Voilà, j'ai remarqué dans plusieurs œuvres littéraires au fil des années le motif suivant :
Un personnage a la fièvre et a l'issue de sa fièvre en sort transformé. Il a gagné en quelque sorte une connaissance profonde de lui-même ou du monde.
Je suis presque certain que ce motif littéraire qu'on retrouve dans des tas d’œuvres (Balzac, Flaubert, Dostoïevski) provient de la mythologie.
Quelqu'un en sait plus à ce sujet?