Bonsoir à tous !
Voila je me nomme Damien, 21 ans, je travail dans la grande distribution depuis 1 an et demi, embauché à 35 heures, je touche 1080 euros par mois net, soit environ 1300 euros par mois brute.
Suite à plusieurs altercations avec mes responsables et avec la direction, je désire quitter mon travail, et avoir droit au chomage le temps de retrouver un emploi, seulement voila, tout se brouille dans ma tête
J'ai demander une rupture de contrat à l'amiable, qui apparemment me permet de bénéficier du droit de chômage, mais bien évidement mon employeur ne me l'a pas accorder, il me demande de démissionner, et là par contre je n'aurais droit à rien !
Comment faire ? Quelles solutions est possible pour quitter mon emploi ET avoir mon droit du chômage ?
De plus, pour un an et demi de travail, dont 1 an à 35 heures en CDI en touchant le smic, savez vous pour combien de temps je peux avoir le chômage ? Et combien je toucherais par mois ? ( une estimation me suffit, pas la peine d'être précis )
Merci à tous de m'avoir lu, je suis désespéré j'attends vraiment une solution
go pol emploi si tu veux une réponse
bonsoir
en complément de ce qu'a dit wef (que je salue au passage) je précise que tu peux également aller te renseigner à la mission locale de ta ville...
Il y a des conseillers dont c'est le boulot (en théorie) de répondre aux questions que tu poses ici
bonsoir,
tu peux tenter de proposer à ton patron une rupture conventionnelle, ça fait moins de 400 euros de prime minimum.
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-52-2238879-2-0-1-0-questions-cdd-et-cdi.htm#message_2240474
Si vraiment il ne veut pas (à cause de la prime minimum), tu peux tenter un licenciement pour faute grave, mais généralement les employeurs se méfient car ils ont peur des prud'hommes.
Rupture conventionnelle : indemnité conventionnelle + congés payé + droit au chômage.
faute grave : congé payé + droit au chômage
Démission : congé payés
Faute lourde : rien
ha si autant pour moi faute lourde tu as quand même le droit au chômage ^^ mais bon tu perd tes congés payés.
sinon pour le montant du chômage j'ai trouvé ça :
http://www.pourseformer.fr/emploi/licenciement/formation-continue/h/8e8dee2a97/a/rupture-conventionnelle-inscription-a-pole-emploi-et-allocation-chomage.html
fais toi virer (dates perimées, retards repetés de 20 minutes..)
tu toucheras environ 850 E au minimum pendant 1 an (fais les tests sur poleemploi.fr cherches tu peux le savoir et c'est fiable a 100%)
abandon de poste , tu touchera le chomdu
Le souci avec l'abandon de poste, c'est que l'employeur peut faire durer plusieurs mois la procédure. Rien ne l'empêche d'éditer des bulletins de paie avec O € pour le montant du salaire...
certes mais tu fais parti de l'eefectif donc...
et opuis abandon de poste cela peut etre aussi:
de venir un matin et puis au bout de 20 minutes tu te barres sans rien dire...
je l'ai fait 1 fois et... merci d'etre venu !
Encore un truc à réformer d'urgence, ça.
ChevalCannibal Qu'est-ce qu'il faut réformer ?
Le fait de pouvoir prétendre aux Assedics en cas d'abandon de poste avéré.
si il te refuse la rupture conventionnelle pourris les fou toi en arret maladie... et retourne les voir apres pour leur reproposer une rupture conv' ils finiront par l'accepter, d'autant plus que pour une ancienneté d'un an ca leur coutera que dalle
Dans les faits, ChevalCannibal, ,c'est déjà le cas. Plusieurs décisions de justice rendues par les Prud'hommes assimilent dans certains cas précis l'abandon de poste comme une démission. Et là pas d'Assedics.
Je te rappelle qu'un salarié verse des cotisations pour se prémunir contre le chômage. A partir de là, pourquoi ne pas considérer la démission comme motif légitime de rupture du contrat de travail ?
Je suis bien d'accord, les salariés cotisent au chômages, ils devraient avoir le droit à leur indemnité quelque soit le motif de leur interruption de contrat. parce s'assoir sur 1.5 ans de cotisations chômage bah ça fait mal.
c'est bien d'ailleurs aussi à ça que sert la rupture conventionnelle (elle profite au deux : le salariés qui peut ainsi démissionner sans perdre ces droits au chômage mais aussi l'employeur qui peut jouer des mécaniques pour convaincre un salarié de signer et ainsi éviter le licenciement économique qui est difficilement défendable aux prud'hommes)