Je pense comme toi Simser , car aprés tout cela semble etre une tradition dans la famille , son pere , son oncle , sa mere et son arriere grand mere et sa grand mere d'une certaine maniere.J'ai hate de vérifier mes dires.

http://i32.photobucket.com/albums/d20/Moonswift/Meizas.jpg

MAis quel fumier ce Revan je suis désolé mais je trouve pas d'autres mots...

désolé que cela a choqué quelque uns, je le devine car les deux dernière parties n'étaient pas commentés, je le comprend, cest cruel, c'est sordide, mais c'est Revan tel que je me le suis imaginé, quelqu'un de terrible et d'impitoyable, et je ne souhaite a personne ce qu'Avan a endurer, pour me faire pardonner voici un dessin:

http://img388.imageshack.k.us/img388/9463/branna1ii.jpg A vous de deviner qui est cette jeune fille.

http://i24.photobucket.com/albums/c29/Nilknarf48/Kimei01.jpg sans oublier cette belle femme enceinte

La premiére je dirais Ione et la seconde Eirané ?

je n'en attendais pas moins de Revan, après tout, il n'a pas été l'un des plus puissant seigneurs sith pour rien.
Et puis si Avan doit s'aventurer dans le territoire énnemis, mieux vaut pour lui qu'il sache resister à ses pires couchemards.

Bonne suite, vivement la prochaine =)

Je n'aime pas vraiment cette idée d'Avan sans peur, mais bon, tu restes le seul maître de ta fiction après tout...

Le supplice avait duré un mois, un mois de torture, un mois de souffrance, pourtant on avait l’impression que c’était toute une vie, pendant ce temps, les Sith avaient annexé Tralus et Vortex, la république de son coté continuait de pourparler avec la ligue Corellienne, et peu de mondes avaient répondu au message de Brianna Kae, seuls les Wookies et les Echanis sont venus, sans oublier les mondes frontaliers de la bordure intérieurs, car la guerre frappera chez eux dans peu de temps, mais Revan reçu du renfort des forces républicaines, trois flottes de combat, commandés par les amiraux Jocasta, Ramius et Thorne, des vétérans de la guerre civiles, même le cent vingt septième commandé par le général Lynda Frey, une amie de Lisa Hesse, mais un excellent soldat qui s’est battu avec Orion sur Dxun et l’amas de Jagga. Pour les Jedi, Brianna envoya cent chevalier Jedi pour épauler la flotte, l’ordre et la république entreront en guerre, que les Corelliens aillent en enfer avec leur ligue, les paroles sont finis, l’heur est au combat.

Pour les alliers, Onderon promit d’envoyer une force armée, les Hapiens sont rester neutre, mais les Tétiens en revanche décidèrent de sortir de leur isolement et de combattre les Sith, leur nouvelle impératrice Avalane s’est montré plus souple que ses prédécesseurs, avec les Tétiens et leur armada, Revan pourra combattre les Sith sur un pied d’égalité, mais il devait d’abord découvrir les vrais motivations de Mammon, le prince de l’empire, Revan n’était pas dupe, connaissant Mammon et son esprit tactique, il se doutait que ces mondes qu’il prenait n’étaient qu’une diversion, il y avait autre chose, pourquoi prendre des mondes qu’il pourrait aisément reprendre sans effort ? La réponse était évidente, Mammon l’attirait vers lui dans la bordure extérieure, dans son propre terrain, ainsi il pourrait l’enfermer et empêcher toute retraite, surtout la bordure extérieure ou il y avait peu de routes d’hyperespace.

Pendant ce temps, Bonadan et Roondan furent sécurisés, et les deux mondes devinrent un important bastion pour Revan et sa flotte, chaque jours il envoyaient des éclaireurs qui lui fournissaient des rapports détaillés sur les activités Sith et leurs mouvement, d’après les derniers rapports, il vont s’attaquer a Telos et Taris, sans oublier le monde d’Onderon, Bastila supervisait les opérations et le commandement de la seconde flotte, et Revan pendant ce temps… ce faisait discret. Il entraînait le Miraluka en secret, le préparant au mieux en lui enseignant des techniques de forces, pour l’apprentissage du sabre, il l’aida complétait son Makashi, et lui enseigna la forme 3 : le Soreçu. Mais aussi la technique invincible d’Eirané, la découpe de l’eau débordante. Tout deux ils consultèrent son holocron et Revan l’aida a maîtriser cette phase dangereuse, la seule forme qu’il ne n’a pas apprise, mais que Revan voulu maîtriser, seul les gauchers pouvaient apprendre la découpe de l’eau débordante, et Avan était gaucher, durant une session, le Miraluka testa la forme complète sur Revan, ce dernier réussit a parer les charges véloce mais devait reconnaître qu’Avan l’avait pousser dans ses derniers retranchements. Avec cette forme, et les techniques de forces qui lui enseignèrent, il pourra défier un seigneur Sith sans crainte, il était fin prêt. Bien sur Revan avait garder pour lui certaines techniques, des techniques qu’il jugeait trop dangereuses a utiliser, et le Miraluka en savait assez pour survivre, pourtant il lui donna une dernière leçon.

- Ne montre jamais ta vraie force, recommande Revan, tu dois cacher tes capacités aux yeux de tous, des Jedi comme des Sith, gardes toujours de l’avance et joue un rôle pour mieux tromper ceux qui oseront s’attaquer a toi. Tu devras aussi tromper tes proches, ton père, ta sœur, et même Ione ne doivent pas savoir que tu es plus puissant que les maîtres Jedi.

- Même a Bastila ?

- Bastila n’y verra rien, elle croira que je t’ai montré des choses basiques, elle ignore que tu consultes l’holocron de ma mère, tout comme elle ignore ce que je t’ai appris.

- Demeurer dans l’ombre, récite Avan, frapper dans l’ombre, et disparaître dans l’ombre sans jamais montrer son vraie visage.

- Tu vas partir ?

- Oui, dit Avan gravement, je vais commencer sur le champ.

- Bastila croira que tu as pourra le faire grâce a ton entraînement d’assassin, et grâce aussi a…

- L’épreuve d’esprit. Coupe gentiment le Miraluka.

- Est-ce que tu veux parler de la haine que tu me voues pour avoir montrer ce que tu craignais le plus ? Demande Revan bizarrement.

- Je ne te hais pas. Répondit doucement Avan.

- J’ai toujours sue que tu étais un dur.
- Vous avez une drôle de façon d’aimer vos proches, mon oncle.

- Bastila me dit la même chose.

- Vous aimez Bastila ?

- Je n’aime pas beaucoup répondre aux questions.

- La réponse est oui. Dit Avan en souriant légèrement.

- Nous avons fait du chemin ensemble, dit Revan comme si il se forcer a parler, et je dois dire que ce n’est pas un cadeau de m’avoir comme oncle.

- Moi aussi je ne suis pas un cadeau, je passais mon temps a vous désobéir.

- Tu m’as même défié une fois, j’ai faillis te corriger.

L’échange était froid et distant, et Revan détourna les talons et se dirigea vers la porte. Le Miraluka regarda Bonadan par le hublot.

- Je te rend le Nébulon, déclare Revan avant de sortir. Il y a des instructions et des crédits, je te laisse accomplir la mission avec la méthode qui te convient, tu pourras partir tout de suite ou plus tard.

- Je vais de ce pas ! Déclare froidement le Miraluka.

- Que la force soit avec toi.

C’était tout ce qu’il pouvait lui dire, le Miraluka s’attarda un peu puis sortit des appartements de Revan et se dirigea vers le hangar pour prendre le Nébulon, sur le chemin, il croisa quelque Jedi, mais aucun ne remarqua la métamorphose, il était pour eux un simple adepte, ni trop puissant, ni trop faible. Personne ne sentait le changement, personne n’a remarqué le monstre qu’il dissimulait en lui, il invoqua la dissimulation et fit profile bas, qui croirait que cet adepte moyen va accomplir une dangereuse mission en plein territoire Sith ? Sa mission a commencé dés qu’il a quitter l’appartement de Revan, conscient qu’il devra cacher sa métamorphose aux autres, même aux personnes qu’il aime, jouer les adeptes moyens, inventer des mensonges, c’était le dernier conseil de son maître.

Au hangar, il découvrit le Nébulon, avec sa coque noire et son allure morbide, le vaisseau du spectre, il devra le modifier et le rendre méconnaissable, changer son code d’identification, et même améliorer son système furtif. En se dirigeant vers le vaisseau, un groupe de pilote lui barra le chemin, c’était les Shrapnels, avec Trent a leur tête, un moment, le Miraluka se demanda si il devait les tuer, mais se ravisa, il doit faire profile bas, avec un sourire timide, il demanda a Trent ce qu’il voulait.

- Tu es le frangin de Mira n’est ce pas ? Demande Trent gravement.

- Oui c’est moi, dit Avan d’une voix naturelle.

- Ta sœur est sur Roondan avec les Sun, mais elle m’a recommandé d’être gentil avec toi, et moi j’aime beaucoup ta sœur. Monsieur qui Va te Tuer Si Jamais Tu Fais Du Mal A Ma Sœur.

- Et je le pensais, tu sais ? Non seulement je te tuerais, mais je te promet de prier pour ton âme, en revanche ne compte pas sur moi pour t’enterrer.

- C’est parlé avec franchise, vous tous comme ça dans la famille ?

- Attends de rencontrer mon oncle, il exaucera tes rêves les plus fous, et je ne parle pas non plus de la mère de Mira.

- Ouais, aboya Trent, en tout cas je veux bien être ton pote, histoire de te montrer que je ne suis pas un idiot comme ta sœur aime m’appeler, mes gars vont préparer ta navette, sans poser de question bien sur, on respecte la vie privée.

- C’est très gentil, mais je ne veux pas qu’ils entrent a l’intérieur, je veux juste qu’ils préparent les tourelles et les lances torpilles, le reste je m’en charge moi-même.

- ça marche. Hé les gars ! Vous avez entendu le monsieur ? Exécution.

Les Shrapnel obéirent sur le champ, sacré Mira, elle trouve toujours le moyen de lui montrer qu’elle pense toujours a lui, son petit frère, mais Avan demeura glacé a l’intérieur, malgré le sourire de reconnaissance qu’il montra a Trent.

- Tu as mangé ? Demande Trent froidement.
- Non, de toute façon il est presque deux heurs.

Trent jeta un regard circulaire, il remarqua un officier qui tenait un plateau remplis de mets savoureux, cet officier avait l’uniforme bien trop beau pour bosser ici, sûrement un gars pistonné. En fait c’était l’amiral Web, celui que Mira a humilier en plongeant sa tête dans une cuvette de toilette

- Hé ! Gronde Trent d’une voix glaciale, ramènes tes fesses par ici.

L’officier le regarda avec des yeux furibonds, mais il obéit et se dirigea vers Trent et Avan, il était ici depuis quelques jours et mieux valait faire preuves de diplomatie.

- Files a ce bonhomme ton bout de tarte aux Yamu. Ordonne Trent d’une voix menaçante.

Web inspira mais obéit sans broncher, il donna une tarte a Avan.

- Tu veux quelque chose d’autre ? Demande Trent a Avan.

- Le petit pain me plaît assez, dit Avan avec un sourire de renard.

- Tu vas donner ton petit pain au monsieur. Gronde Trent d’une voix meurtrière.

Web fit une grimace et donna le petit pain a Avan qui le remercia d’un simple regard, après le départ de Web, le Miraluka se tourna vers Trent.

- J’ai un message pour ma sœur, dis lui qu’elle devrait revoir Atris, et qu’il est temps d’oublier le passé, nous vivons en marge maintenant, tu ne crois pas ?

- A qui tu le dis, mais tu peux compter sur moi.

Avan lui lança le petit pain et termina de manger la tarte, puis se dirigea vers le Nébulon mais Trent l’interpella :

- Je peux savoir où tu vas ?

- Je n’aime pas beaucoup répondre aux questions. Réplique le Miraluka d’une voix qui effraya Trent

eh eh Trent sais dorénaventsur quoi il est tombé, Avan ... =)

Auteur : Merouane Tamene

Adresse Internet : tmerouane@Hotmail.com

Titre de la Fic : Commencement 3 « Les Conquérants »

Chapitre 6 : La revanche de Mandalore.

Note de l’auteur : Après un mois de jeune, je reviens en forme pour un nouveau chapitre, un chapitre qui sera consacrés a nos amis Mandaloriens, il s’agit pour moi d’un hommage a un de mes auteurs préférés : Karen Traviss, une femme talentueuse victime du marketing d’une série 3D qui a transformer l’univers étendue en pagaille d’incohérence, et une guerre de clone qui dure depuis sept ans sans s’arrêter. Si un jour vous lisez cette partie madame Traviss, pardonner les fautes et appréciez le récit avant toute chose.

Dans cette partie, nous retrouvons Canderous Ordo dans son rôle de commandeur suprême des nations Mandaloriennes, l’heur approche et les Mandaloriens feront payer les Sith qui les ont manipulé durant les guerres Mandalorienne. Ce sera une revanche écrite en lettre de sang, une revanche a la Mando.

« Apprécies une vengeance comme le vin le plus rare, plus il est vieux, meilleur est son goût »

Proverbe Falleen

Je demande a chacun de regarder cette photo quand je décris le visage de Canderous :

http://img209.imageshack.us/img209/9334/wallpaperrotswgladus01zf2.jpg
http://images.wikia.com/starwars/images/9/92/Basilisk.jpg

Prologue

Système Corelliens : Le Tyrannie, navette privée de Mandalore en direction de Coronet. Journal privé de Canderous Ordo.

Une rencontre des plus étrange depuis que la galaxie a apprit qu’un Mandalore nouveau est apparu, je ne suis plus un chef d’une bande de mercenaires, mais un chef d’état qu’il faut prendre au sérieux, je ne possède plus une seule navette, mais toute une flotte de vaisseaux de guerre directement sortit des chantiers navales de Mandalmotors. Une firme Mandalorienne privée spécialiste en armement et en vaisseau de guerre. Dxun n’est plus qu’un de mes nombreux avants poste dans la bordure, Concord Down et notre planète Mandalore nous appartiennent, je possède des colonies et des bases militaires, mes ressources sont inépuisable, mon armée de Mando suffit a écraser tout un système, a nouveau notre nation est debout après des années de déchirement et d’errance. Mes alliers sont nombreux, je suis en paix avec les Onderoniens, les Jedi me respectent, le flotte républicaine également, reste la république qui se méfie de moi. C’est cela ! Demeurez sur vos gardes, ce n’est pas moi qui vais pleurer votre sort quand les Sith vous écraseront.

Mon nom a présent. Je m’appelle Canderous Ordo, je mesure 1m99, je pèse cent kilos de muscles, mon visage est ridé avec une belle cicatrice et mon regard est si dur que les hommes évitent de me regarder. Quand je mets mon casque, ma voix devient plus sinistre que jamais, mais il y aussi quelque chose avec ma voix, la froideur avec laquelle je m’exprime, une certaine intonation témoignant mon expérience infinies des choses et des êtres de cet univers, qui fait dire aux gens que mon âge avancé me rend bien plus dangereux qu’un jeunot a peine sortit de ses couches, ne sous estimez jamais un vieux loup, il peut encore mordre, et d’une manière plus brutal qu’un jeune louveteau.

Mon armure métallisée est une vraie merveille, elle est faite en Beskar, le métal le plus dur de l’univers, si dur qu’une lame d’un sabre laser ne pourrait le transpercer, même un tir a bout portant ne me ferait pas de mal, si jamais je croise le fer avec un Jedi ou un Sith, mes brassards en Phrik et mon entraînement aux arts Echani suffit largement a me donner la victoire, mon esprit est immunisé contre les attaques psychiques et pour moi les poussées de force ressemblent a des courants d’airs. J’ai tué beaucoup de Jedi et de Sith, et je possède toute une collection de leur sabre laser, une centaine. Qui oserait m’attaquer ? Qui voudrait prendre le risque ? Il n’est pas un art de combat dans lequel je ne sois passé maître. Une douzaine de combattants Echani pourraient m’acculer dans une sombre ruelle que je me ferais un plaisir de me tailler une parfaite couverture blanche avec leurs bures Echani. J’adore me battre, presque autant que j’adore tuer. Mais je ne le fais pas car le plaisir n’y est plus, je suis Mandalore et j’ai d’autres responsabilités. Il est des passions auxquelles on doit renoncer, d’autres qu’on doit oublier, mais sachez qu’au cas où vous me prendriez pour un monstre, que je suis capable d’aimer mes proches, a ma manière bien entendu. Je ne me considère pas comme un être malfaisant.

Pourquoi est-ce que je raconte tout ça ? A qui est ce que je parle ? Je jette ces mots et ces pensées parce que c’est le moment. Le moment de quoi ? Je l’ignore et cela n’a pas d’importance, parce que c’est ce que j’ai envie de faire, et pour moi c’est toujours une raison suffisante. Ma navette sortit de l’hyperespace et se dirigea vers Corellia, j’avais trois guerriers avec moi, deux de ma garde rapprochées, même si je n’en avais pas besoin, et mon commandant en second, sans compter mon pilote.

Mon second est un guerrier qui portait une armure rouge toute usagée, témoignant de son passé de guerrier. Tokio est un spécialiste en explosif et ne parlait jamais, sous ce casque se cachait un être blessé par la guerre, car le visage Corey est tout sauf un visage, durant une bataille contre la république, des ennemis l’ont encerclé et il n’avait aucune chance de s’en tirer, il fit exploser une de ses charges pour emmener le plus de monde avec lui en enfer, malheureusement pour les républicains qui sont morts. Tokio survécut avec de graves blessures au visage, ses cheveux ont brûlé dans l’explosion, ses tympans avaient fondu, ces cordes vocales détruis, il pouvait parler mais avec l’aide d’un énonciateur, mais Tokio préférait se taire, gardant un silence déroutant, il était un mystère pour les Mando, personne ne savaient d’où il sortait, sauf moi bien sur, je connaissais son secret. Je vous le dirais peut être.

L’instant est emprunte de mystère, même pour moi, ma navette atterrit dans le spatioport de Coronet, un speeder nous attendaient avec un léger comité d’accueil, mes deux gardes et Tokio serrèrent leurs armes méfiants, il faut dire que la convocation du sénateur Lycurgue m’a surprise, il ne voulait pas s’entretenir avec moi de chef d’état en chef d’état, mais d’un client a un chasseur de prime, mais demander a un Mandalore d’effectuer un travail de ce genre est curieux et intéressant, mon prix sera astronomique, et ce travail a intérêt a mériter mon intention et mon temps.

Le speeder vola en direction de la résidence privée de Lycurgue, je regardait le trafic aérien de Corellia, mais je demeurais toujours a l’affût, question d’habitude, une fois arrivés, nous étions conduit dans une sale luxueuse, le contraste était déroutant, quatre guerriers en armures Mandaloriennes marqués par les combats, dans un univers propre et bien meublé. Pour nous Le luxe n’est pas un luxe. Il est tard et Lycurgue m’a envoyé un émissaire trois jours plutôt pour organiser cette rencontre, mon instinct me sifflait de refuser, je n’ai pas de temps avec les luttes républicaines, nous allons entrer en guerre, mais l’émissaire jura que Lycurgue avait une proposition intéressante pour moi, c’est plus par curiosité que par intérêt que je suis là, dans cette salle lumineuse. Je suis aussi contrarié, et cela n’augure rien de bon pour Lycurgue. Une porte s’ouvrit et mes gardes regardèrent aussitôt dans sa direction. Lycurgue était accompagnés de deux gardes, il portait une robe beige ornée de filets dorés, il me souriait d’un air jovial, ce qui renforça mon malaise, il était seul a ma merci avec deux gardes qui ne pesaient pas bien lourd face a mes guerriers, même Tokio se mit a scanner le secteur avec les senseurs de son casque, l’endroit était piégé, ce qui augmentait ma méfiance.

- Je vous souhaite la bienvenue, seigneur Mandalore.

- Merci, dis-je.

Rien de menacent dans le ton de ma voix, après tout c’est une rencontre amicale, mais je notais les armes que portent ses deux lascars, deux pistolets lourds, et des matraques électriques, Tokio repéra des tourelles lasers dissimulés dans les mures et m’envoya un message écrit dans mon casque. Ça fait beaucoup de puissance de feu pour une rencontre amicale. Je note en moi-même, et ma curiosité monte d’un cran.

- Asseyez vous, s’il vous plais, dit Lycurgue en prenant place, je vous offre un verre ?

- Non merci. Dis-je d’une voix calme.

Lycurgue prit place dans son bureau, je m’avance dans la pièce, mais pas pour prendre le siège offert, je choisis un contre le mur de droite, je veux avoir le champ libre face à lui et à ses deux gorilles. Si l’un d’eux tente quoi ce que ce soit, il mourra, et peut être dans la douleur, Tokio prit place derrière moi et mes deux gardes du corps se positionnèrent devant la porte, comme ça nous pourrons discuter sans risquer un coup bas.

Moi je portais a mon cou j’ouvre tout doucement le joint étanche de mon armure, puis je retire mon casque et fit voir mon visage a Lycurgue, le type restait calme, mais les deux gus firent un rictus en voyant une tête grisonnante et balafrée, et dur. Mon regard était dénué d’émotion qu’un bloc de roche, mais ils ignorent que c’est l’histoire de toute une vie, guerre, combat, trouble. Mon quotidien depuis des années.

Lycurgue me regarde, essayant de me juger, mais cela lui est difficile, je ne suis pas un de ses politiciens qu’il peut aisément déchiffrer. Lui en revanche trahit une mosaïque d’impressions, mais je lui reconnais une qualité, la patience.

- Vous devez vous demandez pourquoi je voulais vous rencontrer de façon si urgente, dit-il.

Je hoche la tête, mon casque était posé sur son bureau et je continuais de le fixer sans émotions.

- Puis-je vous appeler Canderous ? Demande-t-il.

- Vous pouvez aussi m’appeler Mandalore, sénateur Lycurgue.

Le ton le fait tressaillir, c’est l’effet recherché, il croit que je ne suis pas familier avec ce jeu stupide, ne laissez personne vous appelez par votre nom, c’est une route qui mène a l’irrespect total, d’abord le nom, ensuite une façon grotesque de vous regarder de haut, et pour finir, un ton méprisable. Ne joue pas ce jeu avec moi mon vieux. C’est très dangereux.

- Je ne voulais pas vous manquer de respect, dit-il avec un sourire. Il faudrait tout d’abord que je vous explique la raison de votre présence ici. Mais avant cela je vais vous expliquer qui je suis vraiment. Comme vous le savez j’occupe à la fois le poste de premier ministre et de sénateur du système Corelliens, mais j’ai aussi créer une ligue Corellienne qui regroupe les mondes Corelliens mais aussi certains systèmes de la bordure intérieur et la bordure Médian. Et comme vous en doutez, chaque système possède une flotte de combat sur le pied de guerre.

- Sans blague, vous m’avez fait venir de la bordure extérieure pour me raconter comment vous êtes assis dans votre piédestal ?

- Si il y aune chose que je respecte chez les Mandaloriens, c’est leurs cotés directes, et j’avoue que je suis un de vos admirateur seigneur Mandalore, vous êtes une vraie légende, un des héros qui ont combattu a Lehon contre Dark Malak, mais aussi un des guerriers qui ont sauver Telos des Sith, vous avez redonner vie a votre nation qui était dans le déclin le plus total. Vous êtes une grande figure et un exemple pour certains. La république vous dois beaucoup, seigneur.

- Mais pas les Corelliens puisque vous êtes indépendants de la république, d’où ma question suivante : Que voulez vous de moi ?

Lycurgue me montra une cartographie de la bordure extérieure, puis désigna une planète que je n’avais jamais vue avant.

- Voici Thyferra, annonce Lycurgue gravement. Un monde secret que nous avons découvert il y a des années, bien sur la république ignore encore son existence mais cela ne se fera pas tarder puisque les Sith s’apprêtent à l’envahir.

- C’est triste pour ses habitants, dis-je. C’est une de vos colonies ?

- Pas exactement, dit Lycurgue en soupirant, c’est une planète indépendante mais qui possède de bonnes relations avec nous, ils sont discrets et pratiquent leurs commerces en toute liberté. Thyferra est la seule planète de la galaxie à produire le fameux fluide miracle qu'est le bacta.

- Le bacta ?

- Le bacta est le produit d'une délicate alchimie que seuls les indigènes Vratix connaissent. Bien que la théorie de cette procédure soit connue depuis longtemps, aucun chimiste ou droïde n'est jamais parvenu aux résultats que les maîtres Verachen peuvent obtenir, et ceux-ci sont peu nombreux. Le bacta est un produit guérisseur bien plus efficace que le Kolto de Manaan, et moins cher aussi. Notre gouvernement en avait assez des Selkath et de leurs prix exorbitants, c’est alors que nous avons cherché une espèce capable d’égaler les Selkath en matière de produits médicaux, les Vratix prirent contact avec nous et nous ont présenté leur produit miracle.

- Sans que la république ne soit en courant ?!

- Oui, et nous avons testé le bacta et je dois dire qu’il est bien plus efficace que le Kolto.

- Et les Sith veulent prendre la mine d’or ?

- C’est plus compliqué, dit Lycurgue gravement, regarder ceci.

Une autre image remplaça l’hologramme de la planète, c’était une jeune femme aux cheveux court d’un rouge vif, je la regardais un instant puis je me tournais vers Lycurgue qui m’observait.

- Qui est ce ? Demandai-je gravement.

- Voici le docteur Shani, médecin militaire mais aussi chercheuse en alchimie médicale, diplômée de l’université Ketaris, et survivante de l’opération Kashyyyk. Vous avez entendu parler de ça.

- L’apprenti de Revan a ramené des informations importantes et a même permis aux Wookie d’organiser une guérilla que les Sith ont du mal a éradiquer, je suis au courant.

- Le docteur Shani fut envoyer par le corps médicale Corelliens sur Thyferra, sous le sceau du secret bien entendu, elle a signé un contrat de silence et a même accepter d’étudier le bacta avec les maîtres Verachen, au bout d’un mois, elle réussit a trouver la formule secrète de la fabrication, savez vous combien coûte cette formule seigneur Mandalore ?

- Des millions, de quoi relancer l’économie d’un monde a l’agonit, commentai-je d’une voix sombre.

- Les Sith ont réussit a localiser Thyferra, et il s’apprêtent a l’attaquer et…

- Laissez moi deviner, coupai-je froidement, vous voulez que j’aille récupérer cette femme avec sa formule c’est ça ?

- Bien sur je ne vous le demande pas gratuitement.

Si jamais il prononce le mot « argent » je le descends sur le champ.

- Votre offre ?
- Partager la formule avec vous, et aussi un partage de notre technologie d’armement. Qu’en dites vous ?

- Et laisser Thyferra aux mains des Sith ?

- Nous avons la formule, plus besoin d’eux maintenant.

Ce gars est un vrai Hut’uun, un lâche sans honneur qui donne envie de sortir mon arme et lui tirer dessus, a une époque je l’aurais fais, mais sa proposition fit bing dans mon esprit, du bacta pour mes guerrier et pour un prix raisonnable, je devais avouer qu’il marquait un point avec les Selkath, ces poissons mangeaient plus de crédits qu’il digéraient de monnaie. Très bien Lycurgue, je vais marcher avec toi sur ce coup là.

- J’accepte, mais j’ai une contre offre, dis-je d’une voix limpide, je vous donne la formule, je garde la fille.

- Nous avons besoin d’elle pour la création de notre bacta.

- Et moi j’ai besoin d’elle pour fabriquer le notre, dans ce genre d’affaire ont fait cinquante-cinquante. Vous gardez formule, moi je garde le docteur, à prendre ou à laisser.

- Vous êtes dur en affaire, seigneur Mandalore. Dit Lycurgue en faisant la moue.

- Gardez aussi votre technologie d’armement, la mienne me suffit.

- Très bien, affaire conclue.

Je me levais et je remis mon casque, puis je fis signe a Tokio et aux autres de me suivre.

- Il fut admettre. Dit Lycurgue en riant, qu’on ne fait jamais appel en vain à l’instinct pillard d’un Mandaloriens.

- Tout comme l’esprit cupide d’un Corellien. Dis-je sans me retourner. Au revoir sénateur.

Sur ce coup j’étais d’accord avec lui.

Splendide réelement splendide ça se voit que c'est la fin du ramadan mon cher Taméne et que tu as l'air de repartir bon pied bon oeil ; je trouve ces deux chapitres vraiment interessants car la ça ne tourne plus uniquement autour des jedis et des siths , mais de guerriers tout aussi redoutable et que nombre de gens préféreraient éviter , les mandaloriens.
En plus cet rencontre secréte est bien ficelé et les répliques cinglantes a la fin sont assez comique et laisse présager un bon renouveau pour la suite de commencement 3.

ça m'a un peu un étonné que ce passage soit à la premiere personne, mais bon pourquoi pas =)

et hop si les Mandi rejoingne les reps ça va mal tourner pour les siths

Quel saligaud ce docteur Castro , il aurait bien besoin d'une sonde anal du docteur Bouletor ; en tout cas continue Taméne car j'ai hate de voir l'intervention de ces chers mandaloriens

CAstro lol le nom de gros dictateur xD

Docteur Bush ça aurait été plus fort

MAndalorians strike back!!!!!

Kelborn et Bralor: du très lourd en perspective!!

Quel savoureux plaisir c'est que de revoir toujours ces chers mandaloriens , j'aime beaucoup le coté pensif de Canderous qui montre qu'il n'est pas qu'une machine a tuer , et j'aime assez son cercle intime si l'on peut dire ; en tout cas j'ai hate de voir les mandos allaient casser du sith hé hé

Journal de Canderous (suite)

Les chasseurs fonçaient droit sur nous, mais le Tyrannie possède toute la puissance de feu nécessaire pour contrer ces lascars, il a beau être une navette de classe Herald mesurant 28 mètres de long, son fonctionnement ne nécessitait que 2 hommes d'équipage, sans compter les cinq passagers potentiels qu'elle pouvait embarquer à son bord le cas échéant. Sa soute accueillait aussi trois droïdes basiliques, dont le mien. Zuka mon ingénieur en chef remplaça les tourelles légères par des canons turbolasers lourdes, et de double canons lasers de défense localisée (pour le copilote) afin d'assurer sa protection au cas où un adversaire réussirait à la rattraper. Bishop s’assit dans le siège du copilote et arma les doubles canons pour accueillir nos invités.

- Cela pourrait être pire, soupire Kelborn.

- Le Deriphan est entrain de contourner l’horizon de la planète, annonce le pilote. Le pense que nous avons environ huit minutes pour nous débarrasser des chasseurs avant que le cuirassé ne vient aussi participer à la fête.

- Là c’est pire, lâcha Bralor.

- Nous avons gardé toute notre maniabilité ? Demandais-je au pilote.

- Seulement en vitesse subluminique. Le moteur bricolé de Zuka n’a pas supporté deux sauts en même temps, le rotor est grillé et nous avons perdu notre fonction en hyperespace.

- Je ferais la peau a Zuka, ça ne va pas tarder, grogne Bralor.

- Je veux que vous commenciez à chercher des solutions, ordonnais-je froidement, regardez si vous pouvez démanteler assez de composants pour réparer l’hyperdrive afin de faire un saut, peu importe la destination. Balayez les environs pour repérer les carcasses de vaisseaux qu’on pourrait tirer des pièces. Improvisez mais tout ce que je veux c’est un saut. Compris ?

- Je demande l’autorisation de parler, fit durement Kelborn.

- Kelborn… soupirai-je. Qu’y a-t-il ?

- Tu n’as pas besoin de moi ici, tu as Caleb et Bishop pour les tourelles, sans compter Bralor pour les canons. Laisse-moi prendre un basilique pour écraser ces fils de chiennes.

- Bonne idée.

- Super. Il se dirige tout droit vers le garage.

- Deux minutes avant d’être a portée de tir, dit le pilote.

- Attends, dis-je en me tournant vers Kelborn, j’ai dit que prendre un basilique était une bonne idée. Mais c’est moi qui le chevaucherai ; Bishop ! Dis-je en désignant un des mes gardes du corps, je te confie le commandement du Tyrannie.

- Tu ne vas pas y aller tout seul, Mandalore ! Grogne Kelborn.

- Tokio viendra avec moi, on ne vas pas continuer à se frotter à tout les chasseurs Sith qui traînent dans le système. Protége nous avec un tir de couverture, jettes aussi des ordures, comme ça nous sortirons sans attirer l’intention. Ensuite je veux que vous filiez, allez vous cacher quelque part sur la planète, ou restez discrètement en orbite peu m’importe, une fois que nous serons sortis de la zone du combat, moi et Tokio irons trouver le docteur Shani.

Kelborn et Bishop secouèrent la tête, je les comprends, un Mandalore reste en retrait pour ordonner et diriger, mais diriger les symboles dans la carte n’est pas mon truc, je reste avant tout un guerrier même avec les cheveux blancs.

- Je n’aime pas cela, me prévient Bishop.

- Pas grave, je vous retrouverez, te bile pas.

- Plus qu’une minute, lance le pilote.

– Prenons soin de l’équipement, lançai-je.
– Et l’équipement prendra soin de nous, termina Kelborn sur le même ton.

C'est ainsi que nous nous souhaitons bonne chance. Prenez soin de l’équipement, et l’équipement prendra soin de vous. C’est la première chose que l’on nous enseigne depuis tout petits et ce, avant même que l'on atteigne l’age de cinq ans. Lorsque arrive le début de notre enseignement, nos pères ont déjà implanté « Prenez soin de l’équipement » si profondément dans notre esprit que c’est désormais plus qu’instinctif. C’est pratiquement une loi naturelle. Nous vivons ou mourons avec notre équipement. Tokio et moi penons place montés sur deux gigantesques droïdes basiliques, des quadrupèdes avec des griffes en acier capable de déchiqueter n’importe quoi, je partage avec le mien un lien presque fraternel, c’est peut être une machine, mais il ne fait qu’un avec moi. Ensemble Nous harcelons et affaiblissons l’ennemi. Nos cibles sont des bunkers, des véhicules blindés, de l’artillerie mobile et des soldats d’infanterie. Un Mandalorien monté sur un droïde basilique est invincible, même avec un tank ou un chasseur vous ne pouvez rien contre nous, Imaginons que vous êtes mon ennemi. Vous contrôlez un canon sol/air à un demi-click de ma position et vous ouvrez le feu sur nous. Je n'aurai même pas besoin de lever le nez de mes commandes. Parce que mon droïde est là. Tirez votre projectile, vous n’aurez pas l’occasion de recommencer. Tirez-le donc contre moi, mon droïde réduira votre missile en miettes. Essayez de lancer une grenade à protons, je la ferai exploser juste au-dessus de votre tête. Vous pouvez toujours tenter une attaque éclair contre nous, mais faites d'abord votre testament, parce que si vous nous attaquez, nous vous descendrons. Mon basilique et moi formons une pair mortelle, c’est ça prendre soin de l’équipement.

Un tir nous accueillit dés que nous fûmes sortis de la soute. Moi et Tokio nous dérivions dans l’espace tout en gardant nos basiliques éteintes, les boucliers n’étaient pas enclenchés, il suffisait d’un tir solide pour nous mettre or combat, ou morts.

Heureusement, les chasseurs Sith étaient occupés avec mon équipage, l’un d’entre eux fut détruit par un tir de canon laser, Bralor faisait des ravages, même si il n’avait pas la précision terrible de Kelborn, il demeurait un excellant tireur, mais les chasseurs n’étaient pas non plus des bleus, certains arrivaient a éviter les tires et ripostaient avec des salves mortelles tout en plongeant tout prés du vaisseau, le pilote ne pourra jamais lancer de missile a proton a cette distance.
- Vas-y ! Murmurai-je d’un grognement, qu’est-ce que tu attends ?

C’est alors les moteurs du Tyrannie projetèrent un torrent d’ion ardent qui engloutit un des chasseurs Sith, dont le pilote avait clairement oublier qu’un moteur ionique pouvait devenir une arme si il était utilisait a courte portée, le chasseur s’embrasa, et le Tyrannie fonça a toute vitesse en s’éloignant des chasseurs qui tentaient de le rattraper sans succès, peine perdue car Zuka avait remplacer le moteur classe 2 par un 4, ce qui donnait au vaisseau une vitesse si grande que des chasseurs ne pourraient pas distancer.

Tokio me fit signe, et j’hochais la tête, le Deriphan pourrait nous localiser, il faudra que nous passions sans enclencher les moteurs des basiliques, je retins mon souffle quand le vaisseau me frôla à huit kilomètres dans son quart inférieur droit, si ils m’ont remarqué, ils ne le montrent pas.

Une nouvelle lumière attira mon regard, quand quelques débris évacués nous rencontrèrent l’atmosphère externe de Thyffera et commencèrent à brûler. Gardant un œil sur le cuirassé qui me dépasse, je tendis la main pour prendre le manche des réacteurs, je sens aussi la cafetière qui se met en route, une mauvaise entrée dans l’atmosphère n’est pas envisageable, un ongle trop faible et je rebondis dans l’espace, si j’entre trop rapidement, je serais incinéré avec mon armure. Bon sans ! J’ai déjà fais ça sur Ralthir durant les guerres Mandalorienne, alors pourquoi tu paniques ? Pour Tokio ? Pas la peine, il assurera très bien de son coté. La peur est naturelle, utilises ta peur pour alimenter tes forces, garde ton bide glacé, si tu l’a fais durant ta jeunesse, tu peux le refaire aujourd’hui, peut être que c’est le problème, a l’époque j’étais jeune, plein de vie et de force, mais aujourd’hui je suis vieux et fatigué, je ne peux même plus utiliser mes stimulants, je ne cours plus aussi vite, parfois j’ai mal aux membres, je vais être vieux et sénile, incapable de pisser tout seul, a cette pensée je sens un magma d’émotions me bouillir l’estomac. Moi ? Finir comme ça ? Comptes la dessus, je vais montrer a tous qu’un vieux loup est capable de tuer avec la même hargne qu’un louveteau.

Mon basilique cahota en rencontrant des nuages élevés de cristaux de glace qui décomposaient la lumière du soleil de Thyffera en diamant multicolore, je redresse légèrement la barre, même avec l’armure je sens le froid glaciale, je lance ma monture dans un tonneau serré, je fonce a toute vitesse et Tokio est juste derrière moi, j’aperçois les nuages et je les traverse comme une flèche, je continue de foncer dans le vide, puis de toute mes forces je redresse mon basilique et les réacteurs grognèrent, Tokio fit de même, j’avais réussit a refaire le même exploit, mais je ne ressentais aucune sensation de victoire, car je n’ai rien a prouver aujourd’hui, a l’époque j’avais de l’ambition, je voulais devenir Mandalore a fond la caisse. Mais aujourd’hui je suis obligé de le reconnaître : Je suis trop vieux pour ce genre de connerie.

J’aperçu mon second entrain de m’observer, impossible de lire dans les pensées de Tokio, il frappa sa poitrine avec son gant, on dirait qu’il traduis mes pensées, sacré Tokio. J’atterris mon basilique puis j’affiche la carte de la planète, le complexe médical n’était pas loin, mais j’étais éblouis par les infinis champs d’Alazhi qui couvraient toute une surface, de temps a autre j’apercevais des chasseurs Sith qui patrouillaient le secteur, des soldats Sith ratissent le secteur, sans hésiter, nous dissimulons nos montures. Il est l’heur de se mettre au boulot, trouver le docteur Shani, en espérant qu’elle est toujours en vie.