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Sujet : Les chroniques de la mort rouge

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OrionPax2308 OrionPax2308
MP
Niveau 7
29 mai 2018 à 09:08:57

Bonjour à tous, voulant partager et vous faire patienter jusqu'au prochain jeux, j'aimerais écrire une petite fan fiction sans prétention sur le quotidien de John Marston, j'espère que cela vous satisfera cow-boy ! :hap:

Chapitre 1 : La seule boussole dont j'ai besoin est celle qui mène de nouveau à toi

Des coups de feu retentirent autour de sa tête, il ne comprenait pas ce qu'il se passais, comment en quelques minutes, une simple bagarre d'hommes ivres peut tourner aussi vite en duel à mort entre une demi trentaine d'hommes agressifs et sans scrupules. Il se tenais là, il ne tirais pas, mais regardais la scène insensible aux effusions de sangs autour de lui... un, deux, trois ... quatres ! ils comptaient le nombre de balles perdues qui finissait dans quelques verres vides finis à la va-vite par un de ces cow-boy qui sors son revolver avant de réfléchir, ou dans un tableau soigneusement accroché par le barman. Le sifflement des balles lui étais familier, un bruit comme un autre, puis de tous les sifflements, un seul lui fit tourner la tête pour vérifier où la balle allait finir. A peine après avoir regarder derrière lui la balle lui transperça l’œil gauche et ressortis par l'arrière de la tête... Le sang gicla sur le mûr criblés de balles et l'homme tombas comme une bouteille vide... Derrière le comptoir du bar, Marston avait eu le temps de voir ce pauvre homme se prendre une balle pour aucune raison, le pistolet sorti, Marston regarda son coéquipier et cingla de sa voix grave " Aux mauvais moments aux mauvais endroits ! " juste assez fort pour que son coéquipier entende et répondit d'un rire jaune avant de se relever pour coller deux, trois balles dans la tête des opposants. Marston rechargea son revolver d'une assurance qui ferait pâlir un croque mort. Il passe sa tête au dessus du bar pour regarder ses proies, puis en prenant le soin de cacher sa tête, pris une inspiration, ferma les yeux, puis se releva sans hésité en tirant sur ces cibles, quatres cibles, quatres balles, quand Marston tirais après avoir inhaler une grande bouffée d'air, et par la même occasion, imprégnée l'odeur des fumées de revolver unique à chaque combat, le monde autour de lui semblait comme ralentit, il apportais la mort en ce bas-monde ! Ses proies gisait sur le sol, sans vie " Quel sang froid John ... " John regarda en direction de la voix et vis le chef de sa bande, caché derrière un escalier " Plus besoin de sang froid quand c'est pour achever un homme pour la énième fois, Dutch " Son chef, Dutch, acquiesça tout en chargeant son colt.

Marston se releva d'un bond, prêt à sortir son revolver, il tapota de sa main avant de se rendre compte que le seul truc qu'il trouvais au bout de ses doigts était le corps chaud de sa femme, endormie. Du moins, il croyais,
" -C'est ma cuisine qui te réveille comme ça ?
- Tu cuisines tellement mal que j'en fais des cauchemars vieille sorcière !
- Jack est réveillé... vas le voir, il t'attend depuis 1 heure pour la leçon que tu lui as promis..."
Et aussitôt Abigail Marston retournais dans les bras de Morphée, John observa silencieusement celle pour qui son cœur à succombé, il se leva et se changea pour enfiler sa tenue qu'il s'était offert pour s'occuper du Ranch familial, Beecher's Hope.
Jack étais devant la maison, sous le porche de la terrase, il lisait un de ces livres qu'il à l'habitude de lire depuis l'âge à laquelle l'on apprend à lire... Lire, cette chose était inconnue pour Marston, mais dès qu'il voyait son fils lire il ressentait une immense fierté, comme si, le monde Jack s'arrêtait pour lui, exactement comme quand John tire avec son revolver, Marston ria une demi seconde en s'amusant de penser que lui c'était le revolver et son fils les livres, deux contraires...
" - Hey M'sieur ! Vous êtes enfin levé toi et m'man ? j'ai voulu me rendormir mais l'Oncle à quitté la maison en râlant... Je me suis dit que je pouvais peut être lui être utile pour quelque chose mais il était déjà parti..
- Laisse ce vieux bougre se débrouiller seul, fils. Ta mère m'a dis que tu voulais monter à cheval ?
- Oui M'sieur, j'aimerais allez aussi vite que le vent et être aussi fougueux qu'un étalon sauvage !
Marston père ria en prenant Marston fils par l'épaule...
- ça c'est mon fils... "
Jack, fier, s'essuya le nez d'un coup de manche et suivis son père, qui se passa de l'eau sur son visage marqué par son passé de hors-la-loi...

Message édité le 29 mai 2018 à 09:11:52 par OrionPax2308
OrionPax2308 OrionPax2308
MP
Niveau 7
29 mai 2018 à 09:09:41

Chapitre 2 : Faire un pas devant un train fou, juste pour se sentir à nouveau vivant

" - Tu feras mieux la prochaine fois, Jack...
- Ouais P'pa, mais je veux mieux faire maintenant !
- Un jour, fils, un jour... "
John et son fils rentrait de leur escapade à cheval, le soleil couchant face à eux. Ils arrivaient dans les terres de Beecher's Hope quand une épaisse fumée noir passe devant le ciel rouge. Jack, curieux, regarda cette fumée :
" - Dis M'sieur, tu penses que un jour l'on pourra partir en voyage toi, moi, m'man et Jodie ?
- Quand ta sœur iras mieux, peut-être un jour... en attendant va aider ta mère ! " Ainsi les Marston partis aux galops vers leur maison.

" -John ? John ?! John !
La voix grave de Dutch réveilla Marston. John peut entendre des injures mi-américaine, mi-mexicaine provenant de son camarade Escuella, il tournais en rond et fut surpris par l'énorme grognement qu'a fais le ciel noir aux éclairs bleus. Au loin John pouvait distinguer des chevaux élancés en leur direction :
" - Ils sont là ! Cria Arthur en montant sur son cheval d'une vitesse incroyable. John lâcha une injure et enfila sa ceinture, puis son chapeau pour enfin passé un toucher délicat sur ses cicatrices fraîches d'hier qui lui barre son visage.
-Ils devaient pas venir avant 4 jours ?
- Faut croire que notre dernière prise ne leurs à pas plu ! "
John enfila son colt puis monta sur son cheval pour fuir en direction d'une ville proche, suivi de Escuella et Arthur.
" - Ton petit passage à tabac chez eux ne t'a pas fait du bien, mon ami ! enfila Javier au galop près de John
- Que va faire Dutch ? Il vient pas avec nous ? Répondit John sans quitter des yeux Arthur qui galopais devant eux.
- IL VA NOUS GAGNER DU TEMPS ! Cria Williamson à John avant de se mettre à sa hauteur, il va essayer de marchander avec eux pour nous laisser la vie sauve ! Tu le connais il ferais n'importe quoi pour ses enfants !
Une éclair immense se fit retentir, le sol semblait s'effondrer sous leurs chevaux.
- Toute cette merde, c'est de sa faute ! dis Escuella en désignant du menton Arthur.
Puis dans un silence assourdissant d'une tempête, un coup de fusil retentit... ainsi s'effondra le cheval de John.

Marston étais tapis dans l'ombre de son ranch, entrain de fumer sur une chaise près d'une faible source lumineuse, Abigail sortie de la maison pour le rejoindre et posa sa main sur l'épaule de John :
" - Tu sais le coup de ma cuisine qui t'empêche de dormir ne fonctionne pas quand c'est pas moi qui cuisine...
John leva la tête vers sa tendre épouse puis enleva sa cigarette
- Si seulement il n'y avait que ça, chérie ...
- C'est la maladie de notre fille qui t’inquiète ?
John réfléchis avant d'inhaler de sa cigarette puis mentis
- Oui c'est ça ... c'est la maladie... "
John pris la main d'Abigail puis l'embrassa avant de lui dire en recrachant sa fumée de cigarette :
" -Demain j'irais chercher de quoi la remettre d'aplomb à Blackwater, j’emmènerais l'Oncle avec moi. "

Marston détestait Blackwater, cette ville le répugnait, il n'y voyais que le nouveau monde promis par ceux qui ont chassé les gens comme lui. C'était une ville en pleine construction mais les routes étaient assez larges pour accueillir un troupeau de bison, une bonne chose se dit-il, avant de réaliser qu'en réalité c'était pour faire passer la nouvel force de l'ordre dans leurs engins motorisés infernales. L'Oncle se tenait à quelques mètres de John, lui ne semblait pas déranger par cette nouvelle ville, ou alors était-il encore entrain de décuver de la veille ?
" - Va voir si il y a ce qu'il faut chez le médecin Oncle !
- Me donne pas d'ordre gamin ! cria l'Oncle avant de tourner le dos en direction du médecin
- Je te donne pas... John abandonna d'un signe de la main puis se tournis vers une troupe de personne qui semblait hypnotiser par le spectacle qui s'offraient à eux, un homme coiffé d'un haut de formes promettait force et invincibilité à ceux qui boirons "son élixir pour la coquette somme de 50$". John rigola intérieurement quand il vis le vendeur bougé des bras à la manière d'une poule pour garder l'attention de son public affamé...
Marston continua sa route quand soudain un cracha dans son dos, le fis s'arrêter net. Il sentit quelque chose s'appuyer dans le bas de son dos, sa main glissa délicatement vers son colt puis il reconnu la voix d'une vieille connaissance :
" - Bou-bou-bouge pas John, ou t-t-tes mort... "

OrionPax2308 OrionPax2308
MP
Niveau 7
29 mai 2018 à 09:10:24

Chapitre 3 : Lorsque les coyotes hurlent

-Tu-t-tu me reconnais, hein ? l'balafré...
-Je dois en être heureux ? rétorqua John dans un air peu enjoué
- ça d-d-dépendra de t-t-ta réponse ...
- Cause toujours ... "
Marston et le bandit se tenais toujours là, l'un visant l'autre dans le dos, personne ne semblait remarquer ces deux personnages à l'arrêt. L'homme emmena Marston vers un saloon, ils franchir deux tables de poker avant de rentrer, et encore une fois, personne ne semblait les remarquer. Marston à bien repérer quelques haussement de sourcils venant des joueurs, mais aucun idée si c'était pour lui ou pour leurs jeux en main. Une fois rentrés dans le saloon, l'homme fit signe à John de s’asseoir dans un coin du bar face à plusieurs tablées de jeux de cartes. L'homme s'assis face à John en retournant le dos de sa chaise vers Marston, toujours le pistolet braqué sur John :
" - ça fais-fais-faisait un b-b- bail hein ? Marshtan ... "
John fit semblant de pas remarquer que son nom venait d'être écorché. John semblait apaisé, il était assis avec sa jambe droite sous la table et la gauche prête à se jeter par terre au moindre bruit suspect, la main droite sur le colt, l'autre sur la table. Marston regarde tout autour de lui comme si l'homme qui le tenait en joue n'était pas là. Marston brise le silence :
" - Quel est le p***** de problèmes Henry ? C'est ça ?
L'homme avait donc un prénom, Henry, Marston profita de ce moment pour regarder plus en détails son visage, il était pâle, assez grand et plutôt maigre. Son visage et ses cheveux retirés en arrière était d'une justesse et d'une beauté qui ferait chavirer le cœur de plusieurs demoiselles en manque de compagnie. Seulement une cicatrice partant du front à l’œil droit scindait son visage parfait. L’œil droit, semblait ne plus pouvoir se refermer, ce qu'il faisait qu'il était extrêmement rouge, ce qui contrastais énormément avec le bleu de ses yeux. Il étais habillé d'une harmonie troublante avec ses yeux.
" - Tu sais qu-qu-que depuis ç-ç-ça ! Henry pointe son œil de sa main libre. Je suis p-plus le même ! enfin avec les f-f-filles, si t-t-tu vois ce que je veux d-d-dire. Il esquissa un sourire en regardant les cicatrices de John.
Marston tapota la table et sourie à son tour
- Dis moi ce que tu veux que l'on finisse ton manège, tu veux ?
- A vrai d-d-dire, je veux p-pas grand chose... Henry sortie une fiole d'eau de sa veste pour se faire couler quelque goûte dans son œil infirme , puis d'un coup de tête en arrière, la ramena délicatement vers Marston et d'un rictus malaisant demande
Arthur Morgan.
Marston étonné de ne distinguer aucun bégaiement, le regarda droit dans les yeux, puis s'appuya contre la table prenant le soin de garder sa main sur son revolver
- Je sais pas où se il se trouve... ou cela fait longtemps que je n'ai aucune nouvelle des ces ripoux !
Henry non satisfait de la réponse émis un petit grognement et d'un geste de la main se gratta l'oreille nerveusement.
Marston remarqua ce geste et pris le soin d'observer le moindre mouvement du saloon, à sa grande surprise personne ne semble avoir remarqué ce geste, John soupira intérieurement.
- Tu sais, Marshtan, dep-p-puis que t-t-ton "ami Arthur", Henry se remis des goutte dans l’œil, m'a f-fait ça, je ressens c-c-comme une envie d-d-de... vengeance."
Marston impatient de cette discussion inutile, se mis à tapoter du pied, et se leva d'un bond, puis se dirigea vers la sortie. Henry ne semblait pas vouloir le rattraper, il resta assis à se masser les tempes tandis que John parti.
A peine John avais-t'il quitter la bâtisse que deux hommes lui mis un sac sur la tête pour l'emmener dans un petite rue isolé. John essaya de se débâtir mais les mains retenus par un troisième personne, Marston peinais à s'en sortir. Les hommes se mirent à frapper John, puis soudain, plus de coups mais des pas se dirigeait vers John, il entendis des voix demander ce qu'il se passais ( sûrement les forces de l'ordres en tournées ) enfin un des kidnappeurs répondit que c'était un jeu entre eux, puis John compris que c'est policiers n'allaient rien faire pour lui quand l'un des deux à sortis, ne faites pas trop couler de sang. John eut envie de crier mais un homme lui asséna un coup de pied dans la face.

Le cheval de John tomba, la pluie déferlait et l'orage grognais si fort que John n'eut pu appeler ses amis qui galopaient déjà au loin, puis Marston se retourna encore à terre sonné par la chute, la pluie coulait sur son visage, ou bien son sang, Marston n'eut pas le temps de réaliser que les attaquants se trouvaient déjà au-dessus de lui. Dutch se trouvais derrière accroché à un cheval :
" - Dutch ? Tu vas bien ?
Marston savais que c'était pas la peine de demander, Dutch étais assommé et gisais au sol.
- Ou est mon fric Marshtan ? Celui que toi et tes chiens de frères m'ont volé !
- Va en enfer enfoiré ! cria Marston en direction du chef de la bande adverse qui n'était autre que Henry.
Dans un bruit sourd de l'orage et suivi de nombreuses éclairs, Henry sortie son couteau et l'approcha vers Marston
- Tu sais John, ce serais dommage que j'abîme ton visage... encore. Henry glissa le couteau sur le visage trempé de John.
Marston entendis un coup de feu puis un crie avant de voir tomber Henry, le visage entre les mains et pleurant comme une fillette. Arthur se trouvais au dessus de John, une barre de métal dans la main ensanglantée
- John ! Je te dépose quelque part ?
Marston agrippa la main d'Arthur puis partis loin de la bande adverse qui essaye de comprendre ce qui venait de se passer autour d'Henry, toujours entrain de pleurer, et d'autres qui essayait de tirer sur Arthur et John. La conduite du cheval par Arthur et l'habilité avec laquelle il évitais les balles impressionna John.

Le lendemain, le temps semblait s'être calmé et faisait place à un épais brouillard qui enveloppait le lointain désert. Arthur se trouvais non loin de John, près d'un feu de camp tout juste allumé :
" - Merci... John se releva et grimaça, il pris un miroir qui traînais dans les affaires d'Arthur puis se regarda dedans. Ces cicatrices de la joues étaient rouvertes et une de plus venait s'ajouter au niveau du nez.
-Tu sais, gamin, c'est la deuxième fois que je te sauve la vie. Arthur se relava surplombant la vallée qui s'offrait à leurs pieds.
Arthur Morgan était grand et d'une carrure imposante, son visage carré et ses yeux toujours froncés cachais en vérité un charmeur né. John admirais cet homme, malgré sa vie de hors-laloi, Arthur n'a jamais trompé ou tuer la mauvaise personne. Contrairement à Marston. Arthur s'assis près de John puis :
" - Pour un peu, tu serais morts au milieu du désert, et Dutch n'aurait pas été là pour te sauver...
- C'est toi qui à volé l'argent ? Arthur dis moi la vérité. demanda John en posant ses mains sur ses genoux.
Arthur visiblement dérangée par cette question, se releva pris un baton puis alla tasser le feux.
- John, il faut que tu comprennes que tôt ou tard... Dutch te trahira... On est pas ses enfants comme il veut te faire penser... Il nous utilise... Disons que l'argent volé c'est pour le bien ...
Arthur passa une main dans sa nuque, avant de retirer son chapeau. Marston méfiant observa Arthur longuement.
- Alors tu nous trahis ? tu te barres avec le fric ?
-C'est pas si facile, John ! Arthur semblait énerver et jeta son bout de bois dans le ravin. Dutch ne te protégeras pas éternellement ! Tôt ou tard ce sera toi ou lui, j'espère que tu seras celui qui appuiera sur la détente !
-Je peux pas trahir ma famille Arthur !
-Dutch ? Bill ? Javier ? Ta familles ? T'sais, gamin, une famille c'est pas ça ! Abigail est ta famille, Jack l'est aussi et ton futur bébé aussi ! Prend la moitié des mes sous et va loin refais ta vie !
- Impossible Arthur, Dutch m'a sauvé, il m'a offert une chance pour réussir.
- Voler ? Tuer ! tu appelles ça "réussir" ? "
Marston semblait toucher par les paroles d'Arthur.
" - Je vais te laisser de quoi rester ici un moment. Sauf si tu viens avec moi ?
John ne répondis pas. Arthur soupira et s'en alla sur son cheval avec son sac d'argent.
John observa Arthur partir vers une nouvelle vie.

OrionPax2308 OrionPax2308
MP
Niveau 7
29 mai 2018 à 11:54:39

Chapitre 4 : Je suppose que je vais vous voir dans l'au-delà.

Marston étais resté assis là , pendant un moment, à observer le levé de soleil au loin, la douce épaisseur de brouillard cachant le sol et l'horizon. Il se sentais détendu, en haut de cette montagne, le feux allumé précédemment par Arthur commençait à s'éteindre. Marston écoutais le crépitement des faibles flammes restantes comme si il écoutais un homme parlé de son histoire. Car dans ce monde, sans pitié, on a tous une histoire à raconté.. John se souvenu de l'histoire que Dutch avait raconté, à l'époque ou Arthur et Dutch étais les seuls de la bande. " On étais immortel et jeune, le montagne s'abaissait devant nous, le vent faisait dévier les balles qui auraient pu nous atteindre, et l'argent... ah l'argent mon gars... on en avait à dépenser pour une vie ! Mais nous avions vécus plusieurs vies avant même nos 20 ans.." John connaissais cette histoire sur le bout des doigts, c'est même celle-ci qui l'a convaincu de rejoindre la bande de Dutch. Marston revenu à lui quand une voix l'appela au loin : " John ! Qu'est ce que tu fiches ici ? On te cherchais partout ! " C'était Bill Williamson, le sous-doué de la bande, il savait à peine maîtriser son propre cheval. Marston se releva et distingua qu'il était accompagné de certains membres de la bande, excepté Arthur bien-sur. Williamson était suivi, de Javier qui avait à ses côtés Dutch encore sonné par les coups d'hier soir, à sa droite se trouvais deux autres chevaux, qui était monté par un vieux à la barbe jaunis par l'alcool et au chapeau usé, L'Oncle, John le considérais comme un alcoolique mais il savait énormément de chose sur comment survivre sans les moyens du bords, quand il était pas bourré. L'Oncle se trouvais juste devant une jeune femme blonde au visage creusé par la vie, Saddie, douée comme personne pour faire taire une personne, elle possède le meilleur bagou de tous New Austin !
" - Alors l'rookie ! Toujours entrain de rêver d'Abigail ?
John enleva sa fine couette des épaules et d'un signe du menton vers le haut envoya à Saddie
- Et toi toujours entrain de perdre au Poker menteur ?
John savais que Saddie détestais perdre, encore plus dans son domaine. Saddie répondis d'un crachat sur le sol. Ce qui écœuras Javier qui n'avait toujours pas accepté qu'une femme puisse être plus maligne que lui.
La bande étais arrivés au niveau du camp de fortune de Marston quand Dutch descendis du cheval pour donner un coup de pied dans le feu de camp tout juste éteins.
- Arthur Morgan ? Qui l'eut cru ? dit-il en se tournant vers sa bande les bras sur les hanches. Qui l'eut cru, nom de dieu ! Mon frère !
Dutch s'approcha de John et colla son front à Marston
- Toi John ! Mon enfant, jamais tu me trahiras ...
- Jamais Dutch, jamais..."

Marston avait été transporté dans les bois près de Blackwater, il avait reconnu les routes et les virages pris par les chevaux malgré son sac sur la tête. Il venait à peine d'être mis à genoux que l'un des hommes d'Henry lui enleva le sac, Henry se tenait devant lui, il se remettais des gouttes dans son œil. Il s'approcha de Marston puis le claqua si violemment que Marston eut l'oreille qui siffla pendant un moment.
" - Tu sais, J-j-john, ça me r-r-rappelle quand je t'ai abîmé ton joli minois. "
Puis accompagnant le geste à la parole Henry sorti un couteau de son blouson. Marston remarque son revolver sur un petit rondin de bois situé derrière Henry, qui simulais de couper tendrement un visage imaginaire entre ses mains.
- Quel plaisir de p-p-p-pouvoir te t-t-torture, une s-s-seconde fois, Marshtan !
- Ta gueule, Henry ! rétorqua John de sa voix grave
Henry surpris de la réponse cessa sa simulation vulgaire et s'approcha de John
- Morgan ne t-t-te sauveras p-pas...
- J'ai plus besoin de lui ! John asséna un coup de boule à Henry qui se mit à saigner du nez, tout en reculant Henry insulta John de tous les noms imaginables, Marston s'arrêta sur " Bouffeur de chattes sales " et " Crapule sans couilles ", au même moment John entendis un coup de fusil qui transperça la gorge d'un gros bras d'Henry, effrayé par le bruit, Henry courra se mettre à couvert derrière un tronc d'arbre tombé. Marston roula sur le côté pour frotter les liens qui retenais ses mains au coin d'un rondin de bois mal coupé. Les balles fusaient entre le tireur embusqué et le groupe d'Henry. John remarqua que personne ne prêtais attention à sa tentative de s'échapper. Une fois les liens coupés Marston courra cherche son revolver cattleman pour tirer une balle dans la tête du garde le plus proche, celui-ci tomba au sol comme une poupée de chiffon la tête ouverte par un trou béant entre les yeux, un autre garde qui avait aperçu la scène, s'approcha délicatement et John se glissa derrière lui, lui vola son couteau et l’égorgea vif, le sang se mit à jaillir, Marston se pris quelques goûtes au visage, qui lui fit sentir un sentiment de déjà vu. Tandis que l'égorgé tomba au sol, John saisi son pistolet et se retrouva avec deux revolver chargé prêt à l'action. Il remarque Henry s'enfuir à cheval avec l'un de ses hommes, John n'essaya même pas de lui tirer dessus, c'était trop tard. Marston pris une grand bouffé d'air et observa le nombre et la localisation de chacun. Un homme derrière un arbre; un autre couché au sol, et trois autres avançant vers le tireur qui aide Marston. Cinq hommes, cinq balles, John tira en premier sur l'un des hommes qui avançait, ce qui firent tournés les deux autres qui n'ont pas eu le temps de comprendre ce qu'il se passais qu'il étais déjà mort, Marston enchaîna sur l'homme couché, une balle dans le dos qui ressortis par la poitrine, le condamné se retourna et, au lieu de chercher à se défendre, mis sa main dans le cratère qui lui servait de poitrine et laissa tomber sa tête au sol, mort. La dernière victime allait tirer sur John, quand soudain Marston tira dans le revolver de son agresseur, la main en sang, la victime tenta de s'enfuir, mais John tira une balle de plus dans la jambe du fuyard. Six balles, une de trop pensa John.
Marston vit l'Oncle sortir de sa cachette, fier de lui, il avait déjà une bouteille à la main pour fêter sa réussite.
John s'avança vers l'homme blessé et tenta de ramper le plus loin possible de son prédateur, John l'arrêta net en appuyant fort sur sa plaie à la jambe, l'homme cria de plus belle.
" - Tu vas passer une belle après midi mon gars ! " enchaîna Marston en prenant sa proie par le col.

Message édité le 29 mai 2018 à 11:55:00 par OrionPax2308
OrionPax2308 OrionPax2308
MP
Niveau 7
29 mai 2018 à 14:08:11

Chapitre 5 : Tes mains sur l'arme d'un homme mort
" - Tu as trouver ce que tu voulais ?
Marston lança les médicaments vers sa femme, qui les saisis en vol.
- Elle ne va pas mieux, et toi tu prend ton temps pour venir ?
John fatigué d'avance par la discussion, marcha sur lui même, puis d'un doigt accusateur le pointa vers sa femme
- J'ai fais de mon mieux !
- John ! Notre fille se meure ! Tu le réalises ça ? lança Abigail à John juste assez fort pour que Jack n'entende rien.
Notre fils est plus présent auprès de sa sœur que toi avec ta fille ! Tu peux laisser la ferme le temps de la guérir !
- Je suis désolé, chérie... "
Marston tenta de prendre sa femme dans les bras mais celle-ci le repoussa et partie voir Jodie, souffrante.

Marston quitta la maison pour se diriger vers la grange, non loin de la bâtisse familiale mais juste assez pour n'entendre aucun bruit. L'Oncle se trouvais près de la porte, il attendais John avec impatience, dans un geste pour s'essuyer le front, l'Oncle s'approcha énergiquement vers Marston :
" - Tu aurais du le tuer avant de le ramener ici !
John continuant son chemin vers la grange poussa l'Oncle
- Du calme vieil homme ! cracha Masrton avant d'entrer dans la grange. "
Sa dernière proie se tenais là. Au milieu de la grange, les mains noués vers le ciel, suspendu au bout d'une poutre de la grange. John enleva son chapeau puis le posa délicatement sur la petite table, non loin d'autres outils les plus sanglants les uns que les autres. Marston fit craquer ses phalanges et, d'un coup brute et violent, arracha la dent de sa victime.

Marston cracha du sang par-terre et releva sa tête vers Henry, son visage si parfait était recouvert du sang de John.
" - John ! john, john, john ... Tu sais ou est mon argent ? Je te faisais confiance, toi et ta bande !
- Va te faire ...
John se pris un énième coup dans les côtes. Un bruit de craquement se fit entendre derrière les cries de détresse de John.
- Tu sais, tu es sûrement le plus sensés de ta bande, c'est pour cela que tu es là, d'ailleurs... héhéhéhé, John Marshtan !
- Je sais rien ! aboya John en crachant du sang
- Ok ! ok, pas la peine de t'énerver cow-boy... Henry sorti son couteau brillant de son blouson puis l'appuya sur le visage de Marston. Tu sais John, j'aime pas que les gens ait un plus beau visage que le mien.
puis Henry coupa la moitié du visage de John qui serra les dents pour ne pas montrer sa douleur.
Tu retrouves ta langue là ?! John continua de défier Henry du regard.

Marston continua de frapper sans s'arrêter le pauvre homme qui ne cessais de crier " Por favor ! Por favor ! "
John ne savait pas parler Mexicain mais il savait très bien ce que ces 2 mots signifiais. Il cessa de frapper, l'homme pensa que c'étais fini mais quand il vis John s'approcher des outils installés près de la table, l'homme se remis à crier les mêmes mots.
Marston saisit un marteau et tapa le creux de sa main avant de retourner voir sa proie. Il frappa les genoux de toute ses forces avec le marteau.
" - Dis moi où se cache ce chien d'Henry !
- Por favor, je ne sais pas ...
- où je peux le trouver alors ?
- Gaptooth Ridge ! Por favor !
- Bien ! Maintenant comme je peux m'approcher de ce fumier ?
- Il recherche des hombre ! muchos !
- Super ! "
John frappa les coudes d'un coup sec au marteau, l'homme cria.

Marston regarda son sang couler par-terre, puis Henry le pris par les cheveux et lui fit une deuxième coupure juste en dessous de celle d'avant.
" - Tu sais toujours pas là ?! cria Henry, Marston cracha du sang au visage d'Henry, et dans un dernier soupir, lui avoua ce pourquoi, John se fait tant malmené.
- Morgan... Arthur Morgan à ton fric, ducon !
Henry se releva et tapota Marston comme un petit chien
- Ba voila ! C'était pas si dur, Marshtan !
- MARSTON !
Henry se remirent face à John et en le regardant dans les yeux lui dis
- Pour moi tu n'es rien, John MarshtAn, tu n'es qu'un illuminé qui rêve de grandeur, et tu finiras par pourrir dans ce même désert !
John releva sa tête et regarda Henry de son visage le plus meurtrier qui sois.
- Je m'appelle John Marston ! Rappelle toi de mon nom..."
Henry ria et fis signe à ces hommes de guérir les blessures qu'il venait d'infliger.

L'homme implora Marston de le tuer. Ses genoux et ses coudes étaient en charpie, mais c'est pas pour autant que John cessa de le torture... Marston pris un fil de fer, le mit brûlé quelque seconde pour le ressortir tout chaud. Le bout du fil, était rouge de chaleur, John l'approcha de l'homme et lui mirent à lui faire plein de trou dans le corps en enfonçant son fil de fer aussi loin que possible. Marston s'arrêta au bout du quinzième trous, puis saisis le visage de l'homme et le contempla une dernière fois.
L'homme torturé étais jeune, Marston en déduis qu'il avait au moins 25 ans, ses cheveux brun en sueur cachais un visage typé aux yeux verts, la barbe naissante de ce jeune homme démontrais qu'il devait être parti de chez lui depuis un moment. Henry lui avait t'il promis la richesse ? la même que John cherchais aux côtés de Dutch ? Marston mis le fil de fer sur le front du jeune puis d'une voix grave et douce lui dis
" - Tu sais quel effet ça fait de se prendre une balle ? "
Marston enfonça tout doucement le fil de fer dans le crâne de la victime puis continua lentement jusqu'à sentir que le fil avait traversé la tête du pauvre jeune.
Marston laissa l'homme mort avec le fil dans la tête puis quitta la grange en prenant le soin de demander à l'Oncle de se débarrasser de cette pourriture. Marston eût juste le temps d'entendre un bruit de dégoût venant du vieil homme que Jack était déjà sortie de la maison pour rejoindre son père.
" - M'sieur ! M'sieur ! Maman et moi te cherchais partout.
John pris son fils par les épaules pour lui faire tourner le dos à la grande, Jack remarque ce geste étrange.
- Ta sœur va bien ?
- Oui p'pa ! enfin M'sieur, je veux dire elle à ouvert les yeux ! "
Jack et John s'empressèrent de rejoindre la chambre de Jodie. Abigail se tenait au chevet de sa fille, pâle comme un linge, ses cheveux brun trempés par le gant mouillé que tenais Abigail était écrasé par son visage somnolent, ses yeux bleus venait de s'ouvrir pour la première fois depuis... John l'ignorais. Sa main s'est levé pour saisir le bras de sa maman. Jodi avait les mêmes tâches de rousseur que sa mère et les mêmes yeux battant que son père, seul la forme de son visage était unique contrairement à Jack et son visage rond, Jodie avait une petite tête amende, ses yeux, son nez et sa bouche était situé entre deux grande crevasse formé par ses joues. Elle regarda sa famille, ses yeux passèrent de John à Abigail...
" -Mon ange ça va ? Tu veux quelque chose ?
- J'ai toujours voulu un chien... dis t'elle de sa voix tremblante.
La famille Marston ria à la drôle de demande de Jodie
puis John s'approcha et l'embrassa au front
- Quand tu iras mieux d'accord ? en attendant dis moi si je peux faire quelque chose ?
Jodie regarda son père puis dans un ultime souffle, ferma les yeux pour toujours.

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