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Sujet : A l'aube de nos différences [Tome 1]

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Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
10 décembre 2014 à 16:50:30

Hello :hap:

Vu que ma fic à été mystérieusement supprimée ( :mort: ), et que je ne sais pas comment la faire revenir, je vais reposter les chapitres (environ 1 ou 2 par jour, le temps de revenir la où je m'était arrêter).

Prologue

Elle lui manquait. Terriblement.

Lorsque, trois mois plus tôt, elle avait dû revenir chez elle, au Crépuscule, et qu’elle avait brisée à tout jamais le Miroir des Ombres, Link avait senti quelque chose se fissurer en lui. Il était resté immobile devant le reste de l’artefact, incapable de ressentir autre chose qu’un grand vide, un gouffre géant en lui, qui aspirait tous ses émotions pour ne laisser qu’une horrible tristesse teinté de désespoir. Il ne parvenait pas à savoir pourquoi.

Deux semaines plus tard, il retrouvait son village et ses habitants. Il aurait dû être heureux de retrouver les siens, de reprendre un train de vie normal. Mais au contraire, l’absence d’aventure et d’émotions fortes, lui rappeler douloureusement celle de Midona.

Il se sentait amorphe, vidé de toute vigueur. Sa formidable résistance et sa volonté semblait avoir été engloutit par la vague de nostalgie qui l’avait submergé, et dans laquelle il se débattait, néanmoins conscient que tous ses efforts ne le sauverais pas de la noyade.

Pourtant, malgré sa détresses, il continuait à sourire, à feindre la joie, à vivre. Il sentait juste que, dans l’ombre, quelque chose lui manquait.

Chapitre 1

Le soleil n’était encore qu’une vague ligne de lumière à l’horizon lorsque Link se leva. Il s’étira longuement, tout en pensant à la journée qui l’attendait, qu’il devinait semblable à celle de la veille. En un mot : ennuyeuse.

Il se prépara rapidement, descendit les deux échelles de sa maison et s’avança vers Epona, sa jument.

–Salut ma belle, murmura-t-il, bien dormi ?

Le quadrupède répondit par un joyeux hennissement, qui fit sourire le jeune homme. Il prit le temps de la panser soigneusement, puis il l’enfourcha d’un mouvement souple et se dirigea vers le village, quelque mètre plus bas.
Les villageois dormait encore, et le seul bruit que venait troublée la tranquillité matinale étaient les quelques trilles que lançait les oiseaux de la forêt. Link respira profondément, goutant la quiétude du moment avec délice. L’aube était sans aucun doute sa partie de la journée préférée, sûrement car elle représentait le contraire du crépuscule.

En arrivant au niveau de la demeure de Bohan, il fut surpris de voir Iria, son amie d’enfance, dehors, à l’attendre.

–Iria ? Mais qu’est-ce que tu fais debout à cette heure ?

-Je…Je voulais te parler. Avoua-t-elle en baissant timidement les yeux.

–Me parler ?

-Oui, si ça ne te dérange pas.

Link lança un regard vers la bergerie, plus haut. Il avait l’habitude de s’y rendre très tôt le matin, mais après tout, rien ne l’empêcher d’y aller un peu plus tard. Il sauta donc de sa fidèle jument et l’accrocha à un arbre proche.

–Eloignons-nous, lui dit Iria. On sera plus tranquille.

–Je te suis.
Ils se rendirent dans la forêt, près du lac de Latouane. Le cœur de Link se serra. C’était à partir d’ici que c’est aventure avec Midona avait vraiment commencé. Midona…pensait-elle encore à lui ? Il voulait croire que oui.

Ils s’assirent dans l’herbe fraiche, l’un en face de l’autre. La jeune fille semblait mal-à-l’aise.

–Alors, demanda Link, tu veux me dire quoi ?

-Eh bien…c’est que…

Iria pris une grande inspiration puis déballa, d’un coup.

–Je t’aime, Link.

Le jeune homme resta indécis face à cette déclaration. Depuis déjà longtemps il se doutait des sentiments d’Iria à son égard. Plusieurs mois auparavant, il aurait souri et aurait lui aurait déclaré sa flamme à son tour et, sans doute toute réserve disparue, l’aurait embrassé. Mais maintenant qu’il avait rencontré Midona, il n’était plus sûr de rien par rapport à ses sentiments pour la jeune fille.
–Ecoute, murmura-t-il, je…je ne peux pas…

-Tu as déjà quelqu’un, c’est ça ? L’interrompit la jeune fille d’un ton presque agressif
Link s’empourpra, voulut dire non. Puis il se ravisa, et admit ce que son cœur lui soufflait depuis un moment. « Tu ne peux pas lui mentir. Et tu ne peux pas te mentir à toi aussi. Pensa-t-il. »

-Oui, c’est vrai. J’aime déjà quelqu’un.

Il voulut rajouter quelque chose, mais Iria était déjà partit en courant, les yeux pleins de larmes. Il n’essaya pas de la rattraper, conscient que cela ne servirait à rien. Il lui parlerait plus tard, quand elle serait calmée.

Il se leva à son tour et rejoignit Epona. En réalité, il ne savait pas vraiment s'il aimait véritablement Midona, mais, une chose était sûr, sans elle, la vie lui paraissait bien fade.

siniro76 siniro76
MP
Niveau 10
10 décembre 2014 à 18:38:59

Eh bah ce sera l'occasion de rattraper mon retard moi :hap:

C'est quand même étrange que tu ai perdues ton topic :(

Boh, j'imagine que si on se plaint, ça changera rien, on est paumé au fond des forums du site :noel:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
10 décembre 2014 à 20:11:25

je vais pouvoir corriger quelques incohérences :oui:

Et puis, au moins, les délires un glauque sur ledit topic ont été à jamais rasé de la surface du forum...:sarcastic:

siniro76 siniro76
MP
Niveau 10
10 décembre 2014 à 21:13:30

Mais, toutes nos discussions :snif:

Ces soirs d'Automne où Suki, par désir ou frustration, nous racontait ses ébats intimes avec ses Yaoi :coeur:

Les fois où toi, la Capote, tu te faisait martyriser par cette chose inconnue et ésotérique qu'est "la saucisse" :(

Ces jours où Linkoux nous susurrait a l'oreille que... Ah nan c'est vrai il était pas là :hap:

Ces moments émouvants où Alta nous montrait et surtout, Démontrait la taille de son Pé... égo :noel:

Enfin surtout, il nous démontrait qu'il était pas là :(

Ah, que de Nostalgie :hap:

Par contre c'est bizarre, on voit que le nombre de messages postés par TOI... :(

Edit : Ah nan, celui la a été actualisé :(

C'est génial de modifier un post :noel:

Message édité le 10 décembre 2014 à 21:14:40 par siniro76
Atsuki_Zelinda Atsuki_Zelinda
MP
Niveau 10
10 décembre 2014 à 22:06:25

Je peux vous les raconter à nouveau mes amours... :sournois: J'en ai même écrit certains, à jamais cachés par d'autres pseudos sur d'autres sites... GNEUHEUHEUHEUHEUHEUUUUH ! :fou:
PS : Cette dernière partie était une simple plaisanterie hein ?

C'qui est cool, c'est que j'ai gardé quelques échantillons rigolos, tels que :
Capowala-13
Posté le 19 mai 2014 à 18:23:12
J'ai une passion secrète pour la vache violette de Milka...

Capowala-13
Posté le 8 septembre 2014 à 19:47:48
C'était plus fort que moi, désolé :hap:

... Merde alors, j'ai que 2 posts, et seulement de Capote... :doute: Je pensais avoir d'autres preuves flagrantes de votre folie, vous autres ! :fou:
+ Oui, le fait que l'espèce de Capote se soit un jour excusée m'a choquée, beaucoup beaucoup choquée :rire:

Message édité le 10 décembre 2014 à 22:07:20 par Atsuki_Zelinda
Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
10 décembre 2014 à 22:10:38

Moi, martyriser par cette saucisse véreuse ? Que nenni :hap:

Ouais, il y avait vraiment de tout sur le topic : débat sur les surdoué, relation contre nature ( milka :coeur: ), tentatives de suicides, déboires amoureux ( :sarcastic: ), joutes rhétoriques sur les complots, capotes tricolores, juifs.... Que sais-je encore ? :hap:

Enfin, bon, je pense que cette fic encore toute innocente va elle aussi plonger dans le chaos, donc on aura bien l'occasion de se trouver d'autres penchants honteux...

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
10 décembre 2014 à 22:16:23

Arg, sale saucisse dégénérée :fou:

Intéressant, madame (ou monsieur :rire2: ), expose ses perversités à tout le monde...je retient :hap:

Atsuki_Zelinda Atsuki_Zelinda
MP
Niveau 10
10 décembre 2014 à 22:24:44

Mes amis se méfient de moi parce que je garde toutes les infos qui pourraient être utiles au cas où, n'oublie pas ça Capote de lépreux... :sournois:

T'aimerais bien hein ? :sournois: Mais pas de preuve, pas coupable ! :sournois:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
10 décembre 2014 à 22:27:41

Pas de preuve, mouais... :sarcastic:

Le 10 décembre 2014 à 22:06:25 Atsuki_Zelinda a écrit :
Je peux vous les raconter à nouveau mes amours... :sournois: J'en ai même écrit certains, à jamais cachés par d'autres pseudos sur d'autres sites... GNEUHEUHEUHEUHEUHEUUUUH ! :fou:

siniro76 siniro76
MP
Niveau 10
10 décembre 2014 à 22:55:36

Le 10 décembre 2014 à 22:06:25 Atsuki_Zelinda a écrit :
Je peux vous les raconter à nouveau mes amours... :sournois: J'en ai même écrit certains, à jamais cachés par d'autres pseudos sur d'autres sites... GNEUHEUHEUHEUHEUHEUUUUH ! :fou:
PS : Cette dernière partie était une simple plaisanterie hein ?

Quand tu parle de la dernière partie, c'est du "GNEUHEUHEUHEUHEUHEUUUUH" j'imagine :hap:

Oh ouais ! Mon coeur ! Raconte nous une histoire ! :cute:

T'as que deux posts ? de quoi tu parles ? :(

T'as pas de preuves flagrantes sur nos déboires , fantasmiques, érotiques, sensuelles ou complètement perverse sur moi et les autres en fait ? :hap:

metal-tartine metal-tartine
MP
Niveau 10
11 décembre 2014 à 07:37:40

Salut capote :noel:

Va sur le réclamation :d) https://www.jeuxvideo.com/forums/0-1000017-0-1-0-1-0-reclamations.htm

et demande la restitution du topic. :o))

Tu peux aussi voir ça avec un admin en privé ! :ok:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
11 décembre 2014 à 17:04:21

Merci pour le conseil :ok:

Atsuki_Zelinda Atsuki_Zelinda
MP
Niveau 10
11 décembre 2014 à 20:30:31

Ça, c'était pas une preuve parce que j'ai bien précisé que c'était une blague :nah:
+ Il faudrait que je range mes post-it (c'est là que je fous les petits trucs que je trouve drôles ou intéressants) :noel:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
11 décembre 2014 à 21:04:35

Voila la suite.
Bientôt, je ferais un petit aparté pour bien présenter la situations du crépuscule :hap:

Chapitre 2

-Le ciel est magnifique cette nuit, tu ne trouves pas Saahab ?

Le splendide étalon noir renâcla, comme s’il manifestait son accord. Majestueuse forme noire dans l’immensité du désert, il avait quelque chose d’irréel, de royal. Allongée dans le sable, Midona sourit.

Elle ne regrettait pas de s’être enfuie du château pour rejoindre le désert. Bien sûr, demain, quand elle rentrerait, elle aurait droit à un interminable sermon. Mais cela n’avait pas vraiment d’importance.

Elle sourit de nouveaux en pensant à la nouvelle vie qui s’offrait à elle. De nombreux mois avant, elle était encore une simple servante au château, embauchée dans les rues de la capitale où elle vivait sans toit, après avoir dus quitter le désert ou elle vivait avec une communauté de nomade. Maintenant, la voilà choisie pour gouverner un royaume et loger dans le plus prestigieux des palais, tout cela parce que, selon la tradition du Crépuscule, l’identité du future dirigeant ne dépendait pas de la ligné mais d’une étoile.

Oui, d’une étoile.

La grande étoile Siirà devait, disait-on, murmurer le nom du futur roi ou de la future reine à l’oreille du Grand Prêtre lorsque le dirigeant actuel décédait, lequel devait ensuite se charger de remettre la personne choisie entre les mains d’éducateurs royaux. Il n’existait ainsi aucune famille royale. Celons la tradition, l’identité de cette personne était gardé inconnue au peuple jusqu’au jour de son couronnement. Aux yeux de la population du Crépuscule, Midona n’était donc encore qu’une jeune fille parmi une autre. Et aux yeux des colons, elle n’était toujours rien d’autre qu’une Crépusculienne, un être dangereux qui ne méritait pas le statut d’être humain car Banni des déesses, et dont l’existence était une insulte envers la religion.

Elle soupira. Cette nuit, elle ne devait penser aux colons, aux « Saabus », et à leur système injuste. Pas alors que ciel était aussi magnifique.

Comme elle n’avait jamais reçu d’éducation royale, ses éducateurs rattrapaient le temps perdus en lui faisant avalée des tonnes de leçons, de documents administratifs et de cours, le tout assaisonné par une bonne couche de conseils. Elle en avait la nausée !

Cette escapade dans le désert lui paraissait donc tout à fait justifiée. C’était une sorte de pause digestive, un moyen de ne pas mourir étouffée.

Souvent, elle se demandait à quoi tous ces cours lui servaient, puisque ce ne serait jamais elle qui prendrait des décisions pour son pays mais les autorités de Talm. En réalité, être princesse du Crépuscule n’était qu’un titre vide de sens, le dernier symbole d’un peuple soumis.

Sa fuite avait aussi un autre motif : elle avait besoin de réfléchir. De réfléchir sur le chaos de sentiments qui bouillaient en elle depuis…depuis qu’elle avait quitté Link et le monde de la Lumière.

–Tu pense qu’il ne m’a pas oubliée ? murmura-t-elle à son cheval.

Saahab resta silencieux et immobile. Midona soupira.

–Tu t’en fous, j’imagine. Et tu as raison. Cette question n’a aucune importance.

Elle secoua sa longue chevelure couleur de braise et se décida à rentrer au Palais.

Link boucla la ceinture qui retenait sa tunique verte et glissa une épée dans le fourreau accrochée à ses épaules. Il était prêt à partir.

La veille, il avait parlé à Iria. Beaucoup parlé.

La jeune fille l’avait écouté, sans rien dire, puis l’avait quitté, sans qu’il puisse savoir si elle était triste, en colère contre lui, ou les deux.

Il avait ensuite pris sa décision. Il ne pouvait pas rester dans son village, à suivre le même insoutenable quotidien, il devait réagir. Il avait entendu parler d’une grande bibliothèque dans la Citadelle, la capitale d’Hyrule, et espérait y trouver un moyen de passer dans le monde des ombres sans devoir passer par le miroir.

Le jeune Hylien salua tous les villageois et leur promis de revenir le plus vite possible. Il tut cependant la vraie raison de son voyage, la jugeant trop personnelle.

–Fait attention à toi, Link, les routes ne sont pas très sûres, tu sais. Le conseilla la mère de Colin.

–Eh ! dit-il en riant. Tu oublies que tu as en face de toi le plus grand épéiste du royaume, après Moïs ! L’homme sourit.

-J’ai bien peur que tu m’as dépassé depuis longtemps, Link. J’espère que mon épée te sera utile.

Link acquiesça. Il n’avait pas voulu reprendre Exalibur, sachant que cette épée ne devait servir qu’à sauver le monde, pas à accomplir une quête personnelle, et il avait de ce fait emprunté l’épée de Moïs.

Lorsqu’il eut salué tous les habitants du village, à l’exception d’Iria qui était restée introuvable, Link se mît en route. Il galopa longtemps, goûtant à nouveaux le vent de l’aventure avec délice. Puis, lorsqu’Epona commença à montrer des signes de fatigues, il ralentit et laissa son esprit dériver.

Il pensait aux raisons qui avaient poussé Midona à briser le miroir. Apparemment, il n’y en avait aucune. Le crépuscule et le monde de la lumière vivaient, certes, chacun de leurs côtés, mais il n’y avait pas lieu de les séparer. Et curieusement, Xanto avait tenté de brisé le miroir lui aussi, comme si Midona et lui, bien qu’ennemis, avait ressentie le devoir, le réflexes, d’interdire le passage entre les deux monde.

Etait-ce pour protéger le monde des ombres ? Mais alors de quoi ? Link se souvînt de ce qu’avait dit Xanto, à la source de l’esprit.

« Aurait-tu oublié qu’il est un habitant du monde de la lumière ? Que son peuple opprime le nôtre ? »

Il fronça es fins sourcils. Si le crépusculien disait vrai, alors le monde des ombres se protégeait...de son monde à lui? Il secoua la tête, refusant d'y croire. De deux coup de talon, il lança sa jument au galop.

Avec le sentiment d’ignorer beaucoup de chose.

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
11 décembre 2014 à 21:14:23

Mais personne n'est obliger de te croire quand tu prétend que ce n'est qu'une blague, mon très cher travesti :sournois:

Atsuki_Zelinda Atsuki_Zelinda
MP
Niveau 10
11 décembre 2014 à 21:35:48

Tout comme personne n'est obligé de te croire, ma petite capote tricolore :noel:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
11 décembre 2014 à 21:45:53

Mais moi, j'ai le message à l'appui :rire:

Linkoux16 Linkoux16
MP
Niveau 8
12 décembre 2014 à 19:58:08

On m'a appelé :hap: ?

siniro76 siniro76
MP
Niveau 10
12 décembre 2014 à 20:26:20

C'est un peu tard m'enfin... :hap:
D'ailleurs nan, je crois pas qu'on t'ai appelé :(

Nan mais j'avais cerné que c'était une blague :hap:
Pis t'façon m'en fout; Ma Suki c'est la meilleure, même si elle lit des trucs cochions gay, bah c'est la meilleure :coeur: #SoumissionFaceàlaDame

D'ailleurs, Linkoux, faudrait pas que Suki vienne sur ton Twitch, n'est-ce pas :noel:
Sinon on serait pas dans la merde avec Zarato :sarcastic:

Orleandra_M Orleandra_M
MP
Niveau 7
14 décembre 2014 à 18:45:15

Oops, j'ai du retard :desole:

J'ai apporté pas mal de changements dans ce chapitre et le suivants.


Chapitre 4

-Par les éclats du Miroir, Midona, mais qu’est-ce qui vous a pris de partir comme ça, toute seule, dans le désert ! Vous auriez pu mourir ! Surtout la nuit !

La jeune princesse poussa un soupir agacé. Pourquoi fallait-t-il que sa surveillante exagère toujours tout ? Elle était rentré ce matin, en passant par la fenêtre de sa chambre, pensant que personne ne l’avait remarqué, mais un garde l’avait surpris et était venus prévenir sa gouvernante. Maintenant, elle était assise dans le petit bureau de celle-ci, à subir des reproche.

-Ecoute, répondit-elle, j’ai passée presque toute mon enfance dans le désert, je savais ce que je faisais ! Et puis je n’étais pas seule, il y avait Saahab avec moi.

Sa gouvernante, une femme de couleur plus claire que la moyenne au crépuscule, et d’un certain volume, leva les yeux en l’air, exaspérée.

–Princesse, cessez de parler de cette…bestiole comme si c’était un être humain. Et arrêter de vous montrer aussi insolente !

Midona ne dit rien, mais eut un sourire tellement impertinent que le courroux de sa gouvernante augmenta d’un cran

. –Vous êtes insoutenable ! hurla-t-elle. J’aviserai de votre comportement avec le premier conseiller, et j’espère qu’il prendra les mesures pour vous calmer. Maintenant, je vous prierais de me laisser.

–Bien madame, sourit la jeune fille en s’inclinant légèrement, la main sur son cœur, toujours avec cette pointe d’ironie qui rendait fou les adultes.

Elle s’éloigna tranquillement, ignorant le regard furieux de l’imposante crépusculienne. Une fois à l’abri de son regard, elle se dirigea vers la sortie. Une foule incroyable entrait et sortait du palais, même si rare était les personnes qui allait au-delà du grand hall, qui, d’ailleurs, n’avait presque plus rien du hall puisque l’immense salle était employé à présent comme…une place publique. Des tables avaient été installé, des marchands plus ou moins honnête tentait de vendre leur produit et il y avait même un écrivain publique, qui assit derrière un bureau, exerçait son métier en toute impunité. Un brouhaha permanent régnait.

Si les citoyens était autorisé à vendre dans le Palais, du moins dans le hall, c’était grâce à un ancien décret qui définissait l’entrée de la demeure royale comme public. Dès lors, personne n’avait pensé à réviser ce décret.
Midona ne s’en plaignait pas, au contraire. La foule dense qui s’engouffrait par l’entrée, et celle encore plus importante qui en sortait lui permettait de se glisser dehors avec aisance, invisible aux yeux des gardes.

Dehors, elle poussa un long soupir de soulagement. Qu’il était bon de s’éloigner de l’atmosphère alourdie du palais ! Il faisait chaud, presque étouffant dans la ville, malgré que ce soit la fin de l’été. Au crépuscule, la température était particulièrement élevé, ceci alors qu’il n’y avait aucun soleil, et l’année était divisé en deux saison seulement, la saison des Bourrasque, et la saison du
Feu.
La ville, Dak-tsu, était divisée en deux partie. Les quartiers des Saabus, au nord, plus agréable à vivre car moins exposé au grande chaleur pendant la saison de Feu, et ne subissant pas les rafales de vent qui soufflait pendant la saison des Bourasque ; et les quartiers crépusculien.

Midona n’était jamais allée dans les quartiers des colons, car l’omniprésence des forces de sécurité rendait la tâche ardue. C’était là-bas que résidaient les hauts fonctionnaires envoyé de Talm, ceux qui régissait en grande partie la politique du pays. C’était aussi dans ses quartiers là que siégeait la Sainte Inquisitions, le Tribunal Spécial, l’Etat-major, ainsi que la caserne principale des Syrbaben, la redoutable milice politique.

Autours de ce centre privé s’étendaient les quartiers populaires et commerciaux. Les rues y étaient soigneusement pavé, entretenu régulièrement au frais de l’Etat, et la propreté étaient assuré par des canaux souterrains où s’écoulait les ordures, véritable prouesses technique qui rendait désuètes les rigoles crasseuses de la citadelle d’Hyrule. Car, c’était là où était la différence principale entre les deux capitales. La citadelle était entièrement bâtis dans un style traditionnel et ancien, tout en pierre taillé et en formes rigoureuses, stricte, alors que Dak-tsu incarnait à merveille la modernité. Les habitations, souvent construite dans une pierre noire et patinée propre au crépuscule, avaient abandonnés les standards de construction qui ne permettait que de lourdes formes rectangulaires pour embrasser un style plus fluide.

Les toits n’étaient pas plats mais en pointe audacieuse, les façades prenait des aspects plus léger avec l’apparition de balcons et de terrasses, de grands arc tout en finesses reliait souvent par la hauteur deux rues, et des tours arachnéenne jaillissait un peu partout. Mais, surtout, ce qui faisait la fierté des habitants de Dak-tsu, c’était les « ascenseurs » : de grandes pierres fine, qui, par un miracle magique, s’élevait d’elle-même et accomplissait un court trajet dans les airs. Les plus grandes pouvait accueilli dix personne et leur faire parcourir une centaine de mètre d’un point à un autre.

Les point commun entre les deux grandes métropoles consistait à ce que, d’une part, elle avait sensiblement la même densité de population, et d’autre part, elles étaient toutes deux ceintes par une épaisse murailles qui s’ouvrait en plusieurs points. Mais, là où il y avait quatre entrés à la citadelle, il n’y en avait que trois à Dak-tsu.

Midona arpenta avec légèreté les différents quartiers, ceux-là même où elle avait vécu pendant plusieurs années, saluant parfois une connaissance. Elle ne regrettait pas cette période de sa vie. Bien sûr, dans les rues, elle avait une liberté totale, liberté qui lui faisait cruellement défaut dans l’enceinte du palais. Mais, au palais, entouré de tous ces courtisans hypocrite qu’elle évitait le plus possible, plongée dans les intrigue dangereuse d’une cour qui n’approuvait pas son accès au trône, au milieux de ce monde dont elle ne connaissait presque rien, elle était au moins sûre de ne plus avoir faim.

La faim, elle l’a connaissais bien. Cette horrible créature qui rongeait l’esprit en détruisant le corps. Ce dangereux poison qui avait conduit tant d’honnêtes mendiants à s’engager sur la route du vol, et tant de malheureux voleurs au bout d’une corde. Oui, Midona connaissait la faim. Elle l’a connaissait comme on connaît son voisin, celui que l’on sait alcoolique et dangereux, celui sur qui on se renseigne au maximum pour apprendre à l’esquiver.

D’ailleurs, de même qu’il n’y avait pas de voisin alcoolique dans les quartiers royaux, il n’y avait pas non plus la faim.

Plongée dans ses pensée, elle ne s’était pas rendue compte que ses pas l’avait conduit dans l’un quartier le plus pauvre de la ville, tout au Sud. Si on pouvait encore appeler ce concentré de misère un quartier.

Triste réalité. Dak-tsu était une bien belle ville, mais, comme partout ailleurs dans le pays, les inégalité se faisait flagrantes.

Les maisons n’en n’étaient pas. C’était de vulgaires abris fait avec les moyens du bord, qui se disloquaient entièrement à la moindre tempête, et se reconstruisaient tout aussi vite. Peut-être que ces maisons était à l’image de leurs propriétaires : sales, fragiles et pourtant si prompt à se relever quand on les jetait à terre. Après tout, pensa la jeune fille, une chute debout fait toujours plus mal qu’une chute à genoux. Et les gens qui vivaient ici étaient tous des hommes à genoux, à genoux pour prier mais aussi pour porter le lourd fardeau de leur vie.

L’espoir donne des ailes. Les Crépusculien de ces quartiers pauvre n’attendaient plus rien de la vie. Ils n’avaient plus d’ailes, ils ne pouvaient plus chuter beaucoup plus bas que leur situation. Leur bonheur fleurissait dans la terre brulé de leur misère, et ils avaient appris à s’en contenter.

Midona le savait, puisqu’elle aussi avait touché le fond pendant quelques temps. Cela ne l’avait jamais empêché de rire ni de rêver.

Orpheline du désert, elle avait appris toute petite à accepter la vie sans se plaindre, préférant rire avec ses joies que pleurer sur son sort. Lorsqu’à quatorze ans elle avait débarqué en ville pour s’employer comme servante au palais, elle avait su gardé cette joie de vivre et cette résistance morale propre aux enfants livrés à eux même et qui vivaient sans la contrainte des lois.

Le passage dans la ville était obligatoire chez les communautés nomades. Il ne s’agissait pas d’une coutume mais d’une loi (encore une), dictée par le gouvernement qui souhaitait voir se dissoudre petit à petit ces peuplades encore trop libres et indépendantes. Ainsi dans chaque communauté, dix jeunes étaient envoyé en ville, avec pour seul atouts ce qu’ils avaient appris dans le désert.
Elle soupira à ses souvenirs et encore quelque temps, puis fit demi-tour et rentra au Palais.

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