Bonjour à tous, j'ai besoin d'aide pour un devoir en histoire, j'ai commencé à le faire mais je suis totalement bloqué.
Voici la consigne : analysez afin de montrer la place du citoyen dans la société athénienne puis faites une critique de ce document.
Et voici le document :
" Notre régime politique (politeia) ne se propose pas pour modèle les lois d'autrui, et nous sommes nous-mêmes des exemples plutôt que des imitateurs. Pour le nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c'est une démocratie (dèmokratia). S'agit-il de ce qui revient à chacun ? la loi, elle, fait à tous, pour leurs différends privés, la part égale, tandis que pour les titres, si l'on se distingue en quelque domaine, ce n'est pas l'appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs ; inversement, la pauvreté n'a pas pour effet qu'un homme, pourtant capable de rendre service à l'État, en soit empêché par l'obscurité de sa situation. Nous pratiquons la liberté (eleutheria), non seulement dans notre conduite d'ordre politique, mais pour tout ce qui est suspicion réciproque dans la vie quotidienne : nous n'avons pas de colère envers notre prochain, s'il agit à sa fantaisie, et nous ne recourons pas à des vexations, qui, même sans causer de dommage, se présentent au dehors comme blessantes. Malgré cette tolérance, qui régit nos rapports privés, dans le domaine public, la crainte nous retient avant tout de rien faire d'illégal, car nous prêtons attention aux magistrats qui se succèdent et aux lois — surtout à celles qui fournissent un appui aux victimes de l'injustice, ou qui, sans être lois écrites, comportent pour sanction une honte indiscutée. "
Alors j'ai quelques idée pour ma critique mais je n'arrive pas à analyser, en particuliers la phrase "les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité ".
Voilà, j'aimerais beaucoup être éclairé sur le sujet, je ne veux pas que l'on fasse le travail à ma place j'aimerais juste avec quelques explication pour l'analyse et en particuliers la phrase que j'ai cité plus haut.
Merci d'avance.

Danq le doute, 42.