Le Kisat Dur est un art martial qui a été inventé par un forumeur anglais pour être pratiqué à l'intérieur du jeu Dwarf Fortress. C'est assez connu et vous l'avez peut-être déjà tous lu mais je me suis amusé à le traduire. Enjoy.

__________

Les Principes du Kisat Dur

Le corps du guerrier est tout ce qui lui reste lorsqu’il ne dispose plus de ses armes.

Le combat à mains nues est souvent ignoré ou méprisé comme manière de se battre. Mais un guerrier qui compte trop sur ses armes ne vaut pas mieux qu’un homme qui compte sur ses béquilles pour marcher. Le Kisat Dur est l’art martial Nain du combat sans arme, et ceux qui le maîtrisent sont craints même par les soldats les plus aguerris. Un pratiquent standard peut user de techniques redoutables, en combinaison avec une arme, ou résoudre des conflits qui ne nécessitent pas que l’on dégaine la moindre lame. Le but du Kisat Dur est de rendre l’ennemi incapable de blesser ou d’inquiéter l’artiste martial. Cela peut signifier sa mort, son évanouissement ou sa reddition. Cela est rendu possible par un mélange de pratiques offensives, défensives, et de connaissances diverses et variées dans tous les mouvements que le pratiquant peut effectuer.
Le Kisat Dur est divisé en quatre branches. Celle de l’Esprit, celle du Poing, celle de la Prise et celle du Corps. Les coups de pieds sont très peu utilisés dans le Kisat Dur, art qui se concentre sur la maîtrise du haut de son corps, de la tête jusqu’aux hanches en passant par les bras.

Ikorottan (l’Esprit du Guerrier)

L’Ikorottan est le degré de connaissance qui fait du guerrier un combattant plus mortel, sans nécessairement demander l’utilisation de techniques particulières. L’école de l’Ikorottan est ce qui sépare un pratiquant du Kisat Dur du guerrier commun, et lui offre toute son potentiel combattif.

Les Quatre Points de Faiblesse.

• Le ventre : Un coup affûté à l’estomac cause des nausées, brisant la concentration de l’adversaire. Il ne pourra plus se battre aussi efficacement et sera susceptible de passer plus de temps à lutter contre son envie de vomir que de se défendre contre le pratiquant de Kisat Dur.
• Les poumons : Une puissante attaque à la poitrine peut broyer les poumons, même à travers la cage thoracique. Les poumons endommagés se contractent et l’ennemi halète pour inspirer vainement de l’air, et finit par rapidement manquer d’énergie, cela marquant la fin du duel. Si les deux poumons sont touchés, l’adversaire est inévitablement condamné à mourir.
• La nuque : Il y a deux manières de cibler la nuque pour un assaut : la gorge ou la colonne vertébrale. Fracturer cette dernière, c’est paralyser l’ennemi, ou au moins le rendre totalement incapable. C’est très souvent fatal. Quand la gorge, elle, est écrasée, perforée ou déchirée, le sang quitte très rapidement le corps. Il n’en résulte qu’un décès rapide et brutal de l’ennemi. Si le pratiquent de Kisat Dur souhaite maintenir son adversaire en vie –uniquement temporairement- il peut aussi utiliser une prise à la gorge. Saisir la nuque et créer une sorte de loquet autour de la gorge prive l’ennemi de tout oxygène. La prise peut être maintenue jusqu’à la mort de l’adversaire ou son inconscience.
• Les articulations : Un combat se termine souvent lorsque l’un des duellistes est trop sévèrement blessé pour continuer. Un guerrier large et fort peut assurément briser des articulations et infliger des douleurs terribles qui mènent à l’évanouissement. Ce genre de techniques peut être employé au niveau des hanches, des tibias, des chevilles, des avant-bras, des coudes, des épaules, des poignets ou des mains.

Nabasuthar (le Poing Divin)

L’art du Nabasuthar est de prédire les actions de l’adversaire avant qu’ils ne les fassent. Un maître du Kisat Dur peut identifier le type d’attaque exacte que son ennemi s’apprête à faire, et profiter du moment où il prend sa décision pour le contrer. Mais même un novice peut savoir quand une attaque va venir. Une arme rend l’ennemi très prévisible, car un guerrier armé va s’appuyer sur elle, et le pratiquant de Kisat Dur pourra aisément l’attraper afin d’interrompre son geste. Si l’ennemi possède un bouclier, il tentera ensuite de l’utiliser. Avec ce genre de connaissances, le Sodel Ar peut être employé efficacement par un débutant.

Rashgur Nitem (Attaque Visuelle)

Un opposant désarmé est bien moins prévisible et il peut être plus prudent de l’esquiver que de tenter un contre incertains, mais cela ne veut pas dire que le pratiquant de Kisat Dur est sans connaissance. Dans cet art martial, l’attaque et la défense ne sont que deux perspectives de la même action. L’esprit défensif regarde vers l’intérieur, là où l’esprit offensif regarde vers l’extérieur. Quand ils sont combinés, le pratiquant est très largement plus dangereux. S’il se place rapidement et par lui-même dans un état d’esprit adéquat pour frapper, il peut ressentir instinctivement qu’un organe est plus facile à toucher qu’un autre.

L’esprit offensif peut percevoir des signaux subtils et reconnaître un organe fragilisé.

Zilirakith (La Colère Eternelle)

Une frappe inefficace dissuade souvent les pratiquants novices de continuer leur assaut. Ce type de réflexe doit être éliminé. Se concentrer sur une cible a toujours un effet. Les muscles et les os sont très imparfaits, et des impacts réguliers sont suffisants pour les faire céder.

Fertharnas (Le Tueur de Bête)
Le Kisat Dur est taillé pour l’affrontement face à des combattants humanoïdes. C’est lorsqu’un pratiquant de Kisat Dur se bat avec un animal ou un monstre que son art est le plus faible. Cela ne veut pas dire pour autant que le pratiquant est sans défense. Les animaux et les bêtes sauvages cherchant un repas rapide ou à simplement défendre leur territoire vont perdre tout intérêt à harceler une proie dangereuse.

Ici, le pratiquant a croisé un ours. Il crée prudemment un large espace entre lui et la bête en reculant lorsque la bête tente de lui infliger des dégâts mineurs.

Ces égratignures peuvent être suffisantes pour décourager l’animal de poursuivre le combat. Si ce n’est pas le cas, quelques attaques en plus suffisent souvent à diminuer considérablement sa capacité à se battre.

Si la bête est vraiment récalcitrante, son absence d’armure est sa plus grande faiblesse, et un pratiquant du Kisat Dur saura l’exploiter.

La créature est maintenant morte, et l’artiste martial peut se considérer comme victorieux tant qu’il maintient efficacement de la distance entre lui et la bête.

Nonub (Le Poing)

Un coup de poing est plus rapide qu’un coup de pied, et seulement légèrement moins puissant. Les Nains sont nés de la roche et peuvent plus aisément sacrifier un peu de force pour un regain de vitesse. Se maintenir sur ses pieds, sur le sol, permet d’utiliser des mouvements rapides en frappant avec les poings.

Zimeshabod (La Frappe Fantôme)

Le Nain et l’ennemi se font face l’un l’autre, et l’adversaire tente une attaque.

Le Nain reconnait l’attaque suffisamment tôt et l’esquive par un pas chassé vers le Nord-Ouest.

L’elfe fait désormais face au Sud et le Nain à l’Est.

L’elfe ne peut se défendre efficacement dans cette position. Dans ce cas, la contre-attaque est un coup de poing dans le nez, mais n’importe quel type de frappe ou de prise peut avoir les mêmes effets.

Stot Abodsuton (Le coup par surprise à l’estomac)

Dans ce cas scénario, l’ennemi a lancé un coup de poing violent et peut précis que le pratiquant de Kisat Dur a su habilement saisir au vol. Cela lui ouvre une opportunité.

L’elfe est maintenant occupé à essayer de retrouver son équilibre. Trop pour pouvoir répliquer.

Un coup rapide ne s’appuie alors plus sur la force du Nain mais sur sa vitesse et sa souplesse. Puisqu’il n’y a aucun os qui protège l’estomac, une frappe brutale n’est pas nécessaire. L’ennemi se sent désormais nauséeux et est clairement handicapé. Il n’est plus capable de se battre efficacement.

Mezabod Okab (Les Trois Frappes Brisantes)

Le Stotabod Suton est suivi par une frappe éclaire au niveau du torse. Le coup n’a pas besoin de casser les côtes pour infliger de lourds dégâts. Un poumon peut très bien être endommagé par un coup rapide.

L’ennemi est désormais doublement affaibli, ce qui autorise le pratiquant a tenter des manœuvres périlleuses. Un coup sauvage est rapide et puissant mais laisse la garde du combattant totalement ouverte après l’assaut. Mais l’elfe étant déjà blessé et ne pouvant utiliser cette occasion à son avantage, le risque en vaut la chandelle.

Un coup puissant à la tête a le potentiel de sonner ou d’assommer littéralement l’adversaire. Ce n’est pas garanti, mais dans ce cas-là, ça fonctionne. Cette technique requiert une grande part de chance et le pratiquant aguerri ne s’appuiera pas trop sur elle dans un combat à mort.

Ostlurit (La Colonne Vertébrale Tordue)

L’ennemi est pris de surprise par un coup dévastateur à la nuque qui lui brise l’échine et peut potentiellement casser sa colonne vertébrale en plusieurs endroits. Cette technique requiert une certaine force physique et, dans ce cas, le Stot Abodsuton est de rigueur pour créer une ouverture dans la garde de l’adversaire afin d’y placer un coup de poing lourd et puissant. Cet enchaînement a pour conséquence une douleur intense et des problèmes respiratoires qui peuvent causer la mort. Cette technique est donc à proscrire de toute rixe non létale.

Okab Rashgur (Briser l’Assaut)

Le pratiquant comprend qu’une attaque arrive. L’esquiver ou faire appel au Sodel Ar résoudrait aisément le problème, mais un combattant réellement talentueux utilisera plutôt le Rashgurokab pour intimider l’ennemi et éviter une escalade de violence via une prise.

L’attaque intercepte la main de l’ennemi avant qu’elle ne touche l’artiste martial. Il en résulte un coup qui ne lui cause aucun dommage.

Thak (La Prise)

La plus pure expression de la capacité offensive est de saisir un membre de l’ennemi et d’utiliser ses muscles pour les manipuler. Cela peut prendre la forme d’une projection de l’adversaire ou d’une torsion douloureuse du membre en question jusqu’à ce qu’il soit complètement détruit. Un bras, une jambe, un poing ou un pied est attrapé et maintenu fermement. Cette partie du corps subit ensuite une forte pression par la prise du pratiquant, jusqu’à céder, cela rendant souvent l’ennemi inconscient. Ce genre de technique repose évidemment beaucoup sur la force physique. Même un habile adversaire peut être défait par une prise, si le pratiquant est suffisamment fort.

Sodel Ar (Le Bouclier de Chair)

Le Sodel Ar est une technique défensive redoutable qui fait des mains de son utilisateur de véritables boucliers. Les techniques de prises et de projections sont extrêmement efficaces contre des adversaires de petite taille, et cela conduit à penser que face à des ennemis de grande taille, elles deviennent inutiles. Mais le Sodel Ar peut être employé face à un adversaire de n’importe quelle taille.

Ici, le pratiquant affronte un adversaire vraiment imposant, un géant adulte. Cette créature ne peut pas subir de prises de soumission et un combattant inexpérimenté ne peut même pas essayer de le saisir de quelque manière que ce soit.

Le pratiquant voit arriver un coup qui pourrait lui être fatal. Esquiver serait une option valable mais une main habile pourrait tout aussi bien stopper cette attaque.

Le pratiquant fait autant appel à sa force physique qu’à sa vélocité pour stopper le coup du géant avant que celui-ci ne le touche. Le géant est donc fortement déséquilibré et ouvert à tout type d’attaque.

Asasokab (La Cassure Rapide)

L’ennemi envoi un coup de poing, le pratiquant en position défensive pare la frappe en saisissant son poignet, bloque la prise avant que l’ennemi n’ait pu réagir et lui casse le poignet. Un maître du Kisat Dur peut réaliser un Asasokab en moins d’une seconde, laissant l’adversaire terrifié face à la technique qui l’a vaincu. Cela n’est efficace que si le pratiquant de Kisat Dur peut surpasser son adversaire physique, mais la manœuvre est souvent suffisante pour mettre un terme au combat.

Gakit Kun (le Chat Voleur)

Parfois, un ennemi est trop grand et puissant pour être simplement désarmé. Dans ce cas, la technique du Gakit Kun permet au pratiquant de prendre possession de l’arme adverse sans avoir besoin d’être plus fort physique que l’ennemi.

Si l’ennemi échoue à reprendre immédiatement son arme, le Gakit Kun permet de la lui dérober et de retourner la situation à votre avantage.

Enkos Nitem (Le Dérobeur de Vue)

C’est une technique à haut risque, à n’utiliser que lorsqu’un Nain est physiquement bien plus fort que son adversaire. Le Nain attrape la tête de l’ennemi et lui arrache les deux yeux, le rendant inapte à poursuivre le duel. Même pour un maître du Kisat Dur, c’est très difficile à faire avant que l’ennemi ait l’opportunité de répliquer, potentiellement de manière mortelle. Même un maître risque de recevoir de sérieuses blessures, voire de mourir si une frappe traverse sa garde. Cependant, si la manœuvre est réussie, elle rend l’ennemi purement et simplement incapable de poursuivre le pratiquant, de lui résister ou de lui nuire. Cela sonne la fin du duel.

Egnulnobot (Le Rejet Contrôlé)

Le pratiquant de Kisat Dur est dans une position délicate. Il est très vulnérable une fois mis au sol par un ennemi qui se tient au-dessus de lui, l’écrasant sous son poids et l’empêchant de se redresser. Un pratiquant expérimenté peut néanmoins se créer une bonne opportunité.

Dans ce cas, le combattant a vu arriver une frappe imminente et a utilisé son genou pour la bloquer. L’ennemi est donc déséquilibré et le pratiquant le projette sur le côté pour le mettre à terre à son tour et se relever rapidement, retrouvant de ce fait une position dominante, le poing de l’adversaire encore coincé dans l’intérieur de sa jambe repliée. Les situations se sont donc inversées et le pratiquant de Kisat Dur empêche son ennemi de tenter une action offensive. La prise peut ensuite être relâchée, ou au contraire ajustée pour briser l’articulation, ou simplement maintenue pour empêcher l’adversaire de se remettre debout et le garder à sa merci.

Nidostegul (La Maîtrise Féroce)

Une projection standard est exécutée sur l’ennemi et le pratiquant se déplace rapidement pour se mettre sur son chemin avant qu’il ne s’écroule au sol. Cette technique est plus facile à réaliser avec des projections faibles, car projeter violemment son adversaire requiert de le poursuivre ou d’être emporté avec lui dans l’élan du geste. Si la technique est correctement utilisée, elle permet à l’artiste martial de dominer complètement son ennemi, désormais sonné. Depuis cette position, la victoire est aisée à obtenir. Les maîtres de cet art parviennent à entraver la route de leur ennemi de telle sorte que celui-ci les percute et s’assomme contre eux ou contre le sol.

Idrazoluth (Combat de Chien)

Les dents sont très souvent négligées lors d’un combat. Le pratiquant doit considérer sa mâchoire comme un outil très efficace, dont il peut user dans des situations où toute autre technique sera vouée à l’échec. Il y a deux objectifs principaux à atteindre lorsqu’on mord : Infliger des dommages réels à son adversaire en déchirant sa chaire et en faisant couler son sang, sans avoir besoin de brandir une arme, et lui inspirer de la terreur.

L’Asasokab aurait pu achever ce duel aussi rapidement que l’Idrazoluth, mais la peur créée dans l’esprit de l’elfe après avoir être démembré est unique et réservée à ce style de combat. La clé pour mordre efficacement est de choisir la bonne cible. Il faut viser les doigts, les oreilles ou les mains, car ce sont des parties du corps plus faciles à arracher que des morceaux de chair au niveau du torse. L’Idrazoluth a le pouvoir de détruire les nerfs de manière permanente et débilitante pour l’ennemi. Si l’opportunité se présente, le pratiquant peut même mordre l’adversaire à la gorge, mettant fin au combat en un assaut éclair.

Toradadom (L’Ecrasement Corporel)

Le pratiquant bondit sur son opposant et utilise la masse de son corps comme une arme. Un adversaire peut être renversé, blessé ou même tué par cette technique. Un artiste martial aguerri peut même l’utiliser pour désarmer son ennemi.

Aknunakith (La Colère du Faucon)

Cette technique fonctionne uniquement sur des ennemis incapables d’user de leurs pieds pour se déplacer. Avec un adversaire dans une position aussi vulnérable, le pratiquant est libre de créer une certaine distance avec lui. Puis, d’effacer cette distance à toute vitesse.

Quand l’adversaire est à portée, le pratiquant saute et le percute en le frappant des deux pieds.

Le résultat peut être réellement impressionnant. Dans ce cas-là, l’ennemi a traversé près de 16 cases avant de s’immobiliser. Cependant, cette technique est considérée comme une attaque d’exposition et n’est pas vraiment utilisable dans un combat réel sauf dans des cas très particuliers. Elle est donc déconseillée aux novices.

Korumid abod (Frappe de l’enterrement)
Plus utile et pratique que l’Aknunakith, le korumid use presque du même principe pour prendre un soudain avantage face à un petit adversaire. La clé du problème auquel le Toradadom fait face est que même un grand maître du Kisat Dur ne peut faire des sauts assez longs sans créer préalablement une distance entre lui et l’ennemi. Saisir l’ennemi l’empêche d’attaquer mais en visant les armes ou les vêtements, le pratiquant peut garder son adversaire à une distance suffisante pour entamer un assaut.

Dans ce cas là, le pratiquant affronte deux ennemis armés avec des lances en fer et des boucliers. Prendre son temps pour désarmer le premier laisserait une ouverture au second pour attaquer.

Le pratiquant sélectionne un ennemi, s’élance et se rapproche de lui à grande vitesse.

Le pratiquant tient maintenant fermement l’arme et le bouclier de l’opposant, avec un ennemi qui tente toujours de se rapprocher. Le pratiquant peut maintenant bondir avec tout son poids et percuter le corps de l’ennemi avec le sien.

Si cette technique est effectuée correctement, l’ennemi s’étale au sol avec son équipement toujours tenu par l’artiste martial. Plutôt que de faire face à deux ennemis armés, le pratiquant affronte désormais un adversaire désarmée et allongé au sol, et un autre adversaire armé dont il peut s’occuper.

Cela peut blesser, tuer ou simplement sonner l’ennemi et mettre une certaine distance entre lui et le pratiquant. Dans tous les cas, l’ennemi percuté est une menace bien moins dangereuse qu’avant et le pratiquant peut se concentrer sur l’autre.

Momguzumid (La Chute Draconique)
Le pratiquant charge l’ennemi à toute vitesse et entame une technique traditionnelle du Korumid. Le saut débute avant qu’une quelconque saisie ait été effectuée et, en plein vol, une seconde saisie est faites.

Bonjour!

Bienvenue!

'Connaissais déjà, mais c'est cool d'avoir traduit!

Cay une merveilleuse idée !

J'ai toujours aimé ce truc.

Merci pour la traduction !

Ah tiens c'est marrant ça.
Je ne connaissais pas avant

Bonne idée.

Il faudrait peut-être préciser que pour la dernière technique, quand l'auteur écrivait "at maximum speed", il voulait dire à la vitesse maximale permise par le jeu, qui est assez supérieure à celle qu'il est possible d'atteindre dans une partie non moddée.

édit: Le thread original est ici : http://www.bay12forums.com/smf/index.php?topic=148015.0 (il contient quelques techniques supplémentaires et sans doute des explications plus complètes de chacune des techniques, puisque ce post est la traduction d'un résumé).

Up

Je vois vraiment pas l'intérêt de upper un topic sur ce forum. Surtout ce topic.

Up

Up

Sinon, il y a mieux que de le upper : l'ajouter à l'encyclopédie.

Fake edit : bien joué Cody.

Vous avez tous décidé de me faire chier en fait ?

Alex 2fast4u

Mais non Cody par contre c'est intéressant donc oui faudrait peut être l'ajouter à l’encyclopédie

Mais c'est déjà fait depuis longtemps !

Haaaaaa d'accord ba dans ce cas pourquoi up ce topic..... oups

C'est même pas un vrai truc et c'est mieux expliqué que certains tutos d'auto-défense