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Sujet : Les Passagers de la nuit - Delmer Daves

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Memory_Card Memory_Card
MP
Niveau 22
17 décembre 2015 à 19:23:45

:globe: Les Passagers de la nuit :globe:

(Dark Passage)

_______________________

Réalisé par Delmer Daves
Avec Lauren Bacall, Humphrey Bogart, Agnes Moorehead

Année de sortie : 1947
Pays : États-Unis
Genre : Policier, film noir
Durée : 1h46

_______________________

:d) Vincent Parry, condamné à perpétuité, s'évade de prison. Sur son chemin, il croise Irène Jansen, qui l'aide à passer un barrage de police. La jeune artiste peintre qui a suivi le procès est convaincue que Vincent est innocent. Recherché, Vincent décide dans un premier temps de fuir la ville avant d'avoir recours à la chirurgie esthétique. Muni d'un nouveau visage, Vincent cherche à refaire sa vie, mais les évènements vont encore lui échapper...

_______________________

Mon avis :

Les Passagers de la nuit marque une nouvelle réunion du couple Bogart/Bacall, qui n'en finissent plus de s'aimer, à la ville comme à l'écran. Ils participent une nouvelle fois à un film policier reprenant quelques codes du film noir.

La première scène fait preuve d'une grande efficacité et plonge directement le spectateur dans l'action. Elle s'ouvre sur l'évasion d'un homme de la prison de St-Quentin. Dès ce moment, le réalisateur noue un lien entre le héros et le public : la mise en scène s'attache tellement à cet évadé qu'elle finit par en épouser le point de vue. La caméra en vue subjective propulse le spectateur au cœur de l'action, au côté du condamné à mort. Ils partagent ainsi le même étonnement lorsqu'une femme, qui semble connaître le criminel, lui offre spontanément son aide. Ce début mystérieux est un des atouts du film : des questions soulevées dès le début (quel crime a commis le prisonnier, quelles sont les motivations de la jeune femme...) trouveront leur réponse bien plus tard, à travers des explications livrées au compte-goutte.

Par ailleurs, la vue subjective crée une ambiguïté autour de l'identité du prisonnier. Son visage ne sera pas montré avant qu'il ait recourt à la chirurgie esthétique pour changer d'identité. A partir de ce moment là, la mise en scène revient vers quelque chose de plus classique et perd en intensité, ce qui est dommage car le scénario reste intéressant et amène plusieurs petits retournements de situation sympathiques. De plus, quelques scènes véhiculent une certaine émotion grâce aux gros plans sur les yeux des acteurs. Deux restent en tête : le regard très doux de Bogart quand Bacall lui retire ses bandages, et les yeux embués de larmes de la jeune femme après une discussion difficile.

On retiendra du film les fulgurances de la première demi-heure, amenées par une réalisation audacieuse, qui se raréfient dans la suite du film. L'enquête se laisse suivre sans déplaisir, mais reste sur un chemin balisé.

http://www.senscritique.com/film/Les_Passagers_de_la_nuit/critique/77002401

Dave-Hirsch Dave-Hirsch
MP
Niveau 6
17 décembre 2015 à 22:10:33

Le passage délicat de la caméra subjective à un point de vue objectif affaiblit le film qui ne bénéficie déjà pas d'un scénario passionnant et de péripéties très crédibles. On y retrouve cependant l'optimisme forcené de Delmer Daves (qui réalise l'un des rares films noirs non cyniques) et sa fascination pour les horizons lointains, ici la plage péruvienne où se retrouve miraculeusement le couple.

Yedachorem Yedachorem
MP
Niveau 10
26 février 2017 à 18:23:33

J'ai au contraire trouvé que la première partie était tout à fait médiocre. Ça fait sens dans le déroulement de l'histoire mais en ayant en off la voix de Bogart personne ne peut imaginer que Parry c'est ce mec anguleux qu'on nous montre en photo. Je veux bien que le cinéma soit l'art de la tricherie mais il ne faut pas non plus ouvertement se foutre de la gueule du spectateur. Ayant cela en tête tout le système de caméra subjective tombe à l'eau, ca ressemble juste à une demo technique qui ne s'assume pas. Sinon l'intrigue est à peu près la seule chose à laquelle on peut se raccrocher et c'est pas très intéressant non plus, cette histoire de meurtre sordide tient difficilement debout et il manque au film le charme des autres productions du genre. On pourrait croire que ça allait devenir plus intéressant dans la seconde partie qui est plus classique mais à mon sens le mal est déjà fait et je me suis ennuyé ferme. Ceci dit je concède que j'ai été surpris par le chemin qu'emprunte le film même si je trouve ça franchement loupé.

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