Le 14 octobre 2019 à 07:56:29 DarkXehanort94 a écrit :
On télécharge la Save, on copie/coupe et on l'as met dans Documents\Paradox Interactive\Crusader Kings II\save games

Je vais tester ce soir en rentrant. Vous avez une vieille sauvegarde du DC, que je la teste?

Et pour les mods ils sont à la Page 1 (un Graphisme et un pour les blasons, bon c'est surtout pour se la péter)

Je testerai aussi du coup, en espérant pas flamber la machine.

Je suis toujours là et je vous suis toujours.

Le 14 octobre 2019 à 14:33:45 Drakim a écrit :
Je suis toujours là et je vous suis toujours.

Je pense que tu es le prochain ;)

Mercredi soir ! (finalement)

Salut je suis toujours là !

Extrait du journal du Roi Arran 'La grenouille' d'Irlande, de sa prise du pouvoir à sa mort.

En ce 10 novembre 964, j'hérite du royaume de mon père.
Il fut un grand unificateur des peuples celtes et un grand homme, et je le pleure. Je continuerai ce qu'il a commencé, et j'espère même faire mieux, ce qui sera sans aucun doute difficile.
Ma première décision est de déplacer la capitale en Ulster. Plus central, et plus riche que Man, elle fera une excellente capitale. Je n'ose imaginer la réaction de mon père s'il était encore en vie, lui qui était si attaché à sa terre natale. Mais il faut que le Royaume se modernise et Man restera tout de même une possession familiale.

965
L'un des comtés du royaume d'Ecosse est une enclave irlandaise. Une conquête va donc de soi, et la guerre est facilement gagnée. Le royaume d'Ecosse étant faible.

971
S'il y a bien une chose qui m'énerve, c'est bien qu'un royaume voisin s'ingère dans mes affaires. Le cardinal peut se considérer chanceux de ne finir qu'au cachot, il a un peu de répit.
Mais il y a encore pire, mes conseillers sont tous idiots ! 6 ans qu'ils bloquent toute mes décisions. Ils refusent même que je leur accorde des titres. Idiots, stupides, TRAITRES ! Si jamais j'en croise un dans le couloir, je le bats à mort !!!
L'un de mes vassaux a assujetti le Khagan nomade, le voilà de facto indépendant, je vais tuer quelqu'un pour me calmer ...

972
J'ai enfin réussi à soudoyer le plus influent de mes conseillers. Duc écossais, il en récupère un deuxième que je souhaitais céder. Il votera désormais en ma faveur au conseil. Sortez vos armes, nous partons en guerre !
3 guerres consécutives, et 3 victoires rapides. Contre le dissident, l'Ecosse, puis la Bretagne. Aucun d'eux ne fait le poids contre le grand royaume d'Irlande.

975
Des paysans catholiques se révoltent. Je ne peux que douter que certains de nos voisins sont derrière ce coup. Surtout quand je reçois peu de temps après, une déclaration de guerre de la duchesse de Normandie. Cette catin veut récupérer mes conquêtes bretonnes.
Après avoir exterminé ces paysans, je pars en guerre contre les normands. La guerre s'enlise, la flotte normande réussissant à éviter les pièges. C'est en Irlande que la bataille décisive se joue, et elle tourne évidemment en notre faveur. Un soldat normand ne valant qu'à peine la moitié d'un irlandais. Et il se trouve que la duchesse avait fait le déplacement jusqu'ici, moi qui pensait la trouver reclus dans son chateau. Capturée et humiliée, elle capitule et paie tous les frais de guerre.

977 - Echec et mat
En pleine nuit, une femme s'est présentée comme étant la Mort. Elle semble sérieuse ... Elle l'est ! Mon sang se glace ... J'ai réussi à la convaincre de jouer ma vie à une partie d'échec, je dois gagner ! Pour l'Irlande !
Ce début de partie est en ma faveur, mais plus le temps passe, plus je perds mon avantage. Je me suis battu contre mon conseil pendant tant d'année. Maintenant que je suis respecté, je vais finir ainsi ? Mon héritier, mon fils n'a pas encore sa majorité, ses idiots vont en profiter ...
Je suis mal ... Comment gagner ?!

Le roi Arran à sa mort

Longue vie au roi

L'héritier

Le royaume

Le fichier : https://www.mediafire.com/file/32ywazqe24umpfc/SAVE_DC_XEHA_T1_SAVE.ck2/file

Premier exercice de ce genre pour moi. J'espère que ça vous plaira
Mon perso était zélé, ambitieux (mais pas arrogant) et colérique. J'ai essayé de retranscrire ça dans mon récit.

C'est plus court que je pensais mais on voit l'idée général (ah la partie d’Échecs ) et c'est sympa.

Sinon il y as 2 petits problèmes : le 1 er c'est que UN tu as remis MA Sauvegarde ce qui n'as aucun intérêt, j’espère que tu as bien pensé à sauvegarder au moment ou tu es mort.

Et pour le 2 éme c'est ce cher Warten qui vas en parler ..... Dis donc Fiston Je t'avais bien dit de pas déplacer la Capitale ! Aller au Coin !

Sinon .....

- DarkXehanort94 - 1 Tour
- -Aerouant- 1 Tour
- Drakim En Cours
- thormagor
- al-Matghari - ?????????????????????????????
- Millian37400
- smith-88
-KostardKravate ????

Drakim c'est à toi, dés que Aerouant aura mis la bonne sauvegarde.

Edit : Bon j'ai rien dit, la save est bonne, mais évite de remettre le même nom la prochaine fois, ca evitera les confusions.

Ah l'event de la partie d'échec, c'est cruel il est toujours chiant celui-là. Je l'ai déjà gagné quelques fois mais c'est rarissime, et le gain n'est pas si intéressant que ça.

Bon, à croire que j'ai le don pour récupérer des héritiers mineurs, je prend ça en main dès que j'en ai l'occasion. Surement vendredi soir, sinon ce week-end.

A ce qu'il parait, l'event apparait à un moment ou ton personnage aurait du mourir pour x ou y raison.
Faut voir ça comme une seconde chance que t'offres le jeu, meme si elle est loin d'etre gratuite

Le 17 octobre 2019 à 12:06:07 DeathLawli a écrit :
A ce qu'il parait, l'event apparait à un moment ou ton personnage aurait du mourir pour x ou y raison.
Faut voir ça comme une seconde chance que t'offres le jeu, meme si elle est loin d'etre gratuite

Je ne sais pas. Je n'avais pas de blessure, pas de maladie, en bonne santé, et pas vieux non plus (38 ans de tête).
Même si on peut mourir de "mort naturelle" à cet âge là, mais ça reste extrêmement rare. J'ai pas eu de bol oui.

Je poste pour dire que j'ai pas oublié, c'est en cours. J'aurai du finir ce Lundi mais j'ai eu un gros imprévu. J'essaye de finir pendant la semaine, ce Week-end au plus tard.

Partie enfin terminée, j'essaye de vous poster ça ce Week-end au plus tard !

Le règne de Warten II, le Grand Cerf d'Ecosse

Alba gu Bràth !

C’est en l’an de grâce 977 que Warten Mac Taraïl succède à son père Arran sur le trône d’Irlande. Ce dernier, retrouvé mort dans des conditions mystérieux alors qu’il avait une quarantaine d’années, à contrait le pays à mettre en place en urgence un conseil de régence, car le jeune Roi n’avait alors même pas 13 ans. Alors que Warten se consacrerait à étudier l’art de la guerre auprès des meilleurs soldats du pays, ce serait Alpin, Grand chef de Leister, qui se voit confier la tâche de diriger la destinée de l’Irlande.

En 978, un des vassaux de l’Irlande, Edwin d’Ormond, parvient à mener à une guerre d’assujettissement contre l’Empereur de Pembroke. Par la même, il s’empare des titres et se proclame Empereur et indépendant, un Empereur n’ayant pas à répondre devant un Roi, mineur qui plus est. Les seigneurs d’Irlande le menacent de représailles mais rien n’y fait, c’est un morceau du pays qui s’envole sans que rien ne puisse être fait contre.

Warten grandit dans la frustration de voir l’héritage de son père être dilapidé par un Régent incompétent. Il dépense cette frustration dans l’art de la guerre et de l’intrigue jusqu’à sa majorité. C’est ainsi qu’à 16 ans, il prend officiellement le pouvoir sous le nom de Warten II d’Irlande, et se fiance avec la fille du Roi Rus de Kiev, une dénommée Feodora. Un allié puissant et en pleine expansion, et un mariage prestigieux avec une descendante des Rurikid.
Peu de temps après son couronnement, Warten décide d’intégrer la loge des Guerriers-Loups pour éprouver ses capacités. Il perd son duel d’intronisation mais en ressort avec une détermination grandie.

Mais Warten nourrit l’envie de restaurer l’œuvre de son père et de son Grand-Père. A savoir réunifier l’Irlande, mais surtout récupérer toute l’Ecosse d’où lui vient sa profonde culture. Pour se faire, il doit se venger d’Edwin, Empereur de Pembroke. Et en 981, une occasion se présente au jeune Roi de se faire. L’Empereur a tenté de lancer une invasion planifiée contre la Germanie, sur le continent. Warten y voit l’occasion idéale de prendre le félon à revers. Possédant de jure des revendications sur les territoires qui lui ont été soustraits par Edwin, Warten lui déclare la guerre et part à la tête de ses troupes marcher sur le sud de l’Irlande, tandis qu’un détachement de troupes vassales est envoyé sur les terres d’Ecosse.
Malheureusement, une autre personne tente lâchement d’en profiter. Le Duc de Poitou, vassal du Roi de France, lorgne sur les deux comtés bretons détenus par le demi-frère et vassal de Warten, et déclare la Guerre Sainte pour les récupérer. L’Irlande dispose de peu de troupes à envoyer par là bas et d’encore moins de navires pour les transporter !
Alors qu’il décide de se concentrer sur la capture des territoires non défendus du Pembroke, Warten apprend que les troupes de Poitou débarquent en force sur la Capitale Irlandaise d’Ulster. Face à l’urgence de la situation, il décide d’appeler l’entièreté des tribues vassales à la guerre et fait voyager ses troupes à marche forcée pour traverser l’Irlande et sauver sa capitale. Une fois sur place, il mène lui-même la charge et s’engage dans une bataille longue et âpre, qu’il parvient à remporter malgré l’afflux de renforts catholiques.

L’année 982 est entièrement consacrée à la reprise du territoire insulaire à Pembroke, qui perd toutes ses forces en Germanie, tandis que la guerre contre Poitou s’enlise. Plus aucune troupe ne débarque en Irlande et Warten reçoit des messages alarmant de son demi-frère concernant le siège de Vannes.
C’est donc en 983 qu’il est décidé de lui porter secours. Les tribues vassales se chargeront de la protection des îles et Warten prendra la tête de ses propres troupes en Bretagne. Le problème demeure sur le transport, la flotte Irlandaise est bien trop petite pour envoyer les troupes nécessaires à combattre l’envahisseur. Il est donc décidé de procéder en deux voyage, les premières troupes débarquées étant trop peu nombreuses ayant pour consigne d’éviter l’affrontement en attendant les renforts.

La stratégie est pleine de succès, Pembroke capitule en 984, et le Duc de Poitou en 985. L’Irlande est de nouveau réunifiée et la conquête de l’Ecosse avance. Pour fêter cela, Warten organise son mariage en grandes pompes avec Feodora Rurikid en Ulster. Un mariage marquant l’union de deux grandes familles guerrières ! Enfin, l’affront fait à son père et à son grand-père a été réparé.

L’état de la Grande-Bretagne est maintenant assez simple. Warten occupe toute l’Irlande et les trois-quarts de l’Ecosse, conquise en partie par ses vassaux. Le reste de l’Ecosse est occupé par l’Empereur de Pembroke, et l’angleterre et le Pays de Galles sont aux mains du Roi Catholique d’Angleterre. Ce qui bloque les ardeurs conquérantes de Warten, car il est en trêve avec Pembroke, et trop faible pour attaquer de plein front l’Angleterre. Warten réfléchit donc à comment pallier aux faiblesses de son pays. Après la naissance de son fils ainé, Arran, le Roi décide de prendre la mer avec quelques troupes pour aller piller le continent et trouver des idées quant à l’avenir du Royaume.

Les rapports sont alarmants, la situation financière du pays n’est pas reluisante après les forts investissements consentis pour améliorer la capitale, et les voisins catholiques refusent d’échanger avec Warten, et sont au contraire de grandes menaces pour lui et pour le dernier grand foyer nordique d’europe. Il lui faut réfomer l’Irlande pour pouvoir avancer.

En 989, le Roi Warten rentre en Ulster d’une campagne de pillage, déterminé à transfigurer l’avenir de son peuple. Il convoque l’assemblée des chefs de tribu pour une annonce qui fera trembler le peuple écossais et irlandais.
Le système tribal est déficient, il ne permet pas au pays de fonctionner de façon optimale. Le développement est lent et couteux, freinant les guerres, et il faut à tout prix éviter les querelles de successions et les régences interminables. Chacun doit œuvrer pour le pays, en obtenant la récompense qu’il mérite. Désormais, chaque seigneur aura pour mission de participer à la fortune du pays. Et à chaque succession, le seigneur le plus prolifique et le meilleur gestionnaire aura une chance de prendre les rênes.
Warten II proclama ainsi l’avènement de la République d’Ecosse et d’Irlande, et s’estima lui-même Prince de cette dernière. Il décida de renoncer à la couronne car l’Ecosse et l’Irlande n’auront jamais que pour Roi Warten I, l’éternel Roi d’Irlande et d’Ecosse. Désormais tous ses successeurs ne seraient jamais que des princes.
Signe positif des Dieux pour Warten, sa femme tombe enceinte dans la foulée.

La politique de Warten est simple. Les écossais doivent apporter leurs marchandises aux autres en échange d’or s’ils le veulent bien. Et même s’ils ne le veulent pas, d’ailleurs. Le commerce à tout prix. Sur les côtes britanniques sont lancés la construction de nombreux comptoirs commerciaux ayant pour objectif de renforcer le commerce intérieur, tandis qu’une flotte est déployée pour lancer une vague de pillage sur tous les continentaux refusant de commercer avec les marchands écossais. Il écrit un livre sur le sujet : Le Commerce, de Gré ou de Force.

Les 5 années suivantes sont dédiées à cette réputation et Warten mène lui-même les envoyés commerciaux écossais sur le continent. A force d’échange fructueux et rentables, tant d’argent que de personnes humaines, Warten se fait rapidement qualifier de Viking. Un titre honorifique signifiant « excellent négociant » en nordique ancien. Les revenus écossais explosent et permettent le renfort de la garde Mac Taraïl, tandis que les comptoirs commerciaux poussent comme des petits pains.
Fort de cette politique pleine de succès, et tandis que nait son troisième fils Murray, Warten déclare la guerre en 994 à l’Empereur Edwin de Pembroke pour lui ravir ses dernières terres et finir d’unifier toute l’écosse.

La guerre est rapidement menée et en 995, après la mort d’Edwin, son fils se rend et se vassalise à Warten qui repart aussi sec à bord de ses navires pour pousser ses échanges commerciaux. Entre autre avec la Reine de Bretagne, sa principale partenaire. Afin de se rapprocher d’elle, il déclare la guerre à son voisin le Comte de Kernev. Une guerre bouclée dès 996 malgré la tentative d’aide de la Reine bretonne à son voisin.

En 999, après une nouvelle campagne commerciale pleine de succès, Warten apprend qu’un comté nomade s’est établit de façon inexpliquée au Pays de Galles. Face à cette nouvelle, il décide aussitôt de rentrer au pays pour vassaliser ce dresseur de chevaux. Peu après, il apprend que la Reine de Bretagne, partenaire de toujours, est en terrible difficulté dans une guerre contre le Roi d’Angleterre. Dans le but de protéger ses intérêts commerciaux, Warten déclare aussi la guerre à la Bretagne afin de lui apporter la protection qu’elle mérite.

En 1001, après deux longues années de guerre, la Bretagne se rend et sa capitale Poher est intégrée à l’Ecosse, Warten lui laissant tout de même ses deux comtés côtiers pour continuer leurs échanges commerciaux. Et en gage d’amitié il s’engage à intégrer la sœur de la reine bretonne dans son harem, après l’avoir enlevée. C’est également au cours de cette année que Feodora, la femme de Warten, décède au cours d’une partie de chasse, tuée par une bête sauvage.

En 1004, tandis qu’il menait une campagne commerciale « Tout doit disparaitre » en Sardaigne, Warten met la main sur un Crâne qui serait celui de Saint Christophe d’Antioche, apparemment un héros catholique. Pas certain de sa valeur, le Prince l’emporte avec lui, dans le doute ça fera toujours un verre pour son buffet à vaisselle.

L’année 1006 est marquée par la traitrise du perfide voisin Anglois qui décide de déclarer la Guerre Sainte pour une province écossaise ! Warten, qui était en plein démarchage sur les côtes italiennes, fait voile pour rentrer dard dard au pays dès qu’il apprend la nouvelle. En attendant, sa sœur et Skaldjmo Ela lève des troupes et profite des revenus considérables de la République pour engager deux bandes de mercenaires afin de contenir l’adversaire supérieur en nombre.

En 1008, après plusieurs petites escarmouches, la bataille finale à lieu aux alentours de Galloway. Warten, à la tête de ses troupes et vêtu de son tartan traditionnel, charge les envahisseurs anglais au son des bagpipes écossais. L’armée rouge est mise en déroute par les écossais leur chargeant dessus, hurlant leur désormais célèbre « ALBA GU BRATH » !
Le Roi d’Angleterre se rend au Prince Warten, célébré dans toutes l’écosse sous le nom de « Grand Cerf » !
En fin d’année, porté par ses succès guerriers, Warten se décide à en finir avec la bretagne et à envahir définitivement les derniers territoires de la Reine. La guerre ne durera que 3 semaines, le temps aux troupes écossaisses d’arriver en Bretagne, Warten capturant la Reine de Bretagne dès leur première escarmouche. Ceci étant probablement du aux très nombreux repérages effectués par les écossais ces dernières décennies.

De 1009 et à 1011, Warten lance une vague campagne marchande sur les terres du Pape de Rome. Celle-ci est couronnée de succès et Warten met la main sur de très nombreuses reliques que le Pape accepte de lui céder bien gentiment en plus de son or. Malheureusement, Warten ramène avec lui un autre souvenir : la Variole.
Sentant sa fin proche, Warten met ses différents fils en compétition et décide qu’il nommera héritier le meilleur gestionnaire d’entre eux. Il parviendra finalement à guérir de cette maladie au prix de sa jambe gauche.

En 1013, une nouvelle terrible tombe sur l’Ecosse. Le Roi d’Aquitaine déclare la Guerre Sainte pour libérer la Bretagne. L’Aquitaine est un royaume qui a été fondé au cours de la dernière Croisade menée par les catholiques, et son Roi est un redoutable combattant disposant de bien plus de troupes que Warten. Le seul avantage de l’écosse réside en son argent et sa très nombreuse flotte.

En plein marchandage avec la Sardaigne lorsqu’il apprend la nouvelle, Warten décide de ne pas commettre la même erreur qu’avec le Poitou et l’Angleterre, et de mieux préparer sa défense. A la tête de ses marchands Vikings, Warten vient attendre aux larges de la côte méditerranéenne que les troupes d’Aquitaine partent pour l’Ecosse et débarque aussitôt que l’Aquitaine est sans protection.
En Ecosse, une large troupe composée de mercenaires et de troupes vassales est levée pour recevoir l’envahisseur qui débarque directement en Ulster. Malheureusement, trop nombreux pour les forces écossaisses, il est décidé de les laisser capturer la capitale, et de laisser leur manque de ravitaillement réduire naturellement leur nombre. Ceci fait, l’armée Ecossaise charge les troupes d’Aquitaine dès qu’elles sont assurées de la supériorité numérique et les rejette à l’eau, libérant la capitale, et les poursuivant sur toute l’île pour les annihiler.
Lorsque le Roi d’Aquitaine, harassé et fatigué, rentre au pays, c’est pour découvrir ses principales villes déjà sous le contrôle des commerciaux écossais, menés par le Prince lui-même.
Alors que Warten pense avoir la guerre entre de bonnes mains, l’Aquitaine n’ayant presque plus de troupes, sa fortune tourne. Le vil Roi d’Aquitaine, bien que ruiné, fait appel à ses ordres saints pour venir le défendre. Aussitôt, les troupes restées en écosse prennent la mer pour venir prêter main forte au Prince en Aquitaine. La bataille décisive à lieu sur Toulouse en 1016, après l’unification des armées écossaises. Alors que l’armée écossaise charge une position défensive des adversaires, elle voit ses flancs se faire décimer les uns après l’autre. Mais Warten, dirigeant le centre et sa jambe moins, parvient in extremis et contre toute attente à mettre en déroute l’armée d’Aquitaine qui disposait encore de son Centre et de son flanc droit.
Définitivement vaincu, le Roi d’Aquitaine se rend et remet un lourd butin à Warten. Alba gu bràth !

Quatre années plus tard, en 1020, alors qu’il continuait ses négociations en Sardaigne, Warten, le Grand Cerf d’Ecosse, finit par expirer dans son sommeil. Son troisième fils, Murray, qui l’accompagnait dans ses tractations marchandes, est désigné pour lui succéder.

Murray, nouveau Prince d’Ecosse :

Neil, héritier de la Maison Mac Taraïl :

L’Ecosse :

Le Monde :

Les Religions :

Le Commerce :

La Save : https://www.mediafire.com/file/9l939jq41h07pb6/SAVE_DC_DRAKIM.ck2/file

NDLA : Désolé encore du temps pris pour la partie !
Je tiens à préciser que pour former la République j'ai du abuser d'une mécanique de gameplay. En effet on est obligé d'être réformé ou catholique pour le devenir, mais je ne voyais pas ce qui le justifiai RP parlant. J'ai donc fait deux conversions successives avec mes concubines pour passer catholique puis redevenir nordique sans en parler dans le récit car ça n'aurait fait aucun sens.

On part bien sur une république marchande germanique

Je suis admiratif sur ta façon de marchander avec les catholiques

Tu as bien retenue les leçons de ton grand-père sur les clients réticents.

Et je me rappelle d'Edwin, c'était le Maréchal à mon époque et je lui avais même donné un de mes filles que j'avais en trop, ah ingrat.

Donc on repart sur une République, éviterons nous le destin de celle de l’Arctique ? Tu en pense quoi Bigrat ?

Bigrat : " ronfle"

DarkXehanort94 - 1 Tour
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- thormagor en cours.
- al-Matghari - ?????????????????????????????
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-KostardKravate ????

Thormagor c'est à toi de Jouer !

Je fait ça cette semaine.