Yo tout le monde. Bon avec un peu d'hésitations au début, j'ai finalement décidé de poster ma fic.
Alors c'est un truc dans le style fantastique (on verra comment ça évolue) et ça se situe dans une époque similaire à l'ancienne Angleterre puritaine. Bon trêve de discussion je balance ce que j'ai écrit

PROLOGUE:

"Pourquoi moi ?... Pourquoi moi ?..." se murmurait l'homme à lui même. Tapis dans le coin de la pièce, recroquevillé sur lui même, il se cachait la tête entre les mains comme pour ne pas voir. Comme si se voiler la face allait le sauver. Son appartement était classique et d'un style chic. Le salon était assez grand, tapissé de papier peint rouge et au sol un grand tapis de fourrure doré recouvrait presque la totalité de la pièce. Au centre, une jolie table en bois poncé ornée de petites rainures dorées remplissait l'espace avec des chaises assorties. Au plafond, un joli chandelier doré diffusait une lumière forte mais douce qui inondait la pièce. Les rideaux de satin qui cachaient les fenêtres était de très bon goûts et permettaient d'effectuer toute sortes de choses sans être vu par les passants qui défilaient trois étages plus bas. La ville commençait tout juste a s'éteindre. Il devait être aux alentours de 20 heures et tout le monde regagnait son foyer à l'approche de la nuit. Ah la nuit. C'est véritablement un moment que j'adore. La ville est dangereuse la nuit. Pleine brigands, de voleurs d'enfants, de prostituées, et j'en passe. C'est fascinant de voir a quel point une endroit peut changer en fonction du moment de la journée...

Mais je m'égare. Revenons à nôtre affaire. L'homme était caché derrière le canapé de velours rouge et je pouvais l'entendre prier pour sa vie, suppliant a dieu de lui pardonner tout ses pêchés et de l'épargner. Dieu.. quel concept stupide. Croire en la force d'un être tout puissant qui voit tout et pourrait nous aider si on lui est fidèle jusque dans la mort. C'est d'une absurdité dégoûtante. Je m'avançais vers le pauvre aristocrate d'un pas lent mais assuré, le regard plein de passions. Son costume était trempé de sueur et son visage était déformé par la peur. Tout chez cet homme me dégoutait. Sa peau suintante, ses cheveux longs et gras trop plaqués en arrière, son ventre énorme, ses yeux exorbités. Tout puait la richesse et l'abus chez ce salopard. Je m'approchais de plus en plus, marchant de plus en plus lentement. j'adore ce moment... Quand la personne en face de vous comprend enfin ce qui va lui arriver. Quand elle réalise comment elle va finalement finir. Quand son visage est tordu par la peur et le mien par ce rictus que je ne peux m'empêcher de faire à l'approche du moment fatidique.

Et alors qu'il ferme les yeux pour une ultime foi, j'abats mon vieux couteau rouillé dans sa gorge. Il Meurt dans un cri presque jouissif à mes yeux. Je lui lacère le corps, lui épluche la peau et la lui arrache en de longs lambeaux que je fait bouffer à son cadavre puant. Aucun endroit n'est épargné. Du visage jusqu'au pieds. Je veux laisser une marque sur son corps entier. La sensation est si bonne. Le sang gicle tellement que ça en devient excitant. Je me calme. Il ne faut pas que je m'emporte. La proie est trop faible. Le bonheur n'en sera que plus grand lorsque ce sera avec "elle"... Je doit être patient.

Je traîne le cadavre déchiqueté jusqu'à la salle de bain ou se trouve déjà le corps de sa grosse truie de femme et je le hisse jusque dans la baignoire pour qu'il rejoigne sa bien aimée. J'essuie mon couteau et mes mains avec les jolis rideaux de satin. Je remet mon manteaux, sors de l'appartement en veillant à bien refermer la porte derrière moi et descend les escaliers de bois. Aucun voisin ne semble nous avoir entendu jouer. Je sors de l'immeuble et regarde le ciel. La lune se dresse majestueusement devant moi au dessus du château de la reine. Qu'il fait bon ce soir. l'air frais me fait un bien fou. Il m'aide à me calmer et à ne pas agir n'importe comment. Je vois les dernières carrioles qui se dépêchent de finir leur journées. La cloche sonne vingt heure trente. Ma nuit peut enfin commencer.

Voilà dite moi ce que vous en pensez svp.
Petites précisions:

-Je l'ai pas faite trop longue pour que vous ayez pas trop a lire (bande de flemmards)
-maintenant que j'y pense je vais sûrement rajouter quelques scènes érotico-sexuelles dérangeantes je trouve que ça colle bien au ton de la fic. Je vous vois venir hein, c'est pas des grosses scènes de sayks pour pervers a tout les chapitres. C'est juste quand ça apporte un truc au réçit et ce sera plus soft que toutes les porn-fics du forum
-le titre est a chier

pavay césar

Ouais pavey sorry

G lu

First page

Merci a tout ceux qui vont prendre la peine d'au moins lire

La description de la pièce au début était pas super utile, et pour l'instant l'histoire est pas assez entamée pour me faire une idée mais c'est bien écrit je trouve et j'ai envie de savoir la suite
Peut être que pour commencer tu aurais du faire le prologue en 2 parties, ça fait un peu pavé là

Déjà merci pour vos avis
Portugesa Désolé si je t'ai offensé ou un truc comme ça hein j'ai rien contre la religion du tout c'est juste la mentalité du perso qui est comme ça pas la mienne (d'ailleurs moi mes parents sont catholiques et tout)

Aillun Pour la description c'était surtout pour fixer le cadre et pas perdre le lecteur mais je prend note. + désolé pour le pavé mais je me rend pas trop compte quand 'écris de la longueur du truc. j'essaierais de faire plus court.

En attendant je continue d'écrire

First page.

Voilà la suite de la fic Ne vous inquiétez pas si il n'y a pas tellement d'action dans celui-ci, elle devrait arriver bientôt. J'ai déjà un fil conducteur dans mon esprit de ninja

CHAPITRE 1:

"Encore ce taré !! " S'exclama Dolls. "On va jamais le chopper, c'est pas possible !!" Et il avait sûrement raison. C'était le quatrième meurtre du "rampant" comme on l'appelait au poste. Un sacré cas celui là. Cette fois, c'était un double homicide: une femme et son mari tués dans un appartement au troisième étage d'un immeuble du quartier bourgeois de la ville. Un collègue du mari était venu nous prévenir du décès de son ami après avoir découvert les corps aux alentours de huit heures. Il devait aller prendre le petit déjeuner chez eux avant de partir au travail. Personne ne répondant et en apercevant des traces de sang sur le paillasson de l'entrée il avait dû enfoncer la porte pour finalement découvrir les cadavres. Quel choc ça a dû être. Ils étaient dans un sale état.

Complétement défiguré, le couple avait été martelé de coups de couteaux sur l'ensemble du corps. Typique du rampant. Ce surnom était donné à un des meurtriers les plus horribles sur lequel il m'ait été donné d'enquêter. Il venait des grandes trainées de sang que laissait toujours le tueur sur la scène de crime, donnant ainsi l'impression que quelqu'un avait rampé sur le sol.

L'expert psychologue arriva sur la scène et je vis son visage pâlir à la vision des cadavres. Comme je m'y attendait, Il se précipita vers la fenêtre et déversa son vomi qui atterri sur le trottoir quelques mètres plus bas.

"-Excusez moi, dit-il tout en s'essuyant la bouche avec son mouchoir. J'ai été un peu surpris par la scène...

-Surpris ? T'aurais dû t'y attendre non ? C'est la même chose à chaque fois Foxx. Dès qu' il y a la moindre petite goutte de sang tu peux pas t'empêcher de cracher ta bile."

C'est vrai que travailler pour la police en tout en étant effrayé par le sang, c'est une situation plutôt cocasse. Mais Foxx était avant tout un bon psychologue et il arrivait très souvent à cerner la personnalité des meurtriers. Mais encore une fois, le "rampant" restait un mystère.

"-Bon, mettons nous au travail, s'exclama Foxx. Qu'avons nous là ?

-Double homicide, un couple de bourgeois, l'arme du crime est très sûrement une arme blanche mal aiguisée ou rouillée si on en croit les blessures. Elles ne sont pas nettes, elles semblent plutôt déchirées. De plus de grands morceaux de peau ont été arrachés comme si il les avait pelés.

-Bon... Comme d'habitude on retrouve les grandes trainées de sang. On est sûr qu'il veut se faire remarquer. Il veut qu'on découvre ses crimes également sinon il n'aurait pas été jusqu'à faire déposer du sang a l'entrée. La méthode est très anarchique et peu discrète. Je pense sincèrement que nous sommes en présence d'un personnage extravagant qui aime se faire remarquer par ses actions mais uniquement après coup. Il ne laisse aucun indice à propos de lui. Pas de scène de lutte, pas de traces de pas dans le sang rien. Tout cela n'est qu'une mise en scène pour qu'on sache qu'il existe mais pour qu'on ne le retrouve pas. Mais ce n'est pas un jeu pour lui. Il ne s'amuse pas... Pas avec nous en tout cas. Mais il a plutôt l'air de jouer avec ses victimes et leurs corps. Il met en scène quelque chose d'apparemment très peu soigné mais en réalité c'est travaillé et préparé... Non ce n'est pas logique, il ne ferait pas tout ça si il ne voulait pas jouer avec nous... rah je n'arrive pas a le cerner !! Même ses anciennes victimes n'ont strictement aucun lien entre elles !!

-Calme toi !! lui dis-je. On finira par y arriver !!

-Non...il est trop malin pour se faire chopper comme ça. tu verra, je vais t'avoir, se dit foxx à lui même. Son visage afficha un énorme sourire. Mon sang bouillonne a l'idée de t'attraper !!"

Voilà, dite moi ce que vous en pensez svp
J'ai essayé de la faire un peu plus courte et il y a plus de dialogues.

Gaffe aux temps de la conjugaison, ainsi qu'à quelques approximations dans le vocabulaire.
Sinon, sur le fond... Oui, il y a de l'idée. Mais quitte à aller dans le trash, autant y aller à fond, ou bien : ne faire que le suggérer.

Une chose qui n'est pas connue est bien plus effrayante qu'une chose décrite.

Sweet, j'aime bien

+Moi je trouve pas que la description de l'appart était inutile, justement ça nous place plus dans l'ambiance

https://www.youtube.com/channel/UCNSMWZoM7xgr7YgpRLIWyHQ
Gros Fake !

Je lis demain.

pas envie de lire

J'ai pas lu.