Bonjour à tous !
Après avoir très très très très très longtemps hésité, je me décide enfin à poster ma fic, qui représente près de quatre mois de travail. Je posterais un ou deux chapitres par jour sur l'avis de mes lecteurs.
Alors, je tiens à préciser deux trois trucs :
Tout mes chapitres ne sont pas extrêmement long. Le un l'est étonnement, mais ne vous découragez pas, je prends des chapitres plus "normaux" ensuite.
La langage, qui se dégrade sérieusement entre le chapitre 1 et 35. Oui, ma fanfic comporte trente cinq chapitres.
Dans le langage, mon style de narration, à la première personne, donc ne vous étonnez pas si c'est assez... Voilà quoi.
Et enfin le fait que je l'ai déjà toute écrite. je prends néanmoins les critiques si un jour je me décide à faire mon tome 2.
Pour finir, chapitre un, que je posterais en deux morceaux :

Les mythes et légendes du Nippon, très populaires, racontent que Shiranui et Izanagi auraient tué Orochi, un dragon à huit têtes qui dévorait des jeunes filles une fois par an pour s’assurer de son immortalité. Plus tard, Amaterasu, la réincarnation de Shiranui cent ans plus tard, aurait de nouveau battu Orochi, puis tué Yami, le seigneur des ténèbres.

Toutes ces histoires, ces mythes qu’on m’avait racontés durant mon enfance, où l’on m’avait enveloppé, toujours, je n’y avais jamais cru, jusqu’à ce fameux jour où tout à basculer.
Orpheline, fuyant ce qui faisait office de collège / lycée pour mon âge, je vivais dans la Campagne de Takamiya, non loin de la statue de Kabegami. Pour moi, cette jolie statue de chat en marbre, avec ces marques d’ocres, c’était une limite à ne pas dépasser, ne pas aller plus loin. Non, je ne suis pas peureuse, juste prudente.

Principalement, je dormais le jour, et m’éveillais la nuit (Plus nocturne que diurne). Lorsque les rapaces nocturnes se réveillaient et se mettaient et ululer, je me sentais mieux. Et qui plus est, l’activité nocturne était plus amusante. Il n’y avait pas de gens pour t’embêter, ou pour te bousculer. La vie était bien plus parfaite de nuit plus que de jour.
Mais il y avait toujours un bémol. Plus loin dans la Campagne vivait des gens… Un peu étrange quand même. Les Coupes- Gorges, et je n’en parlerai pas plus car c’était surtout des rumeurs que j’avais entendu. Je n’avais jamais eu le cran de m’approcher de leur maison. Oh, si vous étiez à ma place, vous me comprendrez. Déjà que la bâtisse s’effondrait partout, elle semblait en plus habitée par des yokaïs (Des démons).

J’avais pour habitude de me lever peu après le crépuscule, en jouant rapidement quelques notes de mon ocarina. Mais ce soir-là, mon habitude fut dérangée, à mon grand regret. Alors que je finissais de jouer de l’ocarina, un hurlement déchirant de loup brisa la mélodie. Je sursautai, et mon regard se dirigea vers la maison citée plus haut : Celle des Coupes- Gorges. Comme les yokaïs, les deux personnes qui vivaient là-bas avait la sale habitude de manger tout ce qui passait un peu trop près de chez eux : Chien, mouton, moineau… Et maintenant, un loup.

De rage certainement, je fermai les poings, et fit quelque chose que je m’étais promis de ne jamais faire : D’un pas décidé, et que je voulais assurer, je me dirigeai vers chez eux. Je savais que je le regretterai d’avance. Mais, je n’accordai guère d’importance à la vie. De toute manière, au point où j’en suis…

Bref, dès que je passai la petite barrière qui séparait cette maison du reste de la campagne, une atmosphère différente envahit le lieu. L’odeur de pourriture et de sang donnait des nausées, et même le ciel semblait peint par cette écarlate sombre qui le recouvrait. La lune n’était même plus visible, caché par les arbres. Qui plus est, le terrain s’enfonçait là où était construite la maison, ce qui donnait l’impression qu’on voyait encore moins le ciel.

Ayant l’habitude de m’orienter grâce aux étoiles (C’est d’ailleurs pour ça que je vivais principalement de nuit), je perdais presque tous mes repères. Seule la boussole magnétique que j’avais dans le cœur (Façon de parler hein, je veux dire que naturellement, j’arrive à trouver les pôles magnétiques) m’indiquai où se trouvait le nord. J’aurais voulu reculer, repartir et faire comme si de rien n’était, mais je ne pouvais réellement plus reculer. C’était comme si mes jambes ne m’obéissaient plus.

Du regard, je cherchai de quoi me défendre quand même au cas- où. Je vis sur l’eau un morceau de bambou, mais j’eus du mal à me résigner à aller la « pêcher », mais il n’y avait aucune ‘arme ‘ hormis ça. Penchée vers l’eau noire, j’attrapai le bambou et me redressai avant de basculer. Je fixai la maison, hésitante. Non, je ne pouvais plus reculer.

Par contre, je ne pourrais pas passer par la porte d’entrée, ce n’était pas assez discret. Je longeai la maison et remarquai une planche de bois qui menait jusqu’au toit. Intriguée, je montai difficilement dessus et vis, chose assez étrange, un gros trou dans le plafond. Des planches un peu explosées traînaient sur les côtés. Parfait.

Je descendis le plus discrètement possible. Ils ne m’avaient pas vu. Tant mieux. Furtivement, je m’approchai par derrière et leur assenai un coup de bambou (Oui je suppose que ça doit faire assez mal pour assommer quelqu’un) et les assommai. Mais quelque chose auquel je ne m’attendais pas me surprit horriblement.

Un vent brusque avait envahi la maison. J’avais du mal à rester droite, et manquai de basculer en arrière. Par contre, les Coupes Gorges furent poussé vers le centre de la pièce, là où la lumière de la lune s’infiltrait, et là, le vent cessa soudainement. Les ombres qui dansaient sur le mur s’agitèrent follement, et je vis les Coupes- Gorges se changer en Tengu- Corbeau (Des yokaïs, ouh les méchants).

Par réflexe certainement, je bondis en arrière, et cherchai la porte. Je manquai d’hurler en constatant que les planches de bois bloquaient l’accès. J’avais beau essayer de forcer la porte mais c’était réellement bloqué.
Un jappement me fit sursauter. Le loup. Un loup ? Non… Un disque rouge flottait légèrement au-dessus de son dos, et des flammes bleues- vertes l’entouraient. Avec le noir, je ne pouvais rien distinguer d’autres.

Je m’éloignai du combat, et regardai avec étonnement le loup combattre les yokaïs. Avec étonnement, non, pire. Vous avez déjà vu un loup blanc avec un disque qui vole (Enflammé, évidemment) combattre deux démons, donc mi- corbeau mi- humain ? Eh bien, moi, je voyais ça, et le plus étonnant était bien le vent, qui venait et allait brusquement, comme le feu brûlait parfois le plancher.

Un premier yokaï tomba au sol, comme mort. Avec un étonnement certain, je le vis se transformer en un bouquet de chrysanthème (Oui, à travers le plancher brûlé de la maison, j’admets qu’il y a plus réaliste, mais c’est vrai), et rapidement, le second vint le rejoindre.
Je regardai avec stupeur le loup, et il vint plonger son regard dans le mien. Je sentis presque mon cœur rater un battement, et c’était comme si le sol se dérobait sous mes pieds. Je fermai les yeux un instant, en cherchant à tout prix à faire rentrer l’air dans mes poumons. Quand je les rouvris, je manquai d’hurler.

La maison brûlée avait laissé sa place à un paysage doré et nuageux. En face de moi se dressait des nuages, rien que des nuages. Même le sol était fait de nuages. Je sentais presque mes pieds s’enfoncer dans cette texture moutonneuse et douce. Je me retournai, sentant la présence du loup derrière moi, et encore une fois, manquai d’hurler.

Ce n’était pas un loup qui était en face de moi, mais… Je ne saurais le qualifier. Pourtant, c’était bien le même loup que tout à l’heure, avec sa fourrure immaculée et cet étrange disque entouré de flammes qui flottait au-dessus de son dos. Pourtant, d’étranges marques écarlates étaient peintes sur son museau, ses épaules, ses pattes. D’étranges ailettes blanches aux pointes noires étaient visibles sur ses épaules.
Ce ne pouvait pas être un loup.

« ~ Tu as raison, je ne suis pas un loup. » Fis une voix cristalline devant moi. Je choisis de l’ignorer, mais lorsqu’elle m’appela par mon prénom, je ne pus faire comme si de rien n’était plus longtemps. « Althéa, écoutes moi, s’il te plaît. »

Je regardai avec étonnement le loup (Plutôt la louve à en suivre la voix), et bafouillai légèrement, surprise :

« ~ Ce…C’est toi qui vient de parler ?! »

La louve me fixa de ses yeux noirs, et pourtant rassurant, en hochant la tête. Plus je la regardai, plus je voyais des marques rouges, bien distinctes. Sur son museau, elle me faisait penser à une clé. Elle en avait également autour des yeux, qui contrastaient avec le noir. Mal à l’aise, surtout surprise, devant une louve-étrange-qui-parle, je me dandinai d’un pied sur l’autre.

« ~ Je suis Okami Amaterasu, chargée de faire régner la paix sur le Nippon en éliminant les yokaïs. »

Mon cœur rata de nouveau un battement, et je m’effondrai au sol. Non, c’était impossible.
Je veux bien admettre qu’une louve-qui-parle-avec-des-marques-écarlates existe, mais ça, non, c’était impossible.
‘Les kamis n’existent pas… !’ M’efforçai- je de me répéter dans ma tête.
Pourtant, j’en avais la preuve vivante devant mes yeux.
Okami Amaterasu.

bah et la suite? j'ai bien aimé moi

Je fini la fic:

C'est alors qu'une fatou sauvage sortit des buisson et m'embrassa fin de la fic OK