http://documystere.com/fantomes-demons/l-histoire-vraie-de-la-poupee-annabelle/

vous en pensez quoi?

Poste l'histoire ici stp je suis via mobile

~~~~~~~~~~$CashVille$~~~~~~~~~~

non mais une poupée qui se déplace toute seule...Je veux bien croire aux ovnis car cela repose sur des faits avérés avec des témoignages de qualité (pilotes, militaires, policiers, scientifiques...) mais là c'est grotesque.

"Je veux bien croire aux ovnis car cela repose sur des faits avérés avec des témoignages de qualité"

Les ovni ne reposent sur strictement aucun "faits avérés". Uniquement sur des témoignages.

Enfin, en tout cas en ce qui concerne les "ovni" que certains prétendent pilotés par des aliens.

Parce que les "ovni", ce ne sont pas des extra-terrestres à la base. Juste des objets volants qu'on n'arrive pas à identifier.

L'amalgame est vite fait dans la tête de ceux qui veulent absolument et coute que coute croire aux aliens.

"Les ovni ne reposent sur strictement aucun "faits avérés". Uniquement sur des témoignages. "
Faux. Que fais-tu des enregistrements radars ? Je suis désolé, quand un pilote de chasse est "lock on" sur son radar de combat et discutes avec son contrôle, c'est un fait avéré pour moi.

"alfred00" => Où ai-je écris qu'il s'agissait d'extra-terrestres ? Je suis d'accord.

Enfin pour se recentrer sur le sujet, une poupée qui marche toute seule et vient t'étrangler dans la nuit non mais attendez une minute quoi.....Vous y croyez sérieusement ?

Non

Elle est très moche et encore plus flippante en vrai que dans le film.

Moi je pourrais la voir courir/ marcher ou voler tant elle me fascinerait par son côté malsain.

Après, les personnes qui l'ont possédé ont l'air d'avoir été des gens reconnus donc... Pourquoi pas.

Postez ici svp j'arrive vraiment pas à ouvrir
Merci

En 1970, la mère de Donna acheta pour l'anniversaire de sa fille une vieille poupée Ann Raggedy qu'elle avait trouvée dans un magasin d'antiquités.
A l'époque, Donna était étudiante à l'université, elle préparait un diplôme d'infirmière et elle habitait un petit appartement qu'elle partageait avec une autre étudiante, Angie, qui souhaitait devenir infirmière elle-aussi. La jeune fille était heureuse de son cadeau qui symbolisait l'affection que sa mère lui portait, mais en rentrant chez elle, elle posa simplement la poupée sur son lit et elle n'y pensa plus.
Au fil des jours les jeunes femmes remarquèrent quelque chose d'étrange: la poupée semblait se déplacer d'elle même. Au début, c'était vraiment subtil, elle changeait juste de position, le genre de choses qui aurait pu arriver si on avait bousculé le lit par inadvertance, mais plus le temps passait, plus ses mouvements devenaient perceptibles. Chaque matin Donna déposait la poupée sur le lit, juste après l'avoir fait, les bras sur le coté et les jambes droites. Chaque soir, quand les deux colocataires rentraient chez elles, les bras et les jambes de la poupées étaient placés différemment. Par exemple, ses jambes étaient croisées au niveau des chevilles, ou ses bras étaient repliés. Ça leur semblait tellement bizarre qu'au bout d'une ou deux semaines, Donna décida de faire un test. Un matin, avant de partir, elle croisa volontairement ses bras et ses jambes pour voir si elles allaient bouger. Lorsque les deux jeunes filles revinrent à leur domicile, elles constatèrent avec étonnement que si la poupée était bien à sa place, sa posture était différente et ses bras et ses jambes étaient décroisés.

Au bout de quelques semaines, la poupée semblait être devenue parfaitement mobile. Les jeunes femmes quittaient l'appartement en laissant l'Ann Raggedy sur le lit, et lorsqu'elles rentraient elle la retrouvait assise en tailleur sur le canapé, les bras croisés, ou bien encore debout sur ses pieds, adossée à une chaise de la salle à manger.
A plusieurs reprises Donna partit travailler en abandonnant la poupée sur le canapé et lorsqu'elle revint, ce fut pour la retrouver sur le lit de sa chambre. Détail troublant, la porte de la pièce était soigneusement refermée derrière elle. Un soir, lorsqu'elles étaient rentrées, elles avaient même découvert la poupée assise sur une chaise, près de la porte d'entrée... et elle était à genoux! Les deux jeunes filles avaient par la suite essayé de faire tenir la poupée de chiffon sur ses genoux mais c'était impossible, elle tombait à chaque fois.

Les filles, que l'étrange tournure des événements perturbait, décidèrent de se confier à l'un de leurs amis, Lou.
Lou sentit qu'il y avait quelque chose de profondément mauvais dans cette poupée au moment même où il posa les yeux sur elle. Mais même si elles étaient troublées, Donna et Angie ne croyaient pas en ce genre de choses. Elles cherchaient à comprendre, il y avait forcément une explication logique.

Cela faisait environ un mois que Donna possédait la poupée lorsque de curieux petits morceaux de papiers commencèrent à faire leur apparition dans l'appartement. Sur ces morceaux de papier, qui ressemblaient à des fragments de parchemin, de petits messages griffonnés, presque illisibles, semblaient avoir été tracés par la main d'un jeune enfant. Sur certains l'on pouvait deviner les mots " Aidez nous " ou encore " Aidez Lou ", ce qui n'avait apparemment aucun sens. Lou n'avait aucun problème à l'époque. De plus, les notes étaient écrites au crayon et les jeunes femmes n'en possédaient aucun. Quand au parchemin, Donna retourna tout l'appartement à la recherche d'un papier de ce genre, en vain.
Lou était convaincu que ces messages provenaient de la poupée, il pensait qu'elle tentait de communiquer avec ses hôtes mais les deux étudiantes se refusaient à y croire. Elles en vinrent à se demander si une personne, qu'elles ne connaissaient peut-être pas, ne possédait pas la clef de leur appartement et si elle n'avait pas décidé de s'amuser à leurs dépends.
Elles décidèrent alors de piéger les fenêtres, les tapis et les portes mais malheureusement, leur stratagème se révéla inefficace. Apparemment, aucun visiteur inopportun ne visitait la maison en leur absence. Par contre, la poupée continuait à se déplacer.
Malgré tout, les deux jeunes femmes n'étaient pas vraiment effrayées car si une poupée animée habitait avec elles, elle ne semblait pas avoir de mauvaises intentions. En fait, elle paraissait même particulièrement bien disposée à leur égard. Ainsi, à Noël, Donna et Angie purent découvrir une petite boule de chocolat posée sur la chaine stéréo alors qu'aucune d'entre elles ne l'avait achetée. Elle supposèrent que c'était un présent de la poupée.

Malheureusement, cette harmonieuse cohabitation ne devait pas durer bien longtemps.
Un peu plus d'un mois après le début des événements, Donna et Angie virent une statuette traverser la pièce en flottant dans les airs avant de retomber brutalement sur le sol. A ce moment là, aucune des deux jeunes filles ne se trouvait près de la statue, et pour la première fois, elles ressentirent la peur.
Un jour, alors qu'elles rentraient chez elles, Donna et Angie ne furent pas vraiment surprises de constater que la poupée n'était plus dans le salon mais qu'elle reposait sur le lit de Donna. C'était devenu habituel. Pourtant, cette fois, Donna ressentit un étrange malaise. Il lui semblait que quelque chose n'allait pas avec la poupée, elle lui paraissait étrangement sinistre. Soudain, elles s'aperçurent qu'il y avait du sang sur le dos de sa main ainsi que trois gouttes de sang sur sa poitrine.
Les deux filles étaient maintenant terrifiées et elles décidèrent de demander de l'aide à quelqu'un d'expérimenté dans le domaine du paranormal.

Cela faisait à peu près six semaines que tout avait commencé lorsque Donna et Angie prirent contact avec une femme qui se disait médium. Lors de la première séance, la médium leur raconta une histoire déchirante à propos d'une petite fille nommée Annabelle Higging dont le corps avait été découvert dans le champs sur lequel leur immeuble avait été construit. Plus tard, Donna devait en parler ainsi:
" Nous avions appris qu'une petite fille était morte sur cette propriété, qu'elle avait sept ans et que son nom était Annabelle Higging. L'esprit d'Annabelle avait joué dans les champs longtemps avant que ces appartements aient été construits. C'était des moments de bonheur, elle nous l'a dit.
Comme tout le monde avait grandi autour d'elle et que les gens n'étaient préoccupés que par leur travail, il n'y avait personne avec qui elle pouvait rentrer en contact, sauf nous. Annabelle avait senti que nous étions capables de la comprendre. C'est pourquoi elle avait commencé à faire bouger la poupée. Tout ce qu'elle voulait c'était être aimée, et c'est pour ça qu'elle nous demanda si elle pouvait rester avec nous et habiter la poupée. Que pouvions-nous faire? Alors, on a dit oui. "
Le fantôme d'Annabelle semblait inoffensif. Les jeunes filles étaient infirmières et tous les jours elles côtoyaient la souffrance. Elles s'étaient simplement montrées compatissantes. A partir de ce moment, elle avait appelé la poupée Annabelle. En invitant cet esprit à rester chez elles, les deux jeunes femmes ne savaient pas encore qu'elles venaient de commettre la plus terrible des erreurs.

Si Donna et Angie se sentaient maintenant rassurées, Lou continuait à soutenir qu'il y avait quelque chose de dangereux dans cette poupée et il suggéra à Donna de s'en débarrasser. Bien évidemment, la jeune femme refusa fermement. Pour elle, se débarrasser de la poupée équivalait à abandonner un enfant. Si Annabelle était restée dans la maison, la suite des événements laissait à penser que la proposition de Lou lui avait fortement déplu.
Une nuit, alors qu'il dormait d'un profond sommeil, Lou se réveilla complétement paniqué. Il pensa tout d'abord avoir fait un mauvais rêve, comme ça lui arrivait bien souvent, mais cette fois, c'était différent.
Lou raconta par la suite son épouvantable expérience:
" Alors que j'étais couché, je me suis réveillé. Quelque chose me semblait menaçant. J'ai regardé la pièce, mais tout était à sa place. Lorsque j'ai baissé les yeux vers mes pieds, j'ai vu la poupée de chiffon, Annabelle. Elle a glissé lentement sur mon corps, elle est montée sur ma poitrine puis elle s'est arrêtée. Puis elle a mis un bras d'un coté de mon cou, et son autre autre bras de l'autre coté, comme si elle faisait une connexion électrique. Ensuite, j'ai senti qu'on m'étranglait. J'aurais tout aussi bien pu avoir été poussé contre un mur, je ne pouvais pas bouger. Elle m'a littéralement étranglé à mort, j'ai essayé de l'en empêcher, mais je ne pouvais rien faire. "
Paralysé et à bout de souffle, Lou, qui était sur le point d'être asphyxié, s'était alors évanoui. Lorsqu'il se réveilla le lendemain, il était persuadé que ça n'était pas un rêve et il était plus que jamais déterminé à se débarrasser de cette poupée et de l'esprit qui la possédait.
Le jeune homme comprenait fort bien le message d'Annabelle. Elle lui conseillait de s'occuper de ses affaires, mais il se faisait du soucis à propos de ses amies et il ne voulait pas renoncer. Il savait qu'il devait agir rapidement avant que la poupée ne frappe une nouvelle fois.

Le lendemain soir, alors qu'ils préparaient le trajet d'un voyage, Lou et Angie étaient seuls, étudiant les cartes dans le salon, peu avant 23 heures. Soudain, ils entendirent des bruissements étranges en provenance de la chambre de Donna. Angie crut immédiatement, que quelqu'un s'était introduit dans l'appartement, mais Lou redoutait quelque chose de bien pire.
Il s'avança alors vers la porte de la chambre mais il s’arrêta prudemment à l'entrée. Lorsque les bruits commencèrent à se calmer, il ouvrit la porte puis il appuya sur l'interrupteur.
La pièce était vide, et Annabelle gisait sur le sol, dans un coin de la pièce. Lou pénétra alors dans la salle puis il s'approcha de la poupée de chiffon avec appréhension. Ce fut alors qu'il ressentit une sensation de picotement sur la nuque, comme si quelqu'un le regardait dans son dos.
Angie, qui s'était précipitée derrière lui, devait raconter la suite des événements ainsi: " Quand Lou s'est retourné, il n'y avait personne mais il a soudainement crié et il s'est attrapé la poitrine. Il était plié en deux, il était blessé et il saignait lorsque je suis arrivée près de lui. Il avait du sang partout sur sa chemise. Il tremblait, il avait peur, et nous sommes retournés dans la salle de séjour. Nous avons ensuite ouvert sa chemise et là, sur sa poitrine, il y avait ce qui ressemblait à des marques de griffes! "
Sur sa poitrine il y avait sept marques distinctes. Quatre étaient horizontales, trois verticales et elles étaient chaudes, comme des brulures. Les traces de ses blessures allaient s'évanouir très rapidement. Dès le lendemain une moitié n'était plus visible, et deux jours plus tard, tout avait disparu.

Ne sachant pas vers qui se tourner, et réalisant qu'ils avaient à faire à quelque chose de bien plus terrible que l'esprit d'une enfant solitaire, ils décidèrent alors de contacter un membre du clergé.
Après avoir écouté leur histoire, le Père Egan comprit aisément la gravité de leur situation mais il estima qu'il n'était pas qualifié pour leur venir en aide, aussi les renvoya-t-il à un de ses supérieurs, le Père Cooke.
Le Père Cooke rapporta alors toute l'affaire aux deux démonologues les plus expérimentés qu'il connaissait, les célèbres enquêteurs du paranormal Ed et Lorraine Warren.

Les Warren ne perdirent pas de temps et ils entrèrent immédiatement en contact avec les trois témoins de cette étrange histoire. Ed Warren fut surpris que ces jeunes aient été si prompts à faire confiance dans les paroles d'un prétendu fantôme et il le leur fit savoir:
" Pour commencer, il n'y a pas d'Annabelle! Il n'y en a jamais eu. Vous avez été dupés. Cependant, nous avons à faire à un esprit ici. La téléportation de la poupée quand vous étiez hors de l'appartement, l'apparition des notes écrites sur le parchemin, la manifestation des trois gouttes de sang symboliques, ainsi que les gestes de la poupée sont tous significatifs. Ils me disent qu'elle avait un but, ce qui signifie qu'il y a une intelligence derrière toute cette activité. Mais les fantômes, les simples esprits humains ne peuvent pas faire des choses de cette nature ni avec cette intensité, ils n'ont pas ce pouvoir. "
En entendant ces paroles, Lou acquiesça. Il avait toujours pensé que c'était une poupée vaudou. Il en avait parlé aux filles mais elles n'avaient pas voulu l'écouter. Selon lui, la poupée se moquait d'elles. Quand à Donna, elle avoua qu'en apprenant l'histoire d'Annabelle, elles s'étaient surtout senties préoccupées par son esprit. Comment auraient-elles pu deviner? Évidemment, elles n'auraient pas du accorder tellement de foi en sa parole. Mais elles considéraient vraiment la poupée comme une mascotte inoffensive, elle n'avait jamais rien de fait de mal... jusqu'au jour où Lou s'était fait attaquer...

Aucun des témoins n'avait jamais aperçu le spectre d'un enfant dans cet appartement. Alors, après avoir écouté les témoignages des trois jeunes gens, inspecté la poupée et vérifié les blessures de Lou, les Warren en vinrent à la conclusion qu'ils n'avaient pas affaire à un fantôme mais à un véritable démon.
Ils ne pensaient pas que la poupée était vraiment possédée par la créature maléfique, ils supposaient qu'elle servait d'intermédiaire entre le monde terrestre et l'enfer. Ils affirmèrent aussi que la médium avait été manipulée afin de gagner leur confiance, ce qui avait conduit à une invasion de la maison. L'esprit démoniaque les avait manipulés, il avait joué sur leur compassion en prétendant être l'âme d'un enfant perdu.
Selon Ed Warren:
" Habituellement, les gens ne sont pas ennuyés par des esprits démoniaques, à moins qu'ils ne fassent quelque chose qui les attire dans leurs vies. Votre première erreur a été de prêter attention à la poupée, c'est pour cette raison que le démon s'est introduit dans la poupée, pour attirer l'attention sur lui. Une fois qu'il a eu votre attention, il vous a manipulés, ce qui vous a amené à avoir peur et même à être blessés. Les esprits maléfiques aiment infliger de la douleur, ce sont des esprits négatifs. Votre seconde erreur, c'était le médium. Le démon devait, en quelque sorte, obtenir votre permission pour interférer dans vos vies. Malheureusement, de votre propre volonté, vous lui avez accordé cette autorisation. "

Les Warren supposaient qu'après avoir attaqué Lou, l'entité démoniaque avait surement prévu de quitter la poupée et de rentrer dans l'un d'entre eux dans le but de posséder complétement un humain. Ce qui aurait été inévitablement suivi d'un meurtre.
D'après Ed Warren:
" Les esprits ne possèdent pas les choses, les esprits possèdent les gens. Au lieu de ça, l'esprit a simplement déplacé la poupée en donnant l'illusion qu'elle était en vie. Maintenant, ce qui est arrivé à Lou cette semaine devait se produire tôt ou tard. En fait, vous couriez tous le danger d'être possédé par cet esprit, car c'était ce qu'il voulait vraiment. Mais Lou ne croyait pas dans cette mascarade, alors il était une menace permanente pour l'entité. C'était une épreuve de force. Si l'esprit avait eu une ou deux semaines de plus, vous auriez pu être tués. "

Les Warren décidèrent alors que la meilleure façon de procéder était de pratiquer une bénédiction d'exorcisme afin de chasser l'entité malveillante de la poupée. Ils contactèrent le Père Cooke, qui n'avait pas vraiment envie d'être impliqué dans cette affaire mais qui finit par céder lorsqu'ils lui expliquèrent la gravité de la situation.
Après la cérémonie, le Père Cooke étendit la bénédiction à Donna, Angie, Lou, Ed et Lorraine Warren puis il affirma que le démon ne pouvait plus leur faire de mal.
Suite à l'exorcisme du Père Cooke, Ed et Lorraine Warren, qui doutaient encore que le démon ait vraiment été banni de la poupée, proposèrent d'emporter Annabelle chez eux et Donna, désireuse de se débarrasser de l'entité maléfique, consentit volontiers à leur demande.

Ed ramassa alors prudemment la poupée et la tendit à Lorraine, après quoi le Père Cooke, qui n'avait lui non plus aucune certitude quand à la réussite de son exorcisme, conseilla à Ed de ne pas conduire sur l'autoroute lorsqu'ils rentreraient chez eux, de peur que le démon ne soit encore dans la poupée et qu'il ne réussisse à influencer la voiture d'une manière ou d'une autre.
Lorraine plaça la poupée sur la banquette arrière, ceinture bouclée, Ed démarra le moteur et ils commencèrent leur long trajet de retour. Ed suivit les conseils du prêtre, il roulait exclusivement sur les petites routes, ce qui s'avéra être une sage décision.
Selon les Warren, à chaque fois qu'ils s'approchaient d'un virage serré, les freins se bloquaient et leur véhicule ne répondait plus comme il aurait du. Ils avaient pratiquement eu une collision avec une voiture qu'ils avaient croisée. Alors Ed en avait eu assez. Il avait aspergé la poupée d'eau bénite en faisant le signe de la croix et ils n'avaient plus eu de problèmes jusqu'à leur arrivée.
Une fois arrivés à la maison, Ed avait placé la poupée sur une chaise à coté de son bureau. Durant cette période, il prétendit l'avoir vue léviter à plusieurs reprises et retomber brusquement, inerte. De plus, comme dans la précédente maison, la poupée pouvait apparaitre dans différentes pièces de la maison, faisant sursauter les Warren. Ces manifestations durèrent quelques semaines.
Lorsqu'ils partirent en voyage, les Warren enfermèrent Annabelle dans un bureau à l'extérieur du bâtiment mais quand ils rentrèrent chez eux et qu'ils ouvrirent la porte d'entrée, ils découvrirent la poupée juste en face d'eux, perchée sur le fauteuil de Ed. Elle semblait les narguer.

Ils décidèrent alors de faire appel à un prêtre catholique, un exorciste du nom de Père Jason Bradford. Selon les rapports, le Père Bradford s'était approché de la poupée, qui gisait inerte sur son siège, et lui avait crié: " Tu n'es qu'une poupée de chiffon Annabelle, tu ne peux faire de mal à personne! "
A ce moment là, le Père avait brusquement jeté la poupée sur le sol. En l'entendant parler ainsi, Ed avait pâli et il lui avait déclaré: " Il y a quelque chose que vous n'auriez pas du dire. "
Comme son mari, Lorraine avait été perturbée par le comportement méprisant du Père Bradford et elle lui conseilla d'être prudent sur le chemin du retour et de l'appeler sitôt arrivé au presbytère. L'appel ne vint que fort tard dans la soirée. Le prêtre, ébranlé, expliqua alors à Lorraine que ses freins avaient lâché alors qu'il s'approchait d'une intersection. Sa voiture avait été détruite et les autres automobilistes impliqués avaient survécu de justesse à l'accident.
Les époux Warren décidèrent alors qu'Annabelle était trop dangereuse trop être exposée au monde et ils l'enfermèrent dans une vitrine de verre scellée, avec une pancarte explicite: Attention, ne pas ouvrir.

La poupée de chiffon est aujourd'hui exposée dans une salle remplie par tous les objets maléfiques que les Warren ont rapportés de leurs enquêtes au cours des décennies. Cette pièce est devenue un musée qui est maintenant ouvert au public et les curieux peuvent contempler Annabelle dans sa prison de verre d'où elle ne peut s'échapper... Depuis qu'elle est incarcérée, elle semble même incapable de se déplacer.

Toutefois, depuis qu'elle est exposée dans le musée des Warren, de nombreux incidents troublants se sont produits. Le récit le plus tragique associé à cette poupée de chiffon maléfique est probablement celui d'un jeune couple qui visitait le musée, avec Ed comme guide. Ed expliquait l'histoire d'Annabelle et le jeune homme, voulant probablement impressionner son amie, se mit alors à apostropher Annabelle, la défiant de se lever et de le griffer. Ed fit immédiatement sortir les deux jeunes du musée puis il les regarda partir sur la moto du jeune homme. Malheureusement, ce fut l'une des dernières personnes à le voir vivant. Selon sa petite amie, après avoir quitté le musée, ils riaient des histoires à dormir debout qu'ils avaient entendues sur la poupée quand brusquement, l'homme perdit le contrôle de sa moto et il percuta un arbre. Il fut tué sur le coup et la jeune femme, quand à elle, dut rester plus d'un an à l’hôpital. Alors évidemment, les sceptiques diront probablement que ça n'était là rien de plus qu'une triste coïncidence, mais les Warren furent convaincus que ces deux jeunes gens avaient subi le courroux d'Annabelle pour s'être moqués d'elle.

Ed Warren est mort en 2006. Lorraine Warren continue à enquêter sur les phénomènes surnaturels. Elle affirme qu'Annabelle n'est jamais sortie de sa cage de verre mais que parfois, elle change de position et qu'on l'aurait même entendue grogner à des visiteurs imprudents.

Voilà j'ai posté l'histoire

Quelque image :

Anabelle :
Lorraine et Anabelle :
Ed et Lorraine et Anabelle :
Musée des Warrens :
Lorraine Et Ed :

Merci d'avoir posté

Ça fait froid dans le dos bordel

Faut-il y croire ?

Bon je vais lire cette énorme pavé (bien que je pense qu'il est rempli de choses exagérer pour crédibiliser l'histoire m'enfin bon).

Et c'est pas la poupée qui est à l'origine de "1,2,3, je monte les escalier, 4,5,6, je suis dans le couloir..." ect ?

Bon j'ai lu 2 pavé et c'est juste une creepypasta enfaîte