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Sujet : Génération Hip hop

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MP
Niveau 8
12 juin 2018 à 19:28:00

À la tête de l'empire ottoman se trouve le sultan-calife Abdul Mecid. connu pour ses actions réformatrices, il est dans la droite logique de la politique de son père le précuruseur des tanzimats, Mahmud II. Abdul Mecid Grâce aux opérations de son père qui a centralisé l'empire en se débarassant des seigneurs régionaux et reformé le personnel administratif. II dirige un état plus consolidé malgré des pertes territoriales conséquentes.
Mais il traine avec lui un pays lourdement ralentit au niveau de ses structures économiques et en proie à l'inflation. Se lançant dans le vaste chantier de la remise à niveau de l'économie, la sublime porte voit desormais en la politique de libre échange avec les grandes puissances européennes, une concurrence effréné qui bride l'appareil de production ottomane. Ce libre-échangisme a une origine, les capitulation ottomanes qui sont des traités de commerces vieux et obsolétes signés avec les nations d'Europe notamment la France. L'empire turc, mené par les efforts de son Calife s'est mis à la tache de renégocier ces traités en cette année 1852.

Ces négociations rassemblant Istanbul,Paris et Londres aboutissent avec succés à l'approbation franco-britannique au sujet de la mise en place d'une politique protectionniste ottomane et la fin des capitulation.

20 % de droit de douanes sur tout les produits importés dans l'empire ont été statués. Ainsi la Sublime porte, en particulier grâce au soutiens de la France, rejoindra le concert des grandes nations dans l'adoption du protectionnisme et la préservation de son appareil de production.

Cependant l'action du Calife est loin de se limiter à celà. En plus de la nouvelle taxe douanière et de la taxe sur la production déjà existante. Une taxe foncière indexée sur le revenu est statuée. Elle remplace le célèbre le kharadj.
Tout comme la taxe sur la production elle ne fait pas de distinctions entre les religions mais plutôt entre les classes sociales car l'empire ottoman est héritié de son passé militaire. Les askeris ( fonctionnaires d'état et militaires ) ne sont pas touchés au contraire des re'aya, les producteurs qui sont aussi la majorité de la population.
Si de nouvelles taxes ont lieux, la collecte fiscale elle? est réformée, elle aura lieu dans un sens plus hiérarchisé et centralisé : les hauts fonctionnaires participent à un contrôle accru des finances. L'argent des taxes sera directement envoyé dans les caisses du trésor impérial et ensuite re distribué et dépensé et non pas dépensé directement par les localité qui récoltent l'impôt.

Toujours pour un soucis de contrôle d'argent. Le système de finance de l'empire sera ré organisé.
En 1837 un ministre des Finances fut nommé pour la première fois mais celui-ci n’avait pas de responsabilité dans la préparation du budget. Habituellement, les ministres du sultan demandent des allocations de ressources sans être obligés de rendre compte au ministère des Finances. Par ailleurs, chaque ministère ajoute de nouvelles dépenses en liaison avec de nouveaux besoins, et la corruption est donc courante. Ce système pose alors un grand problème puisque le sultan et son administration ne peuvent pas contrôler de façon convenable les finances du sultanat. Ainsi à partir de ce jour, les pouvoirs du ministre des Finances sont portés à leur juste valeur. La totalité des impôts transiteront par son cabinet, il sera alors chargé de repartir en fonction de leurs besoins, l'argent prélevée aux différents ministres. Cette répartition de l'argent sera bien encadrée par un conseil des finance accompagnant le ministre et qui transmettra les rapports sur les finances au reste du gouvernement.

L'empire ottoman est cependant conscient que sa politique économique ne fera pas l'unanimité mais elle est nécessaire. Le salaire des petits fonctionnaires sera augmenté dés l'année prochaine grâce aux nouvelles rentrés d'argent dûs aux impots. L'objectif étant de s'assurer leur fidélité alors que la centralisation de l'empire est encore faible et en proie au retour des notables influents comme maitre et seigneur de leurs localités.

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MP
Niveau 8
18 juin 2018 à 12:25:42

Pour conclure l'action économique de l'empire, le grand vizir annonce la création d'une banque centrale ottomane à Istanbul. Comment et pourquoi ?
_À l'aide des nouvelles taxes mise en place, une parti du profit de 1853 sera détournée pour donner du grain à moudre à la banque. Pour la diriger un corp de fonctionnaire turc sera appelé, il composera le " diwan de gouvernance de la banque Ottomane ". Avec à sa tête, le gouverneur de la banque ottomane nommé par décret du Sultan.
Pour secondé ce diwan ( équivalent d'un cabinet ), une commission de conseillers anglais et français issu des missions occidentales sera mise en place.
_Enfin la raison de la création de cette banque est le besoin primordiale d'une institution apte à gérer à temps plein la politique monétaire de l'empire en temps d'inflation. La banque sera propriété d'état, son objectif principal sera de maintenir la stabilité des prix pour avoir ainsi le moyen d'agire directement sur la masse monétaire turque et faire donc diminuer l'inflation au fil des années.

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MP
Niveau 8
18 juin 2018 à 12:42:38

Le sultan Abdul Mecit a été durant ces deux ans l'auteur d'un dynamisme politique remarquable. La Sublime Porte tient pour objectif precieux de ne pas se faire distancer par le développement égyptiens. L'action de son Sultan donne à l'empire un réel espoir de réussir sa consolidation dans ce nouveau monde. Une consolidation sur tout les plans. C'est ainsi qu'aprés l'annonce des nouvelles taxes ottomane le gouvernement ottoman se lance dans l'ardente tache de terminer la codification du droit ottoman et de ré organiser décemment les nouvelles missions occidentales pour que de leur présence déjà gênante soit tirée le plus grand profit possible.

La Codification du droit.

Lié à la volonté de légaliser les rapports entre l'état et ses sujets
pour rendre ainsi les compétences du pouvoir plus consistantes et légitimes. L'empire se lance dans l'objectif de mettre en place un support écrit complet aux pratiques administratives et de codifier le pouvoir étatique. Pour la Sublime Porte l'imposition d'un droit impériale rédigé dans une région est synonyme de l'affirmation de son autorité dans les différentes régions de l’Empire tout en démontrant sa volonté de préserver la justice de ses sujets.

:d) Le code civile et le code administratif en plus du code du commerce.

Le code du commerce rédigé avec succès durant la première moitié du 19e siècle est le premier code ottoman. Pour donner à l'empire le socle d'une législation moderne: le code civil, le code pénal et le code administratif vont naitre de la plume ottomane inspiré par l'exemple français déjà suivi par l'Egypte mais aussi des bases anciennes de la société ottomane qui opèrent une différence fondamentale entre les serviteurs de l'état ( fonctionnaires ) et les sujets normaux.

_Le code civil ottoman promulgué n'est cependant pas copié du droit napoléonien comme la fait l'Egypte. L'âme d'un empire se reflète dans sa lois c'est pour cette raison que le Sultan Abdul Mecit a tenu à mettre en place une commissions de législateurs turcs issus des grandes écoles et une autre issu des fuqaha ( docteurs de la jurisprudence islamique ). Des divergences logiques qui vont naitre le sultan se donne la responsabilité de trancher et c'est en faveur des avis des fuqahas qu'il donnera raison sur les nombreuse lois civiles issus des lois chariatiques tel que les lois de l'héritage familial ou du mariage. Ainsi ce corpus de lois est en bonne parti une codification des avis de l'école de jurisprudence hanafite les plus adpatés à l situation ottomane, l'une des 4 école de lois sunnite.
_À celà s'ajoute le code pénal. Les sanctions de la charia y seront rédigés sur les questions du vol, de l'adultère, de l'apostasie ou encore de la trahison politique. Cependant les législateurs issus de l'éducation séculaire intégreront de nouvelles options de punition pour ces crimes. Tel que l'exil pour l'apostasie. La prison et les amendes pour le vol et l'adultère. Ainsi l'empire sans renier le droit pénale islamique donnera à ses juges des moyens plus adaptés pour sanctionner en accord avec les finalités de la législation islamique.
_Enfin le code administratif verra toute les nouvelles methodes de fonctionnement entre le Sultan et ses fonctionnaires, légalisées. Rajoutons aussi les nouvelles taxes codifiés. La taxe douanière. La taxe sur le revenu annuel et la taxe sur la propriété foncière.

Le cas particulier des milets.

Les milets, un régime communautariste qui permet aux communautés non musulmanes de vivre sous leurs propres lois civiles. En cette période de réorganisations où l'on recherche l'unité de l'empire les regards sont tournés sur cette institutions qui parait à première vue gênante. Pour autant le gouvernement y voit là un moyen d'acheter la paix social avec les non musulmans. Les milets ne sont pas abolis, ils sont légalisés avec le reste de l'empire. Ainsi les patriarches de toute les communauté de l'empire ont proposer au sultan un code civil qui régit le droit dans les rapports entre chrétiens et qui fait lois dans leur milet une fois validé par Istanbul.

:d) l'organisation des missions étrangères.

D'Allemagne de Prusse et de France les étrangers viennent en Orient mandatés par leur rois ou empereur sans avoir encore reçu d'objectifs clairs à remplir. Donnant ainsi l'impression que la sublime porte ne connait pas les chantiers qui sont les siens, pourtant le Sultan et ses agents connaissent très bien leurs dossiers.

2 commissions seront formés.

1) La commission des écoles. Pour assurer la formations intra ottomane de ses propres agents, l'empire a commandé la rédaction de nouveaux programmes scolaires et de nouveaux examens touchant l'économie, l'ingénierie ( en industrie militaire télégraphique et minière ), l'administration et la formation des officiers militaire. Une commande qui annonce la création de nouvelles grandes écoles dans un avenir proche.

2) Une commission qui préparera la formation très spécifique d'un corp de 30 agents ottomans. Une formation qui concerne la gouvernance d'une banque centrale. Projet trés réfléchi au sein du gouvernement ottoman, les débats ont menés le pouvoir à décider d'organiser la formation poussée sur 2 ans de ses hauts fonctionnaires avant de leurs donner les clés d'une futur institutions qui sera primordiale pour le futur de l'Empire.

Le reste de la mission concerne l'accompagnement du patronage ottoman dans les chantiers de chemin de fer.

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