de notre faible niveau d'éducation politique, nous qui sommes citoyens.
Les ambivalences du rapport à l'Etat en fournissent un signe patent. D'abord l'Etat c'est «un autre» alors que quand l'Etat dépense de l'argent ou lorsqu'il fait des économies, c'est la société dans son entier qui contribue plus ou moins. Quand les «gilets jaunes» cassent du mobilier public ou mobilisent les forces de l'ordre pour les contenir, ils contribuent à l'augmentation de la dépense publique et par conséquent des prélèvements obligatoires.
Ensuite cet Etat volontiers décrit comme prédateur lorsqu'il prélève l'impôt et comme impotent lorsqu'il ne répond pas aux exigences de chaque groupe d'intérêts est aussi un père dont chacun est prompt à rechercher la protection lorsqu'il est en danger.
Ce que nous montre ce mouvement relève donc de notre responsabilité collective à nous peuple de France attaché à la démocratie sociale qui est la sève du vivre ensemble patiemment construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale et fortement incarné par notre système de protection sociale.
Dès lors, il importe de ne pas croire ou laisser croire que le mouvement des «gilets jaunes» est le peuple incarné. Peu importe que 70 % des sondés qui continuent à travailler et à vaquer à leur occupation disent soutenir le mouvement.
A moins de vouloir le chaos, de considérer qu'il est normal que ceux qui essaient de représenter le mouvement reçoivent des menaces de mort, que l'appel à la démission du Président élu est légitime, que les violences contre les personnes et les biens sont un mode normal d'expression de la colère, il n'y a aucune raison de soutenir un mouvement qui est lui même bien en peine de se décrire, de se contrôler, de s'organiser et de faire fructifier sa propre énergie.
Alors, face à ce pétard que d'aucuns voudraient transformer en bombe atomique mettant à bas notre démocratie il faut sans doute que ceux qui sans démagogie, avec patience et humilité sont prêts à s'engager pour que vive la démocratie et que perdure ce qui nous unit se lèvent et le disent avec une tranquille détermination.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-189539-opinion-les-gilets-jaunes-ne-sont-pas-le-peuple-2227913.phpta propagande degueulasse osef + gpalu + personalu
Bel exemple de l'intelligence des gilets jaunes qui ne veulent pas discuter. Gneu gneu gépalu propagande complot, je veux pas débattre,
Le 29 janvier 2019 à 12:11:18 Homere-2 a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 12:07:44 Eskey2 a écrit :
Le 29 janvier 2019 à 12:05:17 Homere-2 a écrit :
Le mouvement des «gilets jaunes» ne représente que lui-même et ne saurait dicter la politique voulue par les électeurs. Pour autant, ce mouvement confirme des faits qu'il nous faut affronter en commun.En démocratie, le débat doit être pacifique et aucune colère ne justifie que l'on tente d'incendier la maison commune. Dans ce système certes imparfait, les gouvernants sont désignés par des élections libres et ne ramassent pas le pouvoir dans la rue. Dans ce contexte, les idées peuvent s'exprimer librement sous réserve que leurs manifestations ne mettent pas en péril l'ordre public c'est-à-dire les règles du vivre ensemble.
Peut-être faut-il rappeler fermement ces règles aux quelques milliers de «gilets jaunes» qui manifestent non pas leur colère, mais des colères qui se côtoient sans se confondre et fournissent la matière d'un mouvement non pas inédit (la France a connu d'autres jacqueries et en connaîtra encore) mais surprenant du fait de son incapacité à s'organiser, à se fédérer pour trouver un débouché à sa création
Pour autant, remis à sa juste place, ce mouvement, plus qu'il ne révèle des choses inconnues, confirme des faits qu'il nous faut en effet affronter en commun. La précarité, l'appauvrissement des retraités, les fins de mois difficiles ne sont pas nés avec l'élection d'Emmanuel Macron et le fait qu'il en parle parfois mal ne justifie pas que l'on réclame ici ou là sa démission.
L'affaiblissement (le mot est faible) du consentement à l'impôt fondement historique du système de représentation parlementaire doit également être sérieusement traité mais, il ne date pas d'aujourd'hui. Sur ces deux sujets le mouvement montre à quel point la réponse politique est inadaptée, hors de propos.
Entre la paresse intellectuelle des chefs de parti qui ne voient pas d'autres réponses que la marche arrière et l'éventuelle obstination de ceux qui parieraient sur le pourrissement du mouvement, il y a sans doute un chemin étroit et exigeant qui est fait de pédagogie et d'empathie et, pour tout dire, d'éducation civique dont la faiblesse fait le lit du populisme.
Entendre ici ou là des «gilets jaunes» demander plus de service public et exiger la baisse de la pression fiscale, dire que« ce n'est tout de même pas à l'Etat de dire où nous devons manifester», exiger la démission d'un Président démocratiquement élu témoigne de notre faible niveau d'éducation politique, nous qui sommes citoyens.
Les ambivalences du rapport à l'Etat en fournissent un signe patent. D'abord l'Etat c'est «un autre» alors que quand l'Etat dépense de l'argent ou lorsqu'il fait des économies, c'est la société dans son entier qui contribue plus ou moins. Quand les «gilets jaunes» cassent du mobilier public ou mobilisent les forces de l'ordre pour les contenir, ils contribuent à l'augmentation de la dépense publique et par conséquent des prélèvements obligatoires.
Ensuite cet Etat volontiers décrit comme prédateur lorsqu'il prélève l'impôt et comme impotent lorsqu'il ne répond pas aux exigences de chaque groupe d'intérêts est aussi un père dont chacun est prompt à rechercher la protection lorsqu'il est en danger.
Ce que nous montre ce mouvement relève donc de notre responsabilité collective à nous peuple de France attaché à la démocratie sociale qui est la sève du vivre ensemble patiemment construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale et fortement incarné par notre système de protection sociale.
Dès lors, il importe de ne pas croire ou laisser croire que le mouvement des «gilets jaunes» est le peuple incarné. Peu importe que 70 % des sondés qui continuent à travailler et à vaquer à leur occupation disent soutenir le mouvement.
A moins de vouloir le chaos, de considérer qu'il est normal que ceux qui essaient de représenter le mouvement reçoivent des menaces de mort, que l'appel à la démission du Président élu est légitime, que les violences contre les personnes et les biens sont un mode normal d'expression de la colère, il n'y a aucune raison de soutenir un mouvement qui est lui même bien en peine de se décrire, de se contrôler, de s'organiser et de faire fructifier sa propre énergie.
Alors, face à ce pétard que d'aucuns voudraient transformer en bombe atomique mettant à bas notre démocratie il faut sans doute que ceux qui sans démagogie, avec patience et humilité sont prêts à s'engager pour que vive la démocratie et que perdure ce qui nous unit se lèvent et le disent avec une tranquille détermination.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-189539-opinion-les-gilets-jaunes-ne-sont-pas-le-peuple-2227913.phpta propagande degueulasse osef + gpalu + personalu
Bel exemple de l'intelligence des gilets jaunes qui ne veulent pas discuter. Gneu gneu gépalu propagande complot, je veux pas débattre,
Tu n'es pas cohérent, tu cites un article qui critique la colère, puis tu passes ton temps à l'attiser...
“Qui apaise la colère éteint un feu ; qui attise la colère, sera le premier à périr dans les flammes.”