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Sujet : [Fic] Slavetale

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Zackyzack Zackyzack
MP
Niveau 9
12 novembre 2017 à 11:46:26

Le 12 novembre 2017 à 11:39:43 serbiastronk a écrit :
Y'a écris nul part que pour flowey et la détermination c'est alphys :rire: les amalgamates serve pas a grand chose non plus y'a que mettaton et encore :rire:
Et ces messages a alphys sont inutiles et serve juste a casser les couilles sur le téléphone alors que tu marche trkl a hotland. :oui:

Ok, soit t'as pas fait le True Lab ( ou tu n'as absolument rien lu ), soit tu es juste un troll.

SheogorathCDC SheogorathCDC
MP
Niveau 10
12 novembre 2017 à 15:17:08

Le 12 novembre 2017 à 09:24:13 serbiastronk a écrit :
Mais Alphys elle sert à rien et elle est juste casse couille dans le jeu à tout le temps appeller sur le portable pour dire des trucs inutiles donc c'est mériter les insultes sur Alphys

Elle sert tellement à rien que sans elle y'a pas l'antagoniste principal, pas de Mettaton, pas d'Amalgamtes, pas de destruction de barrière etc. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494260086-zoom3.png

Le 12 novembre 2017 à 11:39:43 serbiastronk a écrit :
Y'a écris nul part que pour flowey et la détermination c'est alphys :rire: les amalgamates serve pas a grand chose non plus y'a que mettaton et encore :rire:
Et ces messages a alphys sont inutiles et serve juste a casser les couilles sur le téléphone alors que tu marche trkl a hotland. :oui:

Et à ton avis c'est qui? Vu qu'il y'a pas eu de scientifique entre Gaster et Alphys. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494260086-zoom3.png

Alphys connaît Flowey, comme en témoigne son dialogue avant que Flowey débarque en fin pacifiste et c'est la seule à part Sans et nous qui s'en méfie, et encore Sans sait juste qu'il y'a une fleur chelou qui traîne avec son frangin. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494260086-zoom3.png

Citations des entrées du True Lab:

"ENTRÉE NUMÉRO 7: Un réceptacle nous sera nécessaire pour conserver les ÂMEs de monstres. On sait tous qu'un monstre ne peut pas absorber les ÂMEs d'autres monstres. Tout comme un humain est incapable d'absorber une ÂME humaine... Il nous faudrait donc... Quelque chose qui ne soit ni un humain, ni un monstre."

"ENTRÉE NUMÉRO 8: J'ai trouvé le candidat idéal. Je ne l'ai pas encore dit à ASGORE, parce que je veux lui réserver la surprise... Mais au centre de son jardin se trouve quelque chose de spécial. La première fleur dorée, la toute première à avoir poussé ici-bas. La fleur venue de la surface. Elle est apparue juste avant le départ de la reine. Je me demande... Que se passe-t-il quand on dote une chose dépourvue d’ÂME de la volonté de vivre ?"

"ENTRÉE NUMÉRO 10: les tests sur le réceptacle se sont soldés par un échec. je n'ai remarqué aucune différence par rapport aux unités de confinement. pas grave. c'est un vrai calvaire de bosser dessus de toute façon. les graines s'agglutinent partout, impossible de s'en débarrasser..."

(Elle parle de toutes les fleurs dorés qui traînent dans son labo)

"ENTRÉE NUMÉRO 18: la fleur a disparu."

T'en connais beaucoup des fleurs bizarres avec de la détermination toi? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494260086-zoom3.png

En plus elle a fait des expériences sur les fleurs du jardin d'Asgore. Rappelle-moi qui est mort là bas? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494260086-zoom3.png

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
12 novembre 2017 à 15:43:23

Don't feed the troll, règle de base d'internet, d'autant plus valable sur jvc :ok:

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
13 novembre 2017 à 21:29:48

Et wtf je viens de m'appercevoir qu'il manque la première partie du chapitre 12. Je comprend pas, pourtant j'étais sûr de l'avoir posté. Vous l'aviez lue vous?
Putain JVC c'est bien buggé quand même, en plus pas moyen d'édit.
Du coup désolé pour l'inconvénience que ça a pu poser, voici le repost de la première partie :

Chapitre 12 :

Fidget fut réveillé en sursaut par une assourdissante sonnerie qui retentit dans tout le bâtiment. Il se redressa subitement sur le matelas, apeuré, avant de se rendre compte d’où il était, et de réaliser qu’il ne devait s'agir que d’une sorte de réveil. Baillant à s’en décrocher la mâchoire et frottant ses paupières lourdes qu’il aurait adoré laisser reposer quelques instants de plus, il resta ainsi assis quelques instants, incapable de bouger davantage. Son corps sembla peser des tonnes alors qu’il faisait un effort surhumain pour se lever et s’arracher à la douce étreinte du sommeil. La mémoire des évènements récents lui revint, et maintenant que son esprit n’était plus embué par la faim et la fatigue, il pouvait réfléchir un peu plus à sa situation.
De la courte soirée qu’il avait passé hier, Fidget pouvait tirer quelques conclusions hâtives, quelques hypothèses, sur les lieux. Il lui semblait être tombé sur un maître, sinon agréable, au moins supportable. Cela ne le dérangeait pas d’être commandé et de devoir travailler, tant que les exactions qu’il subissait depuis des jours prenaient fin pour de bon. Après tout, il était un esclave désormais, et non plus un produit : il devait accomplir sa fonction. De plus, ils semblaient disposer d’une certaine liberté ; Skye avait pu les accueillir, leur préparer de quoi manger et les raccompagner jusqu’à leurs chambres sans que son collier ne s’active, ou alors il avait été trop fatigué pour le voir. Fidget n’avait aucune idée de comment les choses fonctionnaient ici, mais il était sûr qu’il ne tarderait pas à le découvrir. Alors, contre toute attente, il gardait un semblant d’espoir, aussi minuscule, ridicule même, soit-il. Les choses pourraient peut-être, pour la première fois, bien tourner.
“Allez debout là-dedans, dépêche toi.” Fit une voix féminine dans son dos qu’il ne reconnut pas immédiatement. Il se retourna pour voir la louve dans l’encadrement de la porte, qui venait de le surprendre à fixer le vide, perdu dans ses pensées, en sous-vêtements et en plein milieu de sa chambre.
“Heu…” Tenta-t-il de dire.
“Habille toi vite, tu vas être en retard.
-En retard pour quoi ?
-À ton avis ?” Répondit Skye en roulant des yeux. “C’est pas un camp de vacances ici.” Ajouta-t-elle avec une amertume diffuse dans la voix.
“Je t’attend devant l’entrée.” Conclut la louve en refermant la porte.
S’habiller… Pensa Fidget, l’esprit vide pendant une seconde comme s’il ne comprenait pas le sens du mot. Il secoua la tête et attrapa la pile de vêtements qu’il avait enlevés à la hâte la veille, puis les passa rapidement avant de sortir. Il ne savait s’il devait verrouiller sa porte, mais de toute façon, il n’avait ni clé, ni effet à protéger.
Le lion remonta le couloir qui lui sembla bien plus court que la nuit dernière. Désormais qu’il faisait jour, il pouvait porter un peu plus d’attention aux détails, ou plutôt à leur absence. Les murs étaient couverts d’un vulgaire papier peint des plus sobres, et la moquette colorée au sol l’était tout autant. En somme, des matériaux à l’image des êtres qu’ils protégeaient : il aurait été indécent d’engager de grandes dépenses pour des esclaves, et le fait qu’ils aient des chambres pour dormir était déjà un grand luxe dont on leur faisait cadeau…
Il fit quelque pas dans la sorte de pièce commune ou salon, lui accordant à peine un regard alors qu’il poussa la porte menant vers l’extérieur. Adossée au mur l’attendait la louve, la tête levée, regardant les nuages qui défilaient indolemment au-dessus de leurs têtes.
“Où sont les autres ?” Lui demanda Fidget, ce à quoi elle répondit en commençant à marcher vers le corps de maison principal.
“Ils sont avec d’autres monstres comme moi, qui étaient là avant vous. On est censés vous faire la visite. Et c’est moi qui m’occupe de toi.”
Fidget ne répondit rien, repensant soudainement à… quel était son nom déjà ? Betty ? La monstre aviaire avec qui il avait sympathisé et qui lui avait également fait faire le tour du propriétaire dans l'hôtel de perversion où il avait brièvement séjourné. Il se demanda ce qu’elle devenait, comprenant son point de vue avec le recul même s’il n’aurait été capable de dire si oui ou non elle avait raison. Le lion se souvint également de l’horreur à laquelle il avait assisté, qui l’avait tout particulièrement choqué, et pria pour que la même chose ne se déroule pas aujourd'hui.
“Ça va ?” Lui demanda Skye, qui avait dû s'apercevoir de son mutisme et de ses yeux perdus dans le vide.
“Hein ? Heu ouais, ça va, t’inquiète.” Répondit-il avec un sourire, tentant d’être rassurant. La louve hocha la tête avant d’enchaîner.
“T’as remis tes vêtements d’hier…
-J’en avais pas d’autres !” Protesta Fidget.
“T’as essayé d’ouvrir tes placards ?” Demanda-t-elle. Fidget ne répondit rien, et son silence en dit long.
“En tout cas…” Ajouta-t-elle, hésitante. “Tu as des goûts vestimentaires… discutables.
-En fait, c’est ceux des c-” Répondit Fidget, avant que sa voix ne s’étrangle, l’empêchant de finir sa phrase. “Des c-” Reprit-il, atteint de la même affliction. Fronçant les sourcils, il déglutit et tourna sa langue dans sa bouche, avant de recommencer, sans succès. Ça devenait énervant, pourquoi n’arrivait-il pas à dire tout simplement “des camps” ?
Skye posa sa main sur son bras, attirant son attention. “Ton…” Fit-elle d’un air désolé en pointant son doigt vers son propre collier. Bien sûr, réalisa Fidget. Évidemment que c’était le collier qui l’empêchait de parler librement. Il avait cru que, désormais qu’il était détenu par quelqu’un, les restrictions sur son langage seraient implicitement levées. Il avait eu tort. Il pouvait penser librement, mais le collier serait toujours là pour filtrer ces pensées avant qu’elles n’atteignent le monde extérieur.
“Je sais ce que ça fait.” Ajouta Skye. Il y eut un silence affligé, qui dura jusqu’à ce qu’ils entrent dans la maison. La distance entre les deux bâtiments était en fait plus grande que ce qu’il lui avait paru la veille ; le sommeil avait véritablement distordu sa perception. En poussant la porte de verre qui menait à une entrée, Skye brisa cette pause verbale.
“C’est l’entrée des monstres ici. Elle est un peu en retrait pour ne pas gêner les invités ou nos maîtres.
-Nos ?” L'interrompit le lion. “On peut avoir plusieurs maîtres ? Et, il y a quelqu’un d’autre qui vit ici ?
-T’as vécu dans une grotte depuis qu’on est sortis de sous…” Débuta Skye, avant de s’interrompre devant l’absurdité de ce qu’elle disait. “Foutue expression.” Murmura-t-elle, avant de reprendre. “Bref, oui on peut avoir plusieurs maîtres si la personne qui nous possède en premier nous demande de suivre ce que quelqu’un d’autre nous dit. Et oui, monsieur a une femme.” Expliqua la louve, maniant avec habileté, par habitude sûrement, le vocabulaire qu’ils étaient en droit d’utiliser afin de communiquer fluidement sa pensée.
“Hm hm.” Acquiesça Fidget en avançant davantage dans la maison. L’entrée donnait sur un couloir rempli de diverses portes, mais toutes étaient fermées et Skye marcha sans même leur accorder un coup d’œil, habituée à leur présence. Le lion la suivit donc sans y prêter attention : il découvrirait bien un jour ce qu’il se cachait derrière celles-ci, bien que son intérêt envers la question fût plutôt limité. Ils débouchèrent bientôt sur une grande pièce ouverte à la décoration moderne et raffinée que le monstre reconnu comme étant la salle à manger où ils avaient dîné en arrivant.
Skye embrassa la pièce des bras. “Ici, c’est la salle à manger. Le plus souvent monsieur et sa femme prennent leur repas ici, mais il arrive qu’ils désirent manger à l’extérieur.” Fidget hocha la tête alors que la louve repris en se dirigeant vers un passage légèrement dissimulé dans le coin du fond, si bien que le monstre ne l’avait pas remarqué en regardant la pièce la première fois. En entrant, il put remarquer des comptoirs et autres placards, ainsi qu’une gazinière et un four encastrés dans le plan de travail. “La cuisine.” Fit Skye sur un ton grandiloquent, comme un chef de cirque montrant l’étendue de sa troupe et de son spectacle. Fidget ne savait pas vraiment cuisiner, il n’avait jamais eu l’occasion de pratiquer, mais cela ne devait pas être si compliqué, pas vrai ? Il avait vu en coup de vent des humains faire à la télé ou au travers d’une fenêtre, et la tâche paraissait assez simple.
“Les plats, ils sont compliqués à préparer ?” Demanda-t-il néanmoins, une légère pointe d'appréhension au fond de la voix. S’il se retrouvait à devoir cuisiner, il ne voulait pas décevoir ses maîtres, cela lui vaudrait sûrement quelque réprimande…
“T’en fais pas.” Fit Skye en souriant. “Je sais pas cuisiner non plus, mais heureusement pour nous il y a déjà quelqu’un qui s’occupe de ça.”
Fidget poussa un soupir de soulagement en mimant de s’essuyer le front, ce qui les fit pouffer de rire.
“Bref,” repris la louve, toujours souriante, “nous notre rôle c’est principalement de faire les tâches ménagères, le service, enfin le personnel de maison quoi.
-Ok, je vois.
-Viens, je vais te montrer où on va passer la majeure partie de notre temps.” La louve quitta la pièce par une seconde issue, et le mena jusqu’à une des innombrables portes de la maison, à l’opposé de là où ils venaient. C’était une double porte battante qui s’ouvrait sur une petite plateforme et une volée d’escaliers. Tout d’un coup, la décoration était bien moins recherchée : le béton des murs était à peine caché par une mince couche de peinture blanche, et une ligne verte courait à hauteur de taille. Le sol était fait d’un revêtement gris caoutchouteux comme on pourrait trouver dans un parking souterrain, et le mur de gauche arborait une trappe qui cachait la cage d’un monte-charge. Heureusement, les propriétaires avaient investi dans un appareil qui fonctionnait à l’électricité.
Skye l'entraîna dans les escaliers, vers ce que Fidget se doutait être une sorte de buanderie sous-terraine. Ils descendirent d’un étage et la louve enfonça une autre porte avec son épaule, révélant une grande pièce qui devait faire une centaine de mètres carrés. Le lion s’arrêta dans l’encadrement pour faire le tour de l’endroit du regard.
Juste à sa gauche se trouvait la trappe du monte-charge, et, un peu plus loin, une rangée de casiers de quelques mètres de profondeur. Ils étaient rangés comme les étagères d’une bibliothèque, formant des sortes de rangées étroites entre eux afin de permettre un minimum d’intimité en se changeant. En effet, à côté des casiers étaient accrochés au mur des tenues dédiées au travail qui prenait place ici. On pouvait y retrouver l’accoutrement typique du personnel d'entretien : une tenue intégrale en plastique, imperméable, des gants remontant jusqu’aux coudes, eux aussi en plastique souple, des charlottes et enfin des bottes en caoutchouc. Il vit d’ailleurs Skye passer devant lui pour aller se changer, et la suivit automatiquement tout en laissant son regard se promener. Sur le mur en face de la porte se trouvaient quatre grosses machines cubiques avec un hublot, que Fidget présuma être des machines à laver, ainsi que des paniers à linge roulant d’une capacité conséquente. Le lion se demanda pourquoi si peu de personnes avaient besoin d’autant de capacité de lavage, avant de se dire que cela devait être une fantaisie de riche. La droite de la pièce était couverte d’étagères portant des produits d'entretien en tout genre : eau de javel, détergent, lustrant, et tout un tas d’autres bouteilles dont l’usage lui était obscur. Se trouvaient également non loin des sceaux, des serpillères, des chiffons et des aspirateurs. Enfin, le milieu de la pièce était occupé par des planches et des fers à repasser, des tables normales où étaient posés des vêtements, et une machine à coudre. En somme, ils se trouvaient au milieu de la parfaite petite laverie.
Imitant la louve, Fidget se munit d’une tenue et partit l’enfiler dans une des allées formées par les casiers, une autre que celle où se trouvait Skye évidemment. Pour la deuxième fois de la journée, il se souvint de son séjour à l'hôtel. Cette fois, pas de faux collier à enfiler, mais un vrai qu’il portait déjà autour du cou. Le monstre enferma ses vêtements dans un casier, prenant soin d’en retenir le numéro, et rejoignit Skye.
“C’est vachement grand quand même…
-Oui, et je t’avoue que c’est même un peu flippant toute seule.” Confessa la louve.
“Personne travaillait ici avec toi ?” Réagit Fidget, étonné.
“Pas avant que t’arrive. Mais bon maintenant que je t’ai, je me crèverai un peu moins à la tâche.
-J’ai jamais fait ça avant.
-Et bah je vais t’apprendre alors.” Fit Skye avec un clin d’œil en le laissant planté là pour aller aux machines à laver. “Viens m’aider !” Lui cria-t-elle de là où elle était. Ils passèrent quelques minutes à charger la machine, avant que Skye ne ferme le hublot et n'appuie sur quelques boutons, lançant le cycle.
“Pourquoi est-ce qu’ils ont besoin de tout ça ?” Demanda Fidget en montrant de la main tout le matériel autour de lui. “On pourrait faire avec un dixième de ce qu’il y a.
-J’en sais rien.” Répondit la monstre en hochant les épaules. Elle se retourna pour attraper un des fers ainsi qu’une pile de vêtements. “J’ai jamais vraiment osé demander.
-J’pense que t’as bien fait.” Dit le lion en s’emparant également d’un fer. Skye commença sans attendre à repasser, projetant de la vapeur partout dans la pièce. Elle releva la tête pour voir Fidget fixer avec perplexité l’objet dans sa main, le retournant dans tous les sens pour tenter d’en comprendre le fonctionnement.
“T’as déjà repassé avant ?
-hum…”
Skye poussa un long soupir. Décidément, il n’y connaissait rien. Mais bon, elle non plus n’y connaissait pas grand-chose quand elle était arrivée pour la première fois ici. La louve s’en souvenait comme si c'était hier, même si cela s’était produit quelques années auparavant. On l’avait jeté là à peine sortie des camps, comme les trois infortunées d’hier soir, et on lui avait dit que désormais sa seule utilité était de laver les vêtements et de faire le ménage et le service. Elle se serait probablement rebellée contre ce travail forcé, si les camps et le collier ne l’avaient pas brisée. Alors, comme tous, elle était juste rentrée dans le moule, simplement heureuse de ne pas subir à nouveau ce qu’elle avait souffert dans la rue et entre les mains sadiques des soldats. Skye soupira en secouant la tête, chassant ces pensées noires, et reporta son regard sur Fidget avec un sourire bienveillant.

Pseudo supprimé
Niveau 9
13 novembre 2017 à 21:38:40

Wesh les merdeux gens bien ou bien comme disent les jeunes ? Aujourd’hui nouvelle critique, j’ai été rapide cette fois t’as vu ? C’est beau ptn ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Bon déjà je tenais à souligner la perfection de la description de « la Bestia » je juge pas, c’était hilarant à lire et renvoie à la perfection une image de pure monstruosité, elle à l’air complétement dégueulasse, que ça soit physiquement ou mentalement, franchement du bon travail. Que dire d’autre, le chapitre était long et ça c’est cool, les scènes étaient bien écrite, le réalisme était au rdv as always, Skye Ciele en français est intéressante tout en était suffisamment différente de Betty malgré leurs conditions de vie semblables pour pas qu’on ait l’impression de se faire arnaquer, mais c’est aussi parce que Betty était plutôt plate oui je suis parti relire le chapitre 3 juste pour vérifier, et je parle pas du bonnet quand je dis plate lol mdr xptdr
Bon en vrai j’ai pas grand-chose à dire, c’était un chapitre relativement vide en vérité, on y voit juste le déroulement de la journée du nouvel esclave, qui devient attachant dans cet épisode, c’est assez innatendu. C’est bien écrit, c’est agréable à lire, c’est beau dans la forme et le fond, mais c’est classique (ce qui n'est pas un défaut attention). Et justement, j’espère que Fidget ne deviendra pas chiant à suivre à cause de cette situation classique. Mais ofc je te fais confiance même si noyer les posts de Fidget entre des posts avec Sans/Frisk et Vaillance pour camoufler ton inspiration qui meurt aussi rapidement que le cast originel d’Undertale ne marchera pas
Bon voilà j’ai plus rien à dire bisous 0/




Nice cliffhanger ( ͡° ͜ʖ ͡°) hype pour la suite ( ͡° ͜ʖ ͡°) mais vraiment hype ( ͡° ͜ʖ ͡°) y’a moyen de faire un truc de ouf avec cet "atout" ( ͡° ͜ʖ ͡°) 17/20 pour ce chapitre
(Comme cette critique était vraiment courte, et j’en suis désolé, hésite pas à poser des questions si tu veux que j’approfondisse quelque chose)

Steellar Steellar
MP
Niveau 10
13 novembre 2017 à 21:54:50

Le chapitre que tu adv repost, on l’avait déjà vu du coup c’est bon y’a pas de problemes

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
13 novembre 2017 à 21:55:21

Oui mais pour les nouveaux lecteurs c'est embêtant. J'ai fait une demande sur le forum de gestion des forums sans modo et on verra bien s'ils peuvent faire quelque chose

Message édité le 13 novembre 2017 à 21:55:41 par erosdog
erosdog erosdog
MP
Niveau 10
13 novembre 2017 à 22:13:38

Quelle vitesse ( ͡° ͜ʖ ͡°) Comme on dit chez fort boyard, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation, mais je crois que tu t'es légèrement trompé en lisant les définitions ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Ah merci ( ͡° ͜ʖ ͡°) Je me suis fait plaisir là dessus. Je voulais vraiment renvoyer une image de grosse connasse aussi dégueulasse physiquement que mentalement. J'ai une image en tête qui vient d'un film mais impossible de me souvenir d'où (peut-être le premier Harry Potter :question: ). Donc je suis content que ça aie plu. Évidemment le but était aussi de la tourner en dérision comme une sorte de moyenne de tenir le coup psychologiquement.
C'est vrai que Betty était plutôt plate ( ͡° ͜ʖ ͡°) Mais c'était un side character qu'on voit pendant un chapitre, et puis j'étais au début donc moins bon qu’aujourd’hui, enfin tu vois quoi :hap:
Vide, mais important. Il fallait bien installer un sens de la routine et faire du character development. Montrer ce que serait la vie de tous les jours, le travail, les humiliations, les petits plaisirs. Une nuance en somme qui sort un peu de l'aspect manichéen d'avant, où le destin s'acharnait sur Fidget. Là, on a du bien et du mauvais, mais pas que l'un ou l'autre. Comme l'a dit je sais plus qui : "Fais le une fois, mais fais le bien" (je sais même pas si c'est une vraie citation ( ͡° ͜ʖ ͡°)).
Et ça sert aussi à faire une petite pause détente et énergie. Il est logé entre deux chapitres (voire deux suites de chapitres héhé ( ͡° ͜ʖ ͡°)( ͡° ͜ʖ ͡°)) extrêmement sombres et riche en événements (le cliffhanger vous laisse imaginer le prochain chapitre :hap:). Donc ça permet de se ressourcer pour affronter la suite en fait. Mais ne t'en fais pas, je suis ni en manque d'inspi gros mytho toi même t'as remarqué ( ͡° ͜ʖ ͡°) ni sur le point d'abandonner ce perso. On approche gentiment du milieu de l'histoire (ouais y aura peut-être pas 50 chapitres en fait rip) donc il reste encore pleiiiiin de choses ( ͡° ͜ʖ ͡°)( ͡° ͜ʖ ͡°)( ͡° ͜ʖ ͡°).
Bisou fesse droit ( ͡° ͜ʖ ͡°)/
...
...
...
...
Ouais ( ͡° ͜ʖ ͡°) J'espère que je te décevrai pas :hap: Je dois encore bien travailler dessus mais ça a vraiment du potentiel.
(heu nan c'est bon ça me va ( ͡° ͜ʖ ͡°))

Pseudo supprimé
Niveau 9
17 novembre 2017 à 16:25:02

Vide, mais important. Il fallait bien installer un sens de la routine et faire du character development. Montrer ce que serait la vie de tous les jours, le travail, les humiliations, les petits plaisirs. Une nuance en somme qui sort un peu de l'aspect manichéen d'avant, où le destin s'acharnait sur Fidget. Là, on a du bien et du mauvais, mais pas que l'un ou l'autre. Comme l'a dit je sais plus qui : "Fais le une fois, mais fais le bien" (je sais même pas si c'est une vraie citation ( ͡° ͜ʖ ͡°)).

J'avais bien compris, c'était juste pour expliquer pourquoi ma critique était si courte >w> Et effectivement cette petite pause est importante et aussi agréable à lire que le reste donc pas de soucis >w> Par contre t'es obligé de faire au moins 50 chapitres fdp merci bcp

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
17 novembre 2017 à 16:48:22

Par contre t'es obligé de faire au moins 50 chapitres fdp merci bcp

Mais ne vaut-il pas mieux 30 à 35 chapitres bien écrit que 50 où la qualité/le fond se dégrade? ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Et puis me connaissant je sous-estime la quantité de choses à écrire :hap:

Après... rien ne dit que j'en aurai finit avec le monde de l'écriture une fois cette fic finie ( ͡° ͜ʖ ͡°) Peut-être en aurai-je finit avec le monde d'Undertale pck sa popularité est en chûte croissante donc les vues potentielles aussi ( ͡° ͜ʖ ͡°) mais je compte bien continuer, si j'ai le temps, avec d'autres univers.
Cela dit, je m'orienterai sûrement plus sur des oneshot, plus courts, plus simples et plus rapides à écrire que des fics entières Forcément 20-30 000 mots contre 500-600 000 c'est pas pareil ( ͡° ͜ʖ ͡°)

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
21 novembre 2017 à 09:29:10
  • Avertissement de contenu graphique potentiellement choquant*
  • Résumé dans les notes de fin*

Ouais bon, vous vous souvenez quand j'ai dit que je ferais sûrement des chapitres plus court plus souvent?
J'ai menti ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Donc du coup je me suis encore laissé emporter et j'ai encore fait un truc long.
Mais ce qui m'a surtout mit en retard c'est le fait que JVC a eut des gros problèmes de modération comme vous le savez sûrement, donc j'ai voulu attendre que ça se stabilise un peu.
Si jamais les posts suivants venaient à disparaître pour une quelconque raison, je met ici le lien vers l'autre site où je poste pour que vous puissiez lire : http://archiveofourown.org/works/11271939/chapters/29171961 (c'est directement sur le bon chapitre normalement)
Mais ça a l'air d'être bon, donc voici le chapitre que vous auriez dû recevoir dimanche dernier.

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
21 novembre 2017 à 09:29:26

Chapitre 13 :

La guerrière dominait la ville du haut d’un des plus grands buildings. Le soleil à peine levé rayonnait dans son dos, découpant sa silhouette mortelle dans le grand disque de l’astre. Le corps d’un garde gisait derrière elle, le cœur réduit en charpie par les multiples lances qui s’y étaient plantées.
Undyne respirait lentement, prenant de grandes inspirations d’air pur. Elle pouvait sentir l’atmosphère tendue comme si elle savait ce qui était sur le point de se produire, et la femme poisson se délectait du semblant de calme avant la tempête. Personne ne savait ce qui allait arriver, personne ne se doutait de rien, et ce serait si beau de leur tomber ainsi dessus par surprise, de voir dans leurs yeux morts un mélange de stupeur et de terreur.
La monstre inspira, laissant l’air frais emplir ses poumons.
Elle avait fait le chemin jusqu’ici depuis les caves de la prison, laissant une traînée de cadavres derrière elle comme on l’y avait autorisé. Le sang suivait ses pas, mais son armure était immaculée, réfléchissant les rayons du soleil et la rendant semblable à une étoile perchée dans le ciel. Un météore qui ne tarderait pas à frapper en laissant un cratère fumant et sanglant derrière lui.
Pour l’instant, elle leur avait donné des morts rapides. Une lance en plein cœur, dans la tête ou dans la gorge, le temps de se réhabituer à manier la magie, comme un sportif n’ayant pas pratiqué depuis un moment ferait quelques échauffements avant le départ. Mais manipuler la lance était une seconde nature pour Undyne, et les réflexes étaient revenus sans même qu’elle n’ait à y penser. Tantôt archère et tantôt guerrière, elle avait pourfendu dans le calme et le silence les malheureux qui avaient croisé sa route.
Mais le plus grand plaisir n’était pas de manier les armes, non, le plus jouissif était de tuer, de sentir les âmes se briser sous ses doigts ou sous les coups de sa lance, de voir la poussière arc-en-ciel se disperser sur le sol et s'envoler vers les nuages. Après toutes ces années, la guerrière avait oublié cette sensation de puissance, la brûlure de la détermination dans ses veines. Et comme une drogue, le contact après un long sevrage était si intense qu’il l’avait laissé haletante et tremblante, tout son corps criant pour en avoir plus.
Undyne expira, vidant complètement sa poitrine.
Et le plus beau restait à venir. Les images fantasmées revenaient sans cesse dans son esprit, la soif de sang l’obsédait, et l’appel de la mort devenait impossible à réprimer. Mais elle restait là, silencieuse et immobile, guettant ses proies. Car c’était là un des atouts du grand guerrier : la patience. Elle aurait son dû tôt ou tard, et il ne servait à rien de précipiter les choses, mieux valait attendre qu’il y ait le plus d’humains possible. Son festin n’en serait que plus royal.
Elle baissa la tête vers la foule à ses pieds. Eux ne la voyaient pas, inconscients de la mort qui pourrait leur fondre dessus à tout instant. Mais la guerrière, elle, les voyait parfaitement, sa vue perçante lui permettant de distinguer chaque visage, chaque mouvement, chaque membre insignifiant de la marée humaine. Aujourd’hui, c’était le jour où ils paieraient tous pour leurs crimes, où le massacre qu’ils avaient perpétré leur serait imposé à leur tour, mille fois plus violent. Undyne ne ferait pas de distinction, homme, femme et enfant seraient assassinés en quantité égales, car en commettant leurs infâmes horreurs, eux n’avaient certainement pas épargné les plus faibles, bien au contraire.
L’heure du combat approchait. La guerrière repensa à ses proches comme avant chaque bataille capitale. Elle s’était battue tout le long de sa détention pour ne pas oublier leurs visages, pour se souvenir qu’ils auraient été fiers d’elle s’ils la voyaient aujourd’hui. Ils auraient été fiers d’avoir été l’ami, l’amante ou le mentor de celle qui vengerait leur race, de celle qui ferait payer aux humains. C’était pour eux qu’elle se battait. Papyrus, Alphys, Asgore, et tous les autres, tous ceux qui comptaient sur elle. Undyne ne savait ce qu’ils étaient devenus, elle ne savait s’ils étaient toujours en vie, ni ce qu’ils avaient pu subir, mais ça n’avait plus d’importance désormais.
Car elle était la capitaine de la garde royale. Elle avait failli sa mission une fois, et aujourd’hui, elle prenait leur revanche.

Elle attendit une heure, avant que les voix des humains ne la tirent de ses pensées, éveillant au passage le fauve en elle. Son visage se fendit d’un sourire carnassier, avide du sang des fous qui avaient cru pouvoir les asservir. Ils étaient là, grouillants comme des nuisibles en agitant leurs vulgaires pancartes. Undyne ne savait pourquoi ils étaient réunis, mais elle n’en avait que faire. Ils s’offraient juste à la pointe de sa lance, se donnaient en cadeau à la mort personnifiée qu’elle était.
Elle écarta les bras, crucifiée au-dessus du vide. La monstre resta ainsi quelques secondes, profitant du vent frais léchant son visage, avant de se laisser tomber, brisant la sérénité de l’endroit en y instiguant la fureur du combat.
La guerrière atterrit avec violence sur le sol, enfonçant le béton sous son corps et projetant un nuage de poussière dans l’air. Tous autour d’elle se turent, attendant avec curiosité de voir quelle était cette étrange apparition. Les oreilles d’Undyne sifflaient, puis il y eut un déclic, et en une fraction de seconde des lances s’élevèrent du sol tout autour d’elle. En un battement d’yeux tous les humains dans un rayons de dix mètres furent empalés par des milliers de pointes désormais cramoisies.
Le silence se prolongea durant quelques secondes, avant que les cris des survivants ne s’élèvent en réalisant ce qui venait d’arriver. Dans une douce mélodie, les humains ne mirent à hurler et à tenter de fuir, en vain. Peut-être que si les choses s’étaient passées autrement, ils auraient eu une chance, mais ils venaient de tomber sur le bras armé de la mort, et personne n’échappait à la grande faucheuse.
Undyne leva les bras au ciel, et une barrière formée par ses armes se leva dans les rues, bloquant toutes les issues et enfermant la foule dans une arène urbaine. La monstre sentait la peur viscérale tout autour d’elle, les hommes étaient familiers avec les arènes, mais ils étaient moins habitués à faire office de proie dans celles-ci.
Et sans plus attendre, la monstre s’élança dans la bataille. Elle s’était assez délectée de la terreur, il était désormais temps de déguster le sang, de découper la chair, de faire pleuvoir les entrailles palpitantes. Elle était un renard au milieu d’un poulailler, un loup dans un troupeau de cerfs, un lion entouré d’antilopes. La chasse était ouverte, et les paris n’étaient pas du côté de ses proies.
Un à un, les humains tombaient sous les coups d’Undyne. Elle plantait, frappait, coupait les corps agglutinés devant elle avec sa lance et ses poings, transformant bientôt le parvis en zone de guerre, repeignant le béton de fluide écarlate, envoyant les membres des morts voler sur les vivants, ne laissant pas un cœur battant sur son sillage. Elle prenait un plaisir fou ainsi transformée en une machine à tuer animale. Le sang giclait partout, peignant des motifs tribaux sur son armure et son visage. Ses bottes étaient couvertes de viscères, et le sol sous ses pieds était spongieux des cadavres qu’elle piétinait.
Mais ce n’était pas assez mortel, c’était un travail de masse qu’elle s’était donné, et aussi jouissif que c’était, elle ne pouvait continuer au cas par cas comme ça. Alors elle troqua sa lance pour un millier d’autres, qui apparurent au-dessus de la foule, couvrant le ciel et illuminant la scène d’un bleu surnaturel, un bleu glacial, qui remplaça le soleil. La dernière chose que verraient ces bêtes serait les lances cobalt fondant sur eux, prêtes à leur arracher la vie. Undyne abaissa violemment les bras alors que la pluie mortelle s’abattit sur les humains, semblant ne jamais s’arrêter. Dès qu’une lance touchait le sol, une nouvelle venait la remplacer dans le ciel et s’écraser à son tour dans les corps et les cadavres, réduisant le tout en charpie.
La monstre marchait lentement sur l’amas de morts, les lances s’écartant sur son passage. Elle n’avait nulle pitié pour les morceaux de chair ou les rares survivants qu’elle piétinait, laissant ces derniers se vider de leur sang et de leurs entrailles en souffrant. Ce n’était que justice, le jugement dernier qui venait s'abattre sur ces pourritures, leurs péchés trouvant enfin rétribution.
Par moment, elle croisait quelques humains qui avaient réussi à se mettre à l’abri. Ils étaient recroquevillés dans un bâtiment, sous un abribus ou une table. En la voyant arriver, certains se jetaient à ses pieds en la suppliant de les épargner, en pleurant telles les pathétiques créatures qu’ils étaient, leur honneur et leur pseudo supériorité soudainement oubliés. D’autres se tenaient simplement là, passifs, attendant qu’elle les achève. Mais aucun n’avait ce qu’il désirait, ils étaient coupables du même péché, et ils paieraient tous. Les premiers assassinés sans même un regard, les seconds laissés le ventre ouvert à agoniser pour punir leur lâcheté, ils ne méritaient pas la mort rapide qu’ils étaient venus à accepter.
Alors qu’elle effectuait sa besogne dans un restaurant, elle sentit soudain un petit picotement dans son épaule. Rien de bien méchant, une égratignure, mais en un instant elle était retournée et tenait fermement par la gorge celui qui avait osé l’attaquer. Undyne le soulevait à quelques centimètres du sol, riant de voir son visage rouge virer au bleu et ses membres se débattre en vain. Enfin l’un de ces couards trouvait le courage de se révolter, mais ce ne serait pas suffisant. Cela dit, elle lui offrirait une mort rapide, car elle respectait les guerriers, même ceux du camp adverse. La femme poisson le jeta au sol et passa la main dans son dos, arrachant le couteau planté dans son armure. L’humain se tenait la gorge, contemplant avec horreur la conséquence de son excès de zèle. Elle se rapprocha de lui sans dire mot, avec lenteur, comme une créature issue d’un cauchemar, comme si le temps se pliait pour s'accommoder à l’horreur. Puis elle planta le bout de métal dans le crâne de l’humain, lui ôtant immédiatement la vie. C’en était finit comme ça, en une seconde. Et sans état d’âme ni cérémonie, elle recommença à travailler, reprenant le massacre qui avait été mis sur pause pendant bien trop longtemps.
Au loin des sirènes étaient déjà audibles. Elle n’avait débuté que depuis quelques minutes, et pourtant les morts se chiffraient déjà en milliers. Toutefois, elle n’avait mis un terme qu’à la vie d’un tiers des humains présent, une petite moitié tout au plus. Il était temps d’en finir pour de vrai, surtout que les renforts ne tarderaient pas à arriver, et ceux-là étaient une réelle menace.
Alors Undyne se jeta à nouveau dans la bataille, dans les effusions de sang et dans les cris, resserrant petit à petit les murs de l’arène, rabattant le gibier vers elle comme un chasseur expérimenté. Sa lance transperçait un, deux, trois humains à la fois, et un millier d’autres lames affûtées tombaient du ciel, aussi mortelles qu’une pluie de météores. Aucun ne survivait, aucun ne survivrait. Elle courait dans l’avenue comme au milieu du champ de bataille, semant la mort, détruisant les hommes, les bâtiments et les véhicules qui osaient se trouver sur son chemin funeste.
Elle continua ainsi durant plusieurs minutes, les sirènes se rapprochant inexorablement alors que le nombre d’humains encore en vie chutait drastiquement. Désormais, il s’agissait plus d’un jeu de piste, de traque, que d’un véritable massacre. Elle devait fouiller chaque bâtiment, chaque ruelle, chaque cachette afin de trouver jusqu’à la dernière de ces vermines. Aidée de ses sens entraînés à percevoir le moindre signe de vie, elle les débusquait tous, sans exception. Enfin, elle ne pouvait savoir si elle les avait vraiment tous tués, mais elle progressait méthodiquement, ne quittant une zone que s’il n’y avait plus âme qui y vivait. Undyne allait vite, mais ne se précipitait pas, prenant soin de bien vérifier chaque emplacement.
Les renforts étaient là, mais ce n’était qu’une question de temps avant que son œuvre ne soit terminée. Et le temps qu’ils trouvent comment entrer dans l’arène serait largement suffisant pour lui permettre de traquer tous les rats survivants.
Mais c’était sans compter sur l’ampleur des forces déployées afin de l’arrêter. Ainsi, elle put rapidement entendre un énorme bruit, un vrombissement intense au-dessus de sa tête. Elle leva les yeux au ciel pour voir une de ces boîtes de métal volantes, lui rappelant celles employées au moment de leur capture. Undyne n’avait jamais appris leur nom, des hélicoptères, mais un cortège de trois de ces machines la survolaient désormais, surveillant chacun de ses mouvements.
Des cordes tombèrent, et des soldats lourdement armés se laissèrent glisser jusqu’au sol le long de celles-ci. Le vrai combat commençait maintenant, tant pis pour les humains qu’elle n’avait pas pu tuer, après tout, il restait encore des monstres qui n’avaient pas été capturés, ou du moins l’espérait-elle.
Des rafales de balles filaient déjà dans sa direction, sifflant à ses oreilles et arrachant des bouts de bétons et de chair au sol. Undyne leva les bras pour ériger un bouclier devant elle, laissant les balles ricocher sur celui-ci comme sur un mur d’acier. La protection magique, faite de la même matière que ses lances, semblait indestructible. Elle se concentra et une version plus petite apparut, sanglée autour de son bras comme un bouclier anti-émeutes. La guerrière put ainsi charger les soldats dont les armes se révélaient inutiles. Une fois à portée, elle donna un coup de lance à l’homme le plus proche, qui fit un saut en arrière pour esquiver. Ils n’étaient pas aussi agiles qu’elle, mais ils se défendaient. À nouveau, une centaine de lances se matérialisèrent dans les airs avant de fondre sur ses ennemis, mais ceux-ci étaient eux aussi munis de boucliers, et ils se mirent simplement à couvert en dessous. La femme poisson grogna, ils étaient une plus grande menace qu’elle ne l’avait cru.

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21 novembre 2017 à 09:30:11

Ce n’était pas cela qui allait la décourager, loin de là. Toujours sous le flot de lances, elle engagea le soldat le plus proche, qui n’avait qu’un ridicule couteau pour parer ses coups de lance. Si ce n’avait pas été pour son armure faite d’elle ne savait quel matériaux, pas de kevlar de toute évidence car elle résistait à la lame, l’homme aurait été transpercé dès le premier coup. Mais Undyne devait viser les points faibles, au niveau des articulations, ce qui se révélait en réalité assez difficile sous la pluie de balles. Et l’autre ne pouvait pas arrêter de gigoter pesta-t-elle. Néanmoins, Undyne pouvait attaquer de plusieurs fronts à la fois, alors que lui ne pouvait se concentrer que sur un. Elle fit une feinte sur la gauche, le menant comme elle l’avait prédit à exposer son dos à une attaque, qui frappa sans tarder en la personne d’une lance matérialisée quelques mètres derrière. Elle se planta dans son flanc, pile entre les plaques de blindage, ravageant tous les organes internes sur son passage : poumon, estomac, et autres viscères. L’homme s’effondra sur le sol, se tordant de douleur à cause des multiples hémorragies et autres perforations. Mais avant même que son âme ne s’élève, Undyne avait déjà reporté son attention sur un autre humain. Elle ne pourrait utiliser la même tactique, nul doute qu’ils ne commettraient pas la même erreur que leur camarade après avoir vu le sort qui lui avait été réservé.
Celui-là, elle décida qu’elle l’empalerait avec des lances sorties droit des entrailles de la terre. Un cercle bleu apparut sous ses pieds, et il eut juste le temps de faire un bond en arrière avant qu’un pic acéré sorte du sol en un claquement de doigts, brisant l’air là où se trouvait le soldat une seconde auparavant. Mais la guerrière ne lui laisserait pas de répit, et un autre cercle se matérialisa, puis un autre, et encore un autre. Soudain c’était des dizaines de lances sur le point de jaillir qui faisaient leur apparition, transformant le champ de bataille en un champ de mines. Toutefois, le soldat semblait miraculeusement échapper à toutes les lances, restant sans cesse mobile et courant dans toutes les directions dès qu’un mur de lances barrait sa voie. Undyne s’amusait de le voir courir ainsi telle une volaille, pensant pouvoir échapper à l’inévitable. Mais sous ses airs de brutes, la femme poisson était dotée d’une remarquable intelligence militaire, un stratège prodige. Si elle laissait sa proie s’échapper, ce n’était que pour mieux la capturer par la suite.
Le soldat s’arrêta soudain sur ses pas, ne bougeant plus d’un pouce. Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, Undyne n’invoquait pas ses lances au hasard, mais prenait soin de les disposer de telle sorte à ce qu’elles forment un piège, un labyrinthe sans issue, un couloir vers la mort. L’homme était pris au piège au centre de plusieurs dizaines de cercles bleuâtres, qui n'attendaient que le signal de leur maîtresse pour se transformer en
lances mortelle. Une rangée trop proche de lui pour qu’il ne puisse bouger, une autre trop lointaine pour qu’il ne puisse sauter. La monstre sourit en voyant le visage de son adversaire se décomposer face à la réalisation. Il n’y avait rien à faire, il était condamné.
Alors un ultime cercle apparut sous ses pieds, duquel jaillit la lance qui lui prendrait la vie. Celle-ci heurta son armure, ce qui eut pour effet de le projeter dans les autres cercles, s’activant un à un comme des mines à chaque fois qu’un membre passait au-dessus d’eux. Ce fut comme si on l’avait jeté dans un immense hachoir, des lances le frappèrent de partout, pénétrant les moindres points faibles de son armure et projetant du sang et des bouts de chair sur les autres soldats. Si bien qu’à la fin il ne restait qu’un corps déchiqueté maintenu en étoile, écartelé, au-dessus du sol, des gouttelettes de sang et de viscères broyées tombant par terre. Dans un autre contexte, on aurait pu croire à un sordide rituel visant à invoquer quelque démon.
L’âme du défunt se souleva dans une lenteur solennelle, pour être immédiatement empalée à son tour par une lance ayant surgi en un éclair.
Il restait encore une dizaine d’hommes bien armés autour d’elle, et Undyne savait qu’elle aurait du mal à tous les assassiner. De plus, il était indéniable que d’autres étaient en chemin. Toutefois, elle n’était pas du genre à reculer devant un défi. Elle se battrait jusqu’à la mort, jusqu’à leur mort.
Elle s’élança à nouveau dans la bataille, donnant des coups de lance à tous les êtres à portée, se déplaçant comme l’éclair pour éviter les balles. Quelques-unes parvenaient à la toucher, mais elles étaient principalement arrêtées par son armure, ne lui causant que quelques contusions bénignes. La femme poisson avait vécu bien pire, et elle avait triomphé de situations bien plus périlleuses.
Elle s’était amusée avec les deux premiers soldats, désormais, elle se battait pour gagner. Pas de pitié, pas de perte de temps, juste la mort. Elle ne laisserait plus passer la moindre opportunité pour le plaisir d’en trouver une meilleure. Si elle pouvait tuer, elle tuerait.
Alors les lances s’enchaînèrent, venant du ciel, de la terre et de tous les côtés à la fois. Et Undyne, mortelle chorégraphe, dansait au milieu de celles-ci, apportant ses propres coups au lot. La tempête semblait à la fois chaotique mais magnifiquement coordonnée, réglée comme du papier à musique pour ne laisser aucune chance à ses adversaires. Les soldats recevaient des coups dans les bras, les jambes, le dos ; toutefois, ils avaient malheureusement tous la chance de ne pas recevoir de lance au niveau de leurs points faibles. Mais ce n’était qu’une question de temps, ils ne pourraient pas éviter éternellement, ils commettraient forcément une erreur.
La monstre repéra un soldat qui s’était écarté. Parfait, les autres ne pourraient pas lui venir en aide. Tout en maintenant sa tempête acérée, Undyne lui sauta dessus et l’engagea de multiples coups de lances, qu’il esquiva ou para. Soudain, contre toute attente, elle bondit sur lui, troquant sa lance contre ses poings. La femme poisson l’attrapa à la gorge, serrant d’une poigne de fer. L’humain se débattit, incapable d’échapper à la grippe d’Undyne. Celle-ci en profita pour détacher le casque de l’homme, et l’envoyer voler. Toutefois, en faisant cela, elle desserra suffisamment sa prise pour que la situation se retourne. Désormais, c’était lui qui se trouvait au-dessus et la maintenait au sol par la gorge. Le vent avait tourné et il avait désormais l’avantage sur elle. Il suffirait qu’un autre soldat s’approche pour achever la monstre. Mais un détail avait changé, un détail d’une importance capitale : il était tête nue. Undyne fit mine de se débattre, avant de simplement lâcher prise, souriante. Le soldat la regarda d’un air confus, mais avant qu’il n’ait le temps d’y réfléchir davantage une lance tombée des cieux lui transperça le crâne. Il s'effondra sans vie sur la guerrière, qui se releva sans tarder en envoyant le corps balader, satisfaite de son travail.
Elle retourna vers les autres soldats, prête à continuer son œuvre Ils y passeraient tous jusqu’au dernier, c’était une évidence. Déjà trois sur les dix en quelques minutes, il lui faudrait moins de temps pour tous les abattre qu’il ne lui en avait fallu pour se rendre de la prison jusqu’ici.
Mais soudain, elle sentit ses forces s’amenuir. Ses esquives étaient moins vives, moins précises. Ses lances se firent plus dispersées et les balles la touchaient davantage. Jusqu’à ce que, soudainement, elle ne soit simplement plus capable de bouger. Figée sur ses deux pieds et complètement vidée de toute énergie. Elle tenta de se débattre, et bouger ses muscles à tout prix, rester statique c’était mourir, mais rien. Malgré tous ses efforts, c’était comme si son corps avait été déconnecté de son cerveau. Elle n’avait plus le contrôle.
Étrangement, les soldats cessèrent le feu. Ils s’approchèrent prudemment, vérifiant que ce n’était pas une ruse, mais furent soulager en remarquant que sur les écailles du poisson, au niveau de son cou, une certaine diode avait enfin décidé de commencer à clignoter.
Celui qui semblait être leur chef s’approcha d’Undyne, le regard fou plein de haine. Elle, ne comprenait pas ce qu’il se passait. Mais la sensation d’impuissance semblait étrangement familière, ce n’était pas la première fois qu’elle était privée de son corps ainsi.
Son armure se dématérialisa, la laissant couverte uniquement de quelques haillons, à la merci de ceux qu’elle exterminait à l’instant. Elle essayait de mettre le doigt sur ce souvenir dans sa mémoire décousue, de trouver l’explication qu’elle savait qu’elle connaissait. Et soudain, l'existence des colliers fut propulsée au-devant de son esprit, extirpée de la masse trouble qu’étaient ses souvenirs. C’était donc ça qui s’était passé, le collier l’avait empêché de tuer tous les soldats ? Mais, pourquoi maintenant ? Se demanda-t-elle, une foule de question de pressant à son esprit. Et alors que les bouts de mémoires s’assemblaient dans une sorte de puzzle écœurant, Undyne comprenait ce qui s’était réellement passé. Elle n’avait pas juste eut le droit de tuer des hommes, comment avait-elle pu être assez stupide pour croire qu’un humain lui donnerait le droit d’en tuer d’autres ? Les paroles lui revenaient, comme dans un rêve confus, on l’avait manipulé. La garce s’était servie d’elle, avait exacerbé sa soif de sang jusqu’à ce que la guerrière ne soit plus qu’un pion docile, ne remettant pas en cause ce qui lui avait été dit. Tout n’était pas clair encore, pourquoi elle ? Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi ces humains-là ? Elle ne regrettait pas son acte, et pourtant, son instinct la poussait à se dire que quelque chose ne tournait pas rond. Undyne savait qu’il y avait anguille sous roche, sans pour autant parvenir à repérer l’animal.
La femme poisson fut ramenée à la réalité par le froid d’un canon posé sur sa poitrine, le sourire mauvais de l’humain l'accueillant durement. Alors c’est comme ça qu’elle finissait ? Vulgaire pion ayant accompli le désir des humains ? Soit, au moins, elle en avait emporté des milliers avec elle. Undyne ferma les yeux, prête à recevoir sa sentence.
Il y eut une détonation, et elle s'effondra durement sur le sol, son corps heurtant le béton avec toute la violence qu’elle venait de répandre.
Toutefois, nul sang ni poussière ne se répandit autour d’elle, mais simplement les éclats de verre d’une seringue dont on venait de lui injecter le contenu.

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21 novembre 2017 à 09:30:37

Plus tard dans la journée, après le discours de la maire et même celui du président, après avoir écouté les innombrables flash-info rythmant les heures, cherchant à décrypter et expliquer le phénomène ainsi qu’à rappeler aux humains le danger des monstres, Oscar Copperheinmer pu enfin rentrer chez lui. La pression était grande dans le métier qu’il exerçait, et il mourrait envie de décompresser, de se détendre pour évacuer la fatigue.
Toutefois, une fois arrivé dans l'ascenseur de la tour portant son nom, Oscar n'appuyez pas sur le bouton menant à son étage, là où se trouvait son appartement principal. Non, il décida de faire un détour par un autre lieu du gratte-ciel, celui où il préférait passer le plus clair de son temps d’ailleurs. C’était l’un des appartements les plus hauts, presque sur le toit, qui donnait une vue imprenable sur la ville. Tous les étages donnaient une vue imprenable cela dit, mais celle de cet étage-ci l’était encore plus. Surtout à cette heure tardive de la journée où le soleil couchant venait souligner la skyline des buildings, mettant en évidence la courbe dentée si familière et pourtant à couper le souffle qu’ils formaient.
L’endroit se composait de deux uniques pièces : un immense salon doté d’une mezzanine, complètement équipé de toutes sortes de distractions : bar, table de billard, canapés et écrans dernier cri étaient présents, le tout dans une ambiance mélangeant rustique et moderne grâce aux meubles de bois luisant impeccables. On se serait cru dans le parfait club anglais de gentlemen. Et une chambre aménagée dans un style plus intime, un style chaud et oriental, exotique.
Oscar fit valser ses chaussures, jeta son manteau sur une chaise et se dirigea immédiatement vers le bar. Attrapant un verre sous le comptoir, il se servit du whisky, pur, issu de sa meilleure bouteille. Puis, sans entamer le précieux breuvage, il se dirigea vers la cheminée encastrée dans le mur avant de l’allumer d’une simple pression sur un bouton. Et enfin, il prit place tout au fond d’un des fauteuils et laissa échapper un soupir de bien-être en sentant la délicieuse boisson couler dans sa gorge, irradiant sa bouche de son arôme si plaisant.
Installé ainsi, les yeux dans le vide de la ville brillant soudain de mille lumières artificielles, il repensa aux événements de la journée. Il était heureux que leur plan ait marché : les protestataires étaient morts, l’image des monstres plus dégradée encore, et Undyne était en captivité. Ils s’en débarrasseraient vite dans un marché, comme le public s’y attendait. Après tout, officiellement, c’était un monstre libre et renégat qu’ils venaient de capturer. Peut-être serait-elle achetée par des maîtres qui le lui feraient payer, peut-être serait-elle exposée et lapidée en place publique. Oscar rit à la bêtise et à la naïveté du peuple, si tous ces idiots en bas dans les rues avaient la moindre idée de ce qu’il se tramait, de ce qui était réellement arrivé aujourd’hui, ou du pouvoir qu’il possédait en tant que créateur des colliers. Et bien… Les conséquences en seraient fâcheuses. Mais cela n’arriverait pas, pensa-t-il avec le même sourire narquois. Il ne laisserait pas qui que ce soit s’approcher autant de la vérité, pas même ses plus proches alliés. Et si quelqu’un décidait d’être trop bavard, et bien, une nouvelle Undyne pourrait malheureusement surgir des ténèbres, et cette personne pourrait malencontreusement être prise dans un nouvel attentat. Il avait du stock, bien plus que nécessaire pour renverser qui que ce soit. Bien plus que nécessaire pour mater toute révolte.
Ahh… Que la vie était belle. Finalement, il n’avait pas souvent le temps de s’arrêter pour penser à quel point il était un homme bon, à quel point il avait fait progresser l’humanité. Certes, certains le traitaient d'ignoble créature, de monstre pour avoir asservit, et bien… les monstres. Mais Oscar ne voyait pas les choses d’un tel œil. Après tout, personne ne s’était indigné quand on avait domestiqué le bœuf ou le cheval, non ? Ce qui se déroulait aujourd’hui était simplement une conséquence logique de la supériorité humaine, de l’évolution. Mais ce n’était pas de leur faute, il comprenait les gens qui se laissaient tromper par les monstres. Les créatures disposaient de langage et de corps semblables à ceux des hommes, ainsi que de cerveaux optimisés pour la tromperie. Il était donc normal que la morale de certains soit confuse. Ils devaient juste être éduqués, il fallait juste leur ouvrir les yeux, leur montrer ce qu’étaient vraiment les choses qu’ils défendaient.
Et Undyne avait fait exactement cela aujourd’hui. Il éprouvait presque une certaine gratitude envers elle, et il l’aurait sûrement chaudement félicité eut-elle été à son service. Mais non, à la place elle recevrait les félicitations de quelqu’un d’autre. D’une façon sûrement très… physique, et sûrement assez violente. Oscar fit la moue, plutôt jaloux.
Enfin, il n’était pas venu pour ça. Dans cet endroit, dans ce sanctuaire, le travail n’avait pas d’emprise sur lui. Il était venu pour tout autre chose, pour se relaxer, pour détendre son corps et son esprit. Oscar finit son verre, et se leva en le posant sur la table basse à côté du fauteuil.
Il le sentait, il était prêt. L’alcool pénétrait doucement ses veines, installant son esprit désinhibé dans un doux nuage. Il avait attendu ce moment toute la journée, et son excitation atteignait son paroxysme.
Oscar marcha vers l’autre pièce, la chambre accolée au salon. L’intérieur était bien plus cosy que le reste de l’appartement, une lumière tamisée pénétrant de l’extérieur et des couleurs chaudes couvrant les murs.
Il s’installa sur le lit, assis les jambes étendues, le regard tourné vers le pied du lit. Oscar s’empara d’une sorte d’interphone posé sur la table de nuit, et donna dans celui-ci l’ordre qu’une de ses esclaves vienne le rejoindre. Il en avait tellement qu’il ne parvenait plus à choisir, alors autant se laisser surprendre.
Quelques minutes passèrent durant lesquelles il contempla les derniers rayons du soleil s'effacer, avant que la porte ne s’ouvre lentement, sa commande étant enfin arrivée. Il détailla la nouvelle venue, regardant si elle lui convenait.
Il s’agissait d’une ourse à forme humaine et au pelage brun-roux. Ses courbes étaient très prononcées, et sa poitrine alléchante, c’était sûrement pour ça qu’il l’avait acheté en premier lieu d’ailleurs. Elle se tenait tout timidement devant la porte, n’osant bouger. Oscar n’avait pas le souvenir de l’avoir utilisé auparavant, une nouvelle, il adorait ça.
“Viens, mets-toi là.” Ordonna-t-il en agitant la main vers le devant du lit. Elle s'exécuta sans attendre ni dire mot, l'appréhension visible dans son regard. Oscar se tint là en silence, la déshabillant du regard, laissant grandir lentement son désir. Il s’imaginait déjà toutes les choses qu’ils feraient, et la soirée torride qu’ils allaient passer.
Buvant sa peur tel un prédateur, Oscar lui intima de se retirer ses vêtements. L’ourse hésita, clairement réticente, mais le collier ne lui laissa pas le temps de la réflexion. Déjà ses membres s’animaient contre son gré, déboutonnant son haut avec une langueur toute artificielle. Le vêtement tomba sur le sol, laissant son ventre frissonnant en offrande aux yeux d’Oscar. L’habitué restait patient, sachant que le plus intéressant était à venir, et que la tension ne faisait que rendre l’acte encore meilleur. La monstre s’attaqua ensuite à son bas, laissant tomber son pantalon jusqu’à ses chevilles d’un mouvement brusque révélant soudainement son intimité à peine couverte d’un fin tissu. L’homme avait les yeux grands ouverts, les pupilles dilatées, ne perdant pas une miette du spectacle. Vint ensuite le tour de ses sous-vêtements, le clou du spectacle. Ses mains tremblantes s'affairaient dans son dos, déboutonnant son soutien-gorge, montrant avec dégoût sa poitrine parfaite. Oscar s’imaginait déjà en train de tenir les deux seins fermes aux proportions alléchantes dans ses mains, de les toucher, les caresser, et bien d’autres choses encore.
Enfin, le clou du spectacle arriva. La monstre se retourna pour montrer son dos, et descendit lentement le dernier tissu qui couvrait la partie la plus personnelle de son corps. Elle se pencha vers l’avant, mettant en avant ses fesses dans une danse langoureuse qui n’avait rien de volontaire. Le désir était toujours plus grand chez son spectateur, qui se voyait déjà consommer cette chair si délicieusement offerte. Mais il restait encore une chose à voir, la chose la plus intéressante de l’ensemble. L’ourse tourna sur elle-même, faisant face à Oscar de son corps nu. Celui-ci le parcouru de haut en bas, alternant entre la poitrine et l’entre-jambe de la monstre, détaillant aussi bien ses seins que ses lèvres, mourant d’envie de passer à l’acte, d’enfin débuter les choses sérieuses.
Finalement, il n’y tint plu. Oscar lui ordonna de venir, retirant lui aussi ses vêtements devenus superflus, et trop contraignant pour la manifestation de son excitation. Son membre était dressé vers l’ourse, tel un harpon prêt à empaler sa proie, le chasseur qu’il était se préparant à faire feu.
Il comptait commencer doucement, après tout, ils avaient tout le temps du monde. Ainsi il lui ordonna de faire en premier lieu usage de sa bouche. Il n’eut pas besoin de préciser le détail de ce qu’il attendait, le collier avait tout compris. Il l’avait conçu, il savait comment s’en servir.
La monstre tremblante et horrifiée tentait de résister aux griffes de la machine. Ses membres tremblaient, ses muscles étaient douloureux, et son esprit mit à rude épreuve. Mais elle ne pouvait pas faire cela, elle ne pouvait pas le laisser la souiller de telle sorte. Ses jambes firent un pas un avant contre son gré. Non, elle n’était pas née pour ça, elle n’avait pas vécu pour devenir l’esclave sexuelle d’un homme aussi répugnant, de celui qui était à la source de tous leurs malheurs.
S'apercevant de sa réticence, Oscar fut pris d’une grande frustration. “Viens ici, maintenant.” Ordonna-t-il plus sévèrement. Mais l’ourse ne bougea pas, figée comme dans du béton si ce n’était pour ses muscles contractés, menant un combat contre elle-même pour sa dignité.
“Obéis, ou tu le regretteras.” Menaça Oscar, n’obtenant pas plus de succès. La lutte était de plus en plus dure à chaque seconde, l’âme de la monstre semblant vouloir se désagréger sous la pression.
“Pense à ce qui va arriver.” Fit-il. “Ça ne sert à rien de résister. Tu vas juste mourir, et une autre prendra ta place. Laisse toi faire, ne sois pas bête, ne meurt pas de façon stupide comme ça. N’inflige pas ça à une autre” Tenta-t-il pour la convaincre. Mais ses mots ne parvenaient plus aux oreilles sifflantes de la monstre.
“C’est dommage.” Continua-t-il en se levant, s’approchant d’elle avec malveillance. “Je t’ordonne de m’obéir, ou de mourir.”
Rien ne se passa, puis la monstre se tordit en deux de douleur. Ou du moins débuta-t-elle le mouvement avant d’être stoppée dans son élan, maintenue droite par ses muscles tendus. Elle venait de ressentir une intense douleur en plein cœur de son âme, comme si on venait de la poignarder d’une lame glaciale. Sur l’écran du collier, on pouvait voir que ses points de vie venaient de baisser d’une grande fraction, divisés par deux.
Oscar se tenait désormais juste devant elle, son visage à quelques centimètres du sien. “Il n’est pas encore trop tard pour vivre.” Proposa-t-il, mais devant le nouveau refus de la monstre, une nouvelle partie de ses points de vie lui furent arrachés, le nombre retranché une nouvelle fois de sa moitié.
“Tu sais c’est quoi le pire dans tout ça? C’est que pendant que tu meurs à cause de ton entêtement, je peux faire ce que je veux de toi.” Chuchota-t-il d’un ton répugnant, alors que ses doigts s’enfonçaient soudainement et avec violence dans l’entre-jambe de la monstre, prenant un plaisir sadique à en explorer l’intérieur et lui arrachant un cri de surprise et de douleur entre ses dents serrées. “Et crois-moi, ce sera une mort lente, et j’aurai ce que je veux. Je ne suis pas un homme à qui on dit non.” Cracha-t-il en continuant ses sévices. Son autre main s’attaqua à la poitrine de sa victime, déchirée entre la douleur physique et celle de son âme à deux doigts de se rompre. La solution pour mettre fin à tout cela était simple, mais elle était allée trop loin, si elle cédait maintenant, toute ses souffrances auraient été inutiles. C’était sûr désormais, elle mourrait, mais avec dignité.
Le calvaire se poursuivit durant de longues minutes, ses points de vie diminuant au rythme des mains d’Oscar qui prenaient plaisir à tâter le corps de l’ourse, allant même jusqu’à caresser son entrée du bout de son membre, poussant le sadisme de son viol jusqu’au bout.
Et enfin vint la libération. Le dernier point de vie fut consumé, la dernière barrière profanée alors qu’Oscar s’enfonçait avec force au même instant que le corps de la monstre se désintégrait, mettant fin à son calvaire. Et en une seconde, il ne resta plus rien d’elle.
Oscar ne le montrait pas, mais il était furieux et frustré. C’était la première fois qu’une de ses esclaves lui résistait, et la prochaine en paierait les conséquences.
Mais alors qu’il s'apprêtait à rappeler l’interphone, il fut interrompu par une lueur jaune dans la pièce. Pourtant, le soleil était déjà couché. Il se retourna avec curiosité pour voir l’âme de sa victime flotter au-dessus de son corps. Agissant plus vite que son esprit ne pensa, il sauta sur le lit pour l’attraper avant qu’elle ne puisse disparaître.
Une idée venait de lui passer à l’esprit. Une idée si pervertie qu’il se surprit lui-même. Prenant bien garde de ne pas l'absorber, Oscar regarda l’âme, son excitation remontant en flèche. Si elle n’avait pas pu lui offrir ce qu’il voulait de son vivant, alors il l’obtiendrait dans sa mort. L’idée originale lui insufflait une plus grande envie que n’importe laquelle qu’il avait eue par le passé, se découvrant un nouveau fétiche. Il ne l’avait jamais fait avec une âme, mais cela allait changer.
“Tu vas regretter de ne pas m’avoir écouté. Voilà ce qui arrive à ceux qui me désobéissent.” Se moqua-t-il à l'intention de la défunte. Serrant le cœur d’or dans sa main, il approcha celui-ci de son membre. Le contact entre la substance étrange qui composait les âmes et son sexe fut aussi nouveau que délicieuse. Les restes de sa victime n’étaient pas complètement solides, et il pouvait se glisser à l’intérieur de la matière chaude, douce et visqueuse. C’était si bon qu’il ne put attendre d’avantage, commençant des mouvements de va et vient avec son bras, arrachant à la monstre défunte ce qu’il n’avait pu lui prendre quelques minutes auparavant.
Au bout d’un moment il atteint son apogée et se relâcha dans l’âme, sur l’âme, et partout autour, la souillant de sa semence alors qu’il se laissait tomber en arrière, satisfait d’avoir découvert quelque chose de si bon.
Il relâcha le cœur qui se désagrégea immédiatement, incapable de résister davantage après les traumatismes qu’il avait subi. Puis Oscar s’endormit, paisiblement, heureux finalement de la courte soirée qu’il avait passé. Il avait obtenu ce qu’il voulait, il obtenait toujours ce qu’il voulait.

erosdog erosdog
MP
Niveau 10
21 novembre 2017 à 09:31:55

Et le résumé pour ceux qui n'auraient pas voulu lire le chapitre :

Le chapitre s'ouvre sur l'image d'Undyne postée en haut d'un building, guettant les passants en contre-bas. Elle se prépare à attaquer, ne se souvenant pas de qui émane l'ordre ni de ses raisons, mais sa soif de sang est telle qu'elle ignore la question. De toute façon, si elle peut tuer des humains, tout est bien. Undyne a une dernière pensée pour ses amis, Papyrus, Alphys et Asgore, avant de se laisser tomber sur la foule, fondant sur eux comme un fléau prêt à les anéantir.
Ainsi, Undyne commet un véritable massacre, tuant sans relâche ni distinction des milliers d'humains qui avaient eut le malheur d'être au mauvais endroit. La guerrière profite du moment, sachant que c'est peut-être leur seule chance de se venger.
Puis arrive une équipe de soldats sur-armées venus pour mettre un terme à ses agissements. Elle parvient a en défaire trois et à les tuer sans trop de difficultés, bien que le challenge soit plus important, mais soudain ses forces disparaissent et elle se retrouve figée par l'action du collier. Se débattant et cherchant à comprendre pourquoi elle ne peut plus se battre, Undyne se souvient soudainement de l’existence des colliers, ainsi que de l'ordre qu'elle a reçu, et réalise avec horreur que sa haine a été exploitée pour la manipuler et se servir d'elle comme arme.
Enfin, le chef de l'escouade venue pour sa capture s'approche, pose son arme sur la poitrine d'Undyne, et fait feu. Toutefois, alors que la monstre s’effondre, on s’aperçoit que ce n'est pas une balle qu'elle a reçu, mais une seringue.

Le point du vue passe ensuite sur Oscar, qui rentre chez lui après une dure journée de travail et de politique, ayant eut à gérer depuis les coulisses les répercussions de l'attentat. Il se rend donc dans une sorte de garçonnière située dans la tour qu'il possède, et bois pour se détendre en réfléchissant sur la situation.
Finalement, il décide qu'il est grand temps de soulager son corps, ce pour quoi il était venu à la base, et se rend donc dans l'unique chambre de l'appartement pour y commander une de ses esclaves. Celle-ci le rejoint rapidement, et il exige d'elle un tas de faveurs sexuelles.
Toutefois, une fois nue devant lui, elle est prise d'une violente révolte interne, et trouve la force de résister à l'ordre du collier. Malheureusement, cela se traduit par une punition corporelle de la machine, qui lui prélève la moitié de ses points de vie à intervalle régulier jusqu'à ce qu'elle se soumette. Mais malgré la douleur physique et psychologique, elle ne cède pas aux ordre d'Oscar, qui avait profité du fait qu'elle soit figée par sa résistance pour commencer à exploiter son corps avec ses mains. Alors le collier lui prélève son dernier point de vie, et elle se désintègre devant lui, morte.
Alors qu'Oscar, frustré, s'apprête à commander une autre esclave, il perçoit la lueur de l'âme de son esclave qui s'élève. Il se jette dessus en une seconde, et une idée dérangée, même par rapport à ses idées habituelles, lui vient. Il s'empare alors du cœur et décide de s'en servir comme jouet pour assouvir ses pulsions, prenant dans la mort de sa victime ce qu'il n'avait pu lui arracher alors qu'elle était en vie.

Du coup je vous invite à relire le combat (à moins que vous n'aimiez pas les trucs violents) et à laisser la deuxième partie du chapitre de côté :-)))

Oisivete Oisivete
MP
Niveau 6
21 novembre 2017 à 10:58:31

ok, les mecs, on a plus rien a faire ici! l'armée du déni peut aller vers d'autres contrées sauver d'autres waifus! :noel:

plus sérieusement, parlons du chapitre! pour la première partie, la scène de combat était bien rendue et j'étais a fond dedans la deuxième fois (j'ai parcouru qu'en diagonale la première (va savoir pourquoi :hap:))!

a partir d'ici, on est en spoiler!
j'ai été soulagé de voir la survie d'undyne! par contre, pour la deuxième parie, étant un jeune être sensible, la scène de viol m'a profondément choqué!... lol, c pa vré, j'adore

voila, la fic est toujours aussi excellente, merci! [[sticker:p/1jnf]]

Message édité le 21 novembre 2017 à 10:58:56 par Oisivete
Gamopli Gamopli
MP
Niveau 10
21 novembre 2017 à 11:56:16

Hé mais Oscar il plagie RPtale!Gaster avec l'âme

SheogorathCDC SheogorathCDC
MP
Niveau 10
21 novembre 2017 à 20:33:05

Oh my... ( ͡ʘ ͜ʖ ͡ʘ)

Xeiter Xeiter
MP
Niveau 2
29 novembre 2017 à 11:02:22

Salutations les plus sincères ici votre critique préféré de tous les temps, non ce n’est pas un nouveau chapitre, tant mieux si vous avez eu un faux espoir ! Passons maintenant à la critique de ce chapitre ma foi somme toute assez sympathique, et putain je parle comme un vieux.
Alors je préviens direct, la critique ne sera pas très longue, car bien que le chapitre ait une taille plutôt importante, le nombre d’actions majeures qui y sont décrites est plutôt faible. Par contre qu’est-ce que c’était bien décrit ! Encore une fois hein je me répète au bout d’un moment t’a compris les bails, mais vu que ça te fait plaisir je vais continuer : la forme est absolument parfaite. On a l’impression que chaque détail est parfaitement peaufiné, l’immersion est totale, au point qu’on à presque l’impression de voir la scène, voire même de la vivre, et je pourrais juste faire un cc des précédentes critiques, donc va les relire si tu veux booster ton égo ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Au niveau du fond, bah que dire, ce chapitre raconte principalement la haine d’Undyne, sa soif de sang, la perversion et la mentalité d’Oscar, qui est, bien que peu approfondie, relativement intéressante. Par contre ils sont un peu con de ne pas avoir tué Undyne, c’est pas comme si après avoir vu sa puissance on pouvait se dire que même avec les collier elle pouvait représenter une menace ( ͡° ͜ʖ ͡°) maaaaais je suis très hype de voir ce qu’elle va devenir, bien que la scène du massacre était absolument jouissive de par la violence et la puissance qui s’en dégageait. La scène du viol était vraiment bien elle aussi, crue sans être vulgaire, imagé sans être obscène, très bonne écriture, hype pour les fanarts.
Sinon je me demande si tu as prévu quelque chose avec Flowey >w> petite question comme ça.
Bref excellent chapitre, à tous les niveaux, je me demande quand même comment Victor, fervent défenseur des monstres, va réagir à ça ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Un petit 17,5/20 pour m’avoir laissé sur ma faim ( ͡° ͜ʖ ͡°) car au final même si ce qu’il y a est excellent, bah il se passe pas beaucoup de choses comparé aux chapitres précédents ( ͡° ͜ʖ ͡°) Allez, 18 parce que je viens de relire et que c’est quand même vachement bon >w>

Xeiter Xeiter
MP
Niveau 2
29 novembre 2017 à 11:04:21

Le 17 novembre 2017 à 16:48:22 Erosdog a écrit :

Par contre t'es obligé de faire au moins 50 chapitres fdp merci bcp

Mais ne vaut-il pas mieux 30 à 35 chapitres bien écrit que 50 où la qualité/le fond se dégrade? ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Et puis me connaissant je sous-estime la quantité de choses à écrire :hap:

Après... rien ne dit que j'en aurai finit avec le monde de l'écriture une fois cette fic finie ( ͡° ͜ʖ ͡°) Peut-être en aurai-je finit avec le monde d'Undertale pck sa popularité est en chûte croissante donc les vues potentielles aussi ( ͡° ͜ʖ ͡°) mais je compte bien continuer, si j'ai le temps, avec d'autres univers.
Cela dit, je m'orienterai sûrement plus sur des oneshot, plus courts, plus simples et plus rapides à écrire que des fics entières Forcément 20-30 000 mots contre 500-600 000 c'est pas pareil ( ͡° ͜ʖ ͡°)

Wtf qu'est ce que tu raconte fait 50 chapitres bien écrits c'est pas comme si c'était compliqué non plus. Quel faignant quand même.
Ca me rassure >w> comment j'aurais pu survivre sans mon chapitre mensuel moi ? ( ͡° ͜ʖ ͡°)

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