Salut les gens !

Je recherche des articles (principalement francophones, mais en anglais, ça peut également être intéressant) sur Final Fantasy VII. Vous savez, ceux qu'on pouvait trouver à l'époque dans ce genre de revues :

Je serais particulièrement intéressée par la très consistante critique que Joystick ou Gen4 avait fourni en 1998, qui analysait le scénario sous des angles originaux, notamment en signalant ses aspects enfantins et "guimauve".

Merci à toute personne qui pourra m'aider !

As-tu cherché sur Abandonware Magazines ?
https://www.abandonware-magazines.org/

En complément des conseils de Mattez_ria, tu peux aussi checker les outils de recherche dans la section « Données utiles », histoire de gagner du temps tout en optimisant tes recherches .

https://www.abandonware-m-magazines.org/utilitaires.php

(...et ravi de te revoir ici ! :D )

Merci à tous les deux ! Et ouais, mWIND, ça fait plaisir d'être de retour. Je sais pas si tu es déjà retourné dans une communauté que tu as abandonné depuis cinquante mille ans, mais ça fait très bizarre et en même temps c'est touchant. ^^

Sur Abandonware, je trouve déjà l'article d'époque de Joystick : https://www.abandonware-magazines.org/affiche_mag.php?mag=30&num=645&album=oui

Comme dans mon souvenir, la critique se plaint de l'aspect guimauve :

De la guimauve pour les durs

Le jeu est plaisant par bien des aspects. Les personnages sont attachants. Baignés dans une ambiance romanesque, ils nagent en pleine sentimentalité asiatique. Aïe, certains ne vont pas apprécier ces mots ! Remarquez, je n'ai pas parlé de japoniaiserie. Mais vous reconnaîtrez tout de même que la sentimentalité niaise est une caractéristique asiatique. Pour vous en convaincre, jetez donc un coup d'oeil sur les films de John Woo. Rappelez-vous la dernière scène de volte-face. On ne peut pas faire pire ! Musique avec grands trémolos, souvenir apparaissant dans un flou artistique, lumière baignant les héros, sentiments englués dans les clichés : on retrouve point par point les lois de la gnangnanterie. Il faut avoir gardé un esprit enfantin pour aborder ce jeu ou alors tout prendre au second degré. Cette guimauve qui lui coule par tous les pores ne nous empêche pas d'être accroché. Les héros sont terriblement humains. Les méchants souffrent tout autant que les gentils. Le poids du destin les écrase. On n'éprouve que pitié pour eux. Et puis, qui n'a pas rêvé un jour de devenir le preux chevalier pourfendant les méchants et défendant les faibles. Alors, quand on vous demande d'endosser ce rôle, vous êtes plus d'un à répondre présent. La faible orpheline à laquelle vous vous attachez est une Ancienne (les Anciens sont une espèce qui voyage dans l'espace et crée la vie sur les planètes). Elle n'est pas vraiment humaine mais possède les charmes et la douceur d'une faible jeune femme. Quand elle décide d'essayer de sauver la planète, votre passé trouble (aucun des personnages n'est vraiment innocent dans ce jeu, chacun possède un côté obscur que les évènements mettent à jour petit à petit) n'empêche pas votre coeur de s'enflammer. D'autres personnages viennent très vite vous aider dans votre quête.