pas grand chose à dire de ce que côté là non plus, j'attends de voir la suite des événements et leurs conséquences

Plutôt coulage de bronze parisien

Bon les gens, en prévision de la suite de la FIC, et en particulier du futur JDR, je vous présente la première version d'une carte de la Terre du Milieu de mon cru, qui regroupe les royaumes et locations connues de ... ben de la Terre du Milieu J'y ai représenté des endroits qui ont été mentionnés dans la FIC, et qui y seront un peu plus tard !
Comme la suite de la FIC et le JDR se passeront pas mal dans le Grand Sud, j'ai également représenté le continent du Harad, ainsi que quelques royaumes au Sud, notamment le Bellakar, les nomades ou Tûlwang

Enfin bon, enjoy !

Comme promis, je viens d'achever la lecture du deuxième Chapitre de ta fiction ! Ça reste (pour moi), dans la continuité du prologue et du premier Chapitre en terme de qualité d'écriture. Malgré certains passages qui m'ont dérangé (avec de grosses lourdeurs dans plusieurs phrases), je dois avouer que la bataille était bien mise en scène. Elle aurait même mérité d'être plus décrite, mais cela reste un avis personnel.

Un râle s’échappa des lèvres d’Andunion, figées dans un rictus laissant deviner l’épuisement qui s’emparait de lui, et il resserra son emprise sur la garde de son épée, la dégageant d’un mouvement sec d’épaule du torse dans lequel elle était fichée, avant d’allonger le bras et, dans un ample mouvement, décapiter l’Uruk qui se tenait face à lui.

Enchaîner la dessus dès le deuxième paragraphe est assommant je trouve. La phrase aurait mérité d'être coupé en deux, pour amener plus de dynamisme et une lecture plus fluide.

Un râle s’échappa des lèvres d’Andunion, figées dans un rictus laissant deviner l’épuisement qui s’emparait de lui. Resserrant son emprise sur la garde de son épée, il la dégagea d’un mouvement sec d’épaule du torse dans lequel elle était fichée, avant d’allonger le bras et, dans un ample mouvement, décapiter l’Uruk qui se tenait face à lui. Je n'ai apporté qu'une toute petite retouche, mais cela me semble déjà un peu mieux à lire !

Et même si, dans la globalité, la lecture s'est bien passée, j'ai toujours du mal avec tes dialogues. Je sais que c'est très difficile d'en faire qui soient de qualités, mais je n'arrive pas à les trouver crédible.

- Ne le tuez pas ! commanda Andunion. "Il pourrait avoir les réponses dont nous avons besoin !
- Tu perds ton temps, tark ! cracha l’Uruk Noir en ricanant (Il en fait des choses l'Uruk). "Votre petit royaume sera balayé avant que tu ne le sache !"
Le dégoût tordit les lèvres d’Andunion, et il serra les dents. Cette immonde créature osait ainsi le menacer ?
- Si tu comptes sur ma clémence, vil Orque, tu te trompes de geôlier ! Parle maintenant, ou tais-toi à jamais ! Que font tant des tiens dans cette région du monde ? (J'ai l'impression d'être dans une pièce de théâtre quand je lis des dialogues comme ça. Non pas qu'ils soient mauvais, mais cela atténue le caractère sérieux de l'atmosphère que tu crées).
- Meurs dans ta propre shrakh ! Durbrod arrive" , éructa l’Uruk avec une lueur de folie dans les yeux. "Durbrod arrive et notre vengeance s’accomplira ! "
Sur ces mots, avant qu’Andunion ne puisse faire quoi que ce soit, il se jeta en avant de toutes ses forces et s’embrocha sur la lance du soldat qui le surplombait.

En gros, l'Uruk le prévient qu'un ennemi arrive (il est assez gentil, même si je sais qu'il fait ça pour le menacer) et il se suicide juste après. C'est du déjà-vu, il aurait au moins pu tenter de tuer quelqu'un !

Voilà, encore une fois, je met en avant les défauts qui m'ont sauté aux yeux, mais le reste est bien ! Je ne pensais pas que je continuerai à lire, mais j'irai encore un peu plus loin. Je compte donc continuer ma lecture et poster mes avis de temps à autre !

Tu m'honores, Guizmo

Effectivement avec le recul cette phrase de 4 lignes de long était peut-être trop d'un coup. Je veillerai à épurer un peu la suite

Et pour les dialogues, ça s'améliore avec le temps. Mais n'oublie pas que j'essaye de rester dans un registre proche de celui de Tolkien, qui n'était pas tant porté sur le réalisme que sur le lyrisme (dans la Terre du Milieu, la poésie l'emporte sur la crédibilité )

Honnetement, à chaque chapitre je dois dire que c'est du bon ?

Oui, tu n'as pas le choix

Le 23 avril 2017 à 17:30:53 Thanator1 a écrit :
Tu m'honores, Guizmo

Effectivement avec le recul cette phrase de 4 lignes de long était peut-être trop d'un coup. Je veillerai à épurer un peu la suite

Et pour les dialogues, ça s'améliore avec le temps. Mais n'oublie pas que j'essaye de rester dans un registre proche de celui de Tolkien, qui n'était pas tant porté sur le réalisme que sur le lyrisme (dans la Terre du Milieu, la poésie l'emporte sur la crédibilité )

Autant pour moi ! Dans ce cas-là, tu respectes parfaitement l'esprit des dialogues de Tolkien ! (J'avais dejà essayé d'écrire une nouvelle en Terre du Milieu, mais vouloir respecter l'esprit des dialogues était un vrai casse-tête).

Pour vous récompenser de votre patience, ce soir super-chapitre et grande bataille

CHAPITRE 11 : DAGOR-NU-LITH, LA BATAILLE SOUS LES CENDRES
[ Contreforts des Monts Cendrés, sud du Rhûn occidental ]

Le temps était lourd, et le ciel grisonnant, filtrant à travers les pics montagneux au sud, annonçait un orage diluvien. Les grondements du tonnerre lointain couvraient le vacarme provoqué par l’avance des troupes qui descendaient lentement des Monts Cendrés. Par un étrange coup du sort, les caprices du ciel étaient parfois leur meilleur allié, pensa Durbrod alors que ses armées s’alignaient en formations ordonnées. Mais après tout, la lumière des cieux n’avait jamais été un problème pour les vrais Uruks.

Durbrod commandait ses tribus d’Uruks Noirs depuis maintenant près de quarante ans. Il était robuste, malgré le poids des années qui s’accumulaient insidieusement sur ses épaules. Robuste, puissant, et encore incroyablement sauvage. Aucun Orque, aucun individu ne peut mener des Uruks Noirs sans démontrer une brutalité sans limite. Il l’avait prouvé lors de l’invasion qu’il avait mené trente ans auparavant, lorsque ses légions avaient déferlé sur les faibles hommes de Nurnen. Depuis la défaite cuisante qu’il avait alors subie de la main du Roi du Gondor, il avait dirigé ses troupes exilées loin à l’est avec furie et main de fer.
Mais aujourd’hui était le jour de la vengeance des Orques. Il était le Roi des Monts Cendrés, les Orientaux avaient promis de le laisser prendre des terres et piller autant qu’il le souhaitait – béni soit ce vendu de Kanshaar ! pensa-t-il – et les faibles Nurniags au sud sont si terrifiés qu’ils sont incapables de faire le premier mouvement. Leur sang célèbrera le couronnement ultime de la défaite des tarks du Gondor, et le royaume de Nurnen sera saigné jusqu’à la mort, cette fois !

Le Roi Uruk parcourut la ligne de hautes collines sur lesquelles ils s’étaient établis. Au pied des Monts Cendrés au Sud, ils étaient sur leur terrain. Des renforts venaient d’arriver de l’Est pour apporter leur soutien aux premiers groupes d’Uruks qui s’étaient attelés à préparer le champ de bataille depuis 3 jours. Tout autour de lui, des hurlements d’efforts résonnaient, et des feux de camp brûlaient joyeusement.
Un officier vint au rapport, et avec un sourire inquiétant, l’informa que les préparatifs étaient achevés. Durbrod répondit par un rictus carnassier, et hurla à une escouade d’éclaireurs de descendre les collines vers l’Ouest. Il pressentait que son ennemi approchait. Il ne fallait pas le faire attendre …

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La grande armée du Gondor faisait maintenant route depuis six jours vers l’Est. Andunion était en admiration devant les forces que le Roi avait assemblé pour pacifier ses frontières orientales. Il était placé sous les ordres d’un général venu des garnisons d’Ithilien, un vétéran dont le côté droit du visage était couvert de cicatrices. Il était confiant. Il ne fallait pas moins pour commander les huit-mille Gondoriens qui s’étaient rassemblées sur la plaine morne de Dagorlad il y a une semaine.

Soldats venus des fiefs du Lamedon, du Morthond, du Lossarnach, d’Anfalas, du Harondor. Tant d’hommes réunis sous la bannière de l’arbre blanc et de la couronne ailée gonflait de fierté le cœur d’Andunion.
Il chevauchait en tête des colonnes de soldats, en compagnie du reste de l’Etat-major. Plusieurs autres officiers avaient à leur charge de larges portions de l’armée, mais à la tête des deux-mille hommes de la garnison de Cair Andros, auxquels s’étaient adjoints trois-cent mercenaires Balchoth le lendemain du départ de la vieille Plaine Maudite, Andunion commandait le plus large contingent. C’était une mise à l’épreuve à laquelle il n’avait pas l’intention de faillir.

La journée s’était levée depuis trois heures, malgré le ciel inquiétant, lorsque l’avant-garde repéra enfin les rangs ennemis, loin au-dessus d’eux, ayant choisi la position avantageuse de collines escarpées. Andunion avait espéré un combat sur terrain plat, où les hommes du Gondor auraient l’avantage. L’ennemi connaissait mieux le terrain, au pied de ces montagnes. Mais il semblait que les premières vagues d’Uruks Noirs commençaient déjà à descendre les pentes.

Andunion ordonna frénétiquement à ses troupes de prendre leurs positions de combat. Il commandait l’aile droite, à l’Ouest. A sa gauche, les autres officiers arrangeaient également leurs régiments. Alors que de légères gouttes de pluie atterrissaient sur son visage, il vit que les premiers rangs ennemis se faisaient dépasser par des lanciers montés sur des loups du Mordor.
- Gardes de la Porte ! hurla-t-il.

Une compagnie de quatre cent hommes équipés d’immenses boucliers courut le long de la pente et s’aligna solidement, avant de planter violemment un par un la pointe inférieure de ces boucliers dans le sol, et de former une ligne imbrisable. Au-dessus de leurs épaules, la ligne derrière eux arma une rangée d’arbalètes aux carreaux lignés de plumets blancs, et au commandement d’Andunion, décochèrent leurs mortelles munitions sur les bêtes sauvages qui chargeaient sur eux.

Les loups et leurs cavaliers s’écroulèrent tels un seul homme, et leur charge s’écroula. Derrière les vestiges de cette première vague, les Uruks à pied accoururent alors en poussant des cris inhumains. Les arbalétriers échangèrent de place avec une rangée de piquiers, qui bardèrent la ligne de boucliers pour accueillir la horde ennemie.

Les forces de Durbrod se brisèrent sur les Gardes de la Porte comme une nuée de chauve-souris. Les Gardes tenaient bon, mais la masse grouillante commençait à déborder les défenseurs sur ses flancs. Andunion appela alors ses cavaliers à escalader les collines pour avoir un point de frappe sur les assaillants depuis le Sud-Ouest.
Mais alors qu’il allait envoyer le reste de ses hommes sur le flanc gauche, des Porteurs de hache venus du Lebennin contre-chargèrent les Orques depuis le Nord. Envoyés par le général d’Ithilien, qui commandait le front central, ils s’enfoncèrent tel un couteau affûté dans le côté de l’ennemi.

Pris entre le marteau et l’enclume, les Uruks commencèrent à vaciller. Pris d’un courage soudain, Andunion cria à ses troupes de le suivre, et la rangée de boucliers s’espaça pour laisser passer les soldats en armure, brandissant leurs grandes épées. Andunion menait la charge, exécutant de larges arcs avec son épée, laissant de larges et sanglants sillons dans chaque Orque qu’il abattait. Les assaillants fuyaient devant lui, car dans ses yeux brillait la colère des Hommes de l’Ouest. La horde à laquelle il faisait face s’effondra, et s’enfuit vers les hauteurs. Ne leur laissant aucun répit, Andunion exhorta ses troupes à les poursuivre, et donna à ses cavaliers l’instruction de soutenir le front central. Si tout se passait comme prévu, cette bataille sera une victoire éclatante et la menace de Durbrod sera enfin supprimée.
- En avant, soldats de l'Ouest ! Achevez ces bêtes immondes ! En avant !

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Durbrod se rappellerait à jamais de ce jour fatidique. Il y a quatre ans de cela, alors que lui et ses sujets s’étaient réfugiés loin au Sud-Est du Mordor, au-delà des terres Variags, dans les contreforts orientaux des Montagnes d’Ormal, une chaîne montagneuse qui séparait le grand désert du Harad des steppes de l’Est. Son royaume en était réduit à terroriser des paysans d’une contrée orientale appelée le Nûrad. Il avait presque cessé de croire en sa vengeance.

Ce jour-là était le jour où il avait retrouvé une raison de vivre et de régner. Alors que ses sujets et lui se repaissaient de maigres rapines, dans les noires cavernes sous les Montagnes, un homme, d’immense stature malgré son grand âge, s’était présenté à sa cour, avec de l’or. L’homme avait un masque qui dissimulait son nez et sa bouche, mais sa voix était parfaitement distincte et avait glacé bien des Uruks. Il avait parlé de gloire et de vengeance, et il avait promis le sang des tark.
Durbrod s’était montré sceptique. Après vingt-cinq ans de disgrâce, seule la fourberie lui avait permis de conserver son trône et sa tête. Il avait promis à l’étranger une mort lente et douloureuse.

Mais l’homme avait alors présenté au Roi Uruk un autre masque, un heaume en fer noir, couvert de runes débordant d’énergie sombre. Il avait arraché le voile qui masquait sa bouche, et Durbrod avait ressenti pour la première fois de sa vie les froides lames de la terreur lacérer son dos.

La Bouche de Sauron avait assuré, au nom du Seigneur des Ténèbres qu’ils servaient tous deux, qu’il tiendrait ses promesses, et que sang et gloire attendaient Durbrod s’il acceptait cet or et qu’il suivait ses instructions. Il avait demandé au Roi Uruk d’attendre le jour où il le recontacterait, et que bientôt, grâce aux Orientaux, la route de l’Ouest serait rouverte.
Et aujourd’hui, pensait Durbrod alors qu’il commandait à ses troupes d’élites de rester en retrait pour inciter son ennemi à grimper les pentes des collines pour venir le cueillir, ce jour était arrivé.

Le flanc Ouest avait cédé, et les Uruks battaient en retraite devant la fureur blanche des soldats d’Ithilien. Durbrod résista à la tentation d’envoyer ses chevaucheurs de Wargs, qu’il avait gardé en réserve depuis le début de l’engagement, pour harceler l’ennemi sur ce flanc vulnérable. Au contraire, il signala aux Uruks qui étaient embourbés sur le front principal de se désengager et de remonter la pente des collines.

Enhardis, les troupes Gondoriennes rompirent leurs formations, et poussèrent la charge vers les hauteurs, pour tenter de couper dans leur élan toute réorganisation des Uruks.
Le goût du sang envahit la bouche du Roi Uruk. Il se tourna vers son second et cria d’une voix de victoire :
- Maintenant !

Des artificiers se dirigèrent vers les collines avec des torches, et enflammèrent des pots métalliques remplis de matière sombre, disposés de manière stratégique sous de larges aspérités loin en amont du champ de bataille.
Il sembla alors que le ciel s’était déchiré, et que sans qu’on n’en vît les éclairs, le tonnerre frappa une demi-douzaine de fois d’affilée les hauteurs. Les fondations des Montagnes de l’Ered Lithui furent secouées, tandis que de gigantesques rochers volèrent en éclat. Durbrod eut un sourire bestial.

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Andunion n’en croyait pas ses yeux. Sous son regard ébahi, le flanc de la montagne s’effondrait, d’innombrables rochers se décrochaient des collines, et ses cavaliers, plus loin en amont, étaient un à un écrasés, ensevelis sous la pluie de terre et de roche qui tombait à présent. Comment était-ce possible ? Que s’était-il passé ? Quelle sorcellerie avait conjuré Durbrod pour faire tomber la montagne ? Ces éclairs de lumière qu’il avait vu plutôt, ces bourrasques de feu qui avaient projeté le sommet des collines dans le ciel. Comment ?

Puis il revint brutalement à l’instant présent. L’avalanche créée par les Uruks avalait à présent à une vitesse effrayante toute la pente que lui et ses meilleurs soldats escaladaient. Les retardataires de l’armée ennemie furent renversés et broyés par la vague mortelle, mais leur état-major et les meilleures troupes de l’ennemi, perchés à l’Est des collines, étaient bien à l’abri des déferlements.

L’espace d’un instant, Andunion vit sa mort arriver, et murmura une prière à Mandos. Puis il se réveilla à nouveau, et courut avec quelques-uns de ses hommes vers une large formation rocheuse surélevée, par-dessus laquelle l’avalanche passait.
Il bondit en avant, glissa, se releva en titubant, et parvint in extremis à se réfugier, un genou à terre, derrière le bloc de roche qui s’était mis à trembler sous le poids et la puissance de la pluie mortelle. De là il tenta de reprendre son souffle, mais la vue de l’armée du Gondor être lentement dépassée, privée de toute son aile droite par cette sorcellerie, être fracturée, puis finalement dépassée, brisa l’espoir qui était en lui.

Un à un, les officiers qui l’avaient accompagné sur le chemin tombèrent sous les assauts impitoyables de l’ennemi, et à la fin il ne resta qu’un îlot de résistants. Les bannières du Gondor gisaient au sol, piétinées et couvertes de boue et de sang. Au centre de la mêlée, hurlant des ordres à son dernier carré, le général d’Ithilien embrochait chaque Uruk qui tentait une percée avec une puissante lance. Cinquante Orques gisaient à ses pieds, et il continuait de tuer avec l’énergie du condamné. Mais enfin, percé de toutes parts, il s’effondra face contre terre, et ses assaillants arrachèrent sa tête pour l’exhiber au sommet d’une pique.

Une larme coula le long de la joue d’Andunion, vite noyée au milieu de la douce pluie qui recouvrait à présent le charnier. Aujourd'hui, les Hommes Libres de la Terre du Milieu avaient été brisés. La face des collines était devenue lisse, poncée par la surnaturelle avalanche, et une épaisse fumée se dégageait à présent de la zone où les rochers avaient chuté.

Encore sous le choc face à l’annihilation de la puissante armée qu’il avait mené jusqu’ici, Andunion ne savait à présent plus que faire. Comment échapper aux Uruks qui possédaient maintenant tout le champ de bataille ? Comment empêcher Durbrod de répandre le feu et la ruine sur ces terres ?

ça serait cool si le RP commençait justement par cette menace bien pesante sur les Hommes

J'ai de bien meilleures idées que ça, mon p'tit over

Perso j'ai déjà créé mon perso (:hap:)
J'ajusterai son background par apport au différent évènement, j'en suis plutôt fier

Ps : dans le rp on participera à des bataille comme ça ?

Haha content de l'apprendre Mais je serai probablement plus exigeant que tu ne le penses au niveau des détails de ta fiche de personnage

Et oui, dans le RP il est très probable que vous participerez à des batailles d'une échelle similaire

Pas de problème, j'ai une grande imagination.

Tant mieux, tu vas en avoir besoin pour la suite

côté perso je me rappel vaguement l'ancien JDR, mais j'attends tes règles pour vraiment le créer (même si j'ai déjà l'idée en tête)

Pour pas que vous vous fassiez trop d'espoirs non plus, les Elfes sont extrêmement restreints dans cette nouvelle version du RPG (plus aucun Noldor, 3 ou 4 Sindar qui gambergent encore ...)

osef des elfes, je me ferais un bon humain badass