Salut à tous,
alors voila je me présente j'ai 18 et je suis en 6ème sciences-math (équivalent du BAC S). La fin de l'année arrive à grand pas et le choix aussi :/
J'ai de bonnes notes surtout dans mes options ( biologie, math, physique, chimie) dans le reste ca va aussi pour l'instant, j'ai 14 de moyenne en general sans trop forcer...
Bref l'an prochain j'aimerai faire l'unnif les etudes qui m'interessent sont:
-Bachelier en droit
-Bachelier en sciences économique
-Bachelier ingénieur de gestion
Je sais aucunes matières scientifiques..
Bref si vous faites ou avez pris une de ces orientations laissez moi un post pour me dire si vous la conseiller à quelqu'un ayant mon orientation et mes notes ;) Sachant que la je vais vraiment m'y mettre pour arriver a 16 de moyenne ;)

L'argumentation et l'écriture sont importants en droit, j'en déduis que c'est peut-être pas ton point fort.

Pourquoi tu parles de l'équivalent alors que t'es sur le forum Belgique ?

Ok grâce au etudes scientifiques que j'ai faites?
Car j'ai poster sur plusieurs forum sorry ;)

Je pense qu'il parlait plus de l'orthographe, la ponctuation, l'apparence décousue de ton post, ...

Ha oui d'office, post à minuit sur un forum xD

Sache déjà que si tu pars à l'unif, dans la plupart des cas tu ne va pas faire un "bachelier en ...", l'unif ça veut dire Master ou Doctorat, le bachelier n'est qu'un intermédiaire et le bachelier universitaire ne sert à rien pour trouver un boulot.

Perso je suis en 1ère Master en chimie, mais en lisant ton post j'ai pas réellement compris si ça t'intéressait ou pas les études scientifiques, donc si t'as besoin d'infos hésite pas à m'envoyer un mp. Il y a aussi un autre membre du forum qui est en 1ère Bachelier en chimie dans la même unif que moi.

Ce qui est étrange c'est qu'actuellement quasi tous les jeunes sortant du secondaire veulent faire des études d'éco / gestion ... A mon époque par contre (il y a plus de 12 ans) ça n'intéresser pas grand monde ce type d'études.

Sinon qu'est ce que tu veux qu'on te conseille exactement ? En sortant de maths-sciences, tu peux tout entreprendre dans le supérieur ou l'unif .... et si tu fais tranquillement 14 "sans forcer" je vois pas où est ton stress d'autant plus avec la la réforme marcourt qui a fait baisser le niveau du supérieur (il ne faut plus que 10 de moyenne et non 12 pour passer maintenant).

Le 06 avril 2015 à 14:35:22 auraxiel a écrit :

d'autant plus avec la la réforme marcourt qui a fait baisser le niveau du supérieur (il ne faut plus que 10 de moyenne et non 12 pour passer maintenant).

La baisse de niveau est pas réelle, c'est plutôt pour paraître plus logique : maintenant tu réussis avec la moitié des points. A part ça, maintenant t'es côté sur une base de réussite de 10 et pas de 12, donc les profs cotent tout simplement plus durement, et il n'y a plus de "réussi ou pas réussi?" aux délibérations quand on avait entre 10 et 12. Maintenant si t'as moins de 10, t'as raté, si t'as plus que 10, t'as réussi, c'est tout.

Donc non, le niveau des études sup n'a pas diminué avec ce décret.

Pose toi la question autrement, tu veux faire quel sorte d'emploi d'ici 6 ans max ? Tu veux être juriste (ou éventuellement avocat) ? fais du droit ; Tu veux être audit/expert comptable/banquier ? fais des études économiques; Tu veux être ingénieur civil/travailler dans la technologie? Fais polytechnique. C'est vers ces metiers que débouchent, en principe, les facultés qui t'intéressent. (et ne pense surtout pas que les gens qui font solvay terminent tous comme CEO, c'est extrêmement rare)

Le 06 avril 2015 à 15:32:49 Clad333 a écrit :

Le 06 avril 2015 à 14:35:22 auraxiel a écrit :

d'autant plus avec la la réforme marcourt qui a fait baisser le niveau du supérieur (il ne faut plus que 10 de moyenne et non 12 pour passer maintenant).

La baisse de niveau est pas réelle, c'est plutôt pour paraître plus logique : maintenant tu réussis avec la moitié des points. A part ça, maintenant t'es côté sur une base de réussite de 10 et pas de 12, donc les profs cotent tout simplement plus durement, et il n'y a plus de "réussi ou pas réussi?" aux délibérations quand on avait entre 10 et 12. Maintenant si t'as moins de 10, t'as raté, si t'as plus que 10, t'as réussi, c'est tout.

Donc non, le niveau des études sup n'a pas diminué avec ce décret.

Mouais le coup du "les profs vont coter plus durement" ça a longuement été avancé par les "défenseurs" du décret mais en attendant aucun prof n'a jamais déclaré officiellement (dans la presse ou autre) qu'il coterait plus durement.

D'autant qu'au niveau du cours (je parle pas au niveau moyenne générale) le seuil de réussite a tjs été de 10/20 .... (même du temps ou la réussite à 12/20 était en vigueur) ... donc allez dire que les profs vont noter plus durement j'y crois absolument pas.

Napoléon Ier, né le 15 août 1769 à Ajaccio, et mort le 5 mai 1821 sur l'île Sainte-Hélène, est le premier empereur des Français, du 18 mai 1804 au 6 avril 1814 et du 20 mars 1815 au 22 juin 1815. Second enfant de Charles Bonaparte et Letitia Ramolino, Napoléon Bonaparte est un militaire, général dans les armées de la Première République française, née de la Révolution, commandant en chef de l'armée d'Italie puis de l'armée d'Orient. Il parvient au pouvoir en 1799 par le coup d'État du 18 brumaire et est Premier consul jusqu'au 2 août 1802, puis consul à vie jusqu'au 18 mai 1804, date à laquelle il est proclamé empereur par un sénatus-consulte suivi d'un plébiscite. Enfin il est sacré empereur en la cathédrale Notre-Dame de Paris le 2 décembre 1804 par le pape Pie VII.
En tant que général en chef et chef d'état, Napoléon tente de briser les coalitions montées et financées par le Royaume de Grande-Bretagne et qui rassemblent depuis 1792 les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef, Napoléon, un degré de puissance jusqu'alors rarement égalé en Europe lors de la paix de Tilsit (1807).
Il réorganise et réforme durablement l'État et la société. Il porte le territoire français à son extension maximale avec 134 départements en 1812, transformant Rome, Hambourg, Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie de 1805 à 1814, mais également médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l’Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Louis sur celui de Hollande, Jérôme sur celui de Westphalie et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée également un duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet temporairement à son influence des puissances vaincues telles que le Royaume de Prusse et l'Empire d'Autriche.
Objet, dès son vivant, d'une légende dorée comme d'une légende noire, il doit sa très grande notoriété à son habileté militaire, récompensée par de très nombreuses victoires, et à sa trajectoire politique étonnante1, mais aussi à son régime despotique et très centralisé ainsi qu'à son ambition qui se traduit par des guerres d'agression très meurtrières (au Portugal, en Espagne et en Russie) avec des centaines de milliers de morts et blessés, militaires et civils pour l'ensemble de l'Europe. Il tente également de renforcer le régime colonial français d'Ancien Régime en outre-mer, en rétablissant en particulier l'esclavage en 1802 ce qui provoque la guerre de Saint-Domingue (1802-1803) et la perte définitive de cette colonie, tandis que les Britanniques s'assurent le contrôle de toutes les autres colonies entre 1803 et 1810. Cet ennemi britannique toujours invaincu s'obstinant à financer des coalitions de plus en plus générales, les Alliés finissent par remporter des succès décisifs en Espagne (bataille de Vitoria) et en Allemagne (bataille de Leipzig) en 1813. L’intransigeance de Napoléon devant ces sanglants revers lui fait perdre le soutien de pans entiers de la nation française2 tandis que ses anciens alliés ou vassaux se retournent contre lui. Amené à abdiquer en 1814 après la prise de Paris, capitale de l'Empire français, et à se retirer à l'île d'Elbe, il tente de reprendre le pouvoir en France lors de l'épisode des Cent-Jours en 1815. Capable de reconquérir son empire sans coup férir, il amène pourtant la France dans une impasse devant sa mise au ban de l'Europe, avec la lourde défaite de Waterloo qui met fin à l'Empire napoléonien et assure la restauration de la dynastie des Bourbons. Sa mort en exil à Sainte-Hélène sous la garde des Anglais, fait l'objet de nombreuses controverses.
Une tradition romantique fait de Napoléon l'archétype du grand homme appelé à bouleverser le monde. C'est ainsi que le comte de Las Cases, auteur du Mémorial de Sainte-Hélène tente de présenter Napoléon au parlement britannique dans une pétition rédigée en 18183. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au xixe siècle, le bonapartisme, se revendiquant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon.

Le 06 avril 2015 à 16:02:13 auraxiel a écrit :
Mouais le coup du "les profs vont coter plus durement" ça a longuement été avancé par les "défenseurs" du décret mais en attendant aucun prof n'a jamais déclaré officiellement (dans la presse ou autre) qu'il coterait plus durement.

D'autant qu'au niveau du cours (je parle pas au niveau moyenne générale) le seuil de réussite a tjs été de 10/20 .... (même du temps ou la réussite à 12/20 était en vigueur) ... donc allez dire que les profs vont noter plus durement j'y crois absolument pas.

Hé bien moi mes profs me l'ont clairement dit l'an passé. D'ailleurs c'est carrément le contraire, le but du décret et des unifs était de rendre les études sup plus faciles (faut pas oublier que les unifs recoivent des primes pour chaque diplomé) mais les profs s'y sont opposés parce qu'ils n'ont pas envie de "donner" le diplôme, d'où le fait qu'ils cotent plus durement.

Avant le décret, à 10 on tolérait, mais le cours n'était pas validé, non. Si tu doublais, tu devais te retaper le cours si t'avais eu moins que 12 (sauf, si justement en délibés on te le faisait sauter). Et même si tu pouvais passer en ayant 10 dans certains cours, il te fallait quand même au moins 12 de moyenne générale.

Le 06 avril 2015 à 16:02:13 auraxiel a écrit :

Mouais le coup du "les profs vont coter plus durement" ça a longuement été avancé par les "défenseurs" du décret mais en attendant aucun prof n'a jamais déclaré officiellement (dans la presse ou autre) qu'il coterait plus durement.

D'autant qu'au niveau du cours (je parle pas au niveau moyenne générale) le seuil de réussite a tjs été de 10/20 .... (même du temps ou la réussite à 12/20 était en vigueur) ... donc allez dire que les profs vont noter plus durement j'y crois absolument pas.

Plusieurs de mes profs ont drastiquement changé leur examen (genre des QCM qui passent à points négatifs qui ne l'étaient pas avant,...) et leur façon de corriger pour s'adapter au décret. On a d'ailleurs vu quelques chutes de moyennes spectaculaires pour certains cours entre cette année et l'année passée.

Donc si, les profs (en tout ceux qui se sentent concernés par le décret, parce que soyons honnêtes d'autres s'en foutent carrément) notent plus durement.

(Je confirme totalement pour le niveau qui est resté constant)

Sinon pour l'auteur, le bachelier en ingénieur de gestion comporte quelques heures de chimie et physique dans le cursus que tu pourrais au vue de tes dires, gérer sans soucis. Donc à choisir entre les sciences économiques et un ingéniorat en gestion malgré la proximité relative des ces deux formations, autant prendre le bachelier en ingénieur de gestion tu devrais tenir le coup sans soucis et tu seras plus "polyvalent" qu'avec un bachelier en sciences économiques

Pour le droit c'est totalement différent, si tu as des affinités avec les mathématiques et sciences exactes, c'est peut être pas utile de te lancer dans des études presque drastiquement opposées (si ce n'est un cours d'économie très sommaire) si tu n'as pas une attirance particulière pour cette formation

Faire passer la moyenne de 10 à 12 ce n'est pas ça qui change réellement la donne. La quasi totalité des échecs sont à cause des notes inférieures à 10 dans certaines branches extrémement difficiles.

Les gens qui avaient une note supérieure à 10 partout mais au final moins de 12 de moyenne étaient assez rares !

Entre le droit et les études d'ingé gestion laquelle de ces formations a le plus de débouchés? Vous avez fait quelles études et où?

Droit c'est assez tendu en ce moment niveau débouchés, y'a que les meilleurs qui s'en sortent ou ceux qui vont dans les domaines porteurs.

Si c'est juste au niveau des débouchés, ingé de gestion > droit

Après droit c'est pas infographie non plus

Niveau débouchés je vote ingé.

A propos du décret Marcourt, en vété les profs ont dit dés le début de l'année qu'ils allaient noter plus sévèrement et je peux confirmer qu'ils ont appliqués leurs "menaces". (Discussions avec doublants, 2/3ème bac, annales des années précédentes,..).