Le 10 juin 2018 à 10:52:51 Danone85 a écrit :

- Non, pas tout de suite. Célestin, ma question va peut-être te surprendre mais...Est-ce que tu as observé des changements chez toi ? Des choses que, peut-être, tu ne devrais pas ressentir ?

- Euh... Non, je crois pas.

il a pleurer après avoir vu la vidéo de ses parents
célestin se débile

Le 10 juin 2018 à 21:45:20 Jean-par-Coeur a écrit :

Le 10 juin 2018 à 10:52:51 Danone85 a écrit :

- Non, pas tout de suite. Célestin, ma question va peut-être te surprendre mais...Est-ce que tu as observé des changements chez toi ? Des choses que, peut-être, tu ne devrais pas ressentir ?

- Euh... Non, je crois pas.

il a pleurer après avoir vu la vidéo de ses parents
célestin se débile

Il a juste oublié

Un up bien mérité
Et ... allez 1

2

Bon bah la 2 l'emporte

Je pensais pas que qu'il y aurait autant de vote pour ce choix

1

ayaaaa stopper tous je vote 1

up

Malheureusement, j'ai déjà commencé à écrire les kheys

En plus, même avec vos votes, je crois que le choix 2 l'emporte tout de même

Chapitre 10 :

Vous décidiez, avec un peu de regret, d'accepter la proposition de M. Dupont et de quitter ce monde sans plus attendre. Vous sortiez donc du café avec les deux hommes, après avoir remit votre purificateur d'air sur le nez, et vous regardiez l'homme ouvrir un portail juste sous vos yeux. M. Mattré vous regarda avec un grand sourire, avant de sauter dans le portail. M. Dupont posa sa main sur votre front et vous reculiez rapidement, ne comprenant pas la raison de son geste.

- C'est juste pour retirer ton esprit du corps de ce Célestin. Il n'y en a pas pour longtemps et ça ne fait pas mal, ne t'inquiète pas.

- Pourquoi vous ne l'avez pas fait avant ?

- Parce que je n'en ai pas eu le temps dans le précédent monde que nous avons visité. Tu as sauté dans le portail avec le corps de l'autre Célestin et, même s'il est bien retourné dans son monde, il a peut-être subi quelques...Effets secondaires.

- Quoi ? Comment...

Vous vouliez terminer votre phrase, mais M. Dupont plaqua sa main sur votre front et vous sentiez votre esprit...S'en aller, comme si vous glissiez lentement vers le portail. Comme si vous étiez attiré par ce dernier. Vous flottiez dans l'air et vous pénétriez dans le portail, rapidement suivi par l'homme. En jetant un œil en arrière, vous pouviez voir Célestin Delachonkle reprendre peu à peu ses esprits, tandis que le portail se refermait.

Vous vous retrouviez ainsi à dériver dans le portail, vous laissant porté par ce dernier. Tout un coup, votre traversée s'acheva brutalement et vous retombiez lourdement au sol, dans ce qui semblait être...De la boue ? Vous vous étaliez de tout votre long dans de la boue, tandis qu'il vous semblait entendre un bombardement assez proche de vous. Vous sentiez quelque chose dans votre dos, ou plutôt quelqu'un. Non, vous ne vous étiez pas cassé la figure, quelqu'un vous avez délibérément plaqué au sol. Vous essayiez de vous dégager de l'emprise de l'homme, avant d'entendre une nouvelle explosion non loin de vous. En essayant de vous relever légèrement, une main vous plaqua à nouveau au sol.

- Ne cherche pas à te relever Delachonkle. Les bombardements ne sont par terminés.

- Bombardements ? Quoi ? Où est-ce que je suis ?

- Je sais bien que tu as pris un coup sur la tête, mais il va falloir que tu reprennes rapidement tes esprits : On est en pleine guerre mon garçon ! La moindre erreur et c'est la mort. J'ai vu trop de bons soldats tomber aujourd'hui...Je ne veux pas en perdre un de plus.

- Qu...Quoi ? Soldat ? Moi ? Oh merde...

- Delachonkle, tu peux avancer ? On va essayer de quitter la tranchée et de retourner au camp sans se faire repérer.

- Pour ça, faudrait déjà que je puisse bouger !

- Euh...Désolé.

L'homme retira sa main de votre dos et commença à avancer devant vous, tout en rampant dans la boue. Vous pouviez voir qu'il portait une tenue de soldat, mais qu'il était tellement sale que vous n'arriviez même pas à distinguer son visage. En fait, cela devait sans doute être la même chose vous concernant. Vous passiez rapidement votre bras sur votre visage et vous en retiriez un peu de boue, afin de mieux voir ce qui se trouvait devant vous. Mis à part le fait qu'il pleuvait et que des explosions surgissaient de temps à autre dans la zone, vous ne pouviez pas voir ni entendre grand chose et, pour le moment, votre seule option était de suivre cet homme. Vous rampiez donc dans la boue, suivant prudemment l'autre soldat dans la tranchée. Après une bonne dizaine de mètres parcourus dans la saleté et la souffrance, une explosion retentit derrière-vous, à l'endroit même où vous vous trouviez encore quelques minutes auparavant. Un peu de terre tomba sur vous et vous parveniez à vous dégager rapidement, avant que l'homme ne se retourne.

- Delachonkle ! Est-ce que ça va ?

- Ouais...Ouais...On va dire que j'ai eu chaud.

- Au moins, tu perds pas le nord ! Allez, on continue !

La voix de l'homme vous disait quelque chose, mais vous ne saviez pas vraiment pourquoi. Dans tous les cas, vous continuiez d'avancer, tandis que les bombardements tombaient toujours aussi proche de vous. Au bout d'un moment, la tranchée commença à s'enfoncer dans la forêt, avant que l'homme ne se relève, vienne vous aider à vous relever, et vous aide à marcher. Vous veniez juste de vous rendre compte que votre jambe droite avait été blessée, peut-être avant même votre rencontre avec l'homme, vous ne saviez pas trop. Quoi qu'il en soit, vous atteigniez rapidement un petit camp de fortune qui abritait quelques personnes. L'homme vous conduisit dans une tente, avant de vous aider à vous asseoir sur un lit de fortune.

- Bon, c'est la partie la plus moche et la plus douloureuse, mais il va falloir le faire. Je voudrais pas que tu perdes ta jambe. En plus, on a pas de médecin ici. Il va falloir que je m'en occupe. Mais je peux bien faire ça pour celui qui m'a sauvé la vie.

- Qu'est-ce qui s'est passé au juste ?

- Une balle perdue. Ça arrive. T'as vraiment prit un sacré coup sur la tête mon grand ! Allez, serre les dents, ça va pas être une partie de plaisir.

Vous ne compreniez pas trop ce qu'il voulait faire, jusqu'à ce qu'il sorte un petit canif de sa poche. Rapidement, il le planta dans votre blessure pour essayer de déloger la balle qui s'y trouvait. Vous poussiez un cri de douleur et vous peiniez à rester conscient durant le temps où l'homme cherchait à retirer la balle. Il vous semblait même, pendant un instant, avoir senti le couteau toucher l'os de votre jambe. Finalement, après quelques minutes d'une douleur indescriptible, il réussit à extirper le corps étranger de votre jambe et vous retombiez lourdement sur le lit, avant que l'homme ne se dirige vers une petite étagère pour en sortir une petit bouteille d'alcool. Il arrosa votre plaie pour la désinfecter, avant de vous faire un garrot pour stopper la perte de sang.

- Désolé de t'avoir fait mal Delachonkle, mais je suis pas une infirmière moi, je fais pas de bisous sur les plaies pour qu'elles se referment plus vite. Il va falloir que tu te reposes maintenant. Je reviendrai s'il y a du nouveau. T'inquiète pas pour les bombardements, ils n'attaquent pas la forêt. Pas pour l'instant du moins...Et si t’arrive pas à dormir...Essaye de compter les moutons !

- Euh...Ok, merci...Mais vous...Qu'est-ce que vous faîtes ?

Le soldat commençait à retirer sa veste et s'approcha d'un seau qui contenait un peu d'eau. Il se débarbouilla un peu le visage et vous compreniez enfin pourquoi la voix de l'homme vous paraissait si familière : le tueur vous regardait étrangement, comme s'il était étonné que vous ne le reconnaissiez pas. Il s'approcha légèrement de vous et vous essayiez de vous reculer, avant de vous rappeler que vous vous trouviez dans un lit et donc, que vous ne pouviez pas vous reculer davantage.

- Ça va Delachonkle ? On dirait que t'as vu un fantôme !

- Je...Euh...

Vous commenciez lentement à comprendre que cet homme n'était pas le tueur, mais tout simplement un M. Mattré complètement différent, comme celui du monde précédent. En y regardant de plus près, vous pouviez voir qu'il avait tout de même des cicatrices sur son visage...Mais différentes de celles du tueur. Vous vous calmiez un peu, avant que l'homme ne reprenne la parole.

- Je sais pas comment te dire ça Delachonkle...Mais merci. Si tu avais pas prit cette balle pour moi, je serai mort à l'heure qu'il est....Et mes gosses auraient pu dire adieux à leur père.

Il sortit une petite photo de sa veste et le regarda pendant quelques secondes, avant de vous sourire et de vous la tendre. Vous pouviez voir Mattré ainsi qu'une femme et des enfants, qui devaient probablement être sa famille. Vous rendiez la photo à l'homme qui semblait plutôt heureux.

- C'est ma seule raison de continuer à me battre. Pouvoir revoir ma famille...Et surtout, pouvoir serrer à nouveau mes enfants dans mes bras. Et toi Delachonkle ? Est-ce que tu as une raison de te battre ?

- N...Non, pas vraiment. Enfin, pas que je sache.

- Tu devrais y penser. Sérieusement. C'est ce qui te donne la force de continuer à te battre. Bon, je vais pas te prendre la tête plus longtemps avec une discussion pseudo-philosophique à la con. Tu dois te reposer maintenant.

L'homme vous sourit, avant de remettre sa veste et la photo dans sa poche. Puis, il sortit de la tente. Les seules choses que vous pouviez entendre désormais étaient les bombardements, au loin, ainsi que quelques cris dans le camp. Probablement venant de blessés. Vous vous couchiez sur le lit et vous essayiez de dormir un peu, malgré les bruits ambiants et la douleur à votre jambe. Toutefois, après quelques temps et, voyant que vous n'arriviez toujours pas à vous endormir, vous décidiez de vous relever et d'essayer de chercher des informations sur cet endroit, sur cette guerre. Au même moment, un cri se fit entendre dans le camp. Un cri froid, puissant...Et horrible. Vous vous releviez légèrement dans votre lit, avant de sentir quelque chose sous votre pied. Plusieurs journaux se trouvaient par terre et certains d'entre-eux pourraient contenir des informations utiles. D'un autre côté, vous devriez peut-être aller voir d'où provenait le cri. Ou plutôt, de qui. Par ailleurs, vous pourriez essayer d'explorer un peu le camp pour chercher une éventuelle trace de M. Dupont et quitter ce monde au plus vite. N'oublions pas non plus que votre blessure est toujours là.

1) Regarder tranquillement les journaux à l'intérieur de la tente. Vous seriez susceptible de comprendre un peu mieux ce monde et pourquoi vous vous retrouviez dans un monde en guerre. D'un autre point de vue, il s'agit sans doute du choix le plus sûr : vous êtes blessé à la jambe et, même si vous pouvez marcher en boitant, vous ne pourrez pas courir.

2) Vous pourriez essayer d'enquêter un peu sur l'origine du cri. Mais soyons honnête : dans votre état, il serait plutôt préférable de ne pas trop bouger. D'un autre côté, vous comprendriez peut-être un peu mieux la menace qui plane sur ce monde.

3) Explorer un peu le camp malgré votre blessure à la jambe. Vous trouverez peut-être M. Dupont. Ou bien quelqu'un d'autre...

A vos votes

La 1, de toute façon comme tu ne pourras pas faire un chapitre entier sur la lecture d'un journal, tu seras bien obligé de nous faire bouger un peu

Le 11 juin 2018 à 11:57:20 ChefDumas a écrit :
La 1, de toute façon comme tu ne pourras pas faire un chapitre entier sur la lecture d'un journal, tu seras bien obligé de nous faire bouger un peu

Oui, bien sûr

Le 11 juin 2018 à 11:59:48 Danone85 a écrit :

Le 11 juin 2018 à 11:57:20 ChefDumas a écrit :
La 1, de toute façon comme tu ne pourras pas faire un chapitre entier sur la lecture d'un journal, tu seras bien obligé de nous faire bouger un peu

Oui, bien sûr

1) d'office, et c'est peut-être un journal-vortex déposé en scred par dupont

Up les kheys

1 bien sûr

Je vote SpoilAfficherMasquer:<spoil>attention<spoil>suspens<spoil> 1 </spoil></spoil></spoil>

:) :snif: :gba: :g)
:-) :snif2: :bravo: :d)

Du coup, la 1 l'emporte

Comme je sais pas trop quoi faire, je commence à écrire un autre chap

SWEET
W
E
E
T